#24 sur 94 Compagnies Un minimum de 10 flights-reports sur les deux dernières années est nécessaire pour apparaitre dans le classement.
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Bonjour à tous chers lecteurs.
Au printemps, une nouvelle était parvenue aux yeux des avgeeks - infime partie de la population dont j’avoue faire partie. Alors que cette pratique devenait de plus en plus rare, notre compagnie nationale annonçait déployer des wide bodies sur des lignes intérieures à certaines dates. Deux options s’offraient alors à moi :
- le triple-sept vers Bastia.
- le 330 vers Nice.
Très rapidement, j’écarte la première option. Le 777 aux couleurs d’AF, je l’ai déjà pris en 2000 vers São Paulo (GRU). Certes, c’était la version -200 mais il y a un risque qu’un -300 initialement prévu se retrouve commuté dans la version la plus courte.
La seconde option offre plusieurs avantages pour moi. Nice est facile d’accès en train pour moi depuis Lyon, et il est même encore plus aisé de rejoindre Paris. L’A330 est un avion que j’ai très peu pris pour l’instant, seulement sous les couleurs de Korean (versions -200 et -300) et Aer Lingus (version -300). Alors oui, là aussi le vol peut être commuté mais si tel est le cas, je pense que ça serait plus avec un A350-900.
Le départ en matinée de ce vol un peu spécial m’impose de m’acheminer vers la Côte d’Azur dès la veille. Initialement, j’avais prévu de m’arrêter chez un bon pote dans le Var, mais le plan transport de la SNCF ayant été modifié, je me suis rendu directement sur place où j’ai pu passer la soirée. C’est assez rare que je voyage dans ce coin de France, c’est donc l’occasion pour moi de revisiter les lieux et notamment le Vieux-Nice. Pour « approfondir », voir le bonus en fin de report.
J’ai passé une nuit sans pratiquement fermer un œil. Ayant eu un loupé avec booking.com je me suis finalement rabattu vers un dortoir où l’indiscipline des mes co-dormeurs a empêché toute forme de repos. Il va falloir que j’admette que je n’ai plus vraiment vingt ans et que ce genre de couchage n’est plus vraiment adapté à mon grand âge.
Je consulte régulièrement Flight-Radar24 pour suivre le vol aller de CDG à NCE. L’appareil n’était toujours pas affecté en ce début de matinée. L’A332 sera-t-il toujours maintenu ? Cette famille d’avions de la flotte Air France est surtout déployée vers l’Afrique avec des retours nocturnes et une arrivée à CDG potron-minet. Ça explique sans doute que le choix de l’appareil soit aussi tardif. D’ailleurs, le vol aller 7302 est annoncé avec 18 minutes de retard.
Finalement, ce sera bien un A330-200 ! Je retrouve le sourire. Si un A350 avait joué le remplaçant, j’aurais été content, mais un avec une satisfaction en demi-teinte, car j’ai de longues années devant moi pour découvrir ce fleuron de la flotte AF, alors que la carrière de l’A330-200 est déjà bien entamée.
C’est en tramway que je vais rejoindre l’aéroport. Le réseau a connu un développement assez important ces dernières années et l’agglomération niçoise est aujourd’hui bien irriguée. Il faut compter une bonne trentaine de minutes pour atteindre les portes.
Comme bien souvent, je suis en avance. C’est un jour de grands départs, je ne veux non plus tenter le diable. Et puis NCE, je n’y ai jamais encore mis les pieds, alors je veux en profiter pour visiter les installations.
Ici, ce n’est pas la ville qui vous aime, mais c’est à vous de l’aimer !
Allons découvrir l’intérieur de cet aéroport.
Le programme d’une partie de la journée, du T2, au niveau des arrivées. Ça se présente pas trio mal pir l’instant .
Passons à l’étage supérieur .
Le programme assez soutenu d’une partie de la journée.
Confection du modeste souvenir de ce vol.
Vue des comptoirs. Ce n’est pas non plus la cohue, du moins à l’instant t.
Remarquez comment ce loueur de voiture a dû payer bien cher l’installation de son visuel.
Je décide de passer airside sans trop traîner.
Le temps de passage du PIF est estimé à 5 min. Ça me semble bien optimiste en ce jour de grands départs, avec pas mal de familles bien chargées.
