Bonjour à tous !
Parfois, il est bon d'avoir un an de retard dans les publications. Cela permet de modérer plus facilement ses propos, d'avoir plus de recul. Car pour ce vol ci, j'aurai pu inonder Wizz Air de tous les jurons existants tant cette compagnie nous aura surpris par son je-m'en-foutisme et tant il aura fallu batailler pour obtenir réparation. A ce jour, nous sommes enfin quittes mais cela avait pourtant bien mal commencé…
Mais qu'allions-nous faire dans cette galère ?
Petit rappel du routing prévu à la base:
Enchainement de vols
- 1
- 2
- 3VAR → EIN | Wizz Air | A321
- 4EIN → PAR | Flixbus
la douche froide
Après une magnifique journée avgeek en rare MD-80, cette nouvelle journée s'annonçait plutôt tranquille avec un vol matinal en direction de Eindhoven. De là, Okapi filait vers Marseille avec Ryanair avant de rejoindre Paris. Avec Akivi, nous projetions de visiter Eindhoven puis de rentrer à Paris en Flixbus.
La seule difficulté devait être le réveil très matinal. Le soleil n'était pas encore levé et nous non plus ! Enfin c'était pour la bonne cause ^^
Le taxi réservé la veille était là au rendez-vous et nous rigolions même du fait que notre conducteur regardait/écoutait des clips avec des personnes peu vêtues tout en conduisant…
Mais très vite, nos 3 téléphones sont inondés du même sms : notre vol est annulé, ce qui est aussitôt confirmé sur FR24. Merdoum !
C'est d'un pas pressé que nous parcourons les derniers mètres jusqu'à l'aéroport.
Le FIDS nous confirme l'annulation… Le seul vol annulé de la journée et c'est pour nous !
Dans cet aéroport, aucune agence Wizz Air n'est présente et on nous confirme au comptoir qu'il faut faire la queue au ticket office… L'attente commence mais les passagers quittant le guichet on l'air calme, aucune esclandre… Nous étions plutôt confiant. Il est alors 4h19 du matin.
L'eau locale était pourtant bien adaptée à la situation ! Ben il faut croire que ça ne marche pas ce genre de trucs ^^
A 5h11, soit une heure d'attente, nous touchons presque au but.
la galère…
Okapi, se faisant notre porte parole, s'adresse à la guichetière. Cette dernière nous répond que tous les vols pour Eindhoven sont complets et qu'elle peut nous mettre sur un vol dans… 5 jours ! La stupeur, le stress et l'incompréhension m'envahissent. "Ce n'est pas possible" disons-nous. Elle nous répond que c'est la seule chose qu'elle peut faire car elle ne peut nous rebooker que sur des vols vers Eindhoven !
Il y a pourtant un vol qui nous serait très pratique vers Londres Luton, ou encore Dortmund ou Vienne. Impossible, dit-elle. Si on veut autre chose, on doit contacter Wizz Air.
On se connecte chacun depuis le site et l'appli Wizz Air. Impossible pour nous de switcher sur un autre vol, tout est bloqué. Seul le remboursement semble sélectionnable.
On tentera chacun notre tour tout les numéros de téléphone européen de la compagnie, mais personne ne décrochera.
On regarde toutes les possibilités en A/S mais les tarifs sont évidemment délirants : plus de 400€. Et sur la majorité d'entre eux, il n'y a parfois qu'une à 2 places dispo. A trois, ça ne passe plus. Situation bloquée.
Personnellement, je craque. Je craque parce qu'on est bloqués, parce qu'on est abandonnés par une compagnie qui révèle ici sa nature profonde, parce qu'aucune solution ne semble possible, parce qu'il va falloir débourser une somme folle…
Heureusement, nous sommes trois. Et mes compères ne se laissent pas abattre. Ils ont raison, on va se battre, on va creuser tout le programme des vols européens s'il le faut mais on va trouver une solution. Merci les gars !
On ira se poser au petit café de l'aérogare qui deviendra notre QG pour les prochaines heures.
Alors, va-t-on pouvoir quitter le fin fond de la Bulgarie ce jour ?
Je vous épargne la liste exhaustive des solutions qui se sont toutes heurtées à un point : pas assez de places pour nous 3. On envisage de se séparer pour maximiser nos chances mais tels les 3 mousquetaires, cela ne nous plaît pas.
Une option se démarque malgré tout : le vol direct TUI en direction de Lille. Il part à midi, et nous permettrait de regagner rapidement et facilement Paris. Et en plus, c'est un vol intéressant !
