Bonjour,
Direction la Colombie où un couple d'amis se marie à Medellín. Ils ont invité un bon groupe d'amis de l'université et ça promet une belle fête, en plus de retrouvailles pour beaucoup d'entre nous. C'est aussi une magnifique occasion de découvrir un nouveau pays.
Le hasard fait que je devrais très vraisemblablement retourner en Colombie avant la fin de l'année, mais pour des raisons totalement différentes.
Le construction du routing:
Le choix est vite fait, nous partons en direct avec Iberia pour 2 raisons:
- Iberia opère 3 vols par jour, ce qui est assez pratique. Ça nous permet de connecter le même jour en arrivant à Bogota et au retour d'arriver à 5h du matin à Madrid, et ainsi enchaîner sur une journée de travail et économiser un jour de vacances.
- Au moment de la réservation, fin janvier, Iberia faisait une belle promotion vers Bogota.
Leurs billets éco avec bagage en soute ont coûté 640€. Pour ma part, j'ai pris l'aller-retour en Premium Economy pour 770€, ce qui à mon avis est un excellent tarif.
A l'origine, faire cet aller-retour en Premium Eco me rapportait 850 Elite Points ce qui représentait presque 40% du chemin vers le statut Gold d'Iberia Plus. Le même voyage en éco rapportait 350 EP (soit 15,5% du chemin). Je trouvais donc les 130€ supplémentaire justifiés, avec le confort en plus.
C'était sans compter sur les changements du programme Iberia Plus mis en place le 1er avril. Cet aller-retour me rapporte maintenant environ 1400 EP, ce qui représente près de 18% du chemin vers le Gold avec le nouveau système. De quoi être bien dégoûté par le nouveau Iberia Plus.
Nous n'avons que 11 nuits sur place et 4 d'entre elles doivent être passés à Medellín. Nous choisissons donc de passer 3 nuits à Salento, dans le Eje cafetero, 3 nuits à Cartagena, puis les 4 nuits à Medellín et enfin une dernière nuit à Bogota avant de rentrer à Madrid. Là aussi on me laisse plus ou moins carte blanche pour les vols. Je trouve un moyen de satisfaire tout le monde au niveau horaire tout en essayant 4 compagnies différentes en 4 vols:
- Le premier est simple, arrivant peu avant 16h à Bogota nous voulons repartir le même jour et donc le plus tard possible. Ce sera donc le LATAM de 19h03 pour Pereira.
- De Pereira ou Armenia pour Cartagena, nous avons Avianca ou Jetsmart. Le prix est similaire mais c'est Avianca qui propose les meilleurs horaires.
- De Cartagena à Medellín il y a le choix mais j'ai réussi à convaincre tout le monde de prendre Wingo. C'était aussi le moins cher, et de loin.
- Puis de Medellín à Bogota on a un choix immense avec près de 30 vols par jour entre les deux villes. Je décide de prendre une des petites compagnies Colombienne partant de l'aéroport du centre de Medellín (Olaya Herrera - EOH). Ce sera donc SATENA. Le prix est légèrement plus élevé que les autres compagnies et je n'ai pas réussi à motiver mes amis qui ont préféré prendre Jetsmart depuis l'aéroport international.
Ce qui nous donne:
Enchainement de vols
- 1IB151 - Business - Madrid > Bogotá - A350-900
- 2LA4218 - Economique - Bogotá > Pereira - A320
- 3AV9388 - Economique - Pereira > Cartagena - A320
- 4P57605 - Economique - Cartagena > Medellín - B737-800
- 59R8766 - Economique - Medellín EOH > Bogotá - ATR42-500
- 6IB156 - Business - Bogotá > Madrid - A350-900
Une fois la réservation faite, je vois qu'on me propose déjà de surclasser mes vols en Business. Le retour, de nuit et sur la nouvelle cabine, est proposé à 10 750 avios et je n'hésite pas une seconde.

Je me laisse tenter par le vol aller à 18 750 avios. J'ai un bon paquet d'Avios et il y a toujours le risque qu'ils perdent soudainement de la valeur alors autant les utiliser.

