Avis du vol entre Montpellier et Paris en classe Affaires avec Air France

AFR

AF - Air France

Vol effectué le 21 janvier 2025
AF7461
11:20 01h 30m 12:50
Appareil Airbus A321
Classe Affaires
Siege 1C
LoraHoshi
500 · 41 · 17 · 19

Bonjour à tous,
Je vous retrouve pour une nouvelle série de FR en direction du soleil du Maroc. 


INTRODUCTION


Ma vie professionnelle m’impose de réserver un peu au jour le jour en ce moment, et j’avais envie de soleil durant le triste mois de Janvier.
En regardant les destinations possibles pour quelques jours fin janvier, c’est Marrakech qui était en tête de liste. Cela tombe bien je n’ai jamais visité le Maroc, j’entends beaucoup de bien de Marrakech, et en plus cela sera ma première fois sur le continent Africain. C’est donc 15 jours avant le départ que j’ai pu réserver ces billets à un tarif super intéressant sur AF. L’aller-retour MPL CDG RAK m’est revenu à 150€ avec ma carte week-end. Un très bon deal qui fera fermer le clapet à ceux qui se diront « elle aurait pu prendre TO quand même, c’était direct depuis MPL ». Direct oui, mais plus cher, sans avantage et sans bagage en cabine.
Vous l’avez compris, le routing sera on ne peut plus simple.


LE ROUTING


Mon routing initial était le suivant, en classe éco.


Enchainement de vols

  • 1
    MPL - CDG AF7463 (remplacé par AF7461)
  • 2
    CDG - RAK AF1776
  • 3
    RAK - CDG AF1777
  • 4
    CDG - MPL AF7462

LE REPORT


Pour une fois, point de réveil à pas d’heure pour courir à l’aéroport en voiture.
Il est 12h15 quand je pars de chez moi en direction de la navette aéroport. Il fait gris aujourd’hui, et la pluie commence à tomber. Au moins, ma destination va être dépaysante, et pas qu’un peu !

Le bus arrive pile à l’heure, à 12h30, et nous partons en direction de la gare TGV, puis de l’aéroport.


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Nous sommes déposés à l’aéroport 25 minutes après, alors que le vol Air Arabia vient de se poser.


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Tiens, une nouvelle décoration a fait son apparition. J'aime beaucoup !


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En regardant Flight Radar, je constate que le vol AF7462 en provenance de CDG n’est toujours pas parti. Ça sent mauvais pour mon départ, pourtant prévu à l’heure dans l'appli.
En pénétrant dans le terminal, je ne constate pas de cohue particulière.


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Je vois par contre que le vol de ce matin, prévu à 11h20, ne décollera finalement qu’à 14h20 et que mon vol est dorénavant officiellement retardé. Bon sang, mais qu’est-ce qu’il se passe à Paris ?


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Je me rends au guichet SkyPriority afin de récupérer mon boarding pass, mais surtout pour demander s’ils ont des indications horaires quant à notre retard. Le jeune homme me répond que l’avion n’est pas encore parti de Paris. Il faudra compter 1h de retard grand minimum, mais ils n’ont pas encore d’information. Il me dit qu’un slot est prévu à 13h20 pour notre vol, mais ce n’est pas sûr qu’il puisse le prendre. Si c’est le cas, il n’y aura aucun problème avec ma correspondance, si ce n’est pas le cas, il faudra que je me renseigne en porte.
Ok… Bon, eh bien, on verra bien.


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Je m’en vais à présent passer le PIF.


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Ce dernier est complètement vide, il ne me faudra donc que quelques secondes pour le passer.
Direction l'étage !


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Passage rapide par le duty free :


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Il y a pas mal de monde airside. Il faut dire que les deux vols pour Paris sont dans l’attente d’un départ, donc ça en fait du monde à caser !


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Du côté de Flight Radar, mon vol ne bouge pas de Paris. Il est 13h40. Je commence à me dire que ça pue un peu.

En revoyant le FIDS et le vol de 11h20 qui est annoncé à l’embarquement à 14h, je me dis que j’ai peut-être une chance de monter à bord.
Le comptoir airside d’Air France est un peu pris d’assaut, alors qu'en porte d'embarquement c'est le bazar.


