Retour de Hong-Kong après un agréable week-end de 3 jours sur place. Comme pour l'aller, le vol sera en Eco avec Air France. Pour ceux qui auraient raté le premier épisode, c'est par ici.
Enchainement de vols
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L'horaire du vol AF est parfait pour optimiser son temps, car partant à 22h40, il permet de pleinement profiter de la journée sur place. L'arrivée à 5h50 à Paris pique un peu, mais elle me permettra d'être à l'heure pour mes rendez-vous pro du matin.
L'aéroport est situé juste à côté de l'île de Lantau, que nous souhaitions visiter. C'est pourquoi, afin d'éviter des aller-retour inutiles, nous avons effectué le trajet jusqu'à l'aéroport le matin même pour y déposer nos affaires et ensuite visiter tranquillement l'île de Lantau avant de rejoindre l'aéroport en fin de journée (bonus sur Lantau en fin de FR). C'est d'ailleurs la même organisation que nous avions eue le mois précédent au départ de MEX.
L'arrivée à HKG (1)
Depuis l'hôtel Ibis de Sheung Wan où nous séjournons, le trajet est très simple puisqu'un bus direct pour l'aéroport passe juste devant l'hôtel. Si nous avions su, c'est d'ailleurs celui-ci que nous aurions emprunté plutôt que l'Airport Express, qui nécessite un changement. Le bus (à impériale comme il se doit à Hong-Kong) est confortable et parfaitement adapté au transport de passagers se rendant à l'aéroport puisqu'il est équipé de racks de bonne dimension.

Afin de surveiller lesdits bagages quand on est à l'étage, un écran diffuse en direct une vidéo des racks. Comme on dit, la confiance n'exclut pas le contrôle…

Le bus nous dépose directement au niveau des départs. Les éclairages en mode décoration de Noël font un peu décalés ici mais après tout pourquoi pas.

La bonne impression que nous avions eue à l'arrivée se confirme ici, avec un hall grand, moderne et lumineux.


Asie du sud-est oblige, on trouve de nombreux bacs remplis (c'est vraiment le mot) d'orchidées.

Nous descendons au niveau des arrivées afin de déposer nos valises à la consigne. Le tarif est très clairement indiqué (14 HK$ de l'heure par pièce) et le personnel est très aimable. Il est à peine 9h et nous avons donc toute la journée pour découvrir l'île de Lantau (bonus en fin de FR).
L'arrivée à HKG (2)
Je vous retrouve donc en fin d'après-midi. Le réseau de transport public hong-kongais est d'une redoutable efficacité et nous voici donc dans un bus local direct pour HKG.

Là encore, c'est très propre.

Notre trajet nous fait passer devant les locaux de l'illustre compagnie locale devant lesquels trône ce magnifique DC-3.

L'île artificielle sur laquelle se trouve l'aéroport est immense et nous sommes encore loin du terminal. Les nombreuses dérives CX témoignent du patron des lieux.

Nous arrivons vers 17h à la gare routière, située un peu à l'écart. Le nombre de grues un peu partout sur la zone aéroportuaire est impressionnant.

Direction le terminal 1.

C'est bien fléché, large et lumineux, rien à dire.

Nous débouchons au niveau des arrivées à l'endroit même où nous étions 3 jours plus tôt. J'avise de grands panneaux fort utiles pour les passagers à l'arrivée sur les moyens de transport disponibles.

Alors certes, vu comme ça, ce n'est pas forcément très lisible.

Mais un peu à la manière des transports japonais, c'est extrêmement précis et on s'y retrouve assez facilement (pour autant qu'on sache exactement où on veut aller). Le plus clair est cette représentation géographique, avec les différents moyens de transports associés à l'endroit où vous voulez vous rendre.

Nous filons récupérer nos bagages à la consigne. Il n'y aura pas d'attente.

Puis nous montons à l'étage des départs.


Les différentes zones d'enregistrement s'enchaînent dans cet immense terminal.

Le FIDS est bien rempli.

