Chaque année, nous essayons de passer un week-end avec mon frère en mode décompression. Après Sarajevo l'année dernière, nous cherchons une destination sympa pour cette année, mais nos agendas ne nous permettent pas de trouver une date commune. Lorsque les choses se débloquent pour une date fin juillet, nous sommes déjà mi juin et autant dire que les prix se sont (logiquement) envolés.
Miracle, je dégote un Paris - Santorin avec Air France, qui opère la ligne de manière estivale : à l'aller la business est à peine plus chère que l'éco et au retour, l'éco est à un prix plus que raisonnable tandis que la business est à un tarif stratosphérique. Ce sera donc aller en J et retour en Y. C'est d'ailleurs pratique de pouvoir réserver dans une classe de voyage différente à l'aller et au retour.
Les billets sont donc bookés, et à peine disons-nous où nous partons que notre entourage nous parle de surtourisme, de plages bondées, de bouchons interminables, de hordes d'instagrammeurs en herbe, bref de vacances comme je les fuis. Les articles sur le sujet fleurissent, et nous finissons par nous inquiéter, mais il n'en sera absolument rien, pour autant qu'on choisisse bien ses lieux et ses horaires. Mais ça, ce sera dans le bonus, que vous retrouverez en fin de ce FR !
L'histoire de ce FR commence de bonne heure, puisque notre vol décolle de CDG sur les coups de 8h. VTC ce sera, avec un départ de Paris à 5h30. A cette heure-ci c'est fluide et nous arrivons vers 6h à l'aéroport. En cette fin juillet, la grisaille succède à la nuit, donc point de belle lumière aurorale. Les gros porteurs commencent à arriver de leurs lointaines destinations.

Notre chauffeur nous dépose au 2F devant l'entrée Sky Priority. Ce n'est pas la foule des grands jours.

Guère plus de monde aux comptoirs rouges.

J'imprime nos BP aux bornes automatiques. Le papier est toujours aussi fin, mais le liseré bleu aux couleurs de la compagnie est de bon effet.

Le FIDS de ce début de matinée est bien chargé, avec en tête de pont le difficile vol pour FCO de 6h55.

Le PIF est rapidement passé avec des agents agréables, et nous voici donc devant le salon Air France, qui n'est pas ouvert depuis si longtemps.

Nous montons en mezzanine, où les places ne sont pas encore chères vu la faible affluence. J'affectionne particulièrement ces places près des baies vitrées, qui permettent d'admirer le ballet des avions.

Côté catering, sans surprise on est sur une offre de petit déjeuner, avec pléthore de viennoiseries.

Et autres céréales et laitages. Un peu de chaud également.

Notre sélection est légère, en prévision du service en vol.

En bas, les Airbus s'activent pour les premiers vols du matin. J'aime cette ambiance ^^

Pendant l'attente au salon, je me prends un petit coup de stress : mon passeport a eu la mauvaise idée de rester dans le sac à main de Madame après notre dernier vol et me voilà muni de ma seule pièce d'identité. Sauf que celle-ci est périmée. Elle bénéficie de l'extension de validité, mais cela suffira-t-il à passer les contrôles ? D'ordinaire personne ne regarde les dates de péremption, mais il suffit que ça tombe aujourd'hui. Je finis par me rassurer avec une information sur le site du ministère des Affaires Etrangères qui confirme que la Grèce accepte les cartes d'identité périmées depuis moins de 5 ans. Ouf !
Allez zou, direction la porte d'embarquement. Cette verrière est toujours aussi belle. Au calme du salon s'est substituée l'affluence de la zone d'embarquement.

Cela dit en porte c'est très calme et c'est sereinement que nous sommes en tête dans la file prioritaire.

L'embarquement est lancé avec quelques minutes d'avance, et nous voici en pôle position dans le jetbridge.

Nous sommes accueillis en porte par l'hippocampe et le wifi, puis par le chef de cabine.

La météo parisienne, tout juillet soit-on, impose un fuselage shot bien mouillé.