Réveillé tôt, je décide de me rendre à l'aéroport en avance et de prendre mon petit déjeuner au lounge avant qu’il devienne bondé et invivable. Je rejoindrai mes amis à leur arrivée au le terminal.
J'arrive donc vers 8h30 au Terminal 4. Il y a déjà un peu de monde, il faut dire qu’il y a un nombre impressionnant de vols intercontinentaux qui partent du T4 entre 10 et 13h.
Le check-in aux comptoirs prioritaires est quand même très rapide.

Un peu de monde au Fast Track mais c'est très fluide aussi.

Je prends ensuite les escalators pour descendre dans les bas-fonds du T4 afin de prendre le train pour le satellite.


J'arrive le premier au contrôle de passeport. Connaissant bien le terminal, je sais où me placer dans le train pour en sortir parmi les premiers.


L'entrée du salon est dans le Duty Free. Le mur rouge et le logo d'Iberia sont difficile à rater.

Une démonstration de danse de chotis a lieu en plein milieu du Duty Free. Ce 15 mai est jour férié à Madrid, on célèbre le patron de la ville San Isidro. Le chotis est une danse typique de la San Isidro.

Je ne reste pas très longtemps et entre dans le salon. Il est tout en longueur et encore calme à cette heure là.

Un plan du lounge et des indications sont disponibles à l'entrée. Notez sur le FIDS le grand nombre de long-courrier à partir de 11h30.

Je me dirige vers la pointe sud du lounge, le bar à vin. C'est mon espace préféré grâce aux grandes baies vitrées.


Des écrans indiquent les horaires des services. Le petit déjeuner s'étend jusqu'à 11h.

Le buffet est assez basique mais il y a ce qu'il faut.






Il existe plusieurs espaces à travers le lounge avec des machines à thés/cafés.


Ainsi que des frigos avec de l'eau et des sodas.

Le lounge a une salle de repos et des douches.

Ainsi qu'un espace jeunes avec, entre autre, des jeux vidéos.

Je retourne à ma table avec un petit déjeuner léger.

Face à moi, un Iberia Express pour Londres Gatwick et un B787 d'Avianca.
L'Avianca part pour Bogota à 9h40. En comptant les 2 départs après minuit d'Avianca et Iberia, il s’agit déjà du 3e vol de la journée pour Bogota. La capitale Colombienne est relié à Madrid par 7 à 9 vols par jour.
La Colombie elle-même est très bien reliée à Madrid. En plus de Bogota, il faut ajouter Medellín (Avianca et Air Europa), Cali (Avianca et World2Fly) et Cartagena (Plus Ultra en triangulaire avec Bogota) à la liste de destinations depuis Madrid.

A l'autre extrémité du lounge, on trouve le même buffet.

Avec là aussi une jolie vue.

Le lounge commence à bien se remplir et je décide de le quitter pour me dégourdir les jambes avant ce vol de 10h.

Le FIDS avec les départs jusqu'à 16h15. On voit bien le focus de Madrid sur le trafic transatlantique. De tous ces vols, seuls 5 partent vers l'Est.

Peu de monde dans la partie sud du terminal.

Un peu plus dans la partie nord.

Dont l'extrémité est fermée pour les vols Iberia vers les Etats-Unis, permettant ainsi de faire le contrôle de sécurité habituel avant d'accéder en porte d'embarquement.

Je retourne sur mes pas pour voir l'A350 qui va nous emmener en Colombie.

C'est le EC-NBE, un A350 de 6 ans nommé Museo del Prado.
C’est exactement le même avion que mon mari a pris 4 jours plus tôt. Malheureusement, assis au 2A, il a eu une expérience en demi-teinte avec notamment un avion un peu sale et des marques d’usure très apparentes sur le siège. J’espère que mon 6A sera en meilleur état.


Un autre A350 arrivé ce matin de Buenos Aires.

Un B777 d'American Airlines qui se prépare pour Miami.

Un A321XLR d'Iberia arrivé au petit matin de Boston. J'ai pu tester cet avion sur un des quelques vols vers Paris avant le lancement de ses opérations long-courrier.

Le même mais avec un A350 d'Iberia qui arrive de São Paulo.