Un écran d'information tactile permet de confirmer que le check-in s'effectue aux comptoirs D et que notre porte d'embarquement est la n°9. Les 27 minutes de marche annoncées me surprennent un peu, et fort heureusement il n'en sera rien.

Le petit logo à droite permet d'avoir la liste des salons auxquels nous sommes éligibles. Ce sera donc le Plaza Premium Lounge, à côté de la porte 1.

Mais il est encore un peu tôt et les comptoirs AF sont fermés.

Ce n'est pas bien grave, nous n'avons pas de bagage à mettre en soute et je profite des bornes automatiques pour récupérer nos BP.

Ouch, le vol sera encore bien rempli. Comme à l'aller, nous avons pu récupérer l'unique duo de sièges disponible en cabine Eco (cf. le vol aller : suite à un changement d'appareil après la réservation, le passage d'un 772 à un A359 le nombre de duo est passé de X à 1…).

Nos BP en mains, nous pouvons sereinement nous diriger vers les contrôle de sûreté. Nous n'avons pas vu de passage prioritaire, mais c'était très rapide. Enfin, sauf la PAF pour moi : le portique refuse de lire mon passeport, et tandis que Madame m'attend de l'autre côté, je dois faire la queue pour passer devant un PAFman. Comme de bien entendu, j'écope de la file la plus lente. Tout ça me prendra bien 15 minutes.

Nous voici airside.

Comme on peut s'y attendre, on y trouve de nombreuses boutiques. Deux grandes maisons de luxe françaises se font face. On peut dire qu'elles y ont mis les moyens.


On trouve aussi des enseignes plus locales, mais non moins luxueuses.

Côté restauration, c'est en mode food court que ça se passe. Les clients choisissent leur stand et récupèrent un plateau.

Avant d'aller prendre place à l'une des nombreuses tables.

Il est possible de prendre l'air sur une belle terrasse, mais en pratique celle-ci est utilisée par les fumeurs.

Un bien bel aéroport donc.

Nous nous mettons en marche pour le salon. Nous passons devant le salon que je suppose réservé aux passagers First et ne nous y arrêtons pas.

L'écran tactile m'a indiqué que le salon se trouvait à proximité de la porte 1, il y a donc une bonne marche pour nous y rendre.

Le chemin est heureusement agrémenté de quelques jolies vues, à la lumière du soleil couchant.

Outre CX, on trouve du beau monde, comme LX en 340 ou QF en A380.

Nous finissons par arriver au Plaza Premium Lounge.

Après cette bonne marche, nous espérons trouver un peu de réconfort, mais las ! Le préposé nous indique le salon n'accueille plus les passagers Air France et que nous devons nous rendre au salon Qantas. En soi ce n'est pas une mauvaise nouvelle, mais nous sommes un peu agacés d'avoir marché tout ça pour rien.
Du coup marche arrière, nous partons en quête du salon QF. Celui-ci n'est pas très bien indiqué, mais nous finissons par trouver une flèche pour nous orienter.

Il faut dire que l'accès est un peu dérobé.

Le salon Qantas
Notre éligibilité est validée par une charmante cerbérine. Ce sera une première pour moi dans un salon QF. Celui-ci a été assez peu reporté, la dernière fois étant par michelg dans deux FR de 2020 ici et là.

Nous sommes accueillis par ce manekineko, dont l'association avec le logo de Qantas est un peu détonante.

Le salon est tout en longueur et positionné en mezzanine ouverte, ce qui donne une belle sensation d'espace. On ne peut pas dire qu'il faille chercher pour trouver une place assise.



C'est grand… QF a vu les choses en format XXL, surtout pour un salon hors base. On imagine que HKG représente une destination importante pour la compagnie australienne.



J'ai particulièrement apprécié le comptoir, avec deux barmen et la possibilité de s'installer pour dîner.

Nous profitons d'ailleurs de l'offre de cocktails, réalisés à la minute par les barmen.

