Suite et fin de ce routing pour Phuket, afin de célébrer le mariage d'un FRiste ! Pour rappel, ce routing est construit sur un aller-retour Paris - Bangkok avec Turkish Airlines, auquel nous avons rajouté les vols de connexion.
Nous sommes ici sur le dernier vol, pour notre retour sur Paris, et ce n'est pas forcément le plus intéressant, même s'il a l'honneur de clore la série.
Dont voici un résumé :
Enchainement de vols
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- 2
- 3
- 4DD529 - Economique - Phuket → Bangkok - Airus A320
- 5
Je vous ai laissé à la fin d'un FR "marmotte" où j'ai dormi jusqu'au dernier moment possible. Donc pas de prestation "petit déjeuner" pour moi, que je prendrais à l'hôtel.
Entre notre vol aller et notre vol retour, le métro de l'aéroport a ouvert ! Nous prenons le premier train à 5h et arrivons au Conrad d'Istanbul vers 6h. C'est assez long (mais ça le serait aussi en taxi).


Direction le petit déjeuner au sol, puisqu'il n'a pas été pris en vol, et c'est aussi bien comme cela ;)

Visite rapide de la ville… Nous avons choisi volontairement de faire un arrêt à Istanbul pour ne pas enchainer les vols.

Le surlendemain de notre arrivée, nous reprenons le métro dans l'autre sens pour une journée de télétravail à l'aéroport, ce qui nous permet faire une liaison moins brutale entre les vacances et le retour aux obligations.

J'ai déjà détaillé le salon de Turkish Airlines dans d'autres FR (dont celui de l'aller). Pour aujourd'hui, je me conttenterai de souligner la présence de salles de réunion / travail privatisables facilement et qui permettront de rendre cette journée de télétravail très productive.

Et aussi pour prendre le vol du soir, qui est plus favorable à un recalage au retour.

Pour ce retour à Paris, nous sommes en A321, qui n'offre absolument pas le confort de l'A350 que nous avons eu à l'aller, mais qui dispose quand même d'une vraie cabine Business moyen-courrier.


Quelques détails des commandes du siège (basiques !) et du casque (basique également), mais avoir un vrai siège Business et un IFE sur des moyens courriers en Europe est devenu pour autant une exception !


Tout comme le pre-departure drink, où je le rappelle seuls les softs sont mis en avant mais l'équipage reste ouvert aux demandes.

Le Champagne était bien sûr pour nous ;) Il nous est distribué en même temps que le menu du jour.


L'équipage (deux PNC dédiés à la cabine) préparent ensuite le départ qui s'est fait sous une pluie battante à l'origine d'un énorme bouchon à IST.



Heureusement, l'IFE est disponible dès la montée à bord et je peux commencer un film pendant ce long taxi.

J'en suis d'ailleurs à plus de trente minutes quand nous prenons place à notre tour sur la piste.


Ensuite le service commence par un oshibori, suivi d'une mise en place du plateau (on reste sur un service Europe pour ce IST-CDG).


Le pain est servi en différencié, avec un choix à la corbeille.

L'entrée est simple mais bonne, et rend hommage à la cuisine méditéranénne avec une assiette de tomtates-mozarelle et des aubergines farcies.

Le plat arrive dans un deuxième temps, servi au charriot, qui perd un peu d'élégance avec les aluminimums qui sont conservés (pour la bonne cause de plats bien chauds)

Bien sûr, au service, la cassolette est découverte et presentée sur une assiette.

Je termine sur le fromage et passe le dessert. Le repas s'achève par une distribution de noix.


Le service s'est terminé au dessus de la Hongrie et il me reste largement le temps de finir mon film.

Les PNC restent disponibles pour servir d'autres boissons à la demande, mais la plupart des passagers ont choisi de roupiller en attendant l'arrivée…


Mon film se termine juste quand on entre en France par les Ardennes, et la descente commence rapidement.

Arrivée sur CDG et débarquement, nous quittons la cabine à l'heure prévue.


Merci Tom pour le partage !
En métro ou en taxi, IST est vraiment loin du centre ville, et dieu que c'est long.
A bord, même si c'est basique ça reste bien mieux, comme tu le dis, que la plupart des autres compagnies.
Les tomtates ? tu fais dans les légumes maintenant ? :p
Sur une des dernières photos, c'est bien les pieds d'un passager sur la cloison ? Quelle horreur.
A bientôt !
C'est loin et en cas de connexion longue, l'offre hôtelière est maigre à proximité. Rien à voir avec l'ancien aéroport si proche de la ville et avec l'offre pléthorique.
Eh oui...sûrement un qui s'attendait à un flat-bed et qui a été déçu par cet A321 !
A+