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Au cours de l'année 2022, F-OITNette et moi-même avions prévu de rendre visite à une amie étudiant à Tartu, en Estonie. Férus des contrées nordiques, du froid et de la neige, c'est tout "naturellement" que nous choisissions d'y aller fin février, afin de profiter de journées plus longues sans pour autant sortir de l'ambiance hivernale.
Au niveau routing, on dispose d'extrêmement peu de temps (5 jours). Je tente d'y caser un des fameux vols en jetstream avec Transavia Baltika mais rien ne colle, ça risque de prendre trop de temps et mon épouse n'est pas aussi avgeek que moi ^^ J'avais mis pas mal d'espoir sur leur ligne TLL-HEL, mais pas de vols pendant cette périodes. Tant pis, ce n'était de toute façon pas l'objet du voyage.
N'ayant eu que peu de temps pour organiser ce routing, je suis bêtement resté focalisé sur Tallin alors que Tartu possède un petit aéroport dont l'unique ligne rejoint Helsinki. Cela aurait tellement pu nous arranger mais pour cela, il fallait juste… y penser !
Pour le reste du routing, le plus simple et le moins cher reste un vol direct par Air Baltic, compagnie que je n'ai encore jamais prise. Cela pourrait être une bonne solution mais les horaires sont peu pratiques en A/R, les A/S sont trop chers… Et puis un trajet sans escale est trop simple à mon goût ^^
Ma compagne n'ayant que rarement pris l'avion, je vais tenter de lui dégotter quelques petits aéronefs qu'elle n'a jamais expérimenté, à l'instar du CRJ ou de l'ATR.
C'est donc tout naturellement que je regarde du côté de chez SAS et Finnair pour y trouver un routing plutôt intéressant !
En particulier, j'ai un assez fort espoir de pouvoir choper un CRJ-900 en livrée Nordica (même si sa mise en place reste totalement aléatoire mais qui sait ? ^^).
Voici donc ce que cela donnera. En nouvelles entrées, il y aura Xfly, Norra et l'aéroport de Tallin. Quand au CRJ-900, je ne l'avais pris qu'une unique fois chez SAS en 2009, donc un nouveau petit tour à son bord ne se refusera pas !
Pour éviter les heures d'affluences du trafic routier, nous arriverons en voiture au PR éco 2h30 avant le départ. Cela permet un temps de trajet réduit et une belle marge confortable. La météo s'annonce parfaite pour voler !
Une fois n'est pas coutume, nous prendrons à droite en sortant du CDG Val en direction des terminaux 2B/2D. Le T1 étant encore fermé, SAS y avait rapatrié ses vols.
Pas mal de passagers y sont déjà présents. SAS est très présent à CDG avec quasiment 1 avion en permanence au sol le matin et le soir, en desservant conjointement Copenhague, Oslo et Stockholm.
Après 30min de queue pour y déposer notre valise, et un accueil très souriant de la part de l'agente qui nous a pris en charge, nous nous dirigeons vers le PIF situé dans le nouveau bâtiment de jonction. Je trouve les lieux vraiment sympas avec beaucoup de lumière naturelle, ce qui est toujours plus agréable quand il y a un peu d'attente.
En revanche, ce PIF "dernier cri" dispose des fameuses lignes multi-postes où 5 passagers de front pausent leurs bacs simultanément sur le rail. Je déteste ce système lorsqu'il n'y a pas la place de placer devant soit 2 bacs sans en mettre un sur le rail. Le premier bac contient en effet généralement les objets à sortir du sac (téléphone, tablette, ordi, appareil photo) et si celui-ci part en premier, le temps d'attraper un deuxième bac pour les vêtements superflus (il n'y en a pas toujours rapidement selon l'endroit où on se situe), de pouvoir l'insérer au milieu des autres bacs, puis un troisième bac pour le sac à dos, il y a belle lurette que les appareils électroniques ont passé le contrôle. Pour peut que l'on se tape un contrôle aléatoire où que la machine sonne comme si on était radioactifs, il peut se passer plus de 5min avec les précieux appareils sans notre surveillance. Si un type pas très honnête passe par là, il a largement le temps de prendre quelque chose.