Las, nous ne sommes pas sur TK ou une compagnie asiatique, et c'est donc une cabine tout ce qu'il y a de plus classique que nous découvrons. Il faut admettre que le sky noir logoté de rouge rend plutôt bien, mais c'est bien du 3/3 avec siège milieu neutralisé pour la business, qui sera sur 3 rangs ce matin. Notons également que F-GKXO, notre A320 du jour, dispose des nouveaux coffreuzabagages permettant d'optimiser l'espace de rangement.

Nous sommes au premier rang, avec les avantages (un pas correct) et les inconvénients (on ne peut pas étendre ses jambes) qu'on lui connaît.

Nous sommes bien sur un A320.

Les vues extérieures ne sont pas probantes.

Entre les gouttes on aperçoit un Arbus Amelia, qui se concentre désormais sur l'ACMI pour Air France.

L'embarquement se termine vers 8h30, et le service débute. Celui-ci se limite à la remise d'un oshibori froid. C'est bien dommage que la bouteille d'eau ne soit plus remise systématiquement, il faut souvent la demander.

Nous repoussons à l'heure, je quitterai la grisaille parisienne sans regret.

10 minutes de roulage nous amènent jusqu'à la piste. Allez, c'est parti !

On ne se croirait vraiment pas fin juillet tant le ciel est bas.

Pourtant cela se dégage rapidement au fur et à mesure que nous piquons vers l'est.

Je me connecte au wifi et active le pass message, qui est gratuit et permet d'envoyer et recevoir des messages. En revanche, l'interface est moins riche qu'auparavant, notamment la géovision qui a disparu et laissé la place à cette carte beaucoup moins intéressante et dont l'objectif est simplement de préciser lez zones d'accès au wifi.

Le vol est long et le protocole pourrait être aménagé, mais sur ce vol du matin, c'est par le petit déjeuner que débute logiquement le service. Celui-ci est servi 45 minutes après le décollage. On retrouve le fameux bun feuilleté au saumon.

Le menu est en format ticket de métro.

Voici le tout avec les boissons. C'est bon, mais le croissant, quoique tiède, est de piètre qualité.

Les vols vers la Grèce offrent la chance de survoler les Alpes, avec de très belles vues, comme ici.

Il n'y a vraiment pas meilleur endroit pour prendre son petit déjeuner !



Cela mérite bien quelques bulles pour rendre honneur à ces magnifiques paysages. C'est chose faite avec une bouteille ouverte sans hésiter par notre diligente PNC.

Mon frère ne peut que se joindre à moi pour trinquer. Un bien bon moment à préparer cette escapade !

Dehors les paysages sont superbes, même si les photos ne leur rendent pas forcément justice.

Sur ces vols MC un peu plus longs, le protocole AF comprend une sorte de second service, avec des snacks proposés à la corbeille. Le choix est intéressant et nous jetons notre dévolu sur quelques-uns d'entre eux.

Un mot tout de même sur nos co-pax. La cabine business est pleine, avec bon nombre de passagers ne cachant pas les marques très voyantes sur eux. Mais l'aisance matérielle n'allant pas nécessairement de mise avec l'élégance, je ne résiste pas à vous en donner un aperçu, avec notre voisin exhibant fièrement ses pieds gainés de bas de contention dépassant de sa robe (sic).

Je vous avoue préférer bien plus les paysages extérieurs, d'autant que le temps bien dégagé permet d'en profiter.

L'approche sur les îles grecques est magnifique, comme ici l'île de Kea.

Les îles de Kithnos (à droite) et Sérifos (à droite).


Nous survolons l'île de Sikinos. L'arrivée est proche !

J'ai eu la chance ce jour-là d'être du bon côté pour apercevoir la vue incroyable sur l'archipel de Santorin. On devine parfaitement bien la caldeira effondrée.

L'approche est vraiment superbe et permet d'appréhender la configuration très particulière de Santorin.

On devine l'aéroport, situé sur la plaine côtière. A droite, le célèbre village de Fira, sur la crête de Santorin.

Je mitraille un peu, mais il faut dire que c'est très beau, surtout avec le bleu profond de la mer.

L'appareil fait un grand tour pour s'aligner, tant mieux cela permet de profiter d'une belle vue sur l'île.

