Je vous retrouve pour le retour de ce week-end à Sarajevo.
Pour rappel, le routing :
Enchainement de vols
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- 2
Comme le segment IST-SJJ, cette route est une exclusivité. C'est aussi pour moi l'occasion d'essayer pour la première fois la J de TK.
L'arrivée à SJJ
C'est en taxi que nous nous rendons de très bonne heure à l'aéroport de Sarajevo.

Le trajet est rapide jusqu'à l'aéroport, même s'il nous aura fallu traverser pour cela la "république serbe de Bosnie". Pas de poste de contrôle, mais ça fait tout de même bizarre…

L'extérieur de l'aéroport est moderne mais les travaux ne sont pas encore terminés.

Voici le FIDS de la journée. TK est le principal opérateur de la plateforme, mais je remarque qu'il y a aussi pas mal de vol pour le Golfe.

Le terminal n'est pas immense et les comptoirs TK sont juste devant les portes d'entrée. Les files sont encore désertes. Notons la présence d'un tapis rouge pour la file dédiée à la J.

Nous sommes reçus sans attente au comptoir.

Ce n'est pas encore la foule.

Nous obtenons rapidement nos BP, avec ceux également pour notre vol en continuation sur Paris. Sauf qu'en vérifiant ces derniers, je me rends compte que mon frère et moi ne sommes plus assis côte à côte. Je reviens au comptoir et demande à l'agent de faire le nécessaire, mais le siège que j'avais réservé est déjà occupé. Je lui montre sur mon téléphone mon reçu d'enregistrement, mais rien n'y fait. Il nous change donc de sièges tous les deux, et nous nous retrouvons avec des places en issue de secours. Nous n'y perdons donc pas trop au change.
L'ambiance landside à SJJ n'étant guère folichonne, nous ne nous y attardons pas.

Il n'y a personne, mais les tensoguides portent à croire que ce n'est pas toujours le cas.

Un premier checkpoint permet de contrôler la taille des bagages cabine. Ce ne sera pas un problème pour nous.

Le PIF puis la PAF sont passés très rapidement, nous voici donc airside à 7h40.
Nous nous dirigeons vers l'unique salon de l'aéroport, dont l'entrée comme vous pouvez le voir n'est pas des plus glamours.

A peu près tout ce qui vole au départ de SJJ envoie ses passagers ici.

Les dragonnes étant occupées sur leurs téléphones portables, nous entrons dans le salon sans contrôle d'éligibilité. Le salon n'est pas très grand.

Une famille américaine s'est littéralement étalée dans le carré central, posant leurs chaussures sur les tables. Classe.


Deux autres Américains discuteront à côté de nous comme s'ils étaient tous seuls et feront profiter tout le monde de leurs passionnants sujets de discussion.
Côté catering, ce n'est pas la folie, mais il y a tout ce qu'il faut. Comme cette machine à café.

Quelques boissons et viennoiseries.

Des snacks salés.

Voici les documents de voyage. Le BP pour IST est dûment tamponné par l'agent en charge du contrôle des bagages.

Je n'en reviens toujours pas d'avoir perdu nos places. Grâce au wifi du salon, je me connecte sur le site TK, qui me confirme bien que nous étions au rang 13. Pas très pro.

La gestion des sièges semble un peu chaotique chez TK. Nous avons été affecté d'office au 3D/3F, qui sont fort heureusement côte à côte. Je ne le savais pas, mais lorsqu'on prend un upgrade chez TK, on ne peut pas choisir son siège.

Mauvaise nouvelle pour notre vol : le retard initialement prévu s'allonge et se montre désormais à 1h30… Heureusement que nous avions prévu une marge de sécurité suffisante à IST.

Je pars donc me dégourdir les jambes dans le terminal. Celui-ci n'est pas le plus glamour qui soit.

On y retrouve l'éternel dutyfree.

Le fumoir, qui, comme cela ne se voit pas sur la photo, est ouvert sur la salle principale. Surprenant !

Retour au salon, le temps commence à se faire long… Le retard s'est amélioré de 5 minutes.