Alors, comme je tiens mordicus à placer nos appareils électroniques en dernier (2 téléphones, 1 tablette et 1 ordi), nous jouons tous les 2 un petit numéro d'équilibriste pour superposer 2 bacs.
La technique fonctionne sauf quand une agente nous arrache littéralement le bac des mains pour le placer elle-même malgré nos protestations. Je lui explique que je ne souhaite pas voir nos téléphones et l'ordi partir en premier pour ne pas qu'ils se retrouvent trop longtemps sans surveillance. Mais qu'ai-je dit là ?
Je me fairai engu**ler comme du poisson pas frais par l'agente qui m'accuse de ralentir le passage du PIF (où il n'y avait quasi aucune attente). Et c'est faux, puisque mes 3 bacs devant partir d'un coup, ça n'aurait pas pris plus de temps. Puis elle nous déclare que les téléphones doivent rester dans les sacs (nouveau système visiblement) et nous oblige à les remettre dans les sacs. Je m'excuse en lui disant que je n'avais pas encore pratiqué ce nouveau protocole. Elle me répond sèchement que quand on n'a pas l'habitude de prendre l'avion, il faut soit apprendre à lire. Mais quel odieux personnage !
Pendant ce temps, F-OITNette a réussi à placer ses 3 bacs sur orbite mais pour ma part, je suis en bout de tapis et tous les bacs arrivant sont interceptés par mes copax. L'agente me demandera de me presser. Pour cela, encore faudrait-il qu'il y ait un bac qui arrive, lui répondis-je. Cela vous apprendra à ne pas suivre les règles me répondit-elle. Quelle sympathique personne dont j'aurai espérer ne jamais croiser la route.
Bref, un passage désastreux lié à un système automatique de distributions des bacs pas au point, l'impossibilité de grouper ses affaires, une machine de contrôle qui tombe en panne et surtout une agente absolument odieuse.
Je me mets très rarement en colère et je ne suis que très rarement rancunier, mais même plus d'un an après, je ne peux pas laisser passer un tel comportement. J'espère que ce passage de PIF restera le pire de ma carrière de voyageur !
Après ce PIF, nous rejoignons le terminal à l'étage en-dessous. La vaste verrière est également présente de ce côté, ce qui est fort agréable.
Notre vol partira du 2D. J'aime beaucoup le contraste entre le sol et les murs modernes et le plafond d'origine avec ses fameuses ailes de béton. Sans être particulièrement beaux, cette structure est si emblématique des T2A/B/C/D que j'ai finis par l'apprécier.
F-OITNette réussi l'exploit de trouver quelques sièges libres ayant une prise fonctionnelle (les autres prises trouvées auparavant étaient HS).
Le tableau des départs. Les compagnies européennes de Star Alliance y sont toutes présentes.
Tiens, pendant que j'y suis, petits points alliances. Comme tout le monde, je dispose d'au moins un compte dans chaque alliance mais ayant souvent l'opportunité de prendre AF en dehors de mes escapades avgeeks, seule AF m'importe dans le maintien d'un statut. Le niveau Silver suffit d'ailleurs amplement à mes besoins. Pour les autres alliances, les quelques pauvres miles glanés ci et là n'ont pour but que de m'offrir de quoi me sustenter à bord, en particulier chez Star Alliance où presque tout le monde est passé au BOB.
Ainsi, chez Star Alliance, je m'étais ouverts deux comptes à l'occasion de plusieurs voyages répétés sur 2 compagnies : un chez Olympic Air et un chez SAS. Finalement, je n'aurai jamais utilisé mon compte Olympic, privilégiant celui de SAS. Avec ses MD-80 et 737-600 de l'époque, j'aurai pris une dizaine de fois cette compagnie dont j'aime beaucoup l'identité. En préparation de notre grand voyage de l'été 2023 qui devait se réaliser quasi-intégralement chez Star Alliance, j'avais prévu de liquider mon compte SAS et de passer chez LH pour tout nouveau vol. Lufthansa étant la dernière compagnie européenne avec une flotte long-courrier particulièrement avgeek, je savais que j'y aurai quelques vols LC (ou MC avec un peu de chance) à réaliser avec eux.
