Bonjour à toute la communauté FRiste et bienvenu(e)s sur -encore ! - un petit saut de puce nippon.
Au menu aujourd’hui : découverte de la préfecture de Saga 佐賀県, la plus petite (et peut-être la moins connue) des préfectures sur l’île de Kyūshū.
Depuis chez nous (MYJ) il existe deux liaisons directes avec la grande île de Kyūshū (toutes deux proposées par J-Air): FUK ou KOJ. Pour visiter Saga, voisine de Fukuoka, l’option raisonnable est voler à FUK (pour autant, les chercheurs en miles font -faisaient ?- parfois des parcours bien tordus sur les préfectures de Kyūshū).
On restera raisonnables et on utilisera 12.000 miles de notre banque -plus 200, pour un départ depuis FUK- pour acheter un aller-retour MYJ-FUK. Scoop sur le site ? Il se peut…
En tout cas le récit s’annonce, a priori, morne : un vol court, sur un appareil connu et avec une compagnie dépeinte à maintes reprises…
J’espère, tout de même, que la présence de trains sous-marins, de pommes normandes, de toriis en céramique ou de passages commerciales à nouilles soit suffisant pour retenir votre attention jusqu’au bout.
Un bonus touristique sera consacré à l’art des argiles cuites.
Partons à notre petite errance !
Chemin vers l'aeroport
Notre gare ferroviaire nous accueille avec des vives couleurs, bien adaptées au début de la saison printanière.
Les nobori 幟 ambres, verts et orangés, au centre de l’image, célèbrent la réouverture du service de l’Iyo Nada Monogatari 伊予灘ものがたり, train de luxe longeant la côte de la Mer Intérieure Seto (Matsuyama et Ozu -ou Yawatahama- reliés à travers des vues et saveurs délicieux. A tester !)

Notre train aujourd’hui n’est pas luxurieux, mais sa diversité chromatique est à la hauteur de la saison printanière (et des abondances du luxe).

Vous ne trouvez pas ?

Reccha-kun nous donne la bienvenue avec tout son (ses) cœur(s).

A l’intérieur le spectacle bariolé se poursuit.

On est dûment déposés au terminus (JR Matsuyama). Il est temps de dire aurevoir à la faune aquatique du fleuve Shimanto 四万十川, qui nous a si gentiment accompagné jusqu’à notre première destination du jour.

Direction l’arrêt du bus qui nous amènera à MYJ. Par ici c’est le domaine des Limousine Bus, qui sont à retrouver nulle part.

Par-là, c’est le secteur des bus de ligne, sous l’influence de pruniers en pleine effervescence.

Il est également difficile de distinguer la présence du 52 ou du 53. Mais le panneau électronique nous annonce que ce seront ces derniers qui feront son apparition en premier.

Cet après-midi, trajet en bus de ligne, donc (d’environ 15 min).

l'aeroport de depart
Nous sommes déposés sous une belle lumière couchante (la tombée du jour arrive toujours tôt au Japon).

Passage par les écuries impériales.

Avant de déceler notre bercail (beaucoup plus modeste).

Chez JAL aucun vol ne partira dans les deux heures qui suivent.

Autant dire que l’attente aux comptoirs est nulle et le personnel au sol est complètement disponible. Beaucoup de courtoisies -et une carte d’embarquement papier- plus tard, je reviens sur mes pas pour retrouver un tableau saisissant.

Les enfants de 3-4 ans de la crèche de Momoyama, tout près de l’aéroport, exposent une variante bien particulière de la fête des poupées, dite hina-matsuri ひな祭り.

Cette commémoration, dédiée aux petites filles et dans laquelle des figurines recréant la cour impériale s’étalent autour d’estrades plus ou moins larges, culmine normalement le 3 de mars. Mais, à la préfecture d’Ehime, elle se rallonge jusqu’au 3 d’avril. Honami-chan (en haut à gauche) et Akito-kun (en bas à droite) ont des interprétations bien différentes de la chose.

Les employé(e)s JAL de l’aéroport de Matsuyama font l’éloge des enfants et leur remercient de leurs dessins.

Partons explorer ce que les alentours de la piste 32/14 ont à nous offrir en ce fin d’après-midi.