Etrangement, lorsque je demande un negroni, l'un d'eux est gêné et me dit que ce n'est pas possible. C'est un peu l'histoire de la crête au sucre des Bronzés font du ski : vous avez du campari, vous avez du gin, vous avez du vermouth ? Le barman me répond qu'il ne peut faire que les cocktails à la carte, mais il se montre conciliant et me dit que je le souhaite je peux le faire moi-même. Un peu surpris, je fais donc moi-même mon negroni devant lui.
Les cocktails proposés sont en tout cas très flatteurs visuellement, c'est rare dans un salon d'aéroport.

Nous demandons également quelques dim sum pour profiter jusqu'au bout de la gastronomie hong-kongaise, et ceux-ci nous sont amenés à la place de manière très élégante.

Allez, seconde tournée pour tester l'offre.

Puis il est temps de passer à temps. Nous n'attendons pas grand-chose de l'offre en vol, surtout pour un vol si tardif, et nous prenons donc place au comptoir.

Le choix est limité, mais de qualité, dans ce sens-là ça ne me gêne pas. Le tout est bien sûr amené à la place. Franchement, on est sur une prestation de très haut niveau pour un salon business.


Il y a bien sûr une offre plus classique, avec self-service, mais franchement nous sommes bien mieux là. Nous sommes d'ailleurs surpris d'être les seuls clients à en profiter. Du coup les deux préposés sont très sympas avec nous et particulièrement attentionnés.
Par acquit de conscience, je vous présente l'offre en self service.





L'embarquement
Après un agréable moment passé au salon, nous prenons la direction de notre porte d'embarquement. En chemin, nous passons devant le salon du patron des lieux, le Deck de Cathay Pacific.

Nous n'avons pas très loin à aller pour rejoindre notre porte d'embarquement, c'est un bon point.

Celle-ci est encore déserte, mais les agents sont bien présents et les files bien matérialisées.

Ah tiens justement, voici le Deck de CX, avec sa grande terrasse.

Notre oiseau du soir se cache quant à lui derrière les passerelles, mais impossible de ne pas le repérer.

Comme à l'aller, il s'agit d'un A350 initialement destiné à Joon. L'immatriculation m'apprendra que c'est Aix-en-Provence, sorti de l'usine il y a tout juste 6 mois.

L'embarquement est lancé dans le calme. L'affichage indique que notre vol est effectué en partage de code avec QF, ce qui explique sans doute l'accès au salon.

Les passagers business sont appelés à embarquer en priorité.

C'est parti !

L'embarquement se fera par la porte avant gauche pour tous les passagers.

Le flight report
Ceci permet de traverser la business, que je trouve vraiment réussie visuellement.

Puis la premium eco, sur laquelle je n'aurais pas craché pour ce vol retour. Mais contrairement à l'aller, aucune offre de surclassement n'était disponible pour ce vol.

Ce sera donc tout au fond de l'appareil que nous rejoindrons nos places.

Où Madame est déjà arrivée. L'avantage de l'embarquement prioritaire quand on voyage en Eco, c'est qu'on a la cabine pour soi tout seul pendant quelques instants. Sensation pas désagréable il faut l'avouer.

Nous retrouvons notre duo de siège, au-dessus duquel trône l'accent d'Air France. Comme à l'aller (cf. le premier FR), cet unique duo a été obtenu de haute lutte (en fait non, par chance ou par la grâce de nos statuts) suite au changement d'appareil qui nous a fait passer d'un 777 à cet A350.

Cette fois-ci, les PNC nous ont laissé de la place pour nos bagages.

Les passagers Y commencent tout doucement à arriver.

C'est le même siège qu'à l'aller, si nécessaire je vous renvoie au premier vol pour la description détaillé de celui-ci. Le gros plus reste le large espace sur la gauche, permettant de ranger ses affaires.

Les deux sièges sont en effet alignés sur les sièges B et C de la rangée précédente.

L'IFE est moderne et de qualité.

Par contre je suis un peu surpris de ces nouvelles publicités lancées au chargement.

L'IFE est opérationnel tout de suite, c'est déjà ça.

Je vous retrouve directement au moment du décollage, vers 23h15. Pas facile de prendre des photos de nuit, surtout avec un smartphone.

La géovision me confirme que nous sommes du bon côté pour avoir la vue sur Hong-Kong.