Nous nous rendons en porte 45 minutes avant l'heure de départ. C'est encore très calme.

Notre avion est bien là. On voit les travaux de construction des passerelles, qui vont moderniser SJJ.

Ce ne sera pas du luxe : la salle d'embarquement ressemble plus à un terminal low cost de province qu'à celui d'une capitale européenne.

Une file plutôt organisée se met en place. L'unique agent présent ne semble pas pressé de disposer les tensoguides et de faire une file prioritaire.

L'embarquement est lancé à 10h, sans aucun respect des priorités.

Il nous faut toutefois encore patienter un peu en bas des marche avant de pouvoir fouler le tarmac.

L'attente sera de courte durée, direction notre zoiziau du jour.


Il s'agit de TC-JLU, un A319 qui vient tout juste de fêter ses 12 ans sous le drapeau turc. Il arbore la livrée Star Alliance.

Nous sommes accueillis en porte par le CC et une jeune PNC.

Fuselage shot *A.

Le Flight-report
L'accueil est souriant. Redécouverte de la cabine, c'est la même que sur l'A320 qui nous avait amené à SJJ quelques jours plus tôt.

La cabine business est 3 rangs, avec siège central neutralisé. Je suis un peu déçu, j'aurais aimé avoir les larges recliners qu'on trouve sur les autres monocouloirs de la compagnie, mais je suppose que SJJ n'est pas une destination suffisamment premium.

Nous prenons place au rang 3. Le pitch est tout à fait confortable, pour une fois je n'ai pas les genoux qui touchent le siège de devant.

Mon frère non plus d'ailleurs.

Certaines têtières sont rouges, d'autres noires.

Contrairement au reste de la cabine qui a un petit côté vintage, le PSU semble plus moderne. Notons la présence d'un IFE collectif avec géovision.

La tablette centrale est bien pratique pour y déposer ses affaires. Elle fait également office d'accoudoir.

La tablette est de bonne taille.

N'oublions pas les consignes de sécurité.

Le wifi est également disponible et gratuit pour les détenteurs d'une carte de fidélité TK.

Un casque est disponible, mais je ne vois pas l'intérêt de celui-ci en l'absence d'IFE. Pour le coup c'est une dépense inutile (puisque celui-ci était sous blister).

Excellente surprise : le service débute par un verre de bienvenue. Comme quoi c'est possible sur un vol court en mono-couloir.

Il y a le choix entre eau, jus d'orange et lemon mint. Je prends bien sûr le fameux lemon mint de TK.

Sur simple demande, un coussin bien moelleux est disponible.

Bien la charmante PNC en charge de la J nous distribue les menus. Comme quoi là encore c'est possible.

Fruits, entrée, trois choix de plats chauds, dessert. Difficile de demander plus sur un vol de moins de 2 heures.

La carte des boissons n'est pas en reste, avec du vin mousseux et deux choix de vins blancs et rouges (j'apprécie la présence de références turques).

Le service continue avec un oshibori chaud remis à la place. Cela ne fait pas 30 minutes que je suis à bord et je suis déjà agréablement surpris par le niveau de service.

Ce n'est pas tout ça, mais il est temps de repousser.

Les consignes de sécurité sont lancées sur l'IFE.

Le temps semble s'éclaircir. Au loin on aperçoit les collines qui surplombent l'aéroport.

D'anciennes passerelles d'embarquement sont également visibles aux abords de pistes. Bizarre de les avoir laissées là.

Décollage face à l'ouest, me permettant d'avoir sur la droite une vue sur la vallée dans laquelle est blottie Sarajevo.

Malheureusement, comme à l'aller, les nuages ne nous permettent pas de profiter des paysages bosniaques qui ont l'air superbes.

Les rideaux sont rapidement tirés.

Le service débute une vingtaine de minutes après le décollage. Notre PNC nous dépose un plateau avec les fruits, les entrées et le dessert.

Puis nous avons un choix de pains chauds à la panière.

Je choisis un excellent pain au sésame. Voici avec les couverts (en métal) déballés.

Un petit détail que j'aime bien : la boutonnière sur la serviette.