Allez, on s'aligne et on atterrit.

Les maisons blanches au toit plat qu'on aperçoit mettent immédiatement dans l'ambiance.

Ah ben voilà, on se retrouve à côté d'un autre Frenchie, à la livrée plus verte que bleu - blanc - rouge. TO opère aussi des vols directs, à des prix pas beaucoup moins élevés qu'Air France, j'avoue que j'ai parfois du mal à comprendre.

Pas de passerelle, mais un bel escabeau qui permet de rejoindre le tarmac à pied et de profiter de notre A320 sous un ciel d'un pur azur. En attendant l'autorisation de débarquement, nous échangerons quelques mots avec les PNC, qui repartiront dans la foulée et n'aurons pas l'occasion de profiter de l'île.

A nos côtés, un low cost britannique, comme on s'attend à en trouver pléthore ici en cette saison.

Bien que nous soyons en faux contact, le débarquement se fera par bus.


Nous rejoignons rapidement l'aérogare. Nous ne sommes pas accueillis par un "welcome to Santorini", mais par une incitation à nous rendre en hydroglisseur à Mykonos.

Un regard furtif du côté de l'extérieur me permet d'apercevoir notre oiseau du jour, bien esseulé au milieu des low cost (dont 2 TO).

L'aérogare est moderne et propre, il faut dire que Santorin reçoit beaucoup de monde : en 2023, l'île a accueilli 3,4 millions de touristes (pour une population de seulement 15.000 habitants…). Bref, pas d'arrêt pour nous à la salle de livraison bagage, directement la sortie.

Nous voilà à l'extérieur, sous un beau soleil mais avec aussi beaucoup de vent. Nous récupérons notre véhicule de location, c'est parti pour 3 jours de balades !

Bonus touristique
Comme je le disais en introduction, Santorin a la réputation d'être victime du surtourisme en été. C'est vrai qu'il y a un peu de monde, mais franchement, en sortant un tout petit peu des sentiers battus, ce n'est pas difficile de se retrouver seul.
Pour commencer, nous avons réservé un guesthouse dans un village à l'écart de la côte et de Fira. La vue depuis la terrasse, avec la mer d'un côté et une église typique de l'autre, n'est pas désagréable et surtout c'est très calme.

Les alentours sont entourés de vignes. Le rendement est très faible, mais le sol volcanique de l'île et l'air chargé d'embruns permet de produire des vins très réputés. Ceci a d'ailleurs permis d'éviter que tous ces ceps soient arrachés pour y construire des immeubles.

Notre vol étant arrivé en début d'après-midi, nous avons toute l'après-midi devant nous, que nous mettons à profit pour visiter Pyrgos, l'ancienne capitale de l'île.

Il y a très peu de touriste, les ruelles sont fraîches et agréables. Les murs blanchis à la chaux sont aveuglants !

Nous rejoignons ensemble le bord de la caldeira. La vue est superbe, d'autant que le spectacle est peu commun. Au centre de la caldeira, on voit la résurgence du volcan, toujours actif. Au loin à droite, la célèbre Fira et ses maisons blanches accrochées à la crête.

Santorin est célèbre pour ses couchers de soleil "instagrammables" à certains endroits précis, mais pour notre part, nous dénichons cet endroit tranquille et très photogénique aussi.

Le lendemain, nous effectuons de bon matin la randonnée entre Fira et Oia, d'à peu près 10 km aller. Longeant la crête de la caldeira, c'est une superbe balade.

Nous nous attendions à avoir un peu de monde, mais force est de constater que la plupart des touristes font la grasse matinée, car nous sommes pratiquement seuls, ce qui nous va très bien.


Oia est très touristique et là nous retrouvons la foule. Cela dit, le village est charmant et les vues sont vraiment belles.

Nous descendons en bord de mer au village de pêcheurs d'Ammoudi. L'occasion de déguster l'excellente cuisine de Santorin, et notamment ses délicieuses aubergines blanches.

