C’est le troisième segment d’un voyage en Turquie, constitué d’un A/R SAW-ADB, imbriqué dans un A/R CDG-IST, avec une ou deux journée d’escale à Istanbul à l’aller et au retour.
PC2219 - Economique - Izmir → Istanbul - Airbus A320neoVous etes ici
TK1829 - Economique - Istanbul → Paris - Airbus 350-900Non reporté
Après restitution de la voiture de location, cheminement vers le terminal
Arrivée en gare du train desservant ADB
ADB landside
Entrée dans le hall : il n’y a pas pléthore de compagnies aériennes !
La file d’attente pour l’enregistrement est très limitée
Malgré des PAX qui ont un problème de reconfiguration de leurs bagages à mettre en soute
Bref, l’obtention de ce BP à l’ancienne, dont la partie gauche sera détachée, à l’ancienne encore, à l’embarquement.
Sculpture dans le hall
L’entrée du contrôle de sécurité est juste à côté des guichets d’enregistrement
Cinq minutes plus tard, nous sommes airside
ADB airside - spotting et divers
Signalétique claire et larges espaces de circulation
Pour ceux qui l’auraient oublié, nous sommes à İzmir (avec, en turc, un point sur le i majuscule) Au fait, pourquoi ADB, et non IZM ? L'aéroport porte le nom d'Adnan Menderes, premier ministre renversé par un coup d'état militaire en 1960 et exécuté l'année suivante - il fut réhabilité trente ans plus tard. IZM est le code conjoint des deux aéroports de la ville (ADB et IGL, la base aérienne de Çiğli).
Un peu de spotting : arrivée d’un A320neo Pegasus
Arrivée d’un A320 Turkish Airlines en livrée Star Alliance
Arrivée d’un 738 Sun Express
On dit « Fort comme un Turc », mais peut-être pas au point de remorquer un A320 ?
Quoi d’autre à voir ? Des boutiques airside banales
Des fauteuils qui semblent être confortables
Des espaces dimensionnés pour la haute saison
Un espace pour jeunes enfants qui lui n’est pas dimensionné de manière très généreuse
Un salon auquel nous n’avons pas accès
… et un accès wifi gratuit, mais pendant deux heures seulement
Arrivée de l'avion et embarquement
Arrivée au contact de notre avion
Les PAX les plus impatients commencent à faire la queue
Laquelle est raisonnablement ordonnée quand commence l’embarquement
La nuit tombe – dernier spotting avec cet A320 Freebird
Embarquement : la cabine d'un A320neo Pegasus
Instant porte
Je suis de nouveau en 1A
… derrière cette paroi
Plafonniers, buses de ventilation qui peuvent heureusement être fermées, et pictogrammes divers
La carte de sécurité recto-verso
Porte ouverte, et porte fermée
A côté de nous, un 737-800 Sun Express, masquant un A330 Turkish Airlines
Le terminal illuminé
Décollage piste 16L
Izmir et son aéroport : vues aériennes nocturnes
La route 550, qui contourne l’aéroport au sud
Virage à gauche : l’autoroute E87, au second plan à droite, et l’agglomération d’İzmir à gauche, avec le trait lumineux de l’aéroport
Zoom sur ADB
Zoom arrière, toujours ADB et l’autoroute E87
L’agglomération d’Ayrancılar
L’avion est désormais presque parallèle à ADB, après le demi-tour pour prendre la direction de SAW
Zoom à nouveau sur ADB
Panorama général d’İzmir, avec les autoroutes E87 (au premier plan) et E881
Zoom sur İzmir
Le centre historique d’İzmir
Une expérience inoubliable pour les amateurs de fromage
Vient enfin le moment que nous attendions (enfin, surtout mon estomac ^^) : le sandwich inclus dans le tarif (ou ajoutable au tarifs inférieurs). Mme avait choisi le même sandwich bœuf - jambon de dinde – fromage : je vous invite à relire le FR du vol aller pour en commenter le contenu ^^
Et pour moi ?
Il faut savoir croquer la vie (et les sandwiches) à pleine dent : c’est une expérience inoubliable de fromage, avec la fraîcheur d’un beurre pur et de la salade iceberg qui m’attend !