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Je parviens à obtenir des renseignements auprès d’une jeune femme vraiment adorable. Je lui explique ma situation et elle m’indique qu’elle va regarder, mais que normalement il reste bien quelques places.
En attendant, l’avion vient d’arriver et les passagers débarquent enfin.
Après plusieurs longues minutes à pianoter, elle parvient à booker un siège. Ah non, « il y a un siège cassé rang 38, ça n’ira pas », lui signale sa collègue. Bon. Je commence à me dire que ça ne va pas le faire. Elle n’arrive à sortir que des sièges sur mon vol initial et pas sur celui qui s’apprête à partir. C’est un peu la galère. Elle me demande si j'ai un bagage en soute, réponse négative, pour une fois je ne voyage qu'avec ma valise cabine, ça va clairement m'aider dans ma requête.

Je lui demande s’il reste de la place en Business, que sinon je suis prête à payer un upgrade (qui était à 69 € sur mon appli). Elle va se renseigner. Je lui demande le coût en miles, histoire de garder aussi cette option de côté.
Quand elle revient, je l’entends dire qu’il reste 8 sièges en classe éco, et elle imprime à présent un boarding pass pour sa collègue. Me concernant, elle me demande si j’ai mon boarding pass. Je le lui tends alors et, en échange, la voici qui me donne ma nouvelle place en 1C, sur le vol qui s’apprête à partir.
Chouette, j’ai donc été upgradée sans débourser un centime, et au final, je vais partir à l’heure à laquelle j’aurais dû partir. Voilà de quoi débuter le voyage sereinement.


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Elle m’explique qu’en raison de la météo, des dégivrages étaient nécessaires à Paris et que c’est ce qui a occasionné ce bazar. Je la remercie chaleureusement, elle a vraiment été top et n’a rien lâché.

Je ne sais pas trop quelle bidouille elle a faite, mais l’application m’indique maintenant un vol annulé. Bon, ne cherchons pas.


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Je me dirige donc dans la file SkyPriority avec mon nouveau boarding pass Business.


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Finalement, ça se décoince un peu au niveau de mon vol original. Il vient de partir et a une arrivée prévue à Montpellier à 15h. Le temps de repartir, normalement ça l’aurait fait quand même, mais étant dans l’incertitude et dans l’incapacité physique de courir à CDG s’il avait fallu, je pense que j’ai fait le bon choix.


Nous attendrons un long moment dans la passerelle avant de pouvoir accéder à notre A321.


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Instant-porte :


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Notre joli fuselage :


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Le vol semble bien complet. Entre les gens qui ont dû s’acheminer autrement à Paris et ceux qui ont, comme moi, été rebookés dessus, je pense que ça a été une sacrée pagaille à gérer aujourd’hui.
La cabine Business est composée de seulement 3 rangs. J’ai eu de la chance d’obtenir cette place !


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Aucun problème d'espace ici :


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Ma voisine en 1A est en partance pour PTP, comme une quarantaine d’autres pax à bord. La cheffe de cabine passe dans les rangs afin de s’assurer que tout le monde a les bonnes informations. Leur vol est retardé et il est possible qu’ils les attendent, au vu du nombre qu’ils sont.

Comme toujours dans les Airbus d’Air France, le siège du milieu est neutralisé en Business.


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À 14h30, la porte est fermée et les consignes de sécurité sont énoncées par l’équipage. Nous partons au roulage peu de temps après, sans avoir eu aucun message de notre commandant de bord.
M. 1F est stressé et demande la durée du vol. La cheffe de cabine lui répond que nous avons 1h13 de vol. C’est bon à savoir.


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Nous arrivons près de la piste :


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À 14h45, nous quittons le tarmac de MPL. Je n’ai aucune vue de notre belle région pour une fois, mais je me console en me disant qu’au moins, je n’aurai pas à courir à CDG et, en plus, je suis en Business alors, ô les cœurs !


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Les rideaux séparant les classes sont rapidement tirés et le service débute très rapidement, il est 15h10.


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La célèbre boîte est déposée sur ma tablette, puis on me demande ce que je souhaite boire. Je demande une bouteille d’eau qui me sera gentiment tendue. « Quelque chose d’autre ? » me demande la PNC. Je ne voyais pas de champagne sur le chariot, mais je sais que normalement il est bien présent à bord, alors je tente ma chance en réclamant mes bulles.
« Oh, j’ai oublié de le sortir, en effet. » Ce n’est pas la première fois que ça arrive. Je ne sais pas si c’est fait exprès pour que ceux qui ne sont pas au courant ou pas assez à l’aise pour le demander laissent tomber, mais ça ne marche pas avec moi.