Je passe à côté un des nombreux A350 d'Iberia avec un nom à la con. Je me suis déjà plaint des noms donnés aux A350 d'Iberia dans un FR passé mais je trouve que c'est une vraie opportunité manquée, même si au final on s'en fiche un peu.
Ça avait bien commencé avec Placido Domingo puis Paco de Lucia, deux grands noms de la culture espagnole. Sauf qu'ensuite c'est parti dans tous les sens. Il y a Hola Madrid, du nom du programme de stopover d'Iberia. Il y a Volando, du nom d'une chanson promotionnelle un peu nulle qu'a fait Iberia en 2019. Ou Bicentenario Policía Nacional, litteralement "Bicentenaire de la Police Nationale".
Celui-ci est un des derniers nommés, Organización Nacional de Trasplantes, d'après l’organisme espagnol chargé des transplantations.

Finalement je trouve ces chaises longues, face à mon avion et m'installe tranquillement.

J'ai une bonne vue, de quoi continuer à faire un peu de spotting.

Un A220 d'Air France rentre à Paris. Si rien ne change, je devrais (enfin) pouvoir prendre cet avion fin juillet.

Un Avianca retourne en Colombie.

Un A330 de Plus Ultra est tracté vers le T4S pour son vol vers Caracas.

Je reçois un message d'Iberia indiquant un changement de porte, et donc un changement d'avion. Je quitte ma chaise longue et la porte S17 pour me rendre en porte S41.
On passe au EC-MYX, un des plus vieux A350 d’Iberia. Il a presque 7 ans et porte le nom de Paco de Lucía. C’est l'A350 reçu juste avant le EC-NBE qui était prévu.

Mes amis me rejoignent en porte, tandis que le vol est annoncé avec du retard. Les valises cabines sont toutes pesées et gare à ceux qui dépassent les 10kg autorisés.

Puis le retard se fait un peu plus long et on commence à faire les calculs concernant notre connexion à Bogota. On peut observer depuis le terminal des agents de maintenance donner quelques coups de marteaux sur l’avion.

L'embarquement commence à 12h15, dès que les coups de marteaux sont terminés. Les employés d'Iberia mettent la totale pour embarquer le vol le plus rapidement possible.

La cabine business est déjà presque pleine quand j’entre. Seuls quelques sièges sont encore libres, dont le mien. La cabine sera complète, comme souvent sur les vols vers Bogota. Cette cabine en 1-2-1 est assez confortable, surtout si on arrive à avoir comme moi un des vrai sièges hublot.
Sur le siège on trouve l’oreiller, la couverture et le surmatelas.

Le siège a quelques signes d'usure mais ce n'est rien comparé à ce qu'a eu mon mari quelques jours plus tôt.

Cette configuration laisse pas mal d’espace entre le siège et la paroi.

Le casque et la trousse de confort sont placés dans le rangement sur la console. C'est d'ailleurs le seul rangement disponible.
Je préférais l’ancienne version de ce siège, présente sur les A330. Le siège de l’A350 est certes légèrement plus large mais il manque cruellement de rangements, surtout un fermé.

Télécommande et contrôles du siège.

L'IFE est activé

Il y a un bon choix de films et séries, de quoi s'occuper sur les long-courrier d'Iberia. Malheureusement le système ne permet pas de faire une liste de favoris, ce qui est dommage.




Une première hôtesse vient se présenter, offrir le menu et proposer une boisson de bienvenue. Elle n’a pas de plateau et fait donc de nombreux aller retour avec le galley à l’avant.
Sa collègue passe ensuite se présenter elle aussi et prend la commande du repas.

Je prends un verre de cava.

Les passerelles sont retirés et nous partons à 13h, avec 50 minutes de retard.

A côté un B777 de LATAM.

Un alignement de compagnies quelque peu intéressantes. Plus Ultra, Air Algérie et World2Fly.

Des American Airlines qui préparent leur retours.

Décollage peu après 13h, avec environ 1h de retard.

Il fait beau et la lumière est belle sur Madrid et l'aéroport.



A dans 12 jours Madrid!


La casque est parmi les plus inconfortables que j'ai pu avoir dans un avion. J’aurais bien aimé prendre le mien mais ça prend de la place pour pas grand chose. La trousse de confort est signée Teresa Helbig, comme les uniformes d'Iberia.