Tada ! L’expérience ayant été très oubliable (bien que nourrissante), dois-je en conclure que je ne suis pas un véritable amateur de fromage ? (ce que je trouve un peu désobligeant, vue la variété et la quantité de fromage consommé chez les Marathon…)
Il aurait été possible de compléter avec le BOB, dont voici le menu :
Soyons réalistes, pour 40 TL (1,35 €), il ne fallait quand même pas espérer une expérience inoubliable, à part la modestie de ce tarif.
Même quand on voyage au rang 1…
… on peut être derrière le rideau. Je me demande si les PNC ont eu eux aussi une expérience inoubliable ?
Descente vers SAW
Descente vers SAW, avec au premier plan l’île Büyükada
La côte anatolienne, à Karlıktepe
Les deux traits bleus au centre de la photo font partie de l’éclairage des bâtiments ultramoderne de l’İstmarina
Franchissement de la côte
Arrivée à SAW
Atterrissage : le terminal illuminé
Ce sera un transfert en PAX bus
Porte avant gauche ouverte
Fuselage shot
La descente se fait uniquement par l’avant
Aucune photophobie du personnel au sol
La Turquie est plutôt mal classée (103° sur 167) dans le Democracy Index de The Economist, mais c’est néanmoins un pays où l’on peut donner à un avion le nom de Demokrasi.
Un bon point pour SAW pour ces trois PAXbus impeccablement disposés en arc de cercle pour amener au plus vite tous les passagers de l’avion.
Un dernier coup d’œil au CFM LEAP-1A
Arrivée au terminal
Traversée de la salle de livraison des bagages
Et sortie
Où là, c’est soudain une certaine cohue…
… à laquelle nous échappons, ayant réservé un transfert associé à la réservation de notre hôtel
Cette fois-ci, pas d’attente causée par des accès routiers sous-dimensionnés comme à IST : nous retrouvons rapidement le van qui nous attend.
Et pas de bouchons sur le trajet, bien que la circulation soit assez dense (ici, sur le pont suspendu du Bosphore)
Je vous propose maintenant un bonus sur trois sites
Bonus : Pamukkale , Hierapolis et APhrodisias
Bonus : Cliquez pour afficher masquer
Aucun traitement d’image pour cette photo à notre arrivée à Pamukkale, le soir sous un ciel d’orage sur le point d’éclater
Le ciel était beaucoup plus serein le lendemain matin
Cette colline d’un blanc immaculé dominant la petite agglomération moderne en contrebas est connue depuis l’Antiquité.
Constituées par les dépôts de carbonate de calcium de sources chaude, ces terrasses de travertin s’étagent sur toute la hauteur du site
Aussi incroyable que cela puisse paraître aujourd’hui, une route avait été construite à travers le site pour desservir des hôtels. Cette route, tout comme les hôtels, a été détruite depuis, mais son tracé subsiste : c’est l’itinéraire exagérément large qu’empruntent les visiteurs aujourd’hui. Remarquez qu’ils doivent obligatoirement se déchausser : n’oubliez pas d’arriver avec un petit sac pour les transporter, sous peine d’en être bien embarrassé !
L’accès aux bassins naturels est désormais interdit, pour les protéger
… mais des bassins artificiels, trop vastes et aux parois trop hautes pour faire illusion, ont été aménagés le long de l’ancienne route pour permettre aux visiteurs toutes leurs fantaisies de baignade et de photos souvenir
Ces bassins artificiels permettent aussi des photos plaisantes (et de se rafraîchir les pieds, et plus si affinité)
… mais il faut avouer que fin mai n’est pas la meilleure saison pour visiter le site :
Il est déjà trop tard dans la saison et le débit d’eau a trop baissé
Conséquence : la plus grande partie du site est certes préservée par sa fermeture au public, mais à sec
Il faut bien chercher au téléobjectif des bassins naturels encore en eau
Reste la curiosité de cet arbre en fleurs qui survit envers et contre le travertin qui a recouvert le paysage autour de lui
… et ce bâtiment antique qui lui n’a pas eu cette chance
Hierapolis
La ville grecque de Hierapolis a été fondée au début du II° siècle avant JC en raison de la présence de ces sources chaudes, et aussi des émanations de gaz toxiques ayant suscité un culte de l’au-delà.
Cette porte monumentale marquait l’entrée de la cité
… derrière laquelle se trouvait la voie principale qui la traversait
Construit après un séisme en l’an 60 de notre ère, le théâtre avait été construit en utilisant la pente de la colline au-dessus de la cité
Le théâtre avait une capacité de 15 000 spectateurs
Dévastée par les Perses, puis par un séisme au début du VII° siècle de notre ère, Hierapolis fut abandonnée définitivement fin XIV°, alors qu’un autre séisme avait déjà détruit les restes de la ville antique.
