Avis du vol entre Paris et Osaka en classe Premium Eco avec Air France

Bonsoir, j'ai fait un long voyage au Japon, très à la mode en ce moment paraît-il. Le yen est favorable aux Européens et aux Américains, entre autres explications.
Sur le vol de l'aller, je m'excuse mais j'étais extrêmement stressé avec un taxi bloqué 30 minutes sur 150 mètres à la porte de Clichy. Nous sommes arrivés H-10 au niveau des bagages… On était en sueur et pas sereins (on risquait de perdre le billet d'avion à ~5500€ à 4).
Après la PIF et la PAF, nous sommes parmi les derniers à monter dans l'avion, ce qui explique le peu de photos.
Nous montons à bord du F-GSPI (24 ans d'âge), avec un avertissement aimable de l'hôtesse : l'avion n'est pas de première fraîcheur avec un siège légèrement déglingué en premium éco, mais il a fait l'affaire en confort d'assise ; avec un casque totalement HS (mais je m'en fiche).
Je m'attendais à un avion plus moderne, mais passons.

La file d'attente s'éclaircit déjà et nous sentons que nous ne sommes pas du tout les premiers. Le remplissage de l'avion semble pas à 100% mais pas loin.

Nous prenons dix secondes pour la photo du chat.

La vieille bécane.

Effectivement, en plus du casque HS, l'accoudoir n'est pas de première fraîcheur, mais le siège fait le job.

Le menu. Les saint jacques étaient excellentes, avec un petit vin blanc, mais sinon le plateau repas n'était pas fou-fou.
Je sais bien qu'en premium, l'intérêt n'est pas dans le repas, mais bon. C'est une classe avec un siège un peu plus grand qu'en éco (et nettement plus cher) et presque la même bouffe qu'en éco. Il y a la priorité à l'aéroport, c'est quelque chose d'appréciable, mais le reste, bof vu le prix.

Le voyage est long, presque 15h, pour éviter la Russie, mais il a paru moins fatiguant qu'au retour (rétrospectivement).

Le café du retour, plutôt bof, avec le petit sachet classique.

Bien que j'aie anticipé l'achat d'un pass wifi à 18 euros, le wifi n'a jamais fonctionné. J'étais en stress car on avait oublié la traduction japonaise du permis de conduire et on espérait le pdf fourni par une connaissance (le pdf viendra bien plus tard et aura bien servi efficacement aux locations de voiture)

La notice du 777-2er. Le logo wifi et bluetooth me fait bien rigoler.

Nous sortons rapidement et la douane est plutôt facile (prise d'empreintes et formulaire à remplir, tout de même). Bagages rapides. Nous prenons tout de suite le train Haruka pour Kyoto, en compagnie de sympathiques touristes coréens.