Avis du vol entre Pisa et Paris en classe Economique avec Brit Air

Vol retour de nos vacances ensoleillées de la Toussaint en Toscane. Le report du vol aller est <a href=http://flight-report.com/fr/report-5510.html>ici<a/>.
Samedi fin d'après-midi il fait nuit, après un tour à la plage nous rendons notre Fiat 500 au loueur et prenons la navette qui nous conduit 500 mètres plus loin à l’aéroport international Galilei de Pise.

Notre vol pour Paris est prévu à 20 h 35, nous ne sommes pas en retard.

À l’entrée du terminal, un « monument » mobile italien décoré du personnage local Pinocchio dont l’auteur est toscan.

Pas la grande foule dans le terminal à cet endroit.

Les écrans sont doubles. L’écran de gauche affiche 9 vols à l’arrivée (dont 6 Ryanair ) et celui de droite les départs mais attention, il faut patienter pour voir son vol affiché car il y a 2 pages diffusées sur chaque écran.

Cette queue est celle d’un enregistrement Ryanair avec seulement 2 guichets ouverts.

Les comptoirs Air France ne sont pas encore ouverts mais on s’y attache. Nous faisons la queue alors que rien n’est encore affiché. Résultat pas plus de 3 minutes d’attente avant de s’enregistrer. Il n’y a pas de BLS. La veille nous étions enregistré pour le vol sur Internet sans imprimer de carte d’embarquement, n’étant pas relié à une imprimante à l'hôtel.

Un petit tour dans l’aérogare avant de passer les contrôles. Il n’y a rien de transcendant.

On y va, cool y’a personne.

Ce n’est pas grand. Remarquez les ventilateurs accrochés en haut des piliers. A la Toussaint ça allait, il ne faisait pas trop chaud.

C’est un peu vieillot comme aérogare.

On traine dans les boutiques et faisons quelques achats. Comme il n’y a pas de place pour s’assoir on va, comme indiqué, vers l’étage mais là, peine perdue, la porte d'accès est fermée. En nous n’étions pas les seuls à être déçu.

On redescend et trouvons les dernières places disponibles, les sièges réservés aux personnes ayant un handicap.

On patiente où l’on peut. J'essaye vainement de trouver un réseau wifi gratuit mais il n'y en a pas… donc pas pu faire la photo corporate

Deux vols embarquent au même moment et c’est bondé. Il y des gens à attendre partout.

La queue près des portes d’embarquement pour les vols Ryanair déborde dans la galerie commerciale. Ca devient inaccessible pour rejoindre les portes au fond de la salle, c’est bruyant, il y a du monde de partout.

Au cas où quelqu'un en aurait besoin un jour.

Ouf il est l'heure de quitter cet aéroport encombré

Un cobus nous mène à notre CRJ7 immatriculé F-GRZF du 31 janvier 2002 qui est stationné tout au bout du parking

Les bagages cabine les plus volumineux, préalablement taggés, sont placés dans la soute que l’on voit sur la droite

Une photo du galley à l’entrée de l’appareil. Le chef de cabine, très accueillant et sympathique, m’informe que sur le CRJ1000 le galley est encore plus petit de 15 cm, déjà que celui-là est riquiqui. Presse française et serviette rafraîchissante sous sachet à disposition.

Une vue de la cabine

Pitch confortable. Vous avez vu, il y a un porte gobelet et il est carré ! (ici aussi :)

La fiche de sécurité logotypée Brit’Air et le Air France magazine daté novembre. C’est bien nous sommes le 2.

En plus du porte gobelet il y a aussi un cendrier… L’avion a été mis en service en 2002.

Ouvert

La vue depuis notre rang 2

Vol complet, on cherche de la place pour caser les bagages à main.

On décolle à l’heure, à 20h35. 20 minutes après une collation est servie et là, surprise, un sandwich au choix pain blanc saucisson ou suédois saumon, mon choix. C'était correct. Je ne m'y attendais pas du tout. Le vin n’était vraiment pas bon, mauvais choix.

Sandwich pain baguette, saucisson, pas mauvais

Avion toujours d’origine bretonne (ça me va bien)

Plafonnier

22 h 20 atterrissage à Paris Charles de Gaulle

On va se garer près de l’aérogare 2 G

Pas besoin d’attendre la passerelle. Récupération des bagages cabine les plus volumineux au pied de l’avion.

Une dernière vue de notre appareil

(Trop)long couloir pour sortir

Vue d’une des portes d’embarquement

On poursuit avec encore ce couloir.

N’ayant pas photographié la porte par laquelle on est arrivé car il y avait des personnes devant, j’en profite pour une autre où il n’y a personne. Pas beaucoup de recul pour photographier.

On continue avec un autre couloir, plus étroit.

C’est bien par là la sortie

Cliché parisien bien agréable, nous sommes bien arrivés à Paris (leurre pour la navette jusqu’aux principales aérogares ?)

Dernier sas

Incontournable cliché parisien n°2, il est temps de prendre un escalator (ou monter un escalier)

7 minutes après être sortis de l’avion nous voici dans la salle de récupération des bagages.

Récupération rapide

Et il est temps de rentrer à la maison, pas d’attente pour le taxi

Fin de ces très courtes et agréables vacances en Toscane. Bonus
Lucca

Sienne