Aphrodisias
Situé à l’écart de la route d’İzmir à Pamukkale, mais pas sur la route directe, les ruines de la cité grecque d’Aphrodisias sont peu visitées
Comme son nom l’indique, la ville était dédiée à Aphrodite, dont voici les restes du temple
La ville était administrée dans ce petit hémicycle : le Bouleuterion
Le théâtre romain
Sérieusement endommagé par le séisme du VII° siècle de notre ère, le stade avait une capacité de 30 000 spectateurs, avec une piste centrale de 270 m sur 30 m, loin, très loin quand même des 150 000 spectateurs du Circus Maximus de Rome, et sa piste centrale deux fois plus longue et plus large.
Il y a bien plus à voir en Turquie ; ce sera pour d’autres voyages. Merci de m’avoir lu ; si la visite vous a plu, n’oubliez pas de remercier le guide, d’un commentaire ou d’un like !
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Verdict
Pegasus Airlines
8.0/10
Cabine8.0
Equipage8.0
Divertissements8.0
Carte payante8.0
İzmir - ADB
9.0/10
Fluidité9.0
Accès9.0
Services8.0
Propreté10.0
Istanbul - SAW
7.8/10
Fluidité8.0
Accès5.0
Services8.0
Propreté10.0
Conclusion
Le vol de retour a confirmé la bonne impression de l'aller : un vol ponctuel (avec une solide marge opérationnelle, quand même), dans une cabine confortable. Il y a une offre de divertissement à télécharger que je n'ai pas utilisée. Le sandwich inclus n'est pas inoubliable (contrairement à ce que prétend son descriptif ^^), mais il fait le job.
ADB est facilement accessible, tant par la route que par le train (local et régional). Il n'y a pas grand chose à reprocher à cet aéroport aux services efficaces, tout au plus un accès wifi gratuit limité à deux heures.
L'accessibilité de SAW n'a été acceptable au retour que parce que nous avions un transfert réservé (contrairement à IST, c'était la bonne option), et parce qu'il était suffisamment tard pour échapper aux inextricables bouchons d'Istanbul de jour et le soir.
5 LIKESLIKER POUR REMERCIER L’AUTEURMERCI ! FLIGHT-REPORT LIKÉ
Pas beaucoup de compagnies c'est normal, c'est la partie domestique du terminal, l'activité c'est de l'autre côté qu'il faut la chercher :)
Merci aussi pour le rappel historique d'ADB, beaucoup se demandent toujours le pourquoi du comment ^^
A bord bien faut aimer le fromage :)
Porte avant gauche ouverte
Voilà maintenant c'est bien !
Pamukkale a été bien "rénovée" en 1998 c'était un piège à touriste avec cette fameuse route et ses hôtels, un endroit que j'ai détesté et fuis comme la peste, je vois que maintenant ils ont bien canalisé les flux et réussi à rattraper toutes leurs conneries d'exploitation massive du site.
Quant à Hierapolis et Aphrodisias, toujours aussi beaux. Deux merveilles au patrimoine inestimable de la Turquie.
La fin aurait dû être le vol de retour IST-CDG, mais c'était un vol de nuit, pas bien différent de celui de l'aller.
Pamukkale a été bien "rénovée" en 1998 c'était un piège à touriste avec cette fameuse route et ses hôtels, un endroit que j'ai détesté et fuis comme la peste, je vois que maintenant ils ont bien canalisé les flux et réussi à rattraper toutes leurs conneries d'exploitation massive du site.
Je ne peux m'empêcher de penser à ce que ce devait être, "avant avant" (avant la rénovation de 1998, et avant ces horribles aménagements touristiques qui ont été supprimés)
Quant à Hierapolis et Aphrodisias, toujours aussi beaux. Deux merveilles au patrimoine inestimable de la Turquie.
Hierapolis avait très peu de visiteurs, malgré la proximité avec Pamukkale. Sans doute pas assez instagrammable, et tant mieux !
Instructifs éclaircissements sur le code IATA de l'aéroport d'Izmir.
Quand ils ne rappellent pas la ville desservie, les codes IATA sont assez mystérieux pour les étrangers. Je suppose que CDG est incompréhensible pour la plupart des visiteurs chinois, pour ne parler que d'eux.