Ceci est donc mon tout dernier voyage avec un compte Eurobonus, dont je garderai la carte physique en souvenir.
Madame et moi ne manqueront pas l'instant H2Okapi pour y remplir nos réserves pour la journée.
Au dehors, la tempête de beau temps fait rage comme jamais ;)
Tiens, un oiseau aux couleurs familières.
D'habitude, je ne suis pas très fan des nouvelles livrées (toujours à préférer les vieux trucs, le F-OITN ^^) mais je reconnais que la nouvelle chez SAS est aussi élégante que l'ancienne. Avec toutefois la disparition d'un élément distinctif de ces avions depuis une vingtaine d'années : les fameux moteurs rouges. Dommage, c'était beau et original.
C'est donc avec un certain plaisir que je puisse avoir une fois encore cette livrée.
L'oiseau du jour est le OY-KAY baptisé Runar Viking, mis en service en 2006 et livré à Kingfisher avant de passer chez Scandinavian Airlines en 2013. Il bénéficie d'une immat danoise.
Il est bientôt l'heure d'embarquer !
La passerelle, cet endroit merveilleux où plus aucun ennuyeux contrôle ne nous sépare de l'avion :) Le moment où même pour un vol dit "banal", nos petits cœurs fond boudoum boudoum à la joie future de s'envoler.
Petit fuselage shot en passant :)
Puis on rejoint nos places derrière les ailes.
Le pas était plutôt correct.
Le contenu de la pochette est situé en hauteur, avec entre autres le menu du BOB
Mais aussi une autre lecture bien plus intéressante ;)
Sans oublier mon instant favori ;)
Avec un temps de connexion relativement court (40min entre l'heure d'arrivée théorique et la fin d'embarquement du vol suivant), j'espérais que nous soyons ponctuels. Mais avec un avion arrivé avec 20min de retard, une cabine complète avec pléthore de valises cabines à ranger façon tétris, il était illusoire que nous rattrapions le retard. Il n'en faut guère d'avantage pour me faire stresser !
C'est donc un soulagement intense qui m'envahit lorsque nous repousseront avec seulement 20min de retard. Cela va être short mais à priori, ça devrait le faire !
Tiens, un cousin !
Un petit festival de dérives
De quoi faire dériver nos pensées vers des destinations sympathiques.
Tandis que certains roulent, d'autres s'envolent. Le ballet des avions me fascinera toujours autant.
C'est à nous !
Ett huvud !
Bye bye CDG !
Virage à gauche…
Et maintenant, cap au nord !
Tandis que notre avion grimpe doucement jusqu'au FL350, j'examine attentivement la carte du BOB. Je n'ai rien contre le BOB a partir du moment où l'eau est gratuite, ce qui n'est pas le cas chez SK, contrairement à Finnair.
Disposant de 1500 EBB points sur mon compte, nous nous choisirons un smoothie et un café pour un total de 1300 EBB.
Le transfert des points ne se fera pas sans peine. Ma carte physique étant périmée, il faudrait théoriquement flasher un code sur l'appli SAS (que je n'avais pas). La manip étant visiblement spéciale, je suis invité à régler la somme en euros pour sécuriser la consommation, et si les points sont toujours valables, ils seront transférés automatiquement à la place de ma CB, ce qui après vérification 3 jours plus tard aura parfaitement fonctionné.
Voici donc nos sélections valant 1300 points où 6€. Cela fait cher pour un total de 25cl dont 15cl de smoothie, 10cl d'eau et quelques grammes de café. Certaines compagnies sont plus généreuses. Heureusement que nous avions notre petit stock de gâteaux bretons !