Mais ça c'est la théorie, car en pratique, étant donné la couverture nuageuse, ce n'était pas si évident.


Un quart d'heure après le décollage, les PNC distribuent des lingettes rafraîchissantes. C'est un geste qui peut sembler modeste, mais c'est bien agréable.

Notre avion prend la direction du nord-ouest, c'est parti pour près de 14 heures de vol.

Le service du repas démarre une demi-heure après le décollage, et franchement j'en suis bien content car nous commençons à être un peu fatigués.
Voici le plateau tel que déposé, avec le choix de la boisson dans la foulée. Après nos agapes du salon, nous n'avons plus très faim mais que ne ferait-on pas pour flight report ?

Comme à l'aller, c'est le chef de cabine Y qui s'occupe de nous (les CCY sont-ils systématiquement à l'arrière gauche de la cabine ?). Il est très sympa et l'embarquement parmi les premiers a permis de prendre le temps de discuter un peu.

Allez, trinquons à ce bon week-end hong-kongais.

Entrée pois chiche quinoa et légumes. Ce n'est pas mauvais du tout et c'est rafraîchissant.

En plat j'ai choisi le porc préparé à l'asiatique. C'était très bon et j'ai vraiment apprécié.

Plus que les couverts en bois, toujours aussi peu agréables au contact en bouche.

Je suis surpris de trouver dans ce catering ex-HKG du beurre et du fromage de marques françaises.

Le dessert quant à lui a moins d'intérêt, ce n'est pas ce que j'ai préféré.

Cette petite poire sera parfaite pour essayer de dormir.

Lorsque je décide de passer en mode dodo, nous sommes partis depuis environ 2h30.

Après une nuit pas si mauvaise, c'est l'heure de la collation. La durée du vol mériterait quelque chose d'un peu plus consistant, mais AF a fait le choix du panier "bon appétit".

Tout cela n'est vraiment pas très qualitatif. Les deux morceaux de fruits qui se battent en duel font un peu pitié.

Il y a bien du chaud, avec cette pâte feuilletée aux légumes et au fromage. C'est bon, mais la quantité est trop juste.

Il nous reste encore 2h20 de vol, mais le repas remonte à près de 10 heures, donc la faim était bien là.

L'IFE permet de suivre tranquillement la fin du trajet jusqu'à CDG.

Le trajet parcouru montre bien l'évitement du territoire russe.

J'essaie de suivre l'atterrissage sur la caméra embarquée, mais ce n'est pas très concluant.

Nous arrivons sous le crachin hivernal de CDG à 6h du matin. Ce winglet est vraiment très réussi esthétiquement, si en plus il permet d'économiser du carburant, que demander de plus ? ^^

La caméra sera en revanche intéressante pour suivre notre arrivée au parking (avec une quinzaine de minutes de retard sur l'horaire prévu) et les manœuvres de la passerelle.

Inévitable instant Danette (comment dit-on Danette en chinois ?). Nous restons tranquillement à notre place, étant certains d'être les derniers de toute manière.

C'est plus tranquille comme ça. La prise de congé avec l'équipage est cordiale.

La remontée de la cabine permet voir à nouveau celle-ci dans son entièreté, bien qu'un peu moins bien rangée que tout à l'heure.


C'est donc bon derniers que nous quittons cet A350 qui nous aura ramené à la maison.

Un bien bel avion, que je reprendrai avec grand plaisir.

L'arrivée à CDG
C'est au hall M que nous arrivons. Le hall des départs est logiquement encore désert en cette heure matinale où la plate-forme s'éveille.

Enfin, s'éveille, c'est vite dit, car du côté des arrivées c'est réputé comme l'une des pires heures pour passer les formalités. L'instinct nous invite à presser le pas.

Le flot des passagers se dirige vers le LISA.

Un petit coup de train plus tard nous voici au hall K pour passer la PAF.