Ce duo de salière - poivrière est tout à fait charmant !

Notre retard nous amené à un horaire tout à fait acceptable pour accompagner ce repas de quelques bulles. Je demande si le sparking wine est du champagne, la PNC me répond que oui mais c'est en réalité un vin pétillant turc. Celui-ci fera tout de même l'affaire et s'avérera intéressant.

L'entrée était rafraîchissante et légère.
La commande du plat aura préalablement été effectuée, c'est très agréable. Celui-ci est servi dès l'entrée terminée, au rythme de chacun.
J'ai choisi le plat turc, selection of gözleme - traditionnel grilled flat phyllo pastry filled with leaf spinach, white cheese. Original et plutôt bon.

C'est la première fois que je vois un cure-dent en avion.

Le service se termine avec un second oshibori chaud.

Puis la distribution de petits sachets de noisettes grillées.

Le vol se déroule tranquillement, hélas les nuages nous empêchent de profiter des paysages. Notre PNC est absolument adorable et disponible, et vient régulièrement nous demander avec un grand sourire si nous souhaitons quelque chose.

C'est la grisaille sur IST, nous comprendrons d'ailleurs que c'est le mauvais temps qui a provoqué le retard de notre vol.

Double approche avec un confrère TK.

Les infrastructures sont assez impressionnantes.

Les grues sont d'ailleurs à l'oeuvre en arrière-plan.

Ce Wizzair détonne un peu au milieu de toutes ces livrées TK.


Arrivée à notre point de stationnement, avec un instant Danette débuté déjà quelques secondes avant l'arrêt complet de l'appareil.

Avant de débarquer, une dernière photo de cette cabine.

Nous débarquons sous les salutations de l'équipage.

Ici, les escalators fonctionnent.

En route pour notre correspondance vers Paris, je spotte notre A319 avec sa livrée spéciale, qui semble bien petiot tout seul en bout de jetée.

Merci de m'avoir lu, place désormais au bonus !
Bonus
Après le premier bonus touristique axé sur l'histoire ancienne de la ville, ce second bonus sera consacré au caractère mémorial que revêt inévitablement le nom de Sarajevo.
Tout d'abord, n'oublions pas que c'est ici que c'est produit en 1914 l'assassinat de l'archiduc François-Ferdinand, qui plongera l'Europe dans la première guerre mondiale. L'endroit est mis en scène, avec un véhicule d'époque.

L'emplacement duquel Gavrilo Princip, un jeune nationaliste serbe, a tiré sur l'héritier de l'empire d'Autriche-Hongrie, est matérialisé au sol.

Mais Sarajevo nous ramène bien sûr aussi à la terrible guerre civile qui a déchiré le pays dans les années 90 et à son non moins terrible siège. J'étais encore jeune à l'époque et je ne comprenais pas bien les tenants et aboutissants de ce conflit, mais nous gardons tous en mémoire ces scènes de snipper et de civils courants en tous sens.
De nombreux murs portent encore des traces d'impact de balles. C'est étrange de se dire que 30 après, ces stigmates sont toujours visibles.

On sent que tout n'est d'ailleurs pas encore réglé…

Un peu partout dans la ville, des dalles sont marquées de cire rouge : ces "roses rouges" rappellent les lieux où des civils ont été tués par des obus. Quand on sait que la ville a reçu en moyenne 330 obus par jour (oui, par jour…) pendant les 4 ans qu'a duré le siège…

Sur les hauteurs de la ville, l'étendue des stèles blanches des cimetières nous rappellent que le siège tua plus de 12.000 civils, dont de nombreux enfants.

Que vient faire cette brasserie dans ce bonus ? Outre que le bâtiment est magnifique, c'est le siège de la plus ancienne brasserie de Sarajevo. Et durant le siège, les Serbes ayant coupé l'approvisionnement en eau de la ville, c'était le seul point d'eau accessible aux habitants.

La sarajevska tient donc une place particulière dans le coeur des Sarajeviens.