Il faut tout déballer. J’emmène avec moi qu’une petite quantité de gel douche dans une bouteille format « échantillon », les mêmes que l’on trouve dans les hôtels, histoire d’être en dessous des 100 ml. Rien à faire, la préposée me demande gentiment de la sortir et d’en faire de même en ce qui concerne le dentifrice. Là aussi, je n’en ai qu’une dose très limitée. Certes, le tout est demandé cordialement, mais c’est pénible ces règles propres à chaque aéroport. Résultat, ça fait perdre du temps à tous.
Les cinq minutes affichées se sont finalement transformées en treize.
La montée des marches pour accéder au supermarché.
Traversée rapide du duty expansive.
Mon vol est annoncé à l'heure, allons du côté du A.
Les lieux ne sont pas plus surchargés que ça.
Un autre vol vers CDG, mais avec un saveur… disons différente. Mon A330 aura un bien meilleur arôme.
Je vais essayer de spotter un peu, j'essaie de trouver un coin à peu près potable.
C'est peine perdue. C'est à contre jour, pas terrible du tout, comme à l'image de cet A319 qui repart vers LTN (Londres-Luton) en vol U2 2426.
Je surveille l'arrivée de mon objectif du jour.
Je vais me borner à recharger ma tablette et à consulter notre site préféré avec notamment un report que apporte un peu de fraîcheur en cette chaude journée.
Le vol AF7302 étant désormais aligné sur la piste, je rejoins le local fumeurs pour immortaliser cette arrivée. C’est plein contre-jour.
Le voici sous son autre profil, musardant au gré des taxiways de l’aéroport niçois. À son bord, un autre reporter puisque Kilmanock est aussi de la partie pour ce vol un peu spécial, si j'en crois AirportMeetup.
Enfin, le voici avec un éclairage plus présentable.
L'appareil viendra se poser en porte A02.
Il s’agit donc du F-GZCK "Ville de Brest" dont voici le pedigree détaillé ici par Planespotters.
Il reste encore un peu de temps. Je profite de l'attente qui me reste pour compléter le plein de ma tablette puis viendra le début de l'embarquement. Je précise qu’un moment de m’enregistrer, AF m’a proposé de neutraliser le siège contigu pour plus de confort. Le vol est sans doute peu rempli dans ce sens.
Puis les premières annonces retentissent. Je m’approche de la porte A02 et je vois une foule compacte. Je me demande si finalement, le taux de remplissage ne serait pas proche du maximum .
Si les priorités sont respectées, c'est quand même un peu mal foutu. Les annonces sont quasi inaudibles et des passagers n'ayant sûrement rien entendu sont refoulés pour qu'ils attendent leur tour. L'espace est assez étriqué.
Puis mon tour arrive. Je scanne mon BP, passe les portes et déclenche une alarme. On m’appelle alors par mon nom. Je présente pièce d’identité et carte d’embarquement et on me laisse passer. Bizarre…
Tiens, ça ferait pas une belle photo de couverture ça ?
Longue passerelle vitrée.
Et voici de plus près l’objet de mon désir.
Un nez mon cher… Un nez !
Accueil chaleureux et dynamique en porte. Porte que voici sous son plus beau profil.
Passage rapide par la classe « Affaires » de cet appareil.
La premium éco.
Pour ce modeste vol intérieur, je me contenterai de la classe économique dont voici le siège qui a un aspect satisfaisant à mes yeux. Et ça conviendra parfaitement à mon postérieur. Vraiment un bon point.
Le pas très large, ce qui me convient également. Notez au dessus de mon genou droit la prise 230 V qui fonctionne correctement.
Instant « tête en l’air ».
La tablette, bien propre.
Le (maigre) contenu de la pochette.
La safety card en détail.
La boucle gravée au nom de la compagnie. Ça, c’est classe.
En ce qui concerne l’IFE, celui-ci est de taille correcte, mais le reflet le transforme en miroir, sauf si on abaisse les volets, ce qui n’est pas envisageable de mon point de vue.
Néanmoins, je le trouve agréable et facile d’utilisation. La géolocalisation est de bonne facture.
À notre que mon IFE s’est planté peu de temps avant le début du roulage. Je n’ai pas demandé à ce qu’il soit rebooté compte-tenu de la brièveté du vol.
Il va de soi que le menu affiché ne sera pas distribué - l’A330 n’étant que très rarement déployé sur de moyen-courrier, le contenu du programme n’est pas adapté à ce genre de vol.
