Avis du vol entre Porto et Paris en classe Economique avec Transavia

Introduction

Bonjour à tous,

Content de vous retrouver aujourd’hui pour une nouveauté me concernant, l’A320Neo chez Transavia.

En service depuis le 15 janvier chez Transavia, le modèle se fait progressivement sa place dans la flotte de la compagnie, à la date du vol, le 22 septembre 2024, ce sont 6 appareils qui sont présents dans la flotte, dont le F-HXSF, le tout dernier reçu par la compagnie, 4 jours plus tôt et qui fera l’objet de ce report.

Le routing qui rappelons-le a été fait à l’occasion du dîner Gold organisé par Flight-Report à Porto :

Aéro-Porto

Après une nuit assez trop courte, c’est à 6h30 que je quitte mon hôtel situé dans le quartier de Sao Bento. Afin de maximiser mon temps de sommeil, j’ai choisi de prendre un Uber plutôt que le métro à cette heure, le tarif se d’environ une dizaine d’euros pour 20 bonnes minutes de trajet, c’est tout à fait avouable.

Mon chauffeur me dépose devant le terminal au niveau des comptoirs Transavia.
Il y a déjà un peu d’animation ce matin.

Coup d’œil au FIDS qui m’indique que mon vol est bien à l’heure.

Les comptoirs TO sont bien vides, mon vol embarquant dans 40 minutes, c’est étonnant, sûrement un signe d’un faible remplissage ? (Spoiler : Non.)

N’ayant qu’un petit sac à dos, je ne prends pas la peine de passer au comptoir et file directement vers le PIF. Pas mal de monde mais c’est très bien organisé et de nombreux postes sont ouverts, en 5 minutes, ce sera torché !

J’en profite pour checker l’arrivée de mon avion qui est parfaitement à l’heure.

Me voici airside, il faut descendre d’un étage puis traverser l’incontournable duty free pour rejoindre la salle d’embarquement.

Le terminal est tout en longueur.

Je rejoins ma porte située à l’extrémité du terminal où il y a déjà un peu de monde qui attend.

Pas grand chose à se mettre sous la dent ce matin, si ce n’est ce joli A320Neo (Encore un !) en partance pour Madrid.

Le brouillard devient de plus en plus important sur la plateforme, en espérant que ça ne jouera pas des tours à ceux qui repartirons après moi.
D’ailleurs, en parlant de repartir, voici mon oiseau du jour qui arrive de Paris, parfaitement dans les temps.

Il est mignon avec sa couleur verte !

Ach ! Pas possible d’avoir meilleure photo.

À peine l’avion en porte que le pré-boarding débute par les zones 1, 2 puis 3. Étant dans la dernière, je ne presse pas le pas.

À croire que toutes les routes ne mènent pas forcément à Rome !

Depuis Avril, Transavia fait payer les bagages en cabine et ne permet plus qu’un petit bagage à main gratuit… Gare aux resquilleurs, tous les sacs passeront au gabarit et de nombreux passagers devront s’en résoudre à passer à la caisse !

Le flight-report

Le pré-boarding toujours en cours, on nous laisse accéder à la passerelle pour nous y coincer dedans… L’attente durera 10 minutes avant qu’on nous laisse définitivement embarquer.

Les passagers assis des rangs 16 à 31 seront invités à descendre sur le tarmac et à embarquer par l’arrière de l’appareil. Pour moi, étant assis rang 9, ce sera par devant.

Les instants de rigueur…

À vous de choisir dans quelle langue vous préférez qu’on vous souhaites la bienvenue.

L’accueil à bord est superbe, les 2 PNC en porte avant sont adorables.
Voyant que je suis passionné d’aviation, elle me diront que j’ai de la chance car cet appareil est le plus récent de la flotte… Chose que je savais bien évidemment déjà ! ;-)

Je découvre cette cabine aux couleurs bien connues de Transavia. Si les couleurs ne changent pas, les sièges, eux changent par rapport au modèle présent sur 737, ceux présents sur l’A320 Neo sont bien plus légers et qui dit gain de poids, dit économie de carburant, dit économies pour la compagnie, dit billets moins chers pour le client !

Ah, non…

Le pitch est également un peu moins serré que sur 737 et reste très correct pour mon 1.74m.

Là aussi du changement avec un porte gobelet et surtout, une prise USB-C personnelle pour recharger ses appareils énergivores.

Le contenu de la pochette avec la carte de sécurité plutôt jolie au même format que celles que l’on retrouve chez AF, elle subira malheureusement pour la compagnie, les effets de la loi de Newton.

On retrouve également le menu du BoB ainsi que le vomito-bag.

Le plafonnier très moderne.

La boucle de ceinture n’est pas siglée, dommage !

L’embarquement se clôt juste à temps, le CDB Valentin sort du cockpit pour nous souhaiter la bienvenue à bord de cet Airbus A320 Neo flambant neuf, il sera accompagné de Julien dans le poste et Émilie et son équipe s’occuperont de nous en cabine. 1h50 de vol annoncé pour rejoindre Orly.

La passerelle est retirée et nous partons à l’heure.

Le roulage se fera en grande partie sur un seul moteur toujours à des fins d’économies de carburant.

Un A321Neo d’Air Transat nous grille la priorité, il s’en va vers Montréal.

Du low-cost Irlandais.

On arrive rapidement en piste 17 pour un décollage face au sud.

Rotation !

On passe rapidement la couche nuageuse en direction du bleu éternel !

L’occasion de tester la prise USB-C qui fonctionne parfaitement.

C’est quand même beau vu d’en haut !

Le service du PDJ débutera après 30 minutes de vol, une fois encore, je ne prendrai rien, mais pour ceux que ça intéresse voici la carte du BoB :

Le vol se poursuit tranquillement avec une route continentale à la différence de l’aller qui s’est principalement fait sur l’Atlantique.

La descente débute une bonne trentaine de minutes avant l’atterrissage alors que nous survolons Tours.

Puis c’est l’approche sur Paris sous un temps bien gris !

Paris au loin dans la grisaille.

Aéroport d’Orly

Atterrissage hyper doux sur la piste 06, on aura rien senti… Tellement doux d’ailleurs, qu’on aura même droit à un passager qui se lèvera pour récupérer sa valise alors que nous sommes posés depuis à peine 5 secondes…

Retour à la case départ moins de 24h après le départ.

Un beau gros 777-300ER AF en partance pour Fort de France (AF842), un vol que j’emprunterai le 2 Novembre prochain ! ;-)

Il y a même un A330-900Neo Brésilien qui ne devrait plus tarder à repartir vers Sao Paulo.

Nous arrivons au parking pile à l’heure prévue, dès l’arrêt, c’est l’instant Danette.

Débarquement rapide, salué par l’équipage qui aura été top.

Par ici la sortie !

Il y a pas mal de travaux en ce moment sur les parkings.

Une dernière vue sur notre oiseau du jour (Put*** de passerelle de mer**), il repartira pour Ibiza dans moins de deux heures.

Rien à ramasser, rien à déclarer, je peux détaler !

Je n’aurai pas bien long à marcher, la bouche de métro de la ligne 14 étant située pile face à la sortie bagages d’Orly 3 !
Un ticket à 10.30€ et 25 minutes plus tard, je serai à la Gare de Lyon !

Je vous retrouves d’ici peu pour 6 vols au pays de l’oncle Sam avant de partir en Martinique début Novembre.

Le vol selon FR24