Nous irons trouver une agente TUI très sympathique qui ne sait nous dire s'il reste de la place car le vol est payé par un tour opérateur : ils n'ont pas la main sur la partie vente de ce vol. Elle nous propose d'aller voir son collègue, peut-être sera-t-il notre sauveur ?
Le responsable local de TUI, un belge francophone de 70 ans, nous accueille chaleureusement mais ne pourra rien faire pour nous, malgré toute sa bonne volonté. Nous discutons quelques temps, ce sera une très chouette et belle rencontre ! Mais cela ne fait pas nos affaires.
Les heures passent, les vols s'enchaînent, réduisant les possibilités de quitter Varna.
Mes camarades auront bien dégotté une possibilité au départ de Sofia, moyennant 5h de bus (mais trop juste pour rejoindre le départ) ou 7h de train (mais je désapprouve, n'ayant que peu de confiance envers la ponctualité des chemins de fer locaux sur une telle distance).
Et finalement, nous trouvons une option : prendre le VAR-VIE de 14h avec Wizz Air, puis un vol Transavia France. Au total, plus de 420€ mais on y monterait à trois car il reste suffisamment de place. C'est hors de prix et c'est risqué avec une connexion assez courte à Vienne, mais nous n'avons pas le choix, alors banco !
On décidera également de demander le remboursement automatique du vol initial avant que cela ne soit plus possible. En effet, vu l'impossibilité de joindre Wizz Air, on commence à douter de leur coopération pour se faire rembourser le vol ultérieurement et obtenir l'UE261.
nouveau routing
Enchainement de vols
- 1
- 2
- 3VAR → VIE | Wizz Air | A320
- 4VIE → ORY | Transavia | 737-800
intermède en ville
Une fois la démarche effectuée et les nouveaux billets réservés, Akivi et moi ne nous sentons pas de rester plus longtemps dans cet aéroport de malheur. Nous avons un peu de temps, alors on s'octroie une visite plus approfondie de Varna.
Le bord de mer, encore peu rempli de touristes.
On passera devant un improbable musée maritime.
Ou encore un improbable restaurant ^^
Le port de Varna n'est clairement pas le lieu le plus glamour de la ville.
Il ne manquerait plus qu'un vieux Karaboudjan rouillé amarré au quai ^^
La belle cathédrale Theodokos…
…et ses coupoles.
Et pour finir la visite, nous retournons à l'aéroport dans un bus où sont affichés de nombreux plans. Et d'un coup, un logo familier m'attire…
Tiens tiens ! ^^
Même s'il est de notoriété publique que les anciens bus de bon nombre de réseaux français connaissent une seconde vie en Europe de l'Est ou en Afrique, ici le reconditionnement est tellement en service minimum que même l'affichage des tarifs a été conservé !
Si ce bus pouvait nous ramener à Mantes-la-Jolie pour 2€, je dis pas non ^^
Il en va de même pour le pelliculage du bus ^^
Plutôt cocasse !
retour à l'aéroport
Nous revoici devant cet aérogare qu'on commence à bien connaître et dont on ne peut plus voir en peinture !
Comme si nous n'étions pas assez chat noir comme cela, non contents d'avoir eu l'unique vol annulé du jour, nous aurons également l'unique vol prévu en retard ! 40min… Cela commence à devenir short pour Paris. Au pire, il y a aussi le train de nuit Nightjet qui permettrait de rejoindre Paris le lendemain matin mais outre que cela commence à devenir cher, je perdrai aussi mes vols du lendemain (car oui, j'ai un a/r ORY-AJA sur A330 Air Caraibes)… Bon, on va croiser les doigts…
On rejoint Okapi et nous faisons nos adieux au sympathique café qui nous aura accueilli ces dernières heures. Notez les belles répliques de quelques modèles de l'histoire de l'aviation !
Le passage du PIF sera assez laborieux, pas de tapis roulants, les bacs sont portés par le personnel après le passage aux rayons X, ce qui vaudra à un PIF-man de faire tomber mon APN Reflex par terre. S'il a survécu miraculeusement à la chute d'un mètre sur le carrelage, il y a depuis une petite pièce qui bouge à l'intérieur. Merci messieurs, merci Varna, merci Wizz Air ! Non contents de devoir payer 420€ supplémentaires, voilà que vous tentez de défoncer mon APN, un cadeau de mariage qui coute le double. La facture de cette journée a failli s'allonger…
Même si j'ai le droit a quelques excuses, ce n'est en fait pas excusable ! Après m'être assuré que l'APN fonctionnait, je fuis littéralement ce lieu, écœuré comme jamais.