Un ciel bleu radiant (si on vise tramontane)

Et un seul oiseau posé sur le tarmac.

Il est en train d’être soigneusement inspecté.

Le contre-jour rend les clichés compliqués. Mais les belles couleurs de ce a321 (ré)apparaissent lors qu’on le guette depuis l’extrémité occidentale de la terrasse.

Tiens ! Des camarades bruyants viennent d’atterrir et cherchent à lui faire compagnie !

En fin de compte, il paraît qu’ils ne s’accordent si bien que ça.

En dehors de ces petites querelles familiales, il n’y a rien à se mettre sous la dent…
Rentrons et cherchons du ravitaillement plus copieux.

Une grande partie du grand hall au deuxième étage sert à filtrer les départs. Des cotés et aux niveaux supérieurs, on retrouve nombre de commerces.

Comme, par exemple, ceux longeant ce petit couloir. (…mmmh… trop tôt pour un repas complet…)

Voici un aperçu du tronçon de hall qui a été englouti par les barrages de sécurité.

Regrettablement les fleurs sont en plastique, mais elles se combinent harmonieusement avec le foulard de la charmante hôtesse des forces impériales.

Le tableau de bord du soir. Il n’y a que notre vol qui sort du lot. Car tout le reste est, soit Tokyo (HND), soit Osaka (ITM). [Le vol de 20h10 vers Kagoshima a été annulé].

Encore des propositions gastronomiques, mais pas vraiment ce dont j’ai envie à ce stade-là. (Le taruto タルト, dérivé du castela カステラ nagasakien, se place parmi les ’greatest hits’ des omiyages -souvenirs- à Matsuyama).

Sinon, vous pouvez prendre une photo-souvenir de MYJ avec Madonna (en rouge et accompagnée ici par Botchan, Mykkan et Da-ku Mikkyan, mais pas par Sean Penn).

Les sondages et scans ne nous prennent que quelques secondes. On se retrouve dans une salle d’embarquement bien vide, où seulement quelques sons gutturaux brisent le silence ambiant.

Définitivement ! On dirait que je choisis mes dates de voyage en fonction des grands tournois de sumo (dits honbasho 本場所) !(ce n’est pas le cas…)
Laissons les rikishi se disputer et prenons soin de notre nutrition.

La détente est à la portée de main dans ce sympathique salon, également vide et calme* (et dépourvu d’écrans audiovisuels). De surcroit, il est pile-poil l’heure de l’apéro….
*il est décrit en détail ici

Les pressions du salon Sakura sont bien rafraîchissantes et agréables à boire ! (certains amateurs de mousseuses pourraient argumenter qu’elles sont un peu fades. Je ne leur contredirais pas, mais je les aime bien ainsi). Santé !

Le temps passe très vite et… diantre ! Je réalise qu’il ne reste que 10 minutes avant le décollage de notre avion !
Je ne panique pas car je sais qu’on est dans une aérogare régionale au Japon et que l’embarquement est tout à fait faisable…
Mais c’est bien serré !!!!
l'avion. le vol
Portrait du nez de notre oiseaux, en toute hâte.

Évidemment, je suis le dernier à franchir les tourniquets de la porte d’embarquement. Néanmoins, je discerne clairement des voix de passagers qui marchent devant moi. Ils ne sont pas loin. Ouff !!!!

La situation était limite, quelque peu inquiétante, mais finalement je n’ai pas fait atteindre le départ… Oufff !!!

J’ai même le temps de documenter pour vous ce genre de pépite, difficilement trouvable en dehors du Japon.
Cette affiche nous présente les techniciens aux commandes ce soir : Monsieur Sasaki s’occupe de la conduite des chariots, Monsieur Okada veille sur la passerelle d’embarquement. Quant aux Tamuras (frères ou sœurs ? époux ? -on ne saurait jamais…-), ils gèrent le push-back ainsi que le chargement du fret et des bagages.

Belle lumière baignant la porte de notre Embraer. Ce cliché vaudra son pesant d’or.

Daguerréotype du fuselage, indispensable aux récits publiés sur le site.