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La PNC me dit « Vous fêtez le départ de Montpellier, vous avez raison ! » Je lui dis que oui, surtout que je n’étais pas censée être à bord de ce vol.
Elle me répond « Ah oui, Marrakech, c’est ça ? » Elle a dû voir mon booking in extremis !
Ma voisine se ravise sur le thé qu’elle avait demandé et me rejoint au champagne. Le couple en 1F et 1D se laisse aussi tenter. Je crois que j’ai une mauvaise influence sur mes co-pax.


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La boîte du jour est signée Michel Roth et comprend un pain de campagne, effiloché de bœuf à la moutarde, céleri, pomme et curry doux. Tout ça pour dire qu’il s’agit d’un vulgaire sandwich, quand même. On y trouve également un délice au citron avec coque de chocolat blanc et un palet au chocolat noir. Malgré le look peu appétissant du sandwich, c’était quand même plutôt bon. Et le délice au citron est similaire à celui que j'avais déjà eu une fois, toujours aussi bon.


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Petite vue sur la cabine pendant l'absence de ma voisine :


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Le WiFi est bien fonctionnel sur ce vol, je sélectionne le pack Messages, comme à mon habitude.

Une annonce de notre commandante (oui, c’est une femme !) nous souhaite la bienvenue à bord. Elle nous explique que, pour partir le plus vite possible, elle a retardé son message d’accueil. Elle s’excuse bien évidemment pour ces trois heures de retard et nous annonce un atterrissage prévu à 15h55 à Paris CDG, où le brouillard est toujours présent et est bien la cause de ce gros retard.

Nous serons débarrassés sur les coups de 15h25. Pour ma part, je n’ai pas vu le vol passer, car j’ai pas mal discuté avec Mme 1A, qui me confie qu’elle préfère normalement être côté couloir. Mince alors, on aurait pu échanger. Elle s’aperçoit soudainement via l’application AF que son vol est parti sans elle (enfin, plutôt sans eux, pour rappel, ils étaient 40 à bord). Aïe.

La cheffe de cabine fait son possible pour répondre à toutes les interrogations des passagers. Il y aura 61 rebookings, mais les 40 pax pour PTP restent dans le flou, car elle ne les voit pour l’instant pas dans sa tablette comme étant laissés sur le carreau. Bizarre… Il faudra attendre l’atterrissage pour en être sûr.
Elle nous explique que c’est le bazar depuis ce matin. Ils sont partis de LYS et tout était verglacé, il n’y avait qu’un seul poste de dégivrage et à CDG, même scénario. Les retards se sont donc enchaînés.

À 15h50, une annonce retentit pour nous indiquer un atterrissage imminent.


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Comme cela était déjà le cas lors de mon retour d’Helsinki en novembre, il est à nouveau demandé de couper tous les appareils électroniques, y compris ceux placés en mode avion. Je comprends donc que la visibilité doit être nulle à CDG, pourtant, par le hublot, tout a l’air plutôt normal.

Après une rapide descente, il est 16h lorsque nous nous posons à CDG, et le brouillard n’est pas si pire que ça.


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Un petit roulage nous amène à nous stationner à l’extrémité du 2F.


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Je consulte les informations sur mon vol d’origine, qui va finalement arriver à 17h à CDG. Au final, j’aurais été plus que dans les temps si j’avais gardé mon vol initial, mais dans le doute, aucun regret d’avoir demandé à changer, et surtout, j’ai pu profiter des bulles.

M. 1F n’est pas du tout dans le même esprit que moi et crie haut et fort, devant les PNC, que c’est la dernière fois qu’il prend Air France et que le vol de PTP aurait dû les attendre. Certes, il n’a pas tort, mais de là à le reprocher à la cheffe de cabine, qui a fait son maximum pour qu'il passe un bon vol, ce n’est pas top.

La descente est rapidement organisée, je dis au revoir à mon premier oiseau du jour.


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Le débarquement est rapide et au bout de la passerelle, du personnel attend les naufragés du vol de Pointe-à-Pitre. M. 1F se fait encore entendre, il trouve ça inadmissible que le vol soit parti et exige son bagage.

Je les laisse régler leurs comptes et de mon côté, je m’en vais suivre les panneaux pour me rendre au 2E hall L, d’où mon vol va partir.


Je n'ai que 2H30 d'escale, pour une fois cela va être rapide !


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Direction le terminal 2E Hall L pour la suite du voyage.


