Bonjour à tous chers lecteurs,
Dernier vol de cette série de huit vols entre l'Europe et le Golfe persique. Il y a bien un moment où il faut rentrer au bercail.
Enfin j’y suis ! Enfin le rêve se réalise ! Je ne sais pas si c’est le point d’orgue de cette virée tant Etihad a bien fait les choses à l’aller, mais en tout cas, c’est bien la photo de ce vol, prise il y a un peu plus d’un an, qui a guidé mes choix. Je suis épuisé par l’enchaînement des vols, mais je suis vraiment heureux de pouvoir ajouter l’A380-800 de Qatar Airways à mes tableaux et dans ma vitrine de modèles réduits.
Mais je dois garder à l’esprit qu’ici, c’est Flight-Report, et que je dois le plus factuellement possible, décrire mon ressenti de ce vol, mon expérience en tant que passager.
Pour ceux qui n'auraient pas suivi tout le cheminement, c'est expliqué juste en dessous. Pour les autres, vous pouvez passez plus un peu plus bas.
Je vous présente une virée dans le Golfe persique qui est le fruit de plusieurs envies et réflexions qui perturbaient mes pensées aéronautiques depuis quelques mois. Je vais essayer de vous expliquer cela.
On dit parfois d’une photo, d’une image, qu’elle peut vous marquer au point d’infléchir vos choix, votre manière de penser. Et cette photo, c’est moi qui l’ai prise. Ce n’est pas un chef d’œuvre, loin de là, c’est seulement une prise de vue d’un avion dont l’atterrissage à Heathrow est imminent. Mais ce n’était pas n’importe quel avion. C’était un A380. Par ses dimensions, par son prestige, par son confort, cet avion a toujours eu une place de choix dans mon cœur. Je n’ai qu’une fois voyagé à son bord, de Johannesburg à Paris, sous les couleurs d’Air France. Depuis cette virée africaine, ma vie personnelle a beaucoup changé, réduisant le champ des possibles de mes voyages. Puis la crise sanitaire a balayé bien des rêves, modifiant profondément l’équilibre économique du transport aérien. Pour autant, même avant les ravages du virus, l’A380 n’avait plus forcément bonne presse auprès de certaines compagnies. Le « mérou » bâtait de l’aile et le COVID lui avait pratiquement asséné le coup de grâce.
Contre toute attente, le géant du Airbus n’avait pas dit son dernier mot ! Et certaines compagnies ont fait le choix de le maintenir, ou plutôt de prolonger sa carrière, pour accompagner le retour dans les airs des passagers. Malgré cela, on peut observer une réduction de la flotte initiale, mais ce retour presque inattendu de l’A380 dans les airs ne serait durer, permettant simplement de faire le joint en attendant la livraison d’appareils plus efficients.
Pour en revenir à la photo, la voici : il s’agit du vol QR 3, Doha - Londres, sous un éclatant soleil, en février 2022. J’aime beaucoup la compagnie Qatar Airways, j’ai déjà eu l’occasion de voyager avec elle (en 2013, notamment à bord d’un A340-600), et j’avais bien apprécié le niveau de service. L’A380 qatari est lui aussi condamné à moyen terme et de prendre une photo de celui-ci m’a amené à réfléchir à monter un routing pour l’ajouter à mon tableau de chasse. Fin de l’acte premier.

Acte deux. En décembre dernier, cherchant le sommeil dans un hôtel bruxellois dont l’isolation phonique n’était pas la caractéristique principale, j’entends le passage d’un "heavy". Ni une, ni deux, je consulte FlightRadar24 et je constate que c’est un A380 d’Etihad qui fendait le ciel nocturne du plat pays. Je regarde quelques photos de cet appareil. Je trouve que cette livrée lui va à merveille. Mer## ! Voilà une nouvelle envie de plus en plus marquée de reprendre le géant des airs. Ça cogite fort, je regarde comment je peux combiner des vols avec pour objectif principal de voler à bord de ces deux mastodontes aux si belles livrées. Fin de l’acte deux.
Après moultes réflexions, je trouve une fenêtre de tir où je suis à la fois dégagé de mes diverses obligations, qu’elles soient familiales ou professionnelles. J’ajoutais quelques vols en amont et en aval, ce qui donne ce routing très soutenu qui me permet d’ajouter trois nouvelles compagnies (Etihad, Oman Air et SalamAir) et trois nouveaux aéroports (AUH, MCT, BAH).
Voici donc le programme des réjouissances :
Enchainement de vols
- 1
- 2
- 3
- 4
- 5
- 6
- 7
- 8QR3 - Qatar Airways - Économique - Doha - London - A380-800
Transit réduit à DOH
Fraîchement débarqué de mon A330-300 Oman Air en wet lease pour QR, mon vol suivant, le fameux QR3 est déjà en "Go to gate". Je ne pourrais donc pas avoir du temps pour une visite plus approfondie des installations de DOH.

