Avis du vol entre Foz Do Iguaçu et Curitiba en classe Economique avec Azul

Bonjour à tous,

après une petite pause vacances durant ce mois de novembre, il est temps de reprendre les FRs car mon statut gold FR est en danger. ^^

nous avons passé trois jours dans la région d'Iguaçu, et il est malheureusement déjà l'heure de rentrer à Sao Paulo pour prendre le long-courrier qui nous ramènera en Europe… Ô rage, ô désespoir, les vacances sont presque finies !

Pour rejoindre Sao Paulo depuis Iguaçu, j'avais émis le souhait (ou plutôt l'obligation) auprès de mon copax de tester la troisième grande compagnie brésilienne, Azul. A la base, nous avions un billet IGU-Porto Alegre-Sao Paulo CGH. C'était le seul choix qui permettait d'arriver à l'heure pour prendre le vol du soir ITA à 19h. Les horaires n'étaient pas top du tout, décollage à 6h45, escale d'un peu plus d'une heure à Porto Alegre puis arrivée un peu après 10h à Sao Paulo. Nous aurons quelques heures à Sao Paulo pour découvrir la ville, qui n'est pas la plus touristique du pays.

Mais quelques semaines avant le vol, le routing change, le vol Iguaçu-Porto Alegre est annulé, on nous rebooke gratuitement sur le seul vol qui convient le matin, à savoir le premier vol Azul vers Curitiba, capitale de l'état du Parana. Il faudra se lever encore plus tôt, le vol partant à 6h. Nous serons néanmoins à Sao Paulo en avance, vers 9h. Une heure de plus pour visiter la plus grande ville du Brésil. C'est parti !

Après un séjour très agréable dans les trois pays qui forment cette frontière (Paraguay, Argentine et Brésil), il est temps de partir et de faire le début du chemin vers l'Europe.
Le réveil sonne un peu après 4h du mat', c'est rude. Un Uber nous attend devant l'hôtel, je l'avais précommandé la veille car dans une ville moyenne on ne sait jamais. On nous dépose à 4h50 devant le terminal d'IGU après 20 minutes environ de route.

Les comptoirs des trois grandes compagnies du pays sont alignés, on se dirige vers ceux d'Azul, après avoir testé les deux autres.

Nous prenons ensuite la direction des contrôles de sûreté.

On sent que l'on est dans un petit aéroport, on passe par des petits couloirs, mais c'est bien organisé.

Et 5 minutes plus tard, nous pouvons rejoindre le premier salon prévu ce matin.

La salle d'embarquement est tout en longueur, avec différents commerces au milieu.

Dont évidemment la fameuse Casa do Pao de Queijo!

Le premier salon que nous visiterons fut l'Advantage VIP Lounge. Il n'est pas très grand, mais il n'y a pas non plus un monde de fou ce jour là à 5h et quelques ^^

L'offre y était tout à fait correcte, avec du froid et un peu de chaud :

Et le plus important pour moi à cette heure, la machine à café !

Ce sera d'ailleurs ma seule sélection, il est encore bien trop tôt pour moi pour manger quelque chose, surtout que nous avons bien mangé le soir d'avant.

Le FIDS annonce un embarquement vers 5h30, le vol étant maintenu à l'heure malgré l'orage qui sévit à l'extérieur.

Nous ferons un détour par le salon The Lounge Cataratas.

Pas très grand mais à la déco festive ^^

L'offre y est moins développée qu'au premier salon, il n'y a pas de chaud ici.

Mais on retrouve quelques gâteaux pour les fans de sucré.

Niveau boissons, eaux, softs et bières sont disponibles :

L'embarquement est appelé à 5h30, nous quittons alors ce petit salon.

Non sans avoir apprécié la déco accrochée au mur.

Il y a un troisième salon à IGU, mais celui-ci est fermé.

Il a l'air de ressembler aux deux autres, si ce n'est que tout est visible de l'extérieur ^^

Je profite du fait que l'embarquement soit en cours et que nous soyons dans le dernier groupe pour faire du spotting. Bon, ce n'est pas varié, et je ne peux apercevoir que ce 321 LATAM !

Nous arrivons alors que l'embarquement touche à sa fin.

Notre E195 du jour, PR-AUI, 9 ans d'âge.

Je rejoins rapidement le siège 7A, réservé grâce au tarif classique Azul, comprenant également 23kg en soute.

Le legroom est très bon, comme souvent sur Embraer.

Azul a équipé ses E195 d'IFE.

La littérature de bord :

Avec un article sur Jericoacoara et ses dunes, que j'aimerais bien faire si je retourne au Brésil !!

En attendant la fin de l'embarquement, je fais joujou avec l'IFE, d'une génération disons très ancienne… de type chaines à sélectionner et non de l'AVOD.

Le tout se contrôle depuis le siège, ce qui n'est pas super pratique car on peut très facilement appuyer par inadvertance sur un bouton.

Les consignes de sûreté sont diffusées sur les écrans alors que nous partons sous l'averse.

Et c'est sous des trombes d'eau que l'on décolle à 6h05. 50 minutes de vol ont été annoncées par le commandant de bord, l'annonce fut uniquement faite en Portugais ce qui n'est pas super pratique pour les quelques étrangers présents à bord ^^

La cabine reste plongée dans la pénombre ce matin et le signal des ceintures restera également pendant presque tout le vol du fait des turbulences. La PNC prendra la parole et annoncera que le service ne sera pas effectué et que l'on pourra récupérer le snack prévu à l'arrivée.

Je me contente donc de la géovision pour faire passer le temps.

Le soleil se lève alors que l'on entame la descente.

Et c'est avec une lumière rosée que nous arrivons à Curitiba.

Toucher des roues à 6h53.

Le roulage ne sera pas long jusqu'au terminal.
Le lever de soleil est définitivement un moment que j'adore en avion, malgré l'heure de réveil de la muerte qui va avec ^^

C'est à côté de LATAM que nous nous garerons. Curitiba est un hub Azul, comme beaucoup d'aéroports dans le sud du pays.

Arrivée au bloc à l'heure à 7h03.

Le débarquement se fait dans le calme.

Et récupération du snack en sortie du fait des turbulences en vol.

Nous voilà dans les tubes si originaux de Curitiba, chers à l'ami Airberlin.

La suite au prochain épisode !
Merci de m'avoir lu
A très vite pour la suite
Jules