Avis du vol entre Paris et Singapore en classe Economique avec Air France

Bonjour

Nous voici repartis pour un voyage de quelques semaines en Asie. Les objectifs du voyage sont multiples, je souhaite voir des amis résidant à Singapour et en Indonésie, plonger dans le parc naturel de Komodo et me reposer sur de petites îles à proximité de Bali.

Le voyage sera construit sur la base d'un aller-retour entre Paris et Singapour avec Air France acheté deux semaines avant le départ lors d'une opération promotionnelle et quelques vols locaux achetés juste après. Les vol restant seront achetés la veille de chaque vol.

J'arrive à Roissy deux heures et demi avant le départ du vol. La circulation a été fluide et je suis déposé au terminal 2E qui regroupe les départs vers les destinations non-Schengen d'Air France.

Je vais à la zone Sky Priority pour déposer mon sac à mettre en soute. L'accueil est cordial et il n'y a pas beaucoup de monde. Je suis pris en charge très rapidement. On me demande si j'ai déjà rempli ma fiche d'arrivée à Singapour. Pas de vérification d'une vaccination Covid.

Il n'y a personne aux sas Parafe de la PAF. Je décide de les utiliser à la place de la file Accès N°1.

Direction le train pour rejoindre le hall L.

Les contrôles du poste d'inspection-filtrages sont rapidement franchis. J'ai un peu d'avance j'en profite donc pour faire du spotting. Il n'y a pas beaucoup de variété, du code barre tricolore par dizaines comme cet A350.

On trouve cependant ce 787 de LATAM en partance pour Sao Paulo avec continuation vers Santiago du Chili.

La décoration de la zone Duty Free est très classique.

Passage par le salon pour me restaurer. Le choix de nourriture chaude ou froide est assez vaste et la qualité est très correcte. J'accompagne le tout de vin blanc, la qualité des vins pourrait être amélioré mais cela reste plus qu'acceptable.

Je quitte le salon à l'heure pour rejoindre la porte L45. Le terminal est spacieux et bien éclairé. L'embarquement commence dans les temps et les règles de priorité sont bien respectées.

Deux passerelles, celle à l'avant est réservée aux passagers de la première classe, le reste des passagers embarque par la deuxième porte.

Vue de l'avion et photographie du fuselage.

Voici ma rangée, j'occupe le siège couloir.

Le siège du passager devant moi aura un incident technique, ce dernier sera déplacé ailleurs. La maintenance interviendra alors et réparera le siège. J'ai l'heureuse idée de tester mon siège et je découvre que le mécanisme d'inclinaison est bloqué. La chef de cabine m'attribue le siège laissé vacant lorsque le passager devant moi a été déplacé. Bonus le siège du milieu est inoccupé.

Nous pouvons enfin partir, ces péripéties siègesques nous ont fait prendre plus de 30 minutes de retard.

Petit passage par le stand de dégivrage.

Il est 21h45, l'intensité lumineuse est réduite pour le décollage. C'est parti pour 11500 km !

Le service commence vers 23h. La chef de cabine me propose le plateau-repas de la classe économique premium que j'accepte volontiers. Ce sera donc poulet aux herbes de Provence, Champagne en apéritif et jus de tomate en boisson.

Santé !

Le plateau-repas est débarrassé après un temps raisonnable. Je conserve mon dessert pour le déguster avec un chocolat chaud et une liqueur de poire. Personnellement c'est juste ce qu'il me faut pour bien dormir.

Je m'endors alors que nous sommes au-dessus de la Turquie. Il reste alors 9 heures et 45 minutes de vol

Réveil après un peu plus de 6 heures de sommeil. Performance tout à fait correcte pour un vol en classe économique.

Nous venons tout juste de passer le sous-continent indien.

Je fais un tour à l'arrière, la cabine est encore dans l'obscurité alors qu'il est déjà 14 heures à Singapour.

J'en profite pour regarder par le hublot de la porte arrière.

La cabine est ensuite réveillée et les hublots ouverts.

On nous distribue la collation dans son sac : sandwich chaud, salade de fruit, pain, yaourt à boire et jus d'orange. Comme d'habitude je suis assez déçu par le format comme par le contenu même pour de l'économique.

Approche finale suivie avec la caméra de l'avion.
On distingue quelques-uns des nombreux navires de passage ou au mouillage à Singapour et qui y rendent les atterrissages toujours aussi intéressants.

Nous roulons un peu et arrivons à notre point de stationnement avec 50 minutes de retard. Les nombreux passagers (plus de 80 d'après la chef de cabine) en correspondance très courte (15 minutes) pour Bali sur KLM se précipitent vers leur vol.

Je rejoins tranquillement les comptoirs de l'immigration. A ma grande surprises des nouvelles bornes automatiques (sur la droite) sont maintenant disponibles pour certains passagers (dont les ressortissants des pays de l'UE). Elles n'étaient pas en service lors de ma visite l'année dernière. Le passage de l'immigration est encore plus rapide : moins de 10 minutes.

Je franchis une zone duty-free avant d'arriver dans la zone de livraison des bagages qui arriveront en moins d'une quinzaine de minutes.

Le terminal est spacieux et lumineux

Je passe la douane et vais vers la zone rideshare d’où je commanderai un Grab (Uber local) pour me rendre à mon hébergement.