C'est là que j'y vois tout l'intérêt de cumuler quelques points chez ces compagnies afin de ne pas payer un truc hors de prix vis-à-vis des quantités. De manière générale, les compagnies chez Star Alliance sont assez mesquines en Y européenne, et ce n'est pas le groupe LH qui pourra infirmer cela. J'apprécie énormément SAS pour son image (rien que le gobelet est magnifique) et son histoire, mais pour le reste, cela reste médiocre au regard des prix d'appels proposés. Le seul avantage de taille qu'offre cette compagnie par rapport aux low-cost est la présence d'un service client digne de ce nom en cas de problèmes.
Pendant ce temps, nous avons déjà parcouru plusieurs centaines de kilomètres et nous longeons déjà la côte de la Mer du Nord.
Nous sommes au-dessus des Pays Bas avec ici le Westerschelde (embouchure de l'Escaut occidental).
Les méandres et bancs de sable de l'Escaut.
Tout au fond, le célèbre Eastern Scheldt Storm Surge Barrier qui protège depuis 1986 l'estuaire des submersion en cas de tempête.
L'Escaut Oriental.
Ça mouline bien par là-dessous.
L'Europoort de Roterdam.
Les belles plages hollandaises, toutes droites, rappelant celles de la côte landaise.
Nous passons Amsterdam puis survolons ces 2 lacs aux couleurs diamétralement opposées. Le lac clair à gauche est le Markermeer qui permet de réguler artificiellement le niveau des eaux dans le reste du pays. A droite, l'IJsselmeer est relié directement à la haute mer. Leur différence de couleur vient de la composition, le Markermeer étant constitué d'eau douce et son voisin d'eau salée.
Focus sur la digue séparant les deux lacs.
Quelques ilots sableux en mer du nord.
Et un wingtip qui passait par là !
Nous quittons un plat pays…
…pour en retrouver un autre !
Nous sommes dans l'extrême nord-ouest de l'Allemagne et survolons la réserve Amrumer Dünen. Sur cette île, on y trouve le magnifique phare Leuchtturm Amrum. J'ai découvert ce lieu en rédigeant ce FR et cela m'a l'air si magnifique que je suis déjà en train de regarder comment m'y rendre ^^
Peut-être que cet aéroport (sans doute militaire) saura m'y rapprocher ?
Puis nous prolongeons notre route au-dessus du Danemark.
En tout cas, il y en a un qui ne perd pas une miette ;)
Puis nous atteignons la côte suédoise. C'est bien trop vert me disais-je alors…
Mais si la douceur côtière annonce déjà le printemps, l'intérieur des terres est encore en mode hiver avec ces premières tâches blanches qui ont le don de surexciter votre serviteur ^^
En quelques dizaines de kilomètres, le contraste est saisissant !
Certains lacs sont encore partiellement gelés.
Magnifique ! :)
Alors que nous débutons notre descente, nous survolons ce que je pense identifier comme étant Örebro.
Pareil, je pense qu'il s'agit ici d'Uppsala mais je ne suis pas certain !
Rôô que c'est beau :)
Quelques lacs gelés de toute beauté…
En courte finale piste 26.
Nous passons à proximité du petit musée local où traîne une célèbre caravelle…
Célèbre car maintes fois reportée par Marathon lors de ces nombreuses navettes, mais aussi célèbre car c'est la dernière caravelle au monde encore en état de marche (elle ne vole pas, mais ses moteurs fonctionnent. De temps à autre, les membres de l'association s'offre un petit roulage avec cette magnifique machine ! (comme dans la vidéo ci-dessous prise en 2021).
Autre vieillerie, il me semble apercevoir au loin un DC-8.
Le roulage sera assez court, ce qui est plutôt une bonne nouvelle !
Dernier virage…
Et avant que tout le monde ne se lève d'un seul homme, petite photo générale de la cabine.
