Avis du vol entre Paris et Düsseldorf en classe Economique avec Air France

Ce petit FR de reprise avec un vol vers Düsseldorf qui m'a permis de prendre un A318 pour la première fois (étant plutôt habitué aux A319 et A320 de la Navette vers Toulouse). Le but de ce voyage était de retrouver une amie navigante chez Emirates et de passer 24 heures ensemble dans cette ville que je ne connaissais pas.
Départ donc de chez moi vers 16 heures le samedi par le transport préféré de tous pour rejoindre CDG : le RER B!! Chaque fois, c'est le même émerveillement devant ces rames bondées, sales, vieilles, où s'entassent voyageurs et valises, le tout parfumé par des effluves d'égouts et de saleté… Bref, un régal toujours renouvelé… (mais bon, c'est pratique quand on ne paye pas avec le dézonage du week-end et j'avoue tout de même que des efforts sont faits avec les nouvelles rames).
Arrivé à CDG à 17h15, je me dirige vers le Terminal 2F. N'ayant aucune valise à enregistrer, je file directement vers la sécurité. Passage rapide et efficace, que demander de plus. En 5 minutes tout était fait. Direction donc la porte d'embarquement.
Aujourd'hui, nous serons en porte F27.

Embarquement à l'heure avec respect des priorités. Accueil souriant dans l'avion qui aujourd'hui sera le F-GUGI (livré à Air France le 13 décembre 2004).

Petites vues sur notre voisin, un A319 qui partira juste avant nous.

Le pilote annonce un vol de 55 minutes vers Düsseldorf et on repousse du terminal.
Passage devant le Concorde. Cet avion reste magique avec ses lignes et son allure.

Après dix minutes de roulage, c'est parti pour un rolling take off de la 09R.

On passe rapidement la couche nuageuse pour se retrouver au soleil et profiter de cette vue sur une mer de nuages.

Quelques détails de la mini tablette de la planche à repasser grâce à laquelle on sent bien les coups du passager de derrière.

Vient ensuite le service et qui dit vol court dit… salé ou… ben salé tout court. Le tout accompagné d'un Dom Cocagnon cuvée prestige.

Le vol se poursuit sans problème.

Plus on s'approche de Düsseldorf, plus le ciel se dégage.

L'approche se déroule tout aussi calmement, si ce n'est quelques turbulences dûes à des vents de travers durant l'approche et la finale.

Et nous voilà sur la piste 05R après un vol sans histoire. Atterrissage à l'heure. Un peu de spotting pendant le roulage.

Descente de l'avion rapide, PNC toujours avec le sourire et je retrouve mon amie dont le vol de Dubaï était arrivé 30 minutes plus tôt.
Quelques photos depuis la chambre de l'hôtel (Maritim Hotel).

Pour terminer, mon vol en graphique (altitude de la croisière : 23.000 pieds).

La suite dans le FR du vol retour avec le petit bonus touristique.