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Merci pour votre lecture !
Je vous dis à bientôt pour la suite du vol en direction de Marrakech.

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Notes des produits

Compagnie aérienne

Air France 7,9

  • Cabine8,0 / 10
  • Equipage9,0 / 10
  • Divertissements7,0 / 10
  • Restauration7,5 / 10
Aéroport de départ

Montpellier - MPL8,0

  • Fluidité8,0 / 10
  • Accès7,0 / 10
  • Services8,0 / 10
  • Propreté9,0 / 10
Aéroport d'arrivée

Paris - CDG8,5

  • Fluidité8,0 / 10
  • Accès8,0 / 10
  • Services9,0 / 10
  • Propreté9,0 / 10

Conclusion

Ca commençait mal, mais finalement AF a assuré pour me permettre d'arriver sans stress à Paris, et à l'heure où je devais normalement y être. Bonne gestion de la situation à MPL.
Cette upgrade imprévue a été très appréciée, je ne dirai rien sur le fait d'avoir perdu mon hublot du coup !
La petite boite était plutôt bonne mais le sandwich ne fait pas très "business". Le champagne était une fois de plus caché... stratégie ou véritable oublie ? On ne saura pas.
Personnel au sol et en vol vraiment au top.

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Les derniers avis de LoraHoshi

Commentaires (17)

  • Merci beaucoup pour ce FR.

    En effet, le sandwich, malgré ses descriptions et appellations diverses et variées, et quel qu'en fût le chef à l'origine, ne fait pas vraiment l'affaire pour un service en J.

    Sans compter le champagne qui reste caché... Il y a encore quelques années de cela, AF proposait le champagne en Y... Quelle descente en qualité de service, en si peu de temps !

    Fut ce la même commandante de bord qui me mena dernièrement de NCE à ORY ?

    En ce qui me concerne, avec un vol parfaitement à l'heure...

    • Je ne me souviens plus le nom de la commandante mais elles ne sont que peu nombreuses alors c'est possible !

      Je préfère voir la chose à l’envers et me dire que jusqu'à il y a peu, il n'y avait que des gavottes au fromage sur ce type de liaison, en J. Alors on va dire que ça progresse 🤔

  • Merci beaucoup pour ce FR, qui témoigne une fois de plus de la catastrophe en termes de gestion des retards que peut parfois proposer AF…

    Dans ton malheur tu as eu beaucoup de chance.

    L’équipage a fait son maximum, mais c’est inadmissible d’être aussi souvent en retard et ça doit coûter un argent monstrueux.

    • La vraie question c'est, comment s'en sont sorties les autres compagnies ce jour là avec tous les postes de dégivrages fermés/occupés ?

      Il est facile de taper sur AirFrance mais dans ce cas précis, j'ai plutôt trouvé qu'ils avaient très bien géré les situations des uns et des autres.

      Ça doit coûter cher de loger/nourrir autant de pax à Paris mais c'est un calcul à faire et dans le cas du vol de PTP, ils étaient sûrement davantage perdant à retarder l'ensemble de la rotation qu'à laisser 40 personnes sur le carreau.

      • Plusieurs choses :

        - je suis un grand adepte d’AF, mais il m’arrive parfois de voyager avec d’autres compagnies notamment pour des vols intérieurs à l’étranger. Le cas échéant, je suis quasi systématiquement à l’heure. Avec AF j’ai plus d’un vol en retard sur deux, sur l’année 2024.

        - on peut bien sûr reprocher à ADP le sous-investissement en matière de matériel de dégivrage.

        - concernant ce que tu dis sur les 40PAX ayant loupé leur vol pour PTP, outre le calcul purement financier, il y a aussi un enjeu marketing. Cf le passager mécontent à juste titre, qui annonce qu’il ne reprendra plus jamais AF.

        La ponctualité sur AF est à mon sens un gros problème. Je pense même que c’est le problème numéro 1 qu’AF doit traiter les prochains mois.

        Plutôt que de raboter sur le catering moyen courrier, il y a un enjeu de donner des objectifs clairs : maximum 10% par exemple des vols qui repoussent avec du retard.

        C’est ce que je ferais si j’étais Ben Smith.

        Des fidèles comme moi cessent de prendre AF à cause de ça. J’en connais.

        • On est d'accord, la ponctualité fait souvent défaut avec AirFrance, je ne dis pas le contraire, mais la faute n'est pas toujours sur la compagnie. Quand la météo s'y mêle, quelle est le bon comportement à adopter ? Dur dur..