Sauf qu'en bas des escalators, dans cette affreuse salle immense et basse de plafond, c'est une cohue invraisemblable.
A ce moment, je me dis que je ne serai jamais à l'heure pour mes rendez-vous pro dans Paris. Mais je repense alors au fait que nous disposons de nos BP pour LYS. En effet, le billet initial était un A/R au départ de Lyon. Nous ne comptions pas utiliser le dernier tronçon, mais voilà que celui-ci nous sera fort utile.
Nous prenons donc le chemin des correspondances vers le 2F et là, miracle, la file est totalement vide. Certes il faut marcher un peu et préalablement repasser un PIF, mais le jeu en vaut la chandelle.

Il n'est pas encore 7h lorsque nous empruntons la sortie et repassons landside. Ce parcours via le 2F nécessite un peu de marche mais cela ne nous aura pris que 20 minutes depuis la sortie du LISA, alors que l'attente à la PAF était au moins d'une heure.

C'est ici que se conclut ce FR, maintenant place au bonus !
Bonus touristique
Pour cette dernière journée hong-kongaise, direction l'île de Lantau, à proximité immédiate de l'aéroport. Contrairement à l'image qu'on se fait de Hong-Kong, les îles alentours sont restées relativement sauvages.
Un incontournable reste la visite du grand bouddha assis de Tian Tan (réputé le plus grand du monde). Pour le rejoindre, il est possible de prendre le bus, mais la grande attraction locale consiste à prendre le téléphérique. Lorsque nous y arrivons, celui-ci vient tout juste d'ouvrir et il n'y a que très peu d'attente.

C'est vrai que la vue est assez incroyable.

La vue sur l'aéroport est tout aussi bluffante.

Le téléphérique parcourt tout de même près de 6 km au-dessus d'une forêt qui semble parfaitement sauvage. Le contraste avec la frénésie de Hong-Kong est saisissant.

Et voilà qu'apparaît le grand Bouddha de Tian Tan.

Le village de Ngong Ping auquel on arrive est très touristique, mais en ce lundi matin, c'est encore très calme.

Pas de téléphérique pour accéder au Bouddha, c'est à pédibus qu'il faut gravir la volée d'escalier.

Haute de 34 mètres, cette statue de bronze construite au début des années 1990 fait tout de même 250 tonnes. Elle abrite à l'intérieur un temple que l'on peut visiter.

Juste à proximité de la colline du Bouddha, se trouve le monastère de Po Lin.


La visite est pittoresque et animée, avec les nombreux fidèles venus faire des prier et brûler de l'encens. La taille de certains bâtons est tout à fait impressionnante.

La visite du grand Bouddha et du monastère est somme toute assez rapide et nous décidons d'aller visiter le village de pêcheurs de Tai O. Un bus nous y amène en quelques minutes.
Le village est tout à fait charmant, et même s'il est une destination plutôt touristique, il a su garder un côté authentique.


Les pêcheurs proposent tout un éventail de produits de la mer.


Si la fraîcheur du produit est indubitable, le respect des normes sanitaires reste quelque peu discutable.

L'une des attractions de Tai O est de faire l'excursion en bateau pour aller voir les dauphins roses. La balade vous emmène d'abord au milieu des canaux bordés de maisons sur pilotis.

Avant de vous emmener au large à la rencontre de ces fameux dauphins. On estime qu'il n'en reste plus que 2.000, ce qui est bien peu pour garantir la survie de l'espèce. En cause, l'industrialisation de l'estuaire de la rivière des Perles, les ferrys entre Macao et Hong-Kong et les infrastructures construites ces dernières années (le pont reliant Macao et Hong-Kong, mais aussi le nouvel aéroport de HKG). Impossible de prendre des photos potables, mais nous les avons bien vus, et ils sont bien roses ! Je vous mets tout de même une photo attrapée sur le net pour vous donner une idée.

Nous n'étions que 6 sur le bateau, avec une sympathique famille chinoise de Shenzen dont la fille aînée était ravie de pratiquer un peu d'anglais.
Puis balade sur les hauteurs du village, avec un étonnant cimetière, lové dans une vallée sauvage.

Une promenade avec de belles vues sur la Mer de Chine méridionale et servie par un temps superbe qui ne donne pas tellement envie de rentrer à la maison !