Son contenu est simple mais suffisant.

Je lance un Star Wars et la géovision sur la télécommande.


Quelques pubs rapides avant le programme mais il y a une fonctionnalité pour avancer et reculer de 30 secondes, ce qui est très pratique.

Mon voisin a installé le surmatelas, ce qui me permet de vous le montrer. Je ne l'ai pas utilisé sur ce vol de jour.

L'avion est équipé de wifi.

Le pass messagerie est gratuit pour les passagers Business et les membres d'Iberia Plus (Club Iberia Plus maintenant).


Le service commence par un oshibori sur réglette.

Puis le trolley avec l'apéritif arrive alors qu'on approche des côtes Portugaises.


La carte des boissons, avec les cafés, thés et alcools forts. Les softs ne sont pas listés, ce que je trouve dommage.

En ce qui concerne la cave, on a un Cava, deux blancs, trois rouges et deux vins fortifiés.


Je prends un verre de vin blanc de manchuela. Pour accompagner le verre, on peut avoir des olives, amandes ou du fromage. Il est habituel en Espagne de prendre le fromage à l'apéritif.
Ce fromage est assez moyen, l’Espagne en a des biens meilleurs.

Le vin, lui, est plutôt pas mal.

Il est possible de faire pivoter la table, ce qui permet de sortir de son siège même pendant le service.

Je suis du mauvais côté pour la vue sur Lisbonne mais celle sur Setúbal n'est pas moche pour autant.



Cabo Espichel.

Le commandant de bord prend la parole et donne des détails sur le vol alors qu'on laisse les côtes portugaises derrière. On a quitté Lisbonne et on ne devrait pas retrouver terre jusqu’à Fort de France, puis survol du Venezuela et Caracas et une arrivée prévue à 16h15. Ça nous donne 2h50 pour faire le transit. C'est un peu court mais pas impossible pour notre connexion à 19h, sachant qu'il faut passer l'immigration, récupérer les valises et se réenregistrer.

Le menu propose deux choix d'entrées, trois plats et trois desserts. Un encas est servi avant l'atterrissage.

En entrée je prends le roastbeef. C’est bon, le mélange avec les poivrons et le maïs est original mais j’aime bien. Le pain est chaud et proposé avec de l’huile d’olive, du beurre ou les deux.

La salière et la poivrière sont en forme de meninas, d'après le fameux tableau de Diego Velazquez intitulé Las Meninas.

En l'absence de air-to-air, vous prendrez bien du air-to-sea?

En plat principal, j'ai opté pour le saumon grillé en sauce bearnaise. La présentation ne paie pas de mine mais au goût c’est plutôt pas mal.

En dessert la question ne se pose pas. Je prends le tocinillo de cielo, un dessert typique espagnol à base d'eau, de sucre et de jaune d'oeufs. Ce n'est pas léger du tout, mais c’est délicieux. Il y a une pâtisserie dans le village de ma belle famille qui en fait un à tomber par terre.
L’hôtesse me propose un vin liquoreux avec et je ne peux résister au Pedro Ximenez qui est probablement le meilleur vin offert par Iberia au sol comme en vol.

Une bouteille d’eau est distribuée à la fin du repas.
L’équipage est très agréable et on voit que le protocole est bien rôdé. Les rôles sont divisées et on est donc en contact avec de nombreux PNC, 5 pour ma part lors de ce seul repas. Toutes les hôtesses étaient souriantes, agréables et ouvertes à la discussion. Elles dégageaient une bonne énergie et ça se ressent.
Le service, une fois commencé, a été très fluide et je termine avec un peu plus de 8h restant.

On voit que ce n’est pas un vol avec des américains. Le repas est terminé et de nombreux hublots sont encore ouverts. Les PNC ne forcent pas non plus à fermer les hublots, ce qui est agréable de leur part.

Il y a deux toilettes à l'avant de la cabine pour les 31 sièges de la cabine Business. Un des deux lavabos ne fonctionne pas, ce qui encombre un peu la deuxième toilette.

Je termine mon film et décide de faire une sieste alors qu'il reste 7h15 de vol. Je me réveille une heure plus tard.

