Avis du vol Air France Paris → Lyon en classe Economique

Chers lecteurs,

Nous nous retrouvons à l'étage des départs du Terminal 2F de l'aéroport de Paris CDG. Je viens tout juste de débarquer de mon vol depuis Bordeaux, je dois maintenant rejoindre la porte 54 où aura lieu l'embarquement de mon vol vers LYS. D'ailleurs, lorsque j'arrive devant le tableau des départs, je constate que l'embarquement est déjà en cours. Donc, pas question de traîner.  

Un petit tour de tapis roulant pour monter encore d'un niveau.

Je trouve l'architecture de cet aéroport réussie, le terminal est vraiment magnifique. Direction la porte F54, où mon groupe est déjà appelé à embarquer. Ce sera un embarquement par jetbridge.

Peu de monde devant la porte d'embarquement, je presse le pas et montre mes documents aux hôtesses pour accéder à la passerelle.

Me voici donc dans la passerelle qui mène à notre avion. Le débit est fluide.

Instant porte. L'avion est (théoriquement) équipé de wifi comme indiqué sur le fuselage. On verra bien ce que ça donne une fois à bord.

Fuselage shot, avec vue sur quelques appareils long-courrier.

En entrant dans notre Airbus, je découvre la cabine en configuration Smart, habituelle sur la ligne CDG-LYS, qui offre plus de confort qu'une métropole comme ce matin.

En m'installant à mon siège, 25A, je me rends compte que je me suis trompé lors du choix à l'enregistrement, j'ai choisi par inadvertance ce siège qui certes bénéficie d'un espace plus important pour mes jambes, mais pas de hublot. Je me dirige donc vers le fond de la cabine et attends que l'embarquement soit terminé pour voir s'il reste un siège hublot de libre. Chose faite, je m'installerai à un hublot situé dans le fond de la cabine. Je fais l'état des lieux de mon nouveau siège.

Celui-ci se révèlera positif.

Même si l'espace pour les jambes est moindre que sur mon siège initial en 25A, celui-ci reste correct pour la courte durée du vol.

Vue sur un petit bout de l'aile gauche de notre appareil ainsi que sur quelques confrères.

Le cheminement pour atteindre la piste de décollage est long à Roissy.

10,9,8,7,6,5,4,3,2,1…

Notre Airbus s'arrache su sol à 9h27. Mon hublot est tout griffoné.

Pendant le décollage nous passons au-dessus de l'aéroport du Bourget et son musée, que j'ai déjà visité à deux reprises.

Nous avons de belles vues sur l'agglomération parisienne. Sur la photo du bas nous pouvons distinguer le quartier de La Défense, aisément reconnaissable avec ses grands immeubles.

Passage du catering une fois à notre altitude de croisière. Distribution du catering, je vais opter pour un café au lait, accompagné de la traditionnelle galette bretonne.

Le ciel est peu couvert au dessus de l'Yonne. Survol de l'Armançon et du Canal de Bourgogne, non loin de Migennes. Nous bifurquons vers la gauche pour mettre le cap sur le Sud.

Bien évidemment, je n'éluderai pas la photographie du Mont-Blanc et de la Chaîne des Alpes à l'horizon.

Pendant l'approche, nous pouvons apercevoir quelques étangs…

Nous survolons le Rhône afin d'atteindre l'aéroport Saint-Exupéry.

Survol de l'A432 afin de se poser tranquillement sur la piste d'atterrissage.

Nous quittons la piste pour rejoindre le terminal 1.

Au fond je remarque deux Airbus (Eurowings et British Airways) ainsi qu'un E170 d'Air France Hop aux couleurs de la maison-mère.

Une fois à l'arrêt, nous pouvons quitter nos places et récupérer nos affaires pour nous diriger vers la sortie.

Il faut emprunter la passerelle puis un long couloir afin d'entrer dans le terminal.

Je vous laisse dans la salle d'embarquement du terminal 1, de mon côté je vais acheter à manger puis essayer (sans succès) de trouver de la connexion internet pour commencer à rédiger le premier FR pour Bordeaux, avant d'aller prendre le TGV pour rentrer à Grenoble. En tout état de cause, j'espère que ces deux jours de FR vous ont plu et vous ont fait voyager, on se retrouve pour d'autres aventures. A très vite !