J'avais connu les anciennes (aujourd'hui appelées DIA), lors d'un double transit en 2013. Ça a bien changé de dimension.

Les enfants ne sont pas oubliés.

Passage obligé aux côtés de l’imposante mascotte de l’Exposition internationale de Qatar 2023. Les populations asiatiques semblent apprécier l’exercice qui consiste à se tenir fièrement devant le nounours. Non, je ne céderais pas à la tentation !

J'y suis presque.

Et me voilà en porte. Le pré-embarquement a déjà débuté.

Vous pouvez noter que la salle de pré-embarquement est elle aussi divisée en zones, pour faciliter et accélérer l’accès à l’A380.

On peut noter que c’est fort logiquement que la télé diffuse la chaîne qatarie Al-Jazeera.

Ça y est, il est là, le voilà, celui qui a « hanté » mes nuits, celui qui m’a travaillé un bon moment. Enfin, je vais pouvoir le logger.

Voici une présentation de l’A7-APE.

À nos côtés, un autre mérou, l'A7-APG, qui s'en va vers Paris, vol QR 39.

Embarquons à bord du paquebot des airs
Puis il est l’heure d’embarquer pour de bon. J’ai vraiment le sourire, je suis excité, je redeviens un gamin.


Pour le fuselage, faudra repasser.

La porte des A380 est décidément bien trop grande pour capter son entièreté.

Accueil souriant.
Stairway to heaven.
Plus modestement, je reste au rez-de-chaussée, ou plutôt au pont inférieur.

Mon siège pour les prochaines heures. Il est confortable et sobre.

Le pas est correct sans être énorme.

Visiblement, je suis dans le bon vol.

Le PSU.

La tablette de taille moyenne.

Le contenu réduit de la pochette.

La safety card recto verso.


Sans être ridicule, la taille de l'IFE est plus réduite qu'à bord de l'A380 d'Etihad.

La cabine s'est bien remplie.

Notre voisin qui s'en ira vers Paris, après nous, en principe.

La boucle avec un bien bel oryx gravé. Ça c'est chouette !

Les consignes de sécurité sont diffusées. Elles sont plutôt bien faites, sur le thème des destinations desservies par Qatar Airways.
















Un casque est distribué ; il sera de bonne facture.


Une urgence médicale sur un enfant nous retarde.
Pas trop de stress pour moi, je n'ai pas de vol après celui-ci. Mais j'ai quand même un Eurostar à attraper à Londres. Mais une urgence est une urgence. On verra bien pour la suite. Ce routing est plein de rebondissements. C’est pas interdit qu’il y ait encore des surprises.
C'est finalement le vol vers Paris qui prend l'initiative.

Nouvelle annonce du commandant de bord. Cette fois-ci, c'est bon !
À 08h32, nous débutons le roulage.

La dernière fois que j'avais volé avec Qatar Airways, c'était le 21 avril 2013, à bord de ce 777 A7-BAZ, vers CDG, vol QR 15.
Aujourd'hui, il ira vers Bangkok, vol QR 832.

C'était un des appareils que je visais, après le bon report d'Okapi (voir ici -> https://flight-report.com/fr/report/64769/qatar-airways-qr1055-abu-dhabi-auh-doha-doh/). Mais je ne regrette pas l'A330 finalement. Les MAX ont de beaux jours devant eux !
Le B38M A7-BSG ira dans la soirée à Erbil, dans le Kurdistan irakien.