Bonjour,
Merci pour le partage.
Le salon de Qantas est de haut niveau, le service à la place n'est pas répandu dans les salons business.
A bord c'est du classique avec toujours cet horrible sac bon appétit complètement inadapté pour les vols de plus de 9 heures.
A CDG la cohue de 6h15 à 8h00 est une tradition bien respectée.
A bientôt,
Merci pour le commentaire.
Effectivement le salon Qantas m'a bluffé, mais il est vrai qu'en Asie le sens du service est plus développé que chez nous.
L'arrivée à CDG le matin : l'horreur...
A bientôt.
Hello Stéphane
Je pensais que AF proposait de la First sur ce segment ?
Super ce DC 3 à côté du terminal.
le salon mérite vraiment qu'on s'y attarde, un must !
A bord, je ne suis pas fan de cette dernière rangée ou le dossier du siège ne bascule pas...
L'équipage est sympa, un bon point.
La première prestation semble correcte, la seconde n'est pas digne d'un vrai petit déjeuner.
Bien joué à l'arrivée avec le passage destiné aux transferts !
L'ïle de Lantau est sympa à visiter, il faisait très froid là haut lors de mon dernier passage, ça commence à dater...
Merci pour le partage, à bientôt.
Salut Hervé, merci pour ton commentaire.
Il y avait bien de la Première avant, mais AF a redéployé sa flotte plutôt sur les US (la P a aussi disparu de JNB).
L'inclinaison du siège au dernier n'est a priori pas moindre que celle des rangs précédents, du moins cela ne m'a pas trop dérangé.
J'ai adoré Lantau, c'est un bon contre-point à l'ambiance urbaine de HK. Et nous avons été gâtés par le temps !
A bientôt.
Merci pour le partage Stéphane,
Une bonne idée que de profiter de sa dernière journée pour visiter l'ile de Lantau, une idée à creuser.
Il nous est arrivé la même chose en septembre, mon passeport récalcitrant m'a obligé de passer par un contrôle manuel alors que Madame attendait de l'autre coté.
Le salon Quantas est indiqué quand on enregistre au comptoir il a l'avantage d'être situé proche du contrôle le sortie. Il est de grande qualité même si je préfère les salons CX notamment The Pier?
A bord, nouvelle cabine et équipage prévenant avec un bon repas. Dommage le sac Bon Appétit vienne tout gâcher.
Bien vu le shortcut en passant par le 2F.
A bientôt.
Merci Michel pour le commentaire.
En organisant notre séjour, et même si les transports hong-kongais sont efficaces, ça nous semblait un peu bête de faire plusieurs aller-retour dans la même journée, donc autant optimiser. D'autant plus que Lantau est une belle découverte.
Toi comme moi devions avoir quelque chose à nous reprocher aux yeux de la SAR...
Je ne connais pas les salons CX, mais c'est logique qu'ils soient meilleurs étant donné que HKG en est le QG. Je vole très peu sur OW, donc peu de chance d'essayer à court terme mais pourquoi pas ?
Le shortcut par le 2F : la bonne méthode pour zapper l'horreur du 2E à 6h du matin. Mais il faut un billet en correspondance.
A bientôt !
Merci Stéphane pour le partage et la redécouverte du salon QF.
Une vraie réussite !
Chapeau pour enchainer week end de trois jours à HKG, vol en éco et rdv pro tout de suite après.
Le catering fait plutôt envie, du moins pour la prestation principale, le petit déjeuner est lui, risible.
Et bien, le hall d'arrivée avec une heure d'attente à la PAF, ça promet pour les JO. Heureusement qu'il te restait ton arme secrète et tes BP vers LYS ^^
A bientôt !
Merci pour ce récit et son très beau bonus Stephane ! Sympa le DC3 de Cathay je ne l'avais jamais vu.
Le passage au salon, une cabine confortable et récente, un équipage attentionné et un bon catering principal rendent ce voyage agréable. La prestation petit déjeuner n'est pas à la hauteur pour un vol de cette durée, mais cela semble de plus en plus la norme en eco toutes compagnies confondues.