Je suis accueilli avec un énorme sourire (masqué) par la responsable du devant de la cabine. Un très bon présage. Mon instinct me dit qu’elle va pouvoir être surnommée Kunimo-san, à l’opposé de Moniku-san (la prononciation japonaise de Monique).
Le siège est connu et il est hyper confortable (photo prise à l’arrivée).

L’espacement l’est aussi -connu, ainsi que confortable-.

Kunimo-san (c’est déjà officiel) officie à la présentation des consignes de sécurité.

Voici un abrégé desdites consignes, beaucoup plus insipide.

LE CHEMIN AU BAPTEME :
Tout commença aux comptoirs de l’aéroport, avec de gracieux échanges. A la porte d’embarquement, ces mêmes charmantes demoiselles ne firent que continuer à me cajoler : ’ne vous inquiétez pas, vous avez encore du temps !’ (mes inattentions vis-à-vis de l’heure du départ n’avaient vraisemblablement nulle importance !!). En outre, lors de mon passage en cabine, je constatai qu’elle était remplie à plus de 90% mais personne n’occupait le siège à mes côtés. Je me sens fortuné, chouchouté.
Et puis, Kunimo-san, arriva… (avec deux cartes postales à la main).
L’image ci-dessous compile une partie de ces délicates attentions.

Entretemps, on repousse.

Et le soleil se couche.

Au Japon la lecture demeure un passe-temps très populaire (et le livre en papier résiste plutôt bien les offensives du digital).

Ligne droite jusqu’à notre (ex)- stand.

Les forces impériales se hissent en maîtres du lieu, en dépit du petit gabarit de leur émissaire.

D’après mes conjectures, ce sont les Messieurs Tamura et Monsieur Sasaki qui nous saluent. (M. Okada devrait être occupé avec la passerelle, n’est-ce pas ?).
Merci et au revoir !

Sur-le-champ, on regagne la piste.

Les montagnes de la région de Nanyo sont subtilement discernables, loin derrière les dépôts industriels voisinant l’aéroport.

On fonce et puis on vole.

La piste de MYJ a été élargie à deux reprises, avalant, à chaque fois, un morceau plus important de Mer Intérieure de Séto (cette mer amputée fut, cependant, la première contrée déclarée Parc National au Japon -en 1934-).

Notre décollage cap à occident implique que ce soir nous ne ferons pas de grandes boucles. FUK est tout droite.

En premier plan, des extensions artificielles sur la côte des bourgs de Masaki 松前町 et Iyo 伊予市. Au fond, les montagnes des bourgs d’Uchiko 内子町 et Ozu 大洲市.

On cherche notre route.


Comme vous pouvez constater, un brouillard épais perturbe considérablement les vues. C’est très, très dommage :-(

Mais au moins vous êtes épargné(e)s d’un roman fleuve, dépeignant l’archipel des Bōyo 防予諸島 ou les côtes du midi de la préfecture de Yamaguchi. *-)

Chères îles Bōyo, ce sera pour une autre occasion -prochaine, j’espère !-,
(j’adore leur transcription en alphabet latin !)

Il faudra trouver consolation avec les va-et-vient en cabine…
Voici une petite sélection des trésors à retrouver dans les pochettes du dossier devant :
un sac imperméable, instructions pour la connexion Wi-Fi (gratuite et, normalement, d’accès facile) et de la littérature jalienne.

La première page, ainsi qu’un nombre important des pages centrales, sont consacrées aux pommiers normands et les nymphes qui peuplent leurs ombrages !!
(au Japon on aime bien les stéréotypes… peut être autant que parler de nourriture ! -)

Entre-temps, à l’extérieur le temps ne s’arrange guère. Aujourd’hui essayer d’identifier les paysages ce fut une tâche pénible et infructueuse.

LE CERTIFICAT DE BAPTEME :
Avec un embarquement déjà fermé, s’arrêter pour répertorier le fuselage et la porte mit assurément en garde Kunimo-san. Elle comprit qu’elle allait à faire avec un spécimen un peu particulier.
Une fois dans l’air, le moment du passage du panier à bonbons arrive. La routine pour les rangées de devant est habituelle : proposer aux passager le panier pour qu’ils/elles choisissent leur friandise préférée. Cependant, lors que Kunimo-san arrive tout près de moi elle retire incongrûment le panier et met la main dans la poche de son tablier pour me tendre deux petits colis….

