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Quelques jours ont passé sur cette île à l'identité originale, japonaise-pas japonaise, nous partons découvrir Tokyo, l'ancienne Edo.
Une fois la voiture de location rendue, nous sommes déposé à l'aérogare de Miyako.
Cette fois-ci, un petit peu plus de monde que d'habitude. Nous avons même reçu un SMS de la compagnie nous demandant de venir plutôt que d'habitude compte tenu de l'affluence. Effectivement, on a une petite réminiscence d'un vol France/Antilles avec un gros avion (788) en vol domestique densifié au départ d'un petit aérodrome.
L'enregistrement des bagages se fait tout de même assez rapide. Nous avons dû repasser par le process des boarding pass sur l'application ANA, une sainte horreur en termes de nombre de clics, un air des années 1990.
L'activité de l'aérodrome est quand même relativement importante : ça va majoritairement à Okinawa, mais aussi Haneda ou Ishigaki.
Nous embarquons avec quelques minutes de retard en passerelle.
L'instant porte.
Le pitch, très bien pour 3 heures. Étonnement devant l'absence d'IFE dans un gros avion, fût-il de configuration vols domestiques.
La notice.
Annonce d'un wifi mais il ne sera jamais fonctionnel (à l'exception du signal GPS)
Le trajet
Je n'ai pas eu la chance d'être du bon côté de l'avion pour apercevoir le Fuji.
Surprise. Le débarquement se fait à une extrémité très lointaine de Haneda. Nous le faisons en passerelle pour ensuite attraper un bus (?!?)
Les bagages sont livrés rapidement, et à nous Tokyo en taxi !
Un vol domestique, qui aurait pu avoir la même ambiance qu'un FDF/ORY (le repas 'dégeu' en moins).
2 Commentaires
Il y a moins cher de HND à moins de n'être pas loin
Il y a pire qu'AF pour ça. Je pense aux compagnies US.
A bientot,
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