Nous aurions pu prendre le bus pour rentrer sur Fira, mais engaillardis par la bière locale, nous décidons de rentrer à pied. 20 km dans les pattes, autant dire qu'on a bien dormi !
Le lendemain, visite matinale du musée archéologique de Fira. Nous avons fait l'ouverture et là encore, nous avons eu le musée pour nous tous seuls. Celui-ci rassemble les objets découverts sur les sites de l'île, à l'histoire très ancienne. La civilisation était si développée à Santorin avant la terrible éruption du volcan vers 1600 av. J.C. que celle-ci a donné naissance au mythe de l'Atlantide. A ne pas manquer : les superbes fresques miraculeusement conservées.


Puis nous descendons dans la caldeira pour rejoindre notre bateau, réservé la veille. Nous avons opté pour le circuit permettant de découvrir les 3 autres îles de l'archipel.

La balade est très agréable.

Premier arrêt sur l'île de Nea Kameni, qui constitue en réalité la résurgence du volcan, apparue au 16e s. Le volcan, dont la dernière éruption date de 1950, est encore actif. On déambule au milieu des cratères et des champs de lave, prévoir de bonnes chaussures car la roche est très abrasive.

Après une halte à Palea Kameni et une baignade dans ses eaux chaudes sulfureuses, nous rejoignons l'île de Thirasia. Celle-ci est beaucoup moins visitée que sa grande soeur située juste en face. Abordant l'île par l'intérieur de la caldeira, il nous faut gravir ce long chemin pentu pour rejoindre le village, mais nous sommes récompensés par une vue magnifique.

La grande majorité des passagers de notre bateau a préféré déjeuner dans l'un des multiples restaurants en bord de mer, qui attendent les touristes de pied ferme. Nous sommes donc bien tranquilles sur la terrasse du restaurant Panorama, le bien nommé. Outre la vue à couper le souffle, la cuisine y est inspirée et raffinée. Une belle découverte (qui se mérite, certes).

Retour dans l'après-midi à Fira.

Je vous parlais des couchers de soleil de Santorin : nous avons essayé, nous n'avons pas aimé. C'est beau certes, mais c'est noir de monde. Et tous ces selfies…


Dernier jour avant de reprendre l'avion dans l'après-midi. Nous décidons de nous rendre à Thera, l'antique capitale de l'île. Pour s'y rendre, on peut emprunter une étroite route en lacet, mais nous optons pour le chemin des écoliers, avec un sentier de chèvre.

Petite halte près d'une chapelle, à côté de la source qui servait à alimenter la ville.

Le site n'étant pas encore ouvert à notre arrivée, nous grimpons jusqu'au point culminant de l'île, Profitis Ilias, à 560 mètres d'altitude. La vue sur l'île est grandiose.

Nous redescendons ensuite et visitons l'antique Thera. Là encore, ce n'est pas la foule qui nous gênera.

La ville de Thera, fondée au 9e s. av. J.C., n'a été abandonnée qu'au Moyen-Âge. Le site est émouvant, et le cadre donne du cachet à l'endroit. A gauche, on voit le sommet sur lequel nous sommes montés.

Ce crapahutage matinal nous ayant mis en appétit, nous filons à Akrotiri et déjeunons à la Cave de Nicolas, les pieds dans l'eau. C'est ici que l'équipe des archéologues du site d'Akrotiri avaient coutume de déjeuner. L'accueil est charmant et la nourriture excellente. Nous avons pris le plateau de spécialités locales, vendu pour une entrée mais qui nous a fait un repas pour deux. Les beignets de tomates cerises, spécialités de Santorin, étaient une tuerie. Le tout bien sûr arrosé d'ouzo.

J'ai été un peu déçu par la visite d'Akrotiri. La toiture a permis de protéger le site, mais les pylônes qui le soutiennent ne sont pas du meilleur effet.


Nous terminons notre séjour par une balade à la Red Beach, à la falaise impressionnante. Nou aurions bien fait trempette, mais il est déjà l'heure de rentrer !