La partie airside est étonnamment vaste et bien achalandée en commerces, McDo compris. Mais je suis plus attiré par ça !
Une terrasse au grand air avec un petit snack. Cet aéroport va au moins remonter dans mon estime sur ce point ! C'est en effet plutôt rare de voir une si grande terrasse airside dans un aéroport.
Ce sera l'occasion de déjeuner avec quelques pâtes feuilletées locales et excellentes ! Le tout face à notre bon vieux MD-80 que nous avions pris la veille et qui repart sur une longue période de béton. Sur la semaine précédent et la semaine suivant notre vol, il n'aura volé qu'une fois pour notre vol depuis STR. On a eu beaucoup de chance ! Cela permet de remettre aussi les choses dans le contexte tant le vol de la veille nous aura rendu fous de joie… Si on arrive à regagner Paris le soir même et que nous mettons bon ordre dans nos comptes avec Wizz Air, les bons souvenirs chasseront les mauvais.
pré-bording laborieux
Notre avion a beau être en retard, le pré-embarquement semble être toujours annoncé à l'heure prévue.
En effet, le pré-embarquement en est déjà à sa moitié à 14h20 alors que le nouvel horaire de départ est prévu à 15h20. Et évidemment, les rares places assises y sont prises. Notez le mince cordon qui isole le pré-embarquement du terminal. En sachant qu'aucun contrôle des BP n'aura lieu ultérieurement, il semble facile d'embarquer sans montrer patte blanche… Un peu trop léger comme dispositif !
A 14h20, les derniers passagers sont appelés alors que notre avion arrive à peine. Okapi tente de négocier un embarquement différé, mais les agents le menacent de clôturer l'embarquement et donc d'annuler son billet. Super ambiance ^^
Les minutes passent lentement, rien pour s'asseoir (alors qu'on est debout depuis 3h du matin quand même). Il y a un transfert d'équipage et l'échange sera assez long. Pendant ce temps, le stress ne diminue pas. Je désespérais tellement pouvoir prendre un vol ce jour que tant que je ne suis pas à bord porte fermée, je ne serai pas tranquille.
L'unique lot de consolation : c'est la première fois que je prends Wizz Air, et donc une nouvelle entrée dans mon flightlog. Ce sera sans doute mon seul vol avec cette compagnie avant longtemps, le temps de digérer tout ça !
Encore une fois, la vision de notre MD-82 vient apaiser les idées sombres de mon esprit épuisé.
à bord
A 14h50, soit 30min d'attente debout derrière une vitre surchauffée, c'est la libération !
Je crois que je n'ai rarement été aussi soulagé que de mettre les pieds dans un avion, fusse-t-il chez cet compagnie rose maudite !
Au moins, l'accueil par les PNC est sympathique et souriant. En réservant au prix fort et en dernière minute, le tarif en vigueur nous octroyait la réservation gratuite de n'importe quel siège. J'avais alors 2 critères : hublot (car autrement, c'est pas possible !), et le plus à l'avant pour écourter au maximum le temps de correspondance. Okapi et moi auront eu la possibilité d'en choisir un dans les premières rangées, ce qui n'est pas le cas d'Akivi dont l'unique place restante au tarif inférieur ne permettait pas de choisir un siège gratuitement à l'avant. En fin d'embarquement, Okapi réussira à négocier avec les PNC un changement de place pour Akivi sur une place libre à l'avant, afin que nous puissions débarquer illico presto !
Le chargement semble rapidement terminé, plus qu'à embarquer tous les pax et on devrait être bons !
En attendant, petite inspection de l'espace vital plutôt correct dans ces premières rangées.
Celle-là a bien mérité un petit tour dans le sac !
Wizz Air fait l'effort de proposer un magazine incluant le menu du BOB et de la boutique.
A 15h20 précises, nous roulons ! Incroyable ! Cela faisait maintenant 9h que nous attendions ce moment !
Au revoir, cher bon vieux maddog !
Je n'ai rarement été aussi heureux d'entendre rugir nos CFM56 ! Enfin, on vole !
Bye bye Varna, et probablement pas à la prochaine ^^
Cet envol a un effet soulageant mieux qu'un anti-dépresseur : les problèmes sont au sol et y restent. Là-haut, on laisse juste le paysage défiler et tout va bien :)
Nous survolerons la Roumanie puis la Hongrie. Je ne cherche pas particulièrement de repères géographiques au sol. Je me laisse juste bercer, épuisé par tout le bazar du matin.