Ce 787-8 (A7-BCL) ira vers Düsseldorf en vol QR 85.

Nous nous dirigeons vers le seuil de la 34R ; nous serons autorisés à griller la politesse à ces cinq appareils dont l’A380 vers Paris. Voilà une manœuvre qui nous permettra de gagner quelques précieuses minutes.


Line up runaway 34 right.

Et zou !
Je suis encore ébahi par le niveau sonore très bas de l’A380, d’autant plus que je suis en tête de l’appareil. C’est vraiment très appréciable. Ça donne une impression de grâce et d’aisance à l’appareil.

Le voyage commence par un survol du Golfe persique qui est bien embrumé en cette matinée.
La première prestation est servie. J’ai choisi l’option végétarienne.


Les couverts sont en métal et logotés.

C’était pas trop mal. Par contre, il n’y a pas de condiments proposé. C’était bien assaisonné, ça n’a finalement pas manqué. Le vin rouge était d’un bon niveau.
Pas de café ou thé de proposé à l’issue du repas. C’est dommage.
Mais j’ai oublié de vous faire en photo le repas une fois déballé.
J’étais plus accaparé par l’observation du plancher des vaches dromadaires avec ici, la ville d’Al-Midaina, baignée par le fleuve Euphrate. La frontière iranienne n'est pas très loin tout comme la ville de Bassorah.
Je vous explique même pas comment cela a été compliqué de trouver les localisations.

Ici, c'est le fleuve Tigre qui sillonne le désert apportant sa précieuse ressource aux rives.

Dès qu’on s’éloigne des bords du fleuve ou des ses affluents, c’est le désert qui reprend le pas.

Il existe des zones irriguées, toujours non loin du Tigre, ici vers 'Ali.

Erbil, capitale du Kurdistan irakien. On devine parfaitement l’aéroport international EBL.

On arrive enfin aux Monts Zagros, à cheval sur l'Iran, l'Iraq et la Turquie.

Vraiment dommage ces nuages, c'était bien enneigé.


Puis c'est une loooooongue zone couverte qui nous attend.
On va reprendre le cours de la vie à bord. Une deuxième prestation est servie aux passagers. Elle se résume à une part de pizza au poulet et poivron. C’était bien bon.
C’est à ce moment-là que sont proposés les boissons chaudes.

Retour sur l'IFE. J'ai pu regarder une bonne partie de cet intéressant reportage sur cette légende de la guitare électrique.

Focus sur la géolocalisation. Elle est pas trop mal fichue ; l'A380 est bien modélisé.







Focus également sur la télécommande. En revanche, elle ne fonctionne pas vraiment bien.





Je trouve le choix de films ou de musiques assez limité.
Jouer avec la télécommande (j’ai essayé de faire un mah-jong) qui fait office de manette, est assez éreintant.

Trouée nuageuse sur l’Allemagne, dont la localisation est plus qu’aisée puisqu’au niveau de la mine de lignite d’Hambach dont les dimensions hors-normes permettent de la reconnaître au premier coup d’œil. https://fr.wikipedia.org/wiki/Mine_de_Hambach

Notre descente débute, rendant l’avion encore plus silencieux qu’il ne l’est. Quel plaisir par rapport à 777 par exemple.
Le moodlight est activé.

La météo est très changeante sur l’Europe.
Nous quittons le continent au niveau de l'embouchure de l'Escaut, précisément à Burgh-Haamstede (NL).

Un parc éolien dans la Mer du Nord.

Le Royaume-Uni avec au premier plan Frinton-on-Sea et légèrementr sur la droite Walton-on-the-Naze. Non, on ne rit pas !

L’approche de LHR a été un grand classique avec un parcours tourmenté.

Et rapidement, on arrive sur la tentaculaire agglomération londonienne. On voit ici l'Arsenal Stadium (Emirates Stadium) dont Qatar Airways vient narguer les actionnaires en passant à côté.

Les arrivées à LHR sur les pistes 27 sont un vrai bonheur pour ceux qui sont assis côté droit de l'appareil.


Une charmante petite propriété au cœur de la capitale britannique. Ça doit être sympa d'y faire des barbecues.

