Derniers pas sur le territoire français
Une fois arrivée à CDG via le RER B toujours aussi plaisant, direction le 2F pour récupérer son BP

Tout en croisant la reine de CDG représentée par quelques soldats de son armée

Etant en retard et après une course contre la montre, j'arrive enfin en cabine. De par mon sprint, je n'ai pas pu prendre en photo l'avion comme il se doit et commence donc la présentation par la business class. Celle-ci n'ayant pas trouvé preneur


C'est avec la satisfaction de découvrir une nouvelle compagnie que je m'installe à mon siège

L'IFE étant présent uniquement pour la décoration car impossible de l'allumer


Par contre, du côté lecture, il y a ce qu'il faut et bien préservé dans une pochette plastique : sac vomito, BOB, magazine…

… et consignes de sécurité

Que se passe t'il à côté de notre aéronef? Sous un temps que je qualifierai de capricieux, je retrouve le locataire de lieux…

Mais pas que… une très belle livrée Skyteam

Ainsi que le cèdre aérien

Et quelque soit l'endroit de la planète, un américain

Ce qui m'importe, c'est que celui-ci nous amène à bon aéroport et nous sorte de cette grisaille insupportable

Le décollage lancé, on se rapproche d'un autre paysage mais avant, n'oublions pas que les satellites ne sont pas que dans le ciel

Mais aussi à terre :-)


Au regard de la propreté du hublot, j'ai fait de mon mieux pour capter ce changement météorologique qui donne plus envie que les sièges vu leur état

On n'est pas sur de la première génération mais ils ont au moins le mérite d'être confortable


Dans un avion, le plus intéressant reste la vue sur les paysages traversés comme ceux d'Hongrie avec Facankert où nous croisons un collègue


Avant de se rapprocher de la destination finale après avoir vu de nombreuses forêts le long du vol

Nous voici sur la terre ferme avec une météo plus clémente et une folle envie de boire car rien n'aura été proposé durant le vol, pas même un verre d'eau

Nous croisons quelques Ryanair et Wizz Air sur le tarmac. Tarom n'étant pas la plus présente à cette heure


Après une long attente pour atteindre un slot, direction le bagage claim avant de prendre le bus 100 pour rejoindre le centre-ville de Bucarest pour la modique de 6 lei soit €1,2

Merci pour ce FR !
Dommage pour l'IFE en rade, par contre c'est rare de voir une vraie cabine J sur moyen-porteur européen.
Quelle tristesse pour le catering, réduit à sa plus simple expression... Il y a quelques années, c'était clairement mieux avec notamment un plat chaud !
A bientôt !
C'est assez amusant de voir les cabines de Malaysia Airlines sur cet avion de Tarom. La compagnie roumaine n'ayant pas de système de divertissement, je ne suis pas surpris que les écrans restent éteints.
Merci pour ce FR