C’est toujours en train que je m’étais rendu à Nice, souvent en train de nuit d’ailleurs. La métropole azuréenne, dans sa dimension ferroviaire, avait toujours un aspect quasi inaccessible - sauf au prix de longues heures de voyage, presque un lointain terminus, une autre fin de la terre, pas bretonne celle-ci. Le TGV Méditerranée a quelque peu changé la donne, mais relier Nice à Paris par le rail entame quand même une bonne partie de la journée.
Ce vol va sans doute bouleverser ma géographie interne.
À 10h54, l'embarquement s'achève. À ce sujet, lors de mon enregistrement en ligne, AF me propose de neutraliser le siège 34C, vu que le vol est annoncé avec un remplissage, disons moyen. J'ai refusé cette offre, ne voyant pas trop l'intérêt d'avoir deux fauteuils pour moi.
Et pourtant, on peut dire que les affaire marchent plutôt bien. Sur ce que je peux voir, du moins en Y, c'est une cabine quasi remplie et une Newyorkaise est venue s'inviter à la 34C.
On repousse à 11h02 et le taxiing débute à 11h08.
Les consignes sont diffusées sur l'IFE et à la sonorisation.
Même si j'ai deux hublots pour moi, leur triste état ne me permettra pas de faire de belles photos. J'enrage un peu.
À 11h16, nous sommes alignés sur la 04R et une minute après, les deux General Electric CF6-80E1A3 donnent toute leur puissance.
Nous croisons la route du vol DL25 pour Atlanta, avec un 767-400 immatriculé N829MH.
Allez zou !
J'améliore la signalisation de mes photos. Ça a été fastidieux et chronophage.
Nous faisons un large virage vers la droite pour s'orienter vers le nord-ouest. Nous revoyons la terre avec les îles Saint-Honorat (la plus petite) et Sainte-Marguerite qui font face à Cannes.
Puis nous revenons sur la terre ferme.
Puis nous survolons le relief tourmenté de l'extrême sud du massif alpin.
Les fameuses gorges du Verdon qu'il faudra bien qu'un jour je fasse.
Les Alpes-de-Haute-Provence et sa capitale.
Puis les Hautes-Alpes.
C'est à ce moment que je service arrive à ma hauteur. Une madeleine est servie, que j'ai trouvée bonne au demeurant. J'ai demandé un verre d'eau pour prendre des médocs et combattre ma migraine naissante. Le tout est vraiment léger.
Retour à l'IFE extérieur, celui à bord m'ayant définitivement lâché. Cela dit, je n'ai pas demandé sa relance.
Nous survolons déjà l'Isère.
L'agglomération grenobloise pointe déjà le bout de son nez.
Au loin, le vue sur une magnifique métropole.
À la croisée des départements du Rhône, de l'Ain, de la Saône-et-Loire.
La Saône-et-Loire industrielle.
Vue générale de la partie ouest de la Saône-et-Loire.
C'est au tour de la Côte-d'Or.
Nous changeons de cap au niveau de Valduc, siège d'un site de recherche nucléaire dépendant du CEA.
N'oublions pas la vue sur la "Crevette".
Toujours la Côte-d'Or, au nord du département, avec la vallée de la Seine qui n'est ici qu'un ruisseau. La descente commence à cet instant.
Aux confins de la Côte-d'Or se dessine déjà l'Yonne.
Puis ce sont les premiers vignobles du champagne, au sud du département de l'Aube.
La patrie d'un célèbre fromage.
Non loin de l'agglomération troyenne.
La CNPE (centrale nucléaire de production électrique) de Nogent-sur-Seine.
Puis c'est au tour de l'Île-de-France d'être survolée, avec le département de la Seine-et-Marne.
Autre célèbre patrie fromagère.
Vous reprendrez bien un petit de fromage ?
La reprise de contact avec le sol est imminente.
Et touché à 12h27sur la 26L.
Nous passons à côté d'un frère jumeau aux couleurs libanaises. MEA a délaissé son A321neo en ce jour pour desservir Paris.
Un peu de triple sept ne fait jamais de mal, qu'ils soient de couleurs chinoises ou réunionnaises.
Instant corporate avec cet A220-300 F-HZUS qui passera sa journée à faire des navettes vers Londres (LHR), ici avec le vol AF 1780.
Le 14 juillet avant l'heure.
Nous sommes parqués au terminal 2E-M puisque notre destrier du jour aura un court répit avant de repartir en vol AF 834 vers Cotonou (le bon saucisson comme on l’aime chez nous) à 15h10. On peut souligner la quasi "audace" d'Air France d'utiliser sur cette rotation Nice cet appareil entre son arrivée de Yaoundé et son départ vers le Bénin.
