Petite (mais bien trop grande) présentation
Chers tous,
Après avoir passé près de quinze années à vous lire, ce qui représente près des trois-quarts de mon existence, je m'essaie enfin à la rédaction d'un FR (autant se plonger immédiatement dans l'univers des abréviations dont les contributeurs du site raffolent tant, bien qu'après toutes ces années de lecture, je ne sois toujours pas certain de toutes les maîtriser à la perfection). Vous vous en doutez, si je vous ai lu de manière aussi assidue, c'est que je suis plutôt intéressé par l'aéronautique. Et par chance, il s'avère que j'ai pu faire d'assez importants voyages dans ma vie. Rien qui ne puisse rivaliser avec certains des auteurs les plus prolifiques du site, mais tout de même.
Si vous souhaitez savoir pourquoi je rechignais à écrire jusqu'alors et ce qui m'a poussé à finalement rejoindre votre prestigieux club, je laisse une petite présentation de ma progression dans le milieu aéronautique dans la section à dérouler ci-dessous.
Vous commencez bien légitimement à craindre que j'aie confondu flight report et carnet intime d'adolescent dépressif mais convaincu d'intéresser son public ; je vous rassure : ce n'est pas le cas ! Ce contexte était simplement nécessaire pour vous expliquer pourquoi je me suis mis à voyager probablement davantage que l'essentiel des étudiants sur cette dernière année. Entre des études gourmandes en matière d'emploi du temps, et des petites missions par ci par là se multipliant pour débuter ma carrière, depuis un an et demi, je n'ai jamais eu l'occasion de passer plus de deux nuits de suite chez moi, en Suisse. Pas plus à Noël qu'en été, d'ailleurs (également car j'ai multiplié les grands voyages dès que j'en avais le temps, je dois plaider coupable). Et ce début de vie professionnelle, comme le tumulte des études parisiennes, n'étant pas toujours des plus prévisibles, il m'a fallu trouver un moyen à la fois économique, efficace, et surtout m'offrant des options de voyage extrêmement flexibles pour tout de même faire assez régulièrement des trajets entre Genève et Paris. Sur ce tronçon, mon choix s'est naturellement porté vers Air France, qui a le mérite de proposer aux plus jeunes une carte qui, pour moins de 50 euros annuels, donne accès à des tarifs privilégiés, incluant un bagage en soute et surtout une flexibilité totale des billets.
C'est ainsi qu'un aller-retour en entraînant un autre, entre Genève et Paris, ainsi que quelques séjours au cours de l'année dernière à l'international, généralement aux États-Unis où j'ai également de la famille et des amis, j'ai rapidement pu progresser au sein de FlyingBlue. En effet, l'apport en XPs des CDG-GVA est faible mais, à mesure de séjours, tout de même consistant et AF-KL-DL constitue un trio assez fiable pour traverser l'Atlantique (et se déplacer au sein des États-Unis). Après sept mois de vie parisienne, j'étais Gold. Depuis quelques jours, me voici Platinium (à préciser que j'évite généralement l'Economy - Y, que dis-je, il faut que je me prétende au fait de toutes les abréviations du milieu pour vous sembler digne d'intérêt - sur les longs courriers, ce qui est vite rémunérateur pour progresser dans le programme de fidélité). Pour marquer le coup, je décide donc tout à la fois de débuter ma vie de voyageur Platinium (oui, la formule est exagérée) et celle de flight reporter.
Si j'étais plutôt convaincu que mes bêtes trajets entre Paris et Genève n'avaient que peu d'intérêt, en Y de surcroît, je me suis dit qu'étant enfin le fier détenteur du statut Platinium, les quelques incertitudes que celui-ci engendrent, comme la présence ou non des salutations d'usage en cabine - par les « PNC », j'apprends vite ! - pouvaient donner une forme d'intérêt à mes reports sur cette ligne. Et je vous préviens, hélas, si j'ai de nombreux trajets entre la Suisse et la France prévus sur ces prochaines semaines, aucun périple plus ambitieux n'est à l'ordre du jour.
Le report, enfin !
Mon trajet est des plus simples, il s'agit d'un aller-retour, entre le début et la fin du week-end, entre CDG et GVA avec AF en Y. Mais étant Platinium, je vous promets qu'il ne s'agira pas d'un simple court courrier en Y, puisque j'agrémenterai naturellement ma contribution du fameux