A bord, l'ambiance est très calme, propice à une bonne sieste !
A mon réveil, la descente a déjà débuté et le ciel est plus chaotique.
Nous sommes précédés par un 737-800 Transavia France rejoignant Orly. J'espère que nous auront le nôtre !
L'arrivée aux alentours de Bratislava est quelque peu mouvementée en raison d'un gros orage au nord de notre position.
Bigre ! Les bases de ce cunimb sont bien menaçantes.
Nous franchissons le lac de Neusiedl, à la frontière austro-hongroise.
La ville de Podersdorf am See.
Heureusement, le secteur de Vienne est dégagé.
Encore quelques mètres…
Chpouf ! Et une étape de faite ! Même si on rate le vol suivant, la perspective d'être coincé à Vienne est moins difficile qu'au bord de la Mer Noire !
Après 10 longues minutes de roulage, nous arrivons enfin au terminal. Par chance, nous serons au contact. Nous avons 40min de retard et il nous reste une petite heure avant la fin de l'embarquement du vol suivant. Si le passage de la PAF est fluide, ça pourrait le faire !
Nous débarquons par une passerelle aveugle. Pas très avgeek mais là, on ne va pas se plaindre !
Au fil du transfert, je tombe sur ce café Johann Strauss…
…dont la devanture ne me laisse pas insensible, même si je sèche sur l'origine de l'extrait en question ! Vu les bécarres accidentels devant certains ré, cela signifie qu'il y a au moins 4 bémols à la clé, donc nous serions en la bémol majeur. En 3/4, donc une valse. Mais pas réussi à trouver laquelle (et comme le sieur Strauss en a composé des tonnes…)
En tout cas, le parcours s'effectuera sans fausses notes jusqu'au passage de la PAF heureusement fluide (même si mon passeport aura du mal à se faire scanner à la borne). La porte C41 est annoncée à 15min de notre position. C'est bon, on devrait l'avoir ce dernier tronçon !
On arrosera ça d'une bonne bière bienvenue !
épilogue commercial avec wizz air
A l'issue de notre voyage, quel était le bilan ?
- La procédure automatique du remboursement du vol annulé a bien fonctionné.
- Wizz Air n'a proposé aucun voucher pour se restaurer, ni de proposition d'hébergement à Varna si nous avions accepter de rester les 5 jours sur place. Normal, ils n'avaient aucune présence commerciale sur place.
J'avais fait une simulation sur AirHelp pour voir notre éligibilité à la compensation UE261. Résultat négatif : le motif de l'annulation était "météorologique" (alors que la veille au soir, l'avion prévu devait décoller de Hongrie où il faisait CAVOK). Bref, du bullshit encore !).
Lors de ma réclamation par mail, j'avais la possibilité d'exiger :
- L'indemnisation européenne de 400€
- Le remboursement du vol VAR-VIE (520 BGN)
- Le remboursement du vol VIE-ORY (160€)
- Les frais sur place (un petit déj et un déjeuner à 25€ au total)
Le montant de la restauration sur place étant dérisoire face au reste, je n'en ai pas tenu compte. De plus, notre destination finale n'étant pas EIN, j'ai choisi de ne pas inclure le vol Transavia dans le dossier.
J'ai donc demandé le remboursement du VAR-VIE ainsi que l'indemnisation européenne, tout en racontant dans tous les détails comment nous nous étions fait balader ce jour là.
Chronologie de nos échanges :
- Octobre 2022 : envoi du mail de réclamation, en français et en anglais.
- Début novembre : réponse de Wizz Air. Surprise, ils me proposent bien un versement de la compensation européenne, mais en crédit wizz air majoré à 120% (soit 480€ de bon d'achat). Pas un mot sur la possibilité de recevoir un virement bancaire.
Il m'est également indiqué que (je cite) : Nous pourrions également envisager de compenser la différence de tarifs entre le vol original et le vol alternatif si le vol alternatif est à destination identique ou similaire. En d'autres termes, pour que la compensation soit envisagée, la distance entre les aéroports du vol original et du vol alternatif ne devrait pas dépasser 450 km. Malheureusement, dans cette situation, la compensation pour un vol alternatif n'est pas prévue, puisque la distance entre les aéroports d'EIN et de VIE est supérieure à 459 km.
C'est rageant mais logique, puisque nous n'avons pas rejoint EIN. Mais la compensation européenne suffisant en elle-même pour rembourser les 2 vols supplémentaires, je me focalise uniquement sur cette dernière
- début novembre : je réponds positivement à la compensation européenne, mais en virement cash et non en crédit.