Le débarquement ne doit pas trop traîner et pour revenir vers la zone Schengen, nous devrons emprunter des paxbus.
Instant qu'on ne présente plus.
Arrivé à l'avant de notre A330-200, je demande si je peux visiter le cockpit. On me répond que la porte est toujours fermée, ce qui est vrai, et que le débarquement par paxbus demande un temps contraint. C'est donc un peu déçu que je quitte l'appareil, avec quand même de chaleureuses salutations. Pas de bol. Me faire ça le jour du 28e anniversaire de mes vingt ans… C'est ainsi.
Direction la passerelle et l'escalier (surchauffés).
J'aime quand Paris vous aime.
Dernier regard sur "charlie-kilo", pas pu faire mieux.
Bel enchevêtrement bétonné.
En chemin, je croise cet A320neo aux belles couleurs d'ITA EI-HJD qui va repartir vers Fuimicino en vol AZ 333.
Puis nous arrivons.
On commence avec cet escalator en panne.
Cet écueil passé, il faut reconnaître que c'est fluide, très fluide.
Je file vers la gare, il ne faut pas que je traîne. Mais je ne peux m'empêcher de cliquer deux fois devant cet imposant monument.
Une belle MI 84 avec une livrée que je ne connaissais pas encore.
Je me suis rabattu sur la MI 79 de queue. En plus, c'est mieux pour la correspondance à Denfert-Rochereau avec la ligne 6.
À part Roissy T1/T3 et Aulnay-sous-Bois, le train est direct Paris-Nord, c'est tant mieux.
Je ne sais pas trop comment j'ai réussi à l'attraper, mais j'ai eu mon train à Montparnasse.
Et le soir même, j'étais à Verteuil-sur-Charente (16), mais ceci est une autre histoire.
Le vol selon Flightradar24.
Ma flotte au 1/400e s'agrandit et peut accueillir en son sein cette nouvelle belle recrue.
Il est temps de conclure.
Il est difficile de donner un avis objectif sur ce genre de vol "hybride", avec un appareil de type long courrier sur un segment moyen courrier.
Mais il faut reconnaître que cela apporte une nette amélioration du confort, et j'ai particulièrement apprécié le siège et l'environnement général de la cabine. Le personnel à bord était sympathique et accueillant.
À Nice, je n'ai pas trouvé l'aéroport spécialement bien foutu. Mais je n'ai pas pu l'explorer de fond en comble.
CDG, ce transfert en bétaillère paxbus permet d'éviter un passage de la PAF qui peut devenir très vite chronophage ; mais cela ajoute de l'inconfort. Très fluide pour la suite. En ce qui concerne le lien en RER, le matériel ne donne pas une bonne image aux touristes débarquant dans la capitale, future hôte des jeux olympiques dans moins d'un an...
Merci de m'avoir lu.
Les contributeurs de Flight-Report ont posté 53 avis concernant 3 compagnies sur la ligne Nice (NCE) → Paris (CDG).
La compagnie qui obtient la meilleure moyenne est Air France avec 7,5/10.
La durée moyenne des vols est de 1 heures et 32 minutes.
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20 Commentaires
Une belle opportunité avgeek très bien saisie, qui a suscité l’intérêt d’une partie de la communauté FR^^. Je prends le même vol dans 3 semaines.
J’espère que AF continuera à déployer des wide bodies sur des lignes domestiques ou européennes l’année prochaine à certaines dates. Un vol domestique, les cabines de l’A330 qui ont été retrofit il n’y a pas si longtemps sont modernes.
Dommage que l’équipage ai refusé ce petit tour au cockpit…
A bientôt !
C'est sûr que c'est le genre d'opportunité à ne pas rater (si on en a les moyens) quand on est avgeek. Et difficile de savoir si AF poursuivra ce genre d'opérations à d'autre périodes. Je serai tenté de dire que ça m'a l'air d'être une bonne optimisation de la flotte mais je n'ai pas toutes les données en main.
Ce n'est pas un refus mais plutôt une impossibilité vu le temps contraint d'une réutilisation rapide de l'appareil ainsi que du transfert en paxbus.
Et oui bien vu, j'étais bien sur le vol aller en compagnie d'un autre membre très éminent du site. J'en ai d'ailleurs fait la remarque à mon compere du jour que tu devais certainement être en salle d'embarquement ^^
Nos FRs seront publiés plus tard. Sympa de voir "notre" avion pris en photo à l'arrivée alors que nous étions dedans haha
Content que tu ais pu saisir cette opportunité qui plus est le jour de ton anniversaire. Pour un "Avgeek" c'est un beau cadeau que tu t'ais certainement offert à toi même lol
Nous gardons le souvenir d'un très bon équipage.