Quelques snacks sont disponibles dans le galley.

Je me rends ensuite dans le galley avant pour demander un peu d’eau. Ils n’ont pas de bouteilles mais une hôtesse me propose un verre.
Il y a un colombien qui habite Genève avec qui je tape un peu la discute. Il enchaîne les gin tonic et semble très heureux de rentrer en Colombie.
J’en profite pour poser des questions sur les formalités d’arrivée à Bogota. Il me dit que c’est l’horreur et la connexion qu’on a maintenant de 2h40 lui paraît un peu courte pour sortir et refaire le checkin.
Une des hôtesses et la cheffe de cabine entendent notre discussion et elles me proposent de faire avancer mes amis assis sur les dernières rangées de la cabine éco pour qu'on puisse sortir plus vite. La cheffe de cabine sort son iPad et identifie trois sièges libres sur les premières rangées. Je me rend ensuite à l’arrière avec l’hôtesse pour dire à mes amis qu’ils seront déplacés dans la première cabine éco avant le prochain service. L’hôtesse, de son côté, avertit ses collègues à l’arrière.
Je retourne à mon siège et y trouve une bouteille d’eau pleine, une sympathique attention.

4h avant l'arrivée, une hôtesse passe proposer des glaces magnums.

Dans l'offre de séries TV, je trouve un documentaire sur la première édition de la nouvelle version de la Ligue des Champions et on parle de nous 🥹 (moment fierté bretonne).

On arrive au-dessus des Antilles et j'espérais voir la Guadeloupe. Je ne peux voir que Marie-Galante.


Puis les côtes ouest de la Dominique.

Ensuite plus rien jusqu'à l'archipel de Los Roques, au nord du Venezuela.

Le deuxième service commence à l’approche des côtes du Venezuela. Pour cet en-cas on peut difficilement faire plus espagnol. De la tortilla ou de la empanada.

Ce sera tortilla pour moi puisqu’il ne reste plus d’Empanada. Je n’aime pas particulièrement ça alors tant pis.

Du café et du thé sont proposés à la fin du service et un petit chocolat est offert. Il reste 1h de vol.
Le signe attachez vos ceintures est allumé environ 50 minutes avant l’arrivée. L’hôtesse m’avait prévenu que l’approche serait mouvementée. Le pass messagerie me permet aussi de savoir, grâce à mon mari déjà à Bogota, qu’il tombe en ce moment des pluies diluviennes sur la capitale Colombienne.

Les PNC préparent la cabine près de 20 minutes avant l’arrivée. On devrait arriver avec 45mn de retard.

On a du avoir une approche privilégiée parce que entre l’annonce du pilote en espagnol et celle en anglais on est passé de 20 à 10 minutes avant l’atterrissage. Ce changement se reflète sur la geovision.

J’adore ce sentiment particulier qu’on ressent en voyant pour la première fois un nouveau pays sous ses pieds.



Atterrissage à 16h20.

Il fait, en effet, un bien sale temps sur Bogota.

Chanceux comme on est, on se retrouve à devoir patienter sur le tarmac de longues minutes. Pourquoi c’est toujours quand on est pressé que ce genre de chose arrive (Attentes, pax bus, débarquement le plus loin possible etc.). Ça me rappelle ma connexion manquée l'année dernière avec Air Dolomiti.
On est en porte à 16h33. Nous avons 1h30 avant la fermeture du dépose bagage.

Nous avons de la chance, il n'y a pas trop de monde à l'immigration et il ne nous a fallu qu'une petite demi-heure pour entrer en Colombie.

J'arrive aux tapis bagages à 17h05 et la livraison commence au même moment. Mes amis suivent un petit peu derrière.

Nous sommes aux comptoirs LATAM à 17h25, tout à fait dans les temps pour un départ à 19h.