Autre lieu de visite atypique : l'ancienne piste de bobsleigh sur les hauteurs de la ville. La montagne de la Trebevic se gravit aisément en téléphérique. L'ambiance, en pleine forêt, est très particulière. C'est aussi depuis ces hauteurs que les Serbes avaient positionné les pièces d'artillerie pour pilonner la ville.


Le musée des enfants de la guerre a ouvert il y a peu et offre un prisme différent sur la guerre civile.

La muséographie est sobre. Des habitants de Sarajevo, enfants lors du conflit, ont donné un objet et raconté l'histoire associée. Bouleversant.

Je tenais aussi absolument à visiter le "tunnel de l'espoir". Celui-ci a été construit pour ravitailler la ville assiégée, en passant sous les pistes de l'aéroport.

Le tunnel est désaffecté aujourd'hui, mais une partie a été rénovée et réhabilitée. Il est possible de l'emprunter sur quelques dizaines de mètres.

Grâce à ce tunnel, un maigre fil d'espoir a permis à la ville de tenir le coup : ravitaillement en armes et en vivres, évacuation des blessés… Un documentaire projeté sur place montre que les conditions étaient bien plus difficiles que ne laisse l'imaginer ces photos : boueux, suintant d'humidité, les habitants devaient porter sacs et armes à dos d'homme ou en tirant un chariot bricolé de guingois.

L'aéroport est bien sûr visible juste à côté, à quelques encablures de là. Lors de ma visite, un DashQ400 de Croatia venait juste de se poser :-)