À bord, c'est sympa d'avoir un petit sandwich sans devoir bourse délier (même si bien sûr il a fallu la délier au moment de la réservation).
Merci François pour ce FR. ADB est finalement un aéroport assez important dans sa partie domestique. A bord il est plus rare de vous voir au premier rang. Pour avoir testé ce même sandwich, je n'avais pas gardé le souvenir des olives dans le pain. On aurait pu s'attendre à avoir une petite bougie avec, mais non....(private joke) Le vol a été bon, et surtout à l'heure. SAW était finalement une meilleure option ce jour là , car votre taxi était plus rapide pour arriver et revenir en ville. Pour ma part ce vol est encore et toujours dans mes brouillons en retard... ? Bonus qui nous permet de redécouvrir Pamukkale , il était agréable de séjourner juste au pied du site. L'homme est capable de massacrer ce qu'il y a de plus beau pour faire de l'argent, il y a eu un retour en arrière, mais on est loin décompte, 95% des touristes que nous avons croisés ce jour là était agglutinés dans les bassins à faire des photos d'eux mêmes assez ridicules, et les 5% restant faisait Hiérapolis. Et je ne parle même pas du désert touristique qu'est Aphrodisias. En tout cas l'essentiel c'est que cela a fait le bonheur de 3 amateurs de vieux cailloux. A bientôt
ADB est finalement un aéroport assez important dans sa partie domestique.
Cela donne une idée de l’affluence en haute saison !
A bord il est plus rare de vous voir au premier rang.
L’obligation de ranger dans les coffres tous les bagages à main, à l’atterrissage et au décollage, m’en dissuade généralement. Mais là, le vol était assez court.
Pour avoir testé ce même sandwich, je n'avais pas gardé le souvenir des olives dans le pain.
Elles ne m’ont pas laissé de souvenir photographique non plus
SAW était finalement une meilleure option ce jour là , car votre taxi était plus rapide pour arriver et revenir en ville.
Quelques mois plus tard, le métro arrivait à SAW ! Ce n’est pas tout près, mais le problème des bouchons est en très grande partie éliminé, de même que pour IST.
Pour ma part ce vol est encore et toujours dans mes brouillons en retard... ?
Un petit réconfort pour moi ?
Il était agréable de séjourner juste au pied du site [de Pamukkale].
Mais pas indispensable
95% des touristes que nous avons croisés ce jour là était agglutinés dans les bassins à faire des photos d'eux mêmes assez ridicules
J’ai eu la mansuétude de ne pas en poster de photo
et les 5% restant faisait Hiérapolis.
J’en déduis que nos rares selfies sur le site ne t’ont pas semblés ridicules ^^
Et je ne parle même pas du désert touristique qu'est Aphrodisias.
Aphrodisias et Dougga, même combat !
En tout cas l'essentiel c'est que cela a fait le bonheur de 3 amateurs de vieux cailloux.
Il y en a encore beaucoup d’autres à voir dans le monde.
Merci pour ce commentaire détaillé, et à bientôt !
Le vol était à l'heure et en plus il y avait un délicieux sandwich, que demander de plus ? Je pourrais dire qu'offrir 2 heures de wifi seulement est un peu faible mais le terminal domestique est fluide, ce n'est pas la peine de venir trop tôt à l'aéroport.
Heureusement que la plupart des touristes ne sortent pas des attractions principales, les sites archéologiques restent ainsi un peu plus préservés.
Je pourrais dire qu'offrir 2 heures de wifi seulement est un peu faible mais le terminal domestique est fluide, ce n'est pas la peine de venir trop tôt à l'aéroport.
A mon avis, cet accès internet permet surtout, à l'arrivée, de se connecter avant d'avoir la possibilité d'acheter une carte SIM data, par exemple en attendant la livraison de son bagage enregistré.
Heureusement que la plupart des touristes ne sortent pas des attractions principales, les sites archéologiques restent ainsi un peu plus préservés.
Dans les pays qui misent plus sur le tourisme "plages + soleil", les vieilles pierres attirent peu de monde, et je ne m'en plaindrai pas !
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8 Commentaires
Pas beaucoup de compagnies c'est normal, c'est la partie domestique du terminal, l'activité c'est de l'autre côté qu'il faut la chercher :)
Merci aussi pour le rappel historique d'ADB, beaucoup se demandent toujours le pourquoi du comment ^^
A bord bien faut aimer le fromage :)
Voilà maintenant c'est bien !