Aux cartes postales reçues avant le décollage s’ajoutent un sachet plein de bonbons et une petite maquette B787-9 !!! Wow ! (ou plutôt ééééééééh !, en japonais)
Mais les délicatesses ne s’arrêtent pas là. C’est seulement à mon arrivée que je constate qu’un autocollant arborant des kawaii navires a été glissé dans le sachet.

Et, à ma grande surprise, de très gentils mots me sont adressés à son envers. Signés Ikuhara -ou Sasaki- Kunimo.
Doublement ééééééééh ! ARIGATOU NE!!

Après ces grandes émotions il n’est pas aisé de reprendre notre récit.
Essayons, tout de même.
Depuis belle lurette -le vol est très court- on a entamé notre descente. Les vues se sont, en conséquence, quelque peu dégagées. Néanmoins, elles restent bourbeuses.
Tiens ! Par venture serait ceci l’étroit de Shimonoseki 下関海峡 ?

Oui, oui. Sans doute. Ci-dessous on peut le déguster en sa totalité.

Grand lieu de confluence -île de Honshū / île de Kyūshū, Mer Intérieure de Séto / Mer du Japon-, il est un carrefour extraordinaire, traversé par de forts courants, ponts et tunnels, des bateaux, trains, voitures et piétons.
L’extrémité occidentale de l’étroit est occupée par la ville de Kitakyushu 北九州, haut lieu industriel du Japon du 20eme siècle -sidérurgie, etc-, maintenant en pleine bataille pour ralentir sa décadence.

Au revoir Shimonoseki !

Et bonjour, Baie de Genkai 玄海灘.

Un vrai contraste avec la lourdeur industrielle précédente. Elle représente une oasis de paix.

Bordée de pins marins et petites collines de sable. Ce genre de paysage poussa Jacques Mayol à poursuivre ses découvertes des fonds marins.

On quitte la côte de Nada 奈多海岸 et pénètre dans la baie de Hakata 博多湾.

Trop proche de la ville de Fukuoka pour échapper aux sollicitations de la modernité (lire, aux insistances de requins industriels et / ou immobilières).

La baie comblée de béton.

On est près du sol.

A terre (alors qu’un GK s’envole).

Le terminal international de FUK sous une pénombre affligeante.

En dépit de ces luminaires bien éclairées, j’imagine que son activité doit flirter avec le néant

Une grande sœur toulousaine va nous rejoindre bientôt.

Alors que nous nous garons à côté d’un grand frère washingtonien.

Le voici en tout sa splendeur.

On vient nous assister avec la débarquement.

La cabine se vide et je peux enfin la répertorier.

Elle est identique à toutes les autres empruntées chez J-Air : agréable, spacieuse et équipée de sièges phénoménalement confortables.

C'est avec des larmes à l’intérieur, qu'on fait ses adieux à Kunimo-san. Merci et Mata ne !

l'aeroport d'arrivee
La passerelle est looongue !

En dépit des reflets, on arrive à faire un dernier coucou au nez de notre destrier.

Le cheminement est looong !

Voire trop looooong !

Au moins ça nous permet de faire un dernier coucou à la dérive de notre destrier.

Elégante créature de Blagnac.

Il paraît qu’on approche la fin de ce long parcours.

Difficile à rater les avertissements de point de non-retour

La livraison des bagages se fait attendre, mais il faut préciser que les réacteurs se sont éteints il y a à peine 10 min. A mon passage, le carrousel commence à tourner. Mais je passe mon tour

Et procède aux étages supérieurs.

Reliés à travers un volume plutôt complexe.

Des coins de repos sympas sont à retrouver par ici et là.
Réaménagé récemment, FUK est un aéroport en centre-ville s’adressant autant aux passagers qu’aux curieux résidents, en quête de douceurs, bons repas ou divertissements aéronautiques.

Dernier exemple de la complexité des liaisons verticales à FUK.

Au-delà, c’est dégagé et plat.

Ainsi que pointillé, lors qu’il fait nuit.