- mi décembre : réponse positive de Wizz Air qui me confirme procéder au virement bancaire de la compensation européenne/
- fin janvier : je n'ai toujours rien reçu, alors je les relance en leur demandant cette fois (et faussement naïvement) un justificatif de virement pour que je demande à ma banque s'il n'y a pas eu un problème dans le transfert.
- mi février, réponse de Wizz Air : En raison de la charge de travail élevée, le système peut envoyer les paiements avec un certain retard. Nous nous excusons pour les désagréments causés. Nous avons vérifié les informations dans le système et nous constatons que la compensation a été effectuée avec succès de notre part. Si vous n'avez toujours pas reçu les fonds, nous vous recommandons de contacter votre banque pour plus de détails.
En pièce jointes, je reçois le dit justificatif de virement. Ce dernier indique que le virement a été effectué… la veille ! Je crois que j'ai bien fait de demander un justificatif !
- épilogue : je recevrai donc comme promis la somme de… 399,99€ (le centime manquant est le comble de la mesquinerie !)
Tout est donc bien qui finit bien : le retour via Vienne ne nous aura pas coûté un centime. Mais que cela n'excuse pas l'absence totale d'assistance au sol à l'escale de Varna ! Je ne suis pas prêt à reprendre Wizz Air de sitôt !
A bientôt pour le dernier opus de ce routing ;)
Merci pour votre lecture :)
Hello Cyrille et merci pour ce FR qui retrace fidèlement nos péripéties bulgares, avec un happy ending en 2 temps (retour à Paris dans la journée + versement de l'UE261 par Wizzair).
Il était vraiment sympa ce représentant TUI à VAR, dire qu'à une époque il aurait pu nous booker lui-même des places sur le VAR-LIL... Dommage !
A bientôt !
Un retour mouvementé avec la détestable expérience d'être abandonné à son sort par la compagnie. Le feuilleton de l'indemnisation est de la même veine.
Au moins l'attente t'aura permis de vivre un instant IDF Mobilités loin de Paris...
Heureusement que voue étiez à trois et expérimentés pour affronter cette mésaventure. J'imagine la même chose pour des gens peu habitués à prendre l'avion et ne parlant pas l'anglais, bonjour la galère.
Mais tout est bien qui finit à peu près bien.
Merci pour le partage Cyrille et à bientôt.
Bonjour Cyrille
Et merci pour ce partage et les joies des low cost en cas de dysfonctionnement, tel qu'un retard, une annulation ou autre. Ceux-ci sont généralement aux abonnés absents et à chacun de se dem^^^er pour trouver une solution. Et ce n'est pas toujours facile de la trouver, même pour les avgeeks les plus chevronnés.
Cela vous aura permis de faire un petit tour "région Parisienne". Surprenant qu'il n'est pas au moins supprimé les plans, mais cela ne dérange pas à priori les locaux.
J'espère que le bruit n'a pas eut de conséquence sur le fonctionnement de l'APN, mais pour ma part j'aurai exigé une reconnaissance des faits par un écrit, avec tout le pedigree, car ils doivent bien être assuré pour rembourser les réparations.
Coté sympa de VAR
Attente dans le sauna assuré
Celui-ci est équipé de V2500
Tout est bien qui fini bien mais avec une journée que l'on pourrait qualifier de stressante
A bientôt
Philippe
Merci pour ce récit de la galère Cyrille!
J'avoue que revenir avec TUI via Lille aurait été une bonne surprise finalement. Dommage. J'imagine que vous n'étiez pas au courant de ce vol avant d'avoir effectué vos réservations via EIN? ;)
En tout cas tout ça ne doit pas être marrant à vivre. Heureusement que vous étiez trois, ça permet de se sentir évidemment moins seul dans ce genre de contexte.
Tout est bien qui fini bien mais il a fallu batailler...
A bientôt.
Ne pas pouvoir vous rebooker sur un autre vol ne va pas à l’encontre de la directive européenne?
Le vol TUI n’a pas fonctionné parce qu’il n'était ouvert qu'au tour opérateur?
Incroyable que le bus ait gardé les affiches de l’île de France
Quelle histoire mais au moins, même si ils ont pris leur temps, ils ont été réglo pour la compensation (à 1 centimes près).
Merci pour ce Fr
Merci pour ce FR galère ! Heureusement que vous étiez 3 pour vous serrer les coudes sinon seul cela aurait été encore plus difficile...
A bientôt pour la suite