Grand respect pour tous ces panneaux routiers qui montrent les localités que tu survoles, c'est du boulot! Perso j'en suis fan. Bravo.
A bientôt.
C'est bien ce qu'il me semblait mais son pseudo n'était plus mentionné sur Airport Meetup.
Ça fait un peu comme les stars qui arrivent au Festival de Cannes et dont les paparazzis traquent déjà à l'aéroport. C'est donc la rançon du succès.
On n'est jamais mieux servi que par soi-même.
C'est le même constat pour ma part.
Merci beaucoup. Je ne sais combien de temps ça m'a pris, mais ça fait quelques longues heures.
Bons vols.
Alors c’est que j’ai rêvé.
LN6, MI 84 et MI 79 correctement distingués... mazette c'est jour de fête !!!
Par contre il serait judicieux de ne pas laisser visible sur la photo du BP, le n° de FFP et le PNR :)
Ça foutrait mal de ma part si j'écrivais des conneries sur le domaine ferroviaire. :-)
Bien vu ! Merci pour la remarque. C'est modifié.
Donc Af 782 Yankee zoulou, tu pars à l'ouverture mais fait gaffe à la VISA :) :) :) :)
[Seuls les initiés du premier cercle pourront comprendre]...
Absolument !
C’est rare mais toujours sympa d’avoir un gros-porteur sur moyen-courrier - un plaisir tout à fait avgeek.
Bip d’alarme lors du boarding: dommage que cela n’ait pas signifié un surclassement!
‘’Cotonou (le bon saucisson comme on l’aime chez nous)’’ => haha, bien trouvé
J’adore l’IFE naturel avec les panneaux routiers - une très bonne idée, même si je comprends qu’elle prenne énormément de temps
A bientôt
À un moment, j’y ai cru. Ç’aurait été une délicate attention le jour des mes 48 ans.
Ça prend énormément de temps mais ça me permet de « découvrir » des coins et d’approfondir mes connaissances.
Bons vols.
L'aéroport de Nice est pratique et agréable. Au plaisir de te croiser, que ce soit en TGV ou en avion, à la prochaine !
C’était pratiquement ma seule fenêtre de tir (puisque je peux aussi travailler les week-ends), alors je n’ai pas traîné bien longtemps pour réserver.
On attend avec impatience le report pour lire ton point de vue.
Eh bien le TGV fait partie de mon presque quotidien, avec un A/R Paris dès cet après-midi. Donc je suis plus souvent sur les rails que dans les airs.
Un vol très agréable que nous avons fait aussi à l'aller avec Benjamin en Y+. Le vol aller était complet en Y et Y+ et surtout très ponctuels. Une belle expérience pour voler en A330
A bientôt !
Ça prouve bien qu’Air France a bien optimisé son opération. Plutôt que de déployer deux A320, un seul A330 faisait l’affaire. C’est moins de slots et un équipage plus réduit. Peut-être qu’à l’avenir ce genre d’utilisation de heavy sera plus fréquente sur des vols MC.
C’est moins coûteux et moins long (mais moins dépaysant) que d’aller à Niamey, Chennai, N’Djamena, Libreville, etc.
Je regarde cette triangulaire également.
ça me pique toujours antant les yeux de lire ce mot-là. Perso je le trouve assez péjoratif, je vois pas l'intérêt d'avoir un mot pour décrire ceux qui vivent en dehors du périf. Je pense qu'on a tous eu ce collègue un peu beauf parigot qui est surpris de découvrir qu'il y a des arrondissements et des métros en dehors de sa ville et bien dernièrement j'ai eu pire, le gars m'a demandé si on avait Uber à Lyon. Je lui ai répondu que non puisqu'on a pas l'électricité.
Oulà oui les dortoirs plus pour moi non plus.
C'est vrai que c'est surprenant en plein été.
on est partout lol
de très jolies photo du zozio, que je trouve tout petit tout mignon comme long-courrier.
de très belles photos de la cabine, cela doit faire bizare d'avoir des vidéos de démo de sécurité sur un vol domestique.
celle qui regardait autrefois Lutèce comme sa province ahah
Sympa le chateau! il est à vendre?
au fait je t'ai répondu par sms pour aller se boire un petit coup
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