Ça sent la fin imminente de ce routing. On est plus très loin du lieu où j'avais pris la fameuse photo du même vol il y a quelques mois en arrière. Mission accomplie !

Et nous voilà posés en douceur sur la 27R.

La couleur des dérives ne donne pas d'hésitation quant à l'aéroport où nous venons de nous poser.

Un bel appareil, mais bien plus bruyant que notre quadri !

Il nous faut traverser la 27L et céder le passage à cet A330-300 qui retourne vers les États-Unis…

… mais aussi à ce 787-9 qui s'en va vers Seattle, vol VS 105.

Tout un symbole, nous venons nous garer à côté de cet autre A380-800, aux belles couleurs d'Etihad. La boucle est bouclée !

Les PNC nous saluent chaleureusement en sortant. C'était un bon équipage.
Je tente cet autre fuselage shot.

C'est parti pour une nouvelle exploration du T4 de LHR.

Dernier regard. Je suis à peine descendu de cet A380 que j'ai déjà envie d'en ajouter d'autres à mes statistiques. On verra ça plus tard.

Le passage de la "frontière" sera une formalité. Ici, comme dans d'autres pays européens, ça fonctionne parfaitement. Pas comme chez nous…

Je n'ai pas de bagages, hormis mon petit sac, je file donc vers le tube.


Une dernière chance ? Non merci, toujours pas.

Je ne sais même pas combien ça me coûterait en taxi, ni même le temps que ça prendrait. Ce n'est pas l'option que j'ai choisie.

Direction les profondeurs de LHR.

Ce n'est plus du tout la même configuration, la même vue, le même confort. Dur retour sur sous terre.


Finalement, le retard n'était pas si important et m'a même permis de m'en jeter une dans un pub non loin de la gare de Saint-Pancras.
Par contre, malgré ma demi-heure d'avance avant d'embarquer, c'était la cohue pour passer les contrôles. C'était même très juste au niveau timing. Comme quoi, s'il faut prévoir d'être sur place une heure avant, le train perd bien de ses avantages…
Voyage vers Paris puis vers Lyon. J'arriverais chez moi à 23h30. Rincé, mais heureux. Très heureux.

Le vol selon Flighradar24.

Et une dernière louche de stats pour la route.

Un troisième A380 rejoint ma flotte personnelle au 1/400e. Il est immatriculé A7-APE pour ne rien gâcher.