Il est 13h23 lorsque nous quittons nos sièges, l'embarquement du vol suivant est prévu dans 7min et pour l'instant, ce dernier semble toujours prévu à l'heure. Il ne va pas falloir chômer, surtout que j'ignore encore à cette instant la porte du dit vol. Et notre valise aura-t-elle le temps d'effectuer le même parcours ? Lors du passage du BOB, j'avais soumis mes craintes à la PNC qui m'avait rassuré en disant que cela passerait sans problème. Je ne peux m'empêcher un certain stress m'envahir face à un si court délai !
Cela ne m'empêchera toutefois pas d'immortaliser l'élégant logo de la compagnie sur fond de boiseries, ce qui me rappelle une certaine Alitalia ;)
La vitre permettant l'habituel fuselage shot étant fortement teinté, ce qui suit est sans trucages !
On se croirait le nez plongé dans un négatif (pour ceux qui ont connu l'argentique ^^).
F-OITNette et F-OITN arriveront-il à attraper le vol suivant ? Et avec leur valise ?
La suite sera relatée dans le prochain opus !
Merci pour votre patiente lecture :)
A bientôt !
De manière générale, un excellent scenic flight grâce à dame nature qui non seulement nous aura agrémenté d'un magnifique CAVOK, mais qui plus est dénué de brumes et brouillasses diverses. C'est donc avec cette atmosphère bien pure que les champs nord-européens, les rivages sableux, les lacs gelés et la neige auront agrémenté le vol de la meilleure des manières. Pour le reste :
--- SAS ---
Une compagnie dont j'apprécie beaucoup l'image mais qui va pécher sur 3 points :
- Un BOB plutôt onéreux (avec eau payante)
- Des prix d'appels relativement élevés par rapport à la concurrence (même si la Scandinavie reste assez chère de base) pour un BOB qui est parfois mieux chez certaines autres low-cost.
- Des sièges assez peu confortables sur leur flotte A320ceo.
En revanche, ce qui pourrait faire pencher pour SAS face à la pléthore de low-cost reste leur très bon service client qui aura su à 2 reprises m'assister et me proposer une solution de report correctement suite à 2 annulations. De la même manière, leurs 3 hubs sont assez bien conçus pour les connections courtes. Et là, ça vaut le coup de payer un peu plus cher pour une assistance digne de ce nom.
Quand à l'équipage de ce vol, il fut très souriant et accueillant.
--- CDG ---
La notion de service ne peut qu'être réduit à néant face au comportement de l'agente du PIF.
Pour le reste, le terminal 2B/D refait à neuf est agréable.
--- ARN ---
Pas grand chose à dire, si ce n'est le magnifique parquet (que j'adore !) si emblématique des aéroports nordiques :)
Note neutre (7.5) pour l'accès.
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 78 avis concernant 2 compagnies sur la ligne Paris (CDG) → Stockholm (ARN).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Air France avec 7,5/10.
La durée moyenne des vols est de 2 heures et 44 minutes.
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4 Commentaires
Pas mal comme astuce en effet mais j'avoue avoir la flemme de risquer la fouille, surtout lorsqu'il y a du monde au PIF et qu'il faut attendre de longues minutes lorsqu'il y a beaucoup de bagages à fouiller ^^
A bientôt !
Ah l'appel du grand Nord nous sommes nombreux à adorer et y succomber. Et pour cela SK s'y prête bien même le BOB y est présent et onéreux. Heureusement une vieille carte et une manipulation permettent de solder ton compte. Très bel IFE naturel qui permet de rester scotcher au hublot. Je comprends ton stress on l'aurait à moins avec une connection aussi courte.
A bientôt.
Les shorts connexions sont toujours stressantes et aléatoires et on est contents quand tout se passe sans accrocs ^^
Après, je m'étais quand même assuré avec 2 autres vols potentiels sur cette ligne si on avait raté celui-là. SAS ayant une bonne assistance dans tous ses hubs, je savais que ce ne serait à priori pas trop galère. Il n'y a qu'avec certaines compagnies que je risque ce genre de connections.
A bientôt !
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