Après Osaka/Kyoto/Himeji, nous avons été à Hiroshima. Moment émouvant avec le dôme atomique. Les enfants ont apprécié. Au moment de la planification, j'ai hésité entre un vol Iwakuni/Miyako ou entre Hiroshima/Miyako. Je me suis décidé pour Hiroshima, le vol domestique n'était pas cher du tout. Nous pouvions partir en bus depuis la gare routière d'Hiroshima ou la gare d'Hiroshima, nous avons opté pour la gare routière. Peu de départs, mais horaires respectés à la milliseconde près.
Enchainement de vols
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L'aéroport d'Hiroshima n'est pas du tout à côté. Il n'y a même pas de trains pratiques, un comble au Japon censé être bien maillé ferroviairement.
Au bout d'une heure de bus dans la campagne japonaise, nous commençons à sentir la proximité d'un aéroport.

Le stand ANA est quasi désert, nos bagages vont être pesés rapidement et passés dans un scanner avant d'aller sur un tapis.

Les huîtres d'Hiroshima.

Au départ d'Hiroshima, quasiment tous partent pour Tokyo Haneda. Un vol, par ci, par là, on est loin d'un aéroport de carrure mondiale.

La ville natale de Mazda, apparemment.

L'avion d'Oki est bien annoncé, à la japonaise, c'est à dire presque au millimètre près.

Notre avion s'annonce.

Le pich, parfait pour un vol court. Nous embarquons et à ma grande suprise, malgré la sensation d'un aéroport désert, l'avion est quasi 100% plein.

Le dossier, parfait pour glisser un smartphone ou un livre.

La notice de sécurité.

Le petit cadeau pour les enfants : choix entre un cahier et un puzzle, sympa.




Nous arrivons sur Okinawa Naha, avec la sensation d'un aéroport bien plus fréquenté, des avions un peu partout, de différentes nationalités. Un autre monde.
Le trajet flightradar : une quasi ligne droite, puis une arrivée en virgule.
