Avis du vol entre Hanoi et Can Tho en classe Economique avec Vietnam Airlines

Très cher lecteurs, bienvenue sur cette deuxième étape en compagnie de VN à destination de Can-Tho dans le delta du Mékong. 
Plusieurs d'entre vous m'ayant demandé un bonus, je tâcherai de ne pas les décevoir à la fin de ce reportage.
Pour commencer, rappel du routing. 

La circulation dans le centre-ville d'Hanoi n'étant pas caractérisée par sa fluidité, nous entamons notre transfert quelques minutes avant 9h. Une fois atteint le pont qui franchit le Fleuve Rouge les choses s'accélèrent et nous arrivons au terminal domestique de Hanoi, c'est-à-dire l'ancien terminal,  un peu moins d'une heure après notre départ. Les forces de l'ordre essayent d'éviter un stationnement anarchique au dépose-minute.

Le Vietnam est partout pavoisé en l'honneur de Noël et du Nouvel an grégorien. 

Je n'ai pas cherché à emprunter les services d'un autre opérateur que VN : nos statuts permettent de limiter l'attente et de ne pas nous soucier du volume de nos bagages. 
Nous nous dirigeons donc vers l'un des comptoirs Sky Priority.

L'attente pré-enregistrement est nulle.

Nos trois valises sont promptement tagués, les BP édités. 

Comme l'avait reporté Tonton Christian dans l'un de ces FR automnaux, nous sommes priés de patienter quelques minutes avant de rejoindre le PIF le temps que les bagages soient scannés. 

Le feu vert nous est donné et nous rejoignons le PIF. En face, le tout-venant ; à droite les VIP.

Même si notre amie n'est pas SP, nous tentons tous trois ce passage. L'agent accepte qu'elle se joigne à nous. Nous voilà airside en moins de 3 minutes.

Rapide coup d'oeil au FIDS. Nous embarquerons en porte 6. 

En se dirigeant vers la zone d'attente, nous découvrons quelques livrées absentes sous nos cieux. 

Point de salon pour les pax Y même statufiés sur les vols intérieurs VN. Nous attendons donc dans la zone publique. 

L'embarquement débute à l'heure, les priorités sont respectées. 

Airbus Petrolimex à droite du jetbridge.

La passerelle nous conduit au paxbus. Llors de la course vers notre avion stationné bien loin du terminal, nous croisons la route de cet Airbus LCC local. 

Un A321 en cours d'avitaillement. 

Le paxbus nous dépose au pied de notre A321. Deux passerelles sont positionnées. 

Nous empruntons l'escalier avant. 

Instant alliance.

Instant P.

Fuselage.

Comme toute compagnie asiatique qui se respecte, VN propose une J en bonne et due forme en 2-2. 3 ou 4 pax y prennent place. 

Nous rejoignons notre rangée derrière le rideau. 

Le pas n'est pas folichon mais honorablement dans la moyenne. 

Le sac à déchets VN met à l'honneur les wide bodies. 

Carte de sécurité très bavarde. Je n'irai pas jusqu'à affirmer que la différence avec celles de AF illustre les résultats PISA… 

Pendant ce temps, notre voisin poursuit ses pleins.

Magazine de bord. Est-ce la présence de ce vecteur viral bien connu qui justifie le port obligatoire du masque?

Le réseau indochinois. 

L'IFE diffuse des clips promotionnels. 

Autre sujet d'étonnement, la rapidité de l'embarquement. Pas de litanie concernant le remplissage des coffres à bagages. Nous mettons en route en avance sur l'ETD. Quelques aéronefs rencontrés pendant le roulage. 

Décollage énergique et nous voilà dans les airs.

Le hublot est malheureusement rayé.

Dernière vue du sol avant la traversée de la couche nuageuse. 

Libérés, les PNC mettent le service en place. Un peu après 11h30, voici ce qui nous est amené. Aux heures des repas, à bord d'un A321, VN offre une collation chaude à ses pax Y. 

Serviette rafraichissante. 

Couverts en plastique.

Un choix est proposé :  bœuf, légumes et riz. 

Ou nouilles poulet. 

Ce n'est bien sûr pas de la grande cuisine, mais cela se mange. 
Dessert sucré. 

De l'eau pour faire passer cela. Coca et Fanta étaient également proposés. 

Un service de thé ou café est effectué par la suite. Je pense pouvoir écrire que j'ai apprécié.

On n'entend dans la cabine que le bruit des mandibules. 

Les nuages s'estompent alors que nous atteignons le sud. 

Nous pouvons apercevoir un bras du Mékong pendant la descente. 

Paysage de rizières et de digues où sont installées les habitations. 

Notre atterrissage est proche. 

Toucher et freinage un petit peu secs. Nous allons faire demi-tour en bout de raquette. 
L'ancienne tour de contrôle.  

La nouvelle.

Nous rejoignons notre point de stationnement en bout du terminal. 

Le débarquement est rapide. Nous saluons notre vaillant A321.

L'aérogare est moderne. L'activité est modeste. 

Pour nous, c'est à gauche. 

Les valises sont promptement livrées. 

Nous rejoignons notre guide devant l'aéroport?.

BONUS DELTA DU MEKONG

Pour conclure ce reportage, je vous propose de vous aventurer dans le delta du Mékong.
Commençons à Can Tho par la maison chinoise où Jean-Jacques Annaud a tourné des scènes de l'Amant.  

Cette jeune fille prenait la pause pour son futur époux. Nous avons aussi joué au photographe et échangé nos photos grâce à Air Drop. 

Notre guide l'a même aidé à se parer et lui a donné de conseils sur l'attitude traditionnelle des jeunes filles. 

Vendeur de friandises au coin de la rue. 

Nous avons sacrifié une matinée à parcourir le marché flottant de Cai Rang. Cela fait partie des "incontournables" mais je dois confesser avoir été déçu : l'activité y est beaucoup plus réduite qu'il y a 15 ans. 

Chacun vaque à ses occupations. 

On commerce à tout âge. 

Les familles convoient les marchandises depuis l'amont du Mékong? Toutefois, la multiplication des ponts et des infrastructures routières donne l'avantage aux camions. 

Pour une petite faim. 

Nous retrouvons une "star" et son équipe de photographes croisée la veille dans la piscine de l'hôtel.

Deux embarcations marchandes nous accostent. 

Nous achetons quelques fruits.

Et sommes gratifiés d'un grand sourire.

Les marchands sont plus nombreux que les clients en ce 23 décembre.

Nous débarquons et déambulons à travers un marché.

Nous sommes sur le point de commettre un péché de gourmandise.

La balade se poursuit en bateau et nous nous rafraichissons d'un jus de coco. 

Nous faisons halte dans un atelier de production de briques. 
Les dames les façonnent.  

L'architecture du four est impressionnante. 

Le feu est alimenté par de la sciure.

Monsieur surveille la cuisson.

Merci de votre lecture et à bientôt !