          Mon vol du soir CDG-MPL est systématiquement en retard et ça m'agace aussi beaucoup mais quand on a pas d'alternative, on continue de prendre AF par simplicité. Mauvaise expérience ou pas, il n'y aura pas beaucoup d'autres alternatives pour ce pax mécontent, il reviendra certainement à AF tôt ou tard 😜

          • Un truc très simple : arrêter de penser qu’un A321 s’embarque aussi rapidement qu’un A318 ou qu’un E170.

            Un vol du soir en A321 sur Af c’est retard assuré d’au moins 1h.

            Pour moi c’est incompréhensible

  • Merci pour ce fr

    Beau coup en terme de tarif. Pour l'upgrade, on va dire que ça compense le stresse.

    A bord, dommage qu'il faille réclamer le champagne.

    Bonne suite!

    • Oui niveau tarif, difficile de faire mieux !

      Plus de stress pour la correspondance et en prime, un upgrade, quoi de mieux ?

      A bientôt pour la suite.

  • Merci Laura pour ce FR.

    Une très jolie destination et un très bon prix, car c'est rarement le cas sur cette destination avec AF.

    Il y a fait en effet du brouillard à CDG ce jour là.

    Tu as eu de la chance avec ce changement en J.

    Le champagne à coulé à flot après toi.

    Dommage pour les 40 passagers pour les Antilles, mais nous n'avons surement pas toutes les informations et un choix doit être fait à un moment donné de faire partir l'avion.

    A bientôt

    • Cela fait plusieurs fois que je vois les vols vers le Maroc bradés sur AF alors si cela intéresse quelqu'un, c'est le bon moment.

      Pour le champagne, je me rassure en me disant que je n'ai pas fait ouvrir une bouteille que pour moi !

      Pour le vol de PTP, en effet, tout se calcule et la bonne décision dans ce cas était probablement de faire partir l'avion avec 40 pax en moins.

  • Merci Laura pour ce FR.

    Bcp de stress, mais au final un upgrade opérationnel en J et une correspondance large. What else ?

    Tu as bien fait de faire déboucher le champagne, il est là pour ça, non mais !

    La prestation fait chiche pour de la business, mais c'est infiniment mieux que ce qu'il y avait avant (càd rien) et ça reste du domestique, donc ça ne me choque pas.

    La gestion des rebookings est toujours complexe et, comme le dit Valérie, on n'a pas forcément tous les éléments en main quand on est passager.

    A bientôt.

    • Oui je pense aussi que ça aurait été bête de laisser le champagne caché dans le galley.

      C'est en effet bien mieux que les gavottes au fromage qu'il y avait avant.

      Je suis d'accord, il est difficile de prendre des décisions sur des cas de rebookings et nous ne connaissons pas tous les paramètres. De mon côté, je ne peux pas m'en plaindre 🙏

  • Merci Laura pour le partage !

    Retards en série ce jour là, et finalement un op up en J c'est toujours bon à prendre, surtout avec des bulles.

    Sur ce genre de long courriers la décision d'attendre ou pas a de lourdes conséquences : les équipages n'ont qu'un repos presque minimum sur place, de 26H à 28H de mémoire. Si l'on passe sous un certain seuil, il faut rajouter des heures de repos. Ou alors donner des jours de repos compensatoires au retour. Donc retarder un long courrier pour attendre des passagers si c'est pour retarder également le vol de retour, ce n'est pas forcément rentable.

    A bientôt !

    • En effet, je pense que si la décision a été prise de laisse partir le vol sans les attendre, c'est que tout était calculé et pas sans conséquence.

  • Merci Laura pour ce FR

    Parfait de surclassement offert

    Malgré le look peu appétissant du sandwich, c’était quand même plutôt bon

    j'ai eu le meme sandwich la semaine derniere, effectivement il est meilleur que laisse penser son look

    mais les 40 pax pour PTP restent dans le flou,

    c'est une situation très difficile pour les PAXS, mais le choix d'attendre les 40 PAXS ou pas est savant calcul avec beaucoup de citères, comme par exemple le temps de service du personnel sur le vol en question est compattible avec le declage de 1 ou 2 heures par exemple ? etc...

    A bientot

    • On apprécie toujours un surclassement !

      Je suis d'accord, attendre ou ne pas attendre des passagers en correspondance et une décision prise en tenant compte de tous les aspects, dont certains qu'on ignore.

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