Je ne suis pas le seul ici. Loin de là.
Au Japon, les clins d'oeuil aux amateurs d'aviation sont à retrouver ici et là.
(Notez les bancs en forme d’avion, longeant les contours du couloir à droite).

Les forces impériales sont aussi présentes, évidemment.

A l’intérieur, une illustration détaillée de l’aérogare occupe tout un mur, de haut en bas.

En partie dû aussi à la période vacancière, mais je fus -agréablement- surpris de retrouver tellement de lycéennes (ou jeunes universitaires) intéressées aux choses volantes. Serait-il envisageable de retrouver un peu plus de parité aux commandes des aéronefs japonais dans un avenir pas trop lointain ? (A présent il est presque impossible d’entendre des voix féminines émanant du cockpit).

Après les réjouissances contemplatives, il est temps de passer aux emplettes.
Ceux parmi vous versés dans l’art des katakanas arriveront à identifier le sujet de notre prochain arrêt.

Il s’agit d’un macaronier parisien connu partout dans le monde, et avec une large base d’admirateurs au Japon.

Macarons et chocolats sont logiquement à retrouver dans les étalages. Mais oh !! quelle fut mon étonnement de retrouver des légumes marinés originaires de notre petite région -Uchiko- parmi ces denrées universellement acclamées.
(A vraie dire les pickles de GOOD MORNING FARM sont un délice, mais tout de même, on joue dans des divisions clairement différentes…).

D’autres coins de repos, pas mal non plus.

Amenant à la galerie marchande à nouilles. Miam !!

Parmi une offre accablante on se décide pour une option simple et claire.

Il s’avéra un très bon choix. Miam !!
C’est ici que notre récit prend sa fin. Merci de m’avoir accompagné jusqu’ici et a très bientôt.
S’en suit une succincte (et capricieuse) description de la préfecture de Saga et ses alentours.
Merci pour ce FR.
Toujours très intéressant et complet.
Sympathique attention de l'équipage qui a visiblement appris à reconnaître les spécimens bizarres qui prennent en photo les portes de l'avion. ;)
A bientôt.
Merci de votre lecture et de votre commentaire Numero_2-san!
Oui, les attentions de l'équipage furent exceptionnelles. Et d'une façon bien japonaise, car très indirecte: ce n'est que quelques jours plus tard que je découvris la vraie portée des dites attentions...
Merci beaucoup pour le partage !
Le train est rigolo :)
Moniku-San est super drôle aussi !
Les attentions diverses et variées de la chef de cab sont vraiment chouettes.
A bientôt !
Merci pour votre lecture et vos commentaires !
Je garde un excellent souvenir de Kunimo-san. Sa lucidité dans le dépistage de passagers inusités et sa réaction, muette mais émotive, furent vraiment remarquables.
Le train l'est beaucoup moins pour moi, car on a la chance de l'emprunter souvent. Mais il est sympa !
À bientôt.
Merci pour ce FR très intéressant et complet.
Moniku-San --> J'aime beaucoup! Plein de belles attention sur ce petit vol, ça le rend tout de suite spécial.
Merci pour le commentaire ! Le vol est très court et je ne m'attendais à rien de spécial (juste de belles vues, si le temps le permettait... )
Finalement ce fut Kunimo-san qui le fit sortir du lot
Merci encore et à bientôt.
Merci pour le FR.
Dans la même lignée que tous les autres, un véritable régal à lire!
Aussi passionnant qu'un SIN-SYD en F.
Et en plus tu viens de me faire économiser une tonne d'EUR.
Je ressens tellement bien le Japon que je n'ai plus besoin d'y aller!
Encore merci
Fred
S'envoyer en l'air à FU.K, what else? :-)
Pas la dame qui a l'air vierge (comme Blanche Neige)
A bientôt
Fred
Content de fomenter l'épargne en ces temps de crise :-)
Mais dès que la reprise soit confirmée, je vous encourage à sortir votre portefeuille et nous visiter en personne. Assurément ça sera de l'argent bien dépensé.
Les vierges c'est un sujet qui me dépasse complètement, mais la dame en question était bien respectueuse et adaptée à son milieu...
A bientôt
Merci de ce récit un peu exotique pour nous en France ! le cadeau donné par Kunimo san est très sympa !