Pamukkale a été bien "rénovée" en 1998 c'était un piège à touriste avec cette fameuse route et ses hôtels, un endroit que j'ai détesté et fuis comme la peste, je vois que maintenant ils ont bien canalisé les flux et réussi à rattraper toutes leurs conneries d'exploitation massive du site.
Quant à Hierapolis et Aphrodisias, toujours aussi beaux. Deux merveilles au patrimoine inestimable de la Turquie.
A bientôt !
La fin aurait dû être le vol de retour IST-CDG, mais c'était un vol de nuit, pas bien différent de celui de l'aller.
Je ne peux m'empêcher de penser à ce que ce devait être, "avant avant" (avant la rénovation de 1998, et avant ces horribles aménagements touristiques qui ont été supprimés)
Hierapolis avait très peu de visiteurs, malgré la proximité avec Pamukkale. Sans doute pas assez instagrammable, et tant mieux !
Merci pour le commentaire, à bientôt !
Instructifs éclaircissements sur le code IATA de l'aéroport d'Izmir.
À bord, c'est sympa d'avoir un petit sandwich sans devoir bourse délier (même si bien sûr il a fallu la délier au moment de la réservation).
Superbe bonus qui me rappelle de très bons souvenirs!
À bientôt!
Quand ils ne rappellent pas la ville desservie, les codes IATA sont assez mystérieux pour les étrangers. Je suppose que CDG est incompréhensible pour la plupart des visiteurs chinois, pour ne parler que d'eux.
Le supplément était très modique
Merci pour le commentaire, à bientôt !
ADB est finalement un aéroport assez important dans sa partie domestique.
A bord il est plus rare de vous voir au premier rang.
Pour avoir testé ce même sandwich, je n'avais pas gardé le souvenir des olives dans le pain.
On aurait pu s'attendre à avoir une petite bougie avec, mais non....(private joke)
Le vol a été bon, et surtout à l'heure.
SAW était finalement une meilleure option ce jour là , car votre taxi était plus rapide pour arriver et revenir en ville.
Pour ma part ce vol est encore et toujours dans mes brouillons en retard... ?
Bonus qui nous permet de redécouvrir Pamukkale , il était agréable de séjourner juste au pied du site.
L'homme est capable de massacrer ce qu'il y a de plus beau pour faire de l'argent, il y a eu un retour en arrière, mais on est loin décompte, 95% des touristes que nous avons croisés ce jour là était agglutinés dans les bassins à faire des photos d'eux mêmes assez ridicules, et les 5% restant faisait Hiérapolis.
Et je ne parle même pas du désert touristique qu'est Aphrodisias.
En tout cas l'essentiel c'est que cela a fait le bonheur de 3 amateurs de vieux cailloux.
A bientôt
Cela donne une idée de l’affluence en haute saison !
L’obligation de ranger dans les coffres tous les bagages à main, à l’atterrissage et au décollage, m’en dissuade généralement. Mais là, le vol était assez court.
Elles ne m’ont pas laissé de souvenir photographique non plus
Quelques mois plus tard, le métro arrivait à SAW ! Ce n’est pas tout près, mais le problème des bouchons est en très grande partie éliminé, de même que pour IST.
Un petit réconfort pour moi ?
Mais pas indispensable
J’ai eu la mansuétude de ne pas en poster de photo
J’en déduis que nos rares selfies sur le site ne t’ont pas semblés ridicules ^^
Aphrodisias et Dougga, même combat !
Il y en a encore beaucoup d’autres à voir dans le monde.
Merci pour ce commentaire détaillé, et à bientôt !
Le vol était à l'heure et en plus il y avait un délicieux sandwich, que demander de plus ?
Je pourrais dire qu'offrir 2 heures de wifi seulement est un peu faible mais le terminal domestique est fluide, ce n'est pas la peine de venir trop tôt à l'aéroport.
Heureusement que la plupart des touristes ne sortent pas des attractions principales, les sites archéologiques restent ainsi un peu plus préservés.
Bons vols,
A mon avis, cet accès internet permet surtout, à l'arrivée, de se connecter avant d'avoir la possibilité d'acheter une carte SIM data, par exemple en attendant la livraison de son bagage enregistré.
Dans les pays qui misent plus sur le tourisme "plages + soleil", les vieilles pierres attirent peu de monde, et je ne m'en plaindrai pas !
Merci pour le commentaire, et bons vols !
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