Merci de m'avoir lu jusqu'au bout.
L'A380 est vraiment un très bel avion.
J'avais aussi été impressionné par le peu de bruit en cabine, c'était agréable.
Merci pour ce FR
Merci pour le commentaire Moritz.
L'A380 restera un succès technologique et synonyme d'une nette amélioration du confort.
Mais il restera un échec commercial ce qui est regrettable.
Bons vols
Salut cher lyonnais et merci pour le retour en mérou!
ça aurait pu être une première eheh
l'aéroport semble immense.
superbe photo au parking du mérou.
Un instant porte pas évident avec cette porte immense!
ça aurait sympa là-haut!
Le siète a l'air honnête pour de l'éco
L'écran de l'IFE n'est pas super grand oui.
Belle séance de spotting surle taxiway
Le plateau est correct, tiens je vois sur le chariot que le champagne est aussi proposé, Air France ne serait pas la seule donc.
La petite pizza a l'air intéressante mais fallait pas avoir trop faim.
Tellement beau!! Tiens je revois mon ancien chez moi ahah
tiens tu n'as pas pris la elisabeth line pour rejoindre st pancras...
Jolie maquette
Merci pour le commentaire cher Lyonnais.
Nan ! Définitivement.
Il l’est, et c’est pas fini avec les extensions en cours. Si ça permettra d’éviter les transferts en PAXbus, ça sera pas mal.
Et en plus le soleil a bien voulu pointer à ce moment-là.
Ça ressemble à du champ’ mais c’en est peut-être pas. J’aurais pu regarder un peu mieux.
Opération body summer.
Ça implique un changement et c’est plus cher. J’ai donc fait comme les prolos, j’ai pris le tube.
Bons vols et faut qu’on se prenne un peu de temps pour boire un pot !
Merci pour ce FR.
Et bravo pour la réalisation de ce rêve !
En fait, c’est Arsenal FC le propriétaire lui même propriétaire de Stan Kroenke. Ce dernier a gagné tous les championnats auxquels ses clubs participent (NBA avec Denver, NFL avec les Rams, NHL....) sauf la Premier League !
A bientôt !
Merci pour le commentaire.
Tant que les avions nous font encore rêver, alors il faut en profiter, si possible.
Merci pour les précisions autour du stade d’Arsenal.
Bons vols
Merci pour ce récit Greg!
Mission 380 QR reussie! De quoi rentrer chez soit l'esprit pleinement satisfait malgré la fatigue.
Je m'attendais à un cateing meilleurs quand même chez Qatar...
Joli hasard que de recroiser le dernier 777 que tu as pris chez eux. Ça m'arrive de temps en temps aussi, on croit y voir signe du destin haha
A bientôt.
Merci pour le commentaire Benjamin,
C'est pas à chaque fois que les virées avgeeks sont remplies à 100%. Là, c'est carton plein ! Je suis donc rentré à mon port d'attache avec la banane, malgré la fatigue accumulée.
J'ai été un peu déçu c'est vrai. Et c'est d'autant plus flagrant quand tu as volé quelques jours avant avec Etihad.
Je ne connais pas toutes les immatriculations des avions que j'ai pris, mais j'en ai retenu pas mal. Et là, ça a tilté direct. Ça fait un joli rappel.
Bons vols
Merci Greg pour ce clap de fin et le graal de ce routing, l'A380.
Assurément un avion mythique et qui en fascinera toujours plus d'un, comme plus d'un le détesteront toujours.
L'escalier vers le pont supérieur est majestueux (tout comme la porte qu'on arrive pas à faire rentrer dans un cadre ^^)
Les prestations QR par contre ont drastiquement diminué en quantité, heureusement (pas encore) sur la qualité.
A bientôt !
Merci pour le commentaire Stephan.
Pour résumer, un avion qui aura marqué l'histoire de l'aviation civile. S'il était détesté par des pro-Boeing, c'est que c'était de facto un très bon appareil, un concurrent redoutable. Mais ce point de vue n'a pas été partagé par les économistes et dirigeants des compagnies. Je reste persuadé que c'est un avion qui est en avance sur son temps. Trop en avance malheureusement.
Tout comme ce qui a au dessus. Mais je n'ai pas été voir.
C'est décidément un avion hors normes.
Triste tendance générale. On va dire que c'est pour l'opération "summer body".
Bons vols
Merci Greg pour la partage de ce vol qui vient clôturer un beau routing de la meilleure des manières.
C'est vrai que certains moment AVGeek donnent le frisson.
Il est impressionnant cet avion et tellement confortable.
C'était quand même juste pour attraper l'Eurostar à temps mais tout est bien qui finit bien.
Mister Nounours ne représente pas l'Expo mais carrément l'aéroport.
Superbes vues de Londres lors de l'approche.
A bientôt.
Merci pour le commentaire cher collègue modérateur.
Le confort acoustique est à la mesure de sa démesure : énorme !
Ça m'inquiétait un peu moins. Au pire, je passais une nuit à Paris. Je préfère rater un train qu'un avion.
Ah mer##. Je pensais que cette horreur allait dégager après l'exposition. Dommage.
Faudrait déplacer CDG à Saint-Germain-en-Laye, on aurait une approche similaire à Paris. Pas sûr que ça soit accepté facilement. :-)
Bons vols
Hello Greg et merci beaucoup pour ce FR ! Je suis vraiment heureux que ce voyage se soit passé comme prévu. Les dieux AvGeeks te devaient bien ça après le 350 Finnair ! C'est la fin d'un très beau routing que n'aurait pas désapprouvé Lucky Luke :)
Je connais bien ce sentiment et je confirme, on se couche le sourire aux lèvres :)
A bientôt !
Merci pour le commentaire Guillaume.
Merci beaucoup ! J'ai eu quelques sueurs froides parfois mais on va dire que c'est carton plein au bout du compte. Ça redonne espoir après les râteaux passés et encaissés.
Plusieurs semaines ont passé, mais quand j'y repense, ça me donne toujours autant le sourire. Vivement la prochaine virée !
Bons vols