Direction l'aéroport et la suite dans le prochain FR.
Merci de m'avoir lu.
Merci beaucoup pour ce FR.
Je me suis rendu à JTR l'année dernière, en juillet 2023 et je fus à cette occasion très satisfait des services de TO. Voilà pour la partie strictement FR.
En ce qui concerne le bonus touristique en revanche, je fus bien moins satisfait que vous, me jurant de ne plus jamais me rendre à SANTORIN-THIRA tant le sur tourisme est omniprésent. Bravo, vous avez sû y échapper, moi pas !
Bons vols.
Merci pour le commentaire.
TO et AF sont en concurrence directe sur cette ligne, et d'ailleurs les tarifs de TO sont étonnamment assez élevés au regard de la grande soeur.
Il est vrai que Santorin draine beaucoup de monde, peut-être avons-nous eu de la chance, en tout cas en s'éloignant de Thira c'était plutôt calme.
A bientôt.
Effectivement un vrai problème de prestation en business sur les vols AF MC de plus de deux heures et surtout deux heure trente voir + de 3heures... si on compare avec Turkish ou Aegean , la prestation AF est minable car mais même à partir de deux heures trente, Lufthansa, British ou Iberia font beaucoup mieux. Sur les vols considérés européen de plus de 4h comme les canaries ou la Gerogie cela devient encore plus scandaleux : quelle lamentable image pour la compagnie nationale
Quand on pense qu'avant le covid, sur la Grèce, il y avait un verre d'accueil et un vrai repas, des bouteilles de vin correctes .....
A chaque fois, les PNC mettent en avant le champagne mais c'est vraiment inacceptable d'avoir quasiment la même petite collation sur Londres que sur Athènes
Pourquoi AF n'est plus capable d'offrir un verre d'accueil, un apéritif avec pte cacahouètes et un vrai repas même froid =entrée, plat, dessert ??? ce serait pourtant le minimum syndicale...
remarque j'ai fait un vol business sur le canada, et pour le pt dej , il n'y avait plus de café et lors du dîner en digestif , il n'y avait plus d'armagnac sur une carte de spiritueux trés réduite ..............
Vraiment nulle cette Business Europe chez AF. J’ai eu ce petit déjeuner sur un Tunis. Degueulasse ( le bun est bourratif et sec. Ne parlons pas des autres collations froides servies tout en un sur Genève comme Yerevan. Mais rien ne va se passer. AF a passé un accord avec l’intersyndicale pour simplifier le service parce que c’est trop fatiguant d’offrir des choix et mettre des plats à chauffer sur les vols de 2h et plus. Et ces fameux Airbus A220 dans lesquelles AF a décidé d’installer qu’un four sur 3.
J’ai arrêté de prendre AF en Business Europe. Pour la Grèce je prends systématiquement Aegean Airlines qui offre un service complet: boisson de bienvenu, des plats chauds qui peuvent être même réservés à l’avance, des cocktails, de vrai espresso, etc. Pour la Finlande je prends Finnair, Austrian pour Vienne, etc…
D’ailleurs j’ai envoyé une réclamation à AF pour savoir si ils allaient continuer avec cette prestation médiocre en incluant des liens vers des flight reports (ce site) d’autres compagnies européennes pour qu’ils fassent la comparaison eux même.
Merci pour le commentaire.
Il est vrai que la prestation d'AF sur les vols moyen courrier longs n'est pas au niveau comparé à la concurrence. L'absence de plat chaud s'explique par l'absence de four sur les A220 (qui a obligé à s'aligner sur les A32X), mais le service pourrait être bien plus développé, avec un service apéritif dissocié par exemple. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle AF va revoir son offre business MC long.
Le service TK est sans aucune comparaison, mais les tarifs sont aussi très élevés en J pour l'Europe. A3 est clairement une bonne option, mais les tarifs en J sont aussi souvent plus élevés qu'AF (c'était le cas sur mes dates).
A bientôt.
Effectivement un vrai problème de prestation en business sur les vols AF MC de plus de deux heures et surtout deux heure trente voir + de 3heures... si on compare avec Turkish ou Aegean , la prestation AF est minable car mais même à partir de deux heures trente, Lufthansa, British ou Iberia font beaucoup mieux. Sur les vols considérés européen de plus de 4h comme les canaries ou la Gerogie cela devient encore plus scandaleux : quelle lamentable image pour la compagnie nationale
