Avis du vol entre Kärdla et Tallinn en classe Economique avec TransAviaBaltika

Bonjour à tous,

Pendant le séjour à Tallinn, le groupe a effectué un vol Avgeek avec la compagnie locale Trans Avia Baltika, proposant un voyage aller / retour à bord d'un Jetstream 31, petit frère du jetstream 41 que je j'avais eu l'occasion d'emprunter entre LYS et LRT, à l'époque ou Eastern une compagnie anglaise, assurait cette liaison…

Esteban et Saintpiev ont reporté leurs vols, je rajoute les miens avec évidemment un ressenti différent. MichelG et Marathon étaient également du voyage, Mme Marathon et Ma Esteban ont préférées rester en ville.

Après un court mais très agréable vol aller, c'est reparti 20 minutes plus tard, destination ==> Tallinn !

Kärdla airport

A peine entré dans l'aérogare qu'il faille passer à l'enregistrement, une dame au courant de notre situation procède au check in du groupe, évidemment le Père de Sylvestre arrive en last call, son chat s'étant barré à la chasse au canari, le temps de le retrouver… L'ami Patrick est obligé de vider sa bouteille d'eau et d'enregistrer son mini sac à dos !!!

Une machine à café et un distributeur d'eau sont disponibles.

Une salle d'attente est aménagé landside.

Pendant que Saintpiev vide son sac, ( il n'a pourtant rien à se reprocher ), Marathon tente de faire diversion en questionnant le préposé affecté au PIF, on remarque, ( à droite ), que MichelG réprimande Sylvestre qu'il vient de récupérer avec un petit oiseau dans la gueule, par chance ce n'est pas notre Jetstream… Esteban est comme à son habitude, en pôle position devant la porte donnant sur le tarmac.

Patrick est parti enregistrer sa besace, me voilà seul pour passer la sûreté, N'ayant ni chat, ni sac, l'opération ne prend que quelques minutes.

Une oeuvre d'art accrocher à l'accoudoir d'un fauteuil roulant ! Des ailes dans un aéroport n'a rien d'étrange… Mais fixé à une chaise destinée à un PMR, si !

embarquement

Contrairement à l'aller, nous ne seront que huit au retour, les français sont en force ! Les fauves sont lâchés…

L'accès à bord est effectué sous l'oeil bienveillant du Commandant de Bord en personne.

Instant porte et fuselage shoot.

la vie à bord

Je m'installe cette fois ci en 2A, avec une belle vue sur le cockpit.

Vous comprendrez pourquoi je n'ai pas préféré le 1er rang présentementi !

Le pas(taga), est limite pour mon mètre quatre vingt cinq… L'aumônière en a vue passer des passagers, elle contient un sac vomito.

La tablette qui ne sert pas à grand chose.

La manche à air indique un vent modéré, c'est parfait !

Dernière check list avant la mise en fonction des moteurs.

Aérateurs et liseuses d'un autre age.

Le siège de devant se bascule, ce qui permet de pouvoir photographier depuis un hublot dégagé.

Après le démarrage des ventilateurs, nous quittons le parking et roulons vers la piste…

… Que nous remontons, en espérant qu'un Boeing 747 de KLM ne vienne pas nous percuter comme à Ténérife, le 27 mars 1977…

Et voilà, demi tour et c'est parti !

Alors que la veille et le matin même le soleil était au beau fixe, la purée de pois accompagne cet après midi.

Avec des névés et du gel deci delà, cahin caha, le picotin te récompensera…

Aucun service à bord, on repassera pour le picotin… Patrick est assis sur le siège que j'occupais lors du trajet aller.

Vol au dessus du nid d'un coucou, le crépuscule pointe.

Les hublots sont surdimensionnés, le store mi baissé.

approche et atterrissage

Le sol se rapporche et l'avion est ballotté dans tous les sens, ce qui ne perturbe pas la navigation des pilotes…

Le béton reçoit le train d'atterrissage sans rudesse, le freinage est limité puisque nous devons rejoindre le parking tout là bas, là bas.

Le colibri quitte la piste alors que la nuit tombe.

Passage devant un destrier blanc immaculé.

Et nous voici revenu à notre point de départ.

Aucun souci pour flasher le poste de pilotage, le co pilote étant particulièrement sympa.

débarquement et tranbordement

Cette fois-ci ce n'est pas Michel qui quitte l'avion le dernier, le sac de Patrick sera livré sur le tapis ! Le Commandant de Bord n'est pas pressé et a l'air amusé par notre manège.

Ne tardons pas trop pour accéder au bus, une passagère tire la moue des mauvais jours.

Après avoir traversé un très grand parking avions, nous arrivons dans le terminal désert.

TLL affiche une belle décoration.

Ce sera le tapis numéro 1 le sac de Patrick.

Deux pièces sont livrés immédiatement, le bagagiste n'a pas dû se faire un tour de reins en déchargeant la marchandise !

Direction la sortie ou Tallinn nous aime à sa façon.

Stephan, François et Michel s'engouffre dans un taxi. 

Le Savoyard et le Saint Père dans une voiture Bolt. nous serons à l'hôtel dix minutes plus tard, avant de rejoindre le groupe pour une soirée qui s'annonce mémorable.

Merci de m'avoir lu, à bientôt pour les deux derniers opus de cette série.