Les bonus touristiques seront ajoutés sur les récits des vols Avianca, Wingo et Satena.
Merci d'avoir lu et à bientôt pour les vols domestiques.
Merci Moritz pour ce premier opus d'une série sud américaine.
Un mariage en Colombie, ce n'est pas la pirte à côté.
C'est vrai que l'enregistrement prioritaire à Madrid est souvent rapide.
J'ai eu l'occasion de participer en 1997 à un spectacle de danse de la San Isidore, lors d'un week-end dans les environs de la capitale espagnole, ( des amis géraient une boite de nuit ).
Le lounge du T4S propose une sympathique décoration et il est difficile de mourrir de faim.
A bord la cabine est accueillante tout comme le personnel qui a été au top, notamment dans la gestion du débarquement, concernant tes amis voyageant en fond de cale...
Les deux services du catering semble appétissants, les snacks et la glace en cours de vol sont un plus.
J'ai remarqué que le nouveau système de calcul du programme de fidélité IB / BA, est beaucoup moins intéressant qu'auparavant ! Je suis passé "Ruby" juste à temps.
Finalement, la connexion c'est bien déroulé, bien avantagé par une file plutôt fluide.
Faut t'il toujours présenter un document d'entrée en Colombie, à télécharger avant de partir ?
A bientôt !
C'est sûr mais elle est de Colombie, lui d'Equateur, et ils vivent à Washington 😂
Le catering ex-Madrid est bien depuis qu'IB est passé à Do
C'est sûr mais elle est de Colombie, lui d'Equateur, et ils vivent à Washington 😂
Le catering ex-Madrid est bien depuis qu'IB est passé à Do&Co.
Au moins IB Plus a un système de "soft landing" qui m'a permis de passer Gold a Silver alors que je ne n'avais pas rempli les conditions pour un statut.
Le Check-mig? Il n'est pas obligatoire. On l'avait fait mais on ne nous l'a pas demandé.
Merci Hervé
Merci pour ton report. Un nouveau voyage qui joint l'utile à l'agréable.
Décidemment Bogota à la cote sur fr ces temps-ci.
Un tarif canon en W, et dont les offres de surclassement sont super intéressantes alors un rapport Q/P au top pour ces vols long courriers. J'avais lu que les upgrades pouvaient être très bons sur IB, en voici la preuve !
Les chgmts FFP BA puis IB laissent transpirer une chose : la fidélité c'est de l'argent, rien (ou quasi) d'autre... Bcp d'encartés ont quitté le navire pour un avenir meilleur ailleurs, mais pour combien de temps...
Le salon est standard et propose de patienter de façon agréable avant l'heure de pointe.
Une nouvelle fois, IB ne brille pas par sa ponctualité... et ses problèmes de maintenance...
Le surmatelas c'est pas mal, pour un peu plus de soft sur le siège et un gage de propreté supplémentaire.
Un service différencié pour l'apéritif, sur ce long vol de jour c'est top.
Le menu parait pas mal et t'a convaincu, avec une mention pour le dessert. J'avoue que je ne suis pas fan d'avoir de nombreux PNC au service, un seul permet de meilleures attentions.
Dommage pour le choix du 2nd service.
Un équipage pro et le replacement des copax est judicieux et appréciable.
Après un suspense insoutenable, la connexion est réussie, sauvés !
A bientôt
Je n'étais encore jamais allé en Colombie, et ce n'était pas sur ma to-do list 😂, et vraisemblablement je devrais y retourner à l'automne.
Quand je compare avec les offres de surclassement d'Air France, souvent reportées ici, je trouve qu'on est assez bien lotis chez IB.
Au contraire, IB est la compagnie la plus ponctuelle d'Europe et une des meilleurs au monde. Pour le coup on n'a pas eu de chance. En regardant ce vol sur flightradar, il n'est quasiment jamais en retard.
Merci Ben
Une offre de surclassement à ne pas manquer d'autant qu'Iberia a annoncé une nouvelle dévaluation des Avios qui va se traduire par une augmentation jusque 20% du nombre nécessaire pour réserver un billet prime.
Avec les nouvelles règles, c'est une bonne occasion d'aller voir chez QR qui fonctionne aussi avec les Avios.
Le T4S et le salon sont toujours aussi agréables.
Un vol qui fait le job, le siège n'est pas le meilleur, loin de la, mais le catering et l'équipage rattrapent le hard avec une mention spéciale pour la PNC qui aura facilité le débarquement des copax.
Arrivée stressante et mouvementée mais cela parait bon pour le vol suivant.
Merci Moritz pour ce premier opus et à bientôt.