Quand on pense qu'avant le covid, sur la Grèce, il y avait un verre d'accueil et un vrai repas, des bouteilles de vin correctes .....
A chaque fois, les PNC mettent en avant le champagne mais c'est vraiment inacceptable d'avoir quasiment la même petite collation sur Londres que sur Athènes
Pourquoi AF n'est plus capable d'offrir un verre d'accueil, un apéritif avec pte cacahouètes et un vrai repas même froid =entrée, plat, dessert ??? ce serait pourtant le minimum syndicale...
remarque j'ai fait un vol business sur le canada, et pour le pt dej , il n'y avait plus de café et lors du dîner en digestif , il n'y avait plus d'armagnac sur une carte de spiritueux trés réduite ..............
Hello Stephane et merci pour ce récit estival ! Un vol direct avec Air France bien pratique Le petit dej est sympa mais une coupelle de fruits en plus ne serait pas de trop. Champagne pour continuer et vraiment commencer le séjour.
L'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt, surtout l'été à Santorin si on veut échapper aux hordes de touriste et profiter du charme de l'île.
Merci Christophe pour le commentaire.
Petit déjeuner un peu trop léger, comme globalement la prestation AF sur ces lignes MC longues.
L'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt : je sais que tu es un adepte ;-)
A bientôt !
Merci Stéphane pour ce FR !
Si la J est à peine au dessus de la Y, autant se faire plaisir. Mais la Y était peut être stratosphérique elle-même ;)
Ah j'ai les mêmes, avec des avis très pointus sur les destinations où ils n'ont jamais mis les pieds :)
Personnellement, je trouve cette pirouette sur les dates de validité assez absurde. Chapeau à la Grèce pour l'intégration des exceptions.
Il fallait manger au sol. Le PDJ est piètre sur de nombreuses compagnis, il n'a aucune raison de faire exception sur AF.
Par contre, je note cette approche du second service (même à minima) pour les vols très longs.
Surprenante cette formation assez fidèle à une France miniature !
Très joli bonus, avec des bleus magnifiques et l'honnêteté de la horde du coucher de soleil. Mais ça donne envie quand même !!
A+
Merci Thomas pour le commentaire.
Oui, clairement ; les tarifs en Y sont parfois incohérents avec les tarifs en J (c'est encore plus vrai pour les billets primes).
Effet Dunning Kruger et ultracrépidarianisme ;-)
Moi aussi, mais en l'occurrence ça m'a bien aidé...
Impossible d'y couper, on a l'impression que c'est un "must do" mais c'est très déceptif et le symptôme d'un surmarketing touristique. L'île offre de bien belles balades pour qui prend le temps (et surtout ne craint pas de se lever tôt).
Santorin en vaut vraiment la peine !
A bientôt.
Merci Stéphane pour le partage !
Tiens l'indétrônable bun fait de la résistance et sur un vol de cette durée ça reste une honte.
Mais moins que les pieds sur la paroi, les cons ça ose tout.
Merci d'avoir intégré ce superbe bonus à la suite du FR et non dans l'infâme placard où l'on souhaite qu'on le mette. Ca aurait été tellement dommage de passer à côté.
A bientôt !
Merci Stephan pour le commentaire.
Un peu de variété ne ferait pas de mal, mais c'est surtout un repas un peu plus consistant (on ne parle même plus de chaud hein) et un service plus développé.
Après, AF offrait le meilleur rapport qualité / temps / prix à un mois du départ. Je n'aurais eu aucun état d'âme à voler A3 ou TK si ça avait été plus abordable.
Vu le temps que ça prend de faire un bonus, ce serait dommage de le laisser aux oubliettes ;-)
A bientôt.
Merci Stephan pour le commentaire.
Un peu de variété ne ferait pas de mal, mais c'est surtout un repas un peu plus consistant (on ne parle même plus de chaud hein) et un service plus développé.
Après, AF offrait le meilleur rapport qualité / temps / prix à un mois du départ. Je n'aurais eu aucun état d'âme à voler A3 ou TK si ça avait été plus abordable.
Vu le temps que ça prend de faire un bonus, ce serait dommage de le laisser aux oubliettes ;-)
A bientôt.