Salut Stéphane et merci pour ce report,
Je me disais aussi que tu n'allais pas continuer ce voyage sans passer par la case Business ;-)
Je n'ai toutefois pas bien suivi dans quel cadre tu as pu te surclasser sur ce segment. N'aurait-il pas été plus intéressant de te surclasser sur le IST-CDG?
On trouve encore des cure-dents sur Singapore Airlines
Merci Bernard pour le commentaire.
Pour tout te dire, j'aurais bien fait l'intégralité du voyage en business, mais les tarifs étaient très élevés (de l'ordre de 1.500 € A/R). Pour SJJ, ça fait bcp... Pour le tronçon SJJ - IST, j'ai simplement acheté l'upgrade avant le départ. Le CDG-IST (ou l'inverse) aurait été plus intéressant, mais c'était full.
Merci Stéphane pour ce FR :
Ce salon J est un peu meilleur que celui de l’ancien terminal :c’est peu dire.
Chez TK c’est une habitude de changer de siège et/ou d’appareil sans prévenir !
Mais d’accord avec toi il n’y a pas mieux en MC Européen côté catering.
En plus les Pncs sont beaucoup plus pro actifs qu’avant.
Merci Philippe.
Je n'ose imaginer le salon précédent... Mais c'est à l'image de l'aéroport dirons-nous.
Pas très rassurant ces changements de sièges, je découvre que TK est coutumier du fait.
A bientôt !
Merci Stéphane pour ce FR
Ce comportement est particulièrement insupportable. Et ce d'autant plus que ces rednecks ne le feraient pas chez eux.
Ca aussi c'est complètement insupportable.
C'est une excellent plat turc que j'ai pu goûter sur place. S'il est bien exécuté, c'est léger et très goutu (sinon, c'est Pouf-Pouf comme dirait Mme Cotte)
Merci pour le commentaire !
Les passagers qui parlent fort m'insupportent, et hélas nos amis états-uniens sont assez coutumiers du fait (y compris chez eux).
Le gozleme en vol était très bon, mais j'imagine bien moins que dans les rues d'Istanbul ;-)
A bientôt.
Merci beaucoup Stéphane pour le partage,
L'aéroport de SJJ est effectivement en totale rénovation (et extension) et les passerelles sont maintenant toutes retirées pour faire place aux neuves. Donc pour l'instant c'est pax bus pour tous les vols. Vivement la fin des travaux car l'aéroport n'est vraiment plus agréable (déjà qu'il ne l'a jamais été).
Le salon fait juste son job, rien de plus ni de moins, je vois qu'il n'a pas bougé depuis un an ^^
A bord dommage de tomber sur une des rares cabines euro-business de TK mais le produit reste hyper solide.
Superbe bonus sur Sarajevo, d'où nous venons de repartir avec un éminent contributeur du site !
A bientôt !
Merci Stephan pour le commentaire.
En l'occurrence nous étions en faux contact, ce qui ne me dérange pas le moins du monde.
Pas de chance effectivement pour les anciennes cabines, on va dire que j'ai réussi à logger une cabine qui devient rare ;-)
Par contre le soft est vraiment bien, j'aimerais bien l'essayer en 330, mais que c'est cher en point à point !
J'ai vu tes FR, mais pas encore eu le temps de les lire, vu la cadence de publication et le manque de temps (je n'ai même pas encore bouclé le IST-CDG)
A bientôt !
Merci Stéphane pour ce FR.
Même sur un vol court c’est toujours sympathique d’essayer la J de TK.
Je ne savais pas qu’on n’avait pas le choix du siège avec un surclassement payant.
Je discutais avec une connaissance qui travaille au salon de l’EAP et ils ont souvent des soucis avec les passagers américains qui consomment énormément d’alcool.
Bonus qui est toujours aussi plaisant, je ne connaissais pas cette brasserie et le bâtiment est superbe, a noter dans les incontournables de la ville ?.
A bientôt
Merci Valérie.
Je ne savais pas non plus pour les sièges en upgrade, et ce n'est pas très agréable.
La J de TK reste tout de même un beau produit, sans doute le meilleur en Europe.
La Sarajevska est partout, on ne peut pas la rater ;-)
A bientôt.
Merci Stephane pour ce partage. excellent vol une fois de plus avec TK qui creuse la différence avec de nombreuses autres compagnies européennes. bonus qui me rappele bcp de choses mais me fait découvrir le fameux tunnel qui a été la ligne de vie de la ville pendant la terrible guerre.
Merci l'ami pour le commentaire ;-)
Le tunnel vaut vraiment la visite, surtout pour nous avgeek de par sa proximité avec l'aéroport.
A+
Merci Stéphane pour ce FR qui dans sa 1ère partie pose des questions de géopolitique.
SIJ n'est pas très glamour et mieux vaut être acoquiné chez *A pour accéder au salon.
Des Américains en pays conquis ? Vous avez deux heures.
Boissons je veux bien mais "viennoiseries" : Prinzip, reviens !
Côté salon, j'aime autant la Croix du Sud à Toulouse.^^
Ben ce n'est pas faux : la Bosnie est un peu plus un Etat que le Kosovo mais pas autant que la Serbie ou la Croatie...
Ou les A319 adaptés au trafic vers/de SIJ ne sont pas ainsi équipés.
Le Château Erdogan est excellent pour la garde.
Côté service, on se croirait chez AF !!!^^^ Ok, je sors !!!
L'entrée semble un peu perdue dans ce vaste contenant.
Les portions sont modestes mais cela semble bon.
Un sans-faute comparé à ce que l'on connaît en Europe. De là à définitivement inscrire la Turquie en Asie...
Merci pour le bonus mémoriel. Si cela t'a intéressé et que tu ne connaisse pas, je te suggère la lecture de "Vent glacial à Sarajevo de Guillaume Ancel.
A bientôt !
Merci Franck pour ce long commentaire, auquel je réponds avec un peu de délai.
Dans l'absolu, c'est plutôt un avantage intéressant. Je ne regrette pas mon statut, récemment renouvelé d'ailleurs.
Deux heures, ça fait beaucoup...
Mince, j'aurais dû écrire "belgraderie" - encore que les Bosniaques ne penchent ni pour l'un ni pour l'autre à mon avis.
Jamais visité, mais au vu de ce que j'en entends, la comparaison me semble flatteuse.
Ou comment s'attirer l'ire de la communauté bosniaque de ce vénérable site. A priori sans succès.
A renouveler tous les sept ans, tout de même.
Sans aucun doute. Il ne manquait que le véritable siège business des A330 et autres A32X.
Bon, il y a tout de même un petit bout en Europe.
Merci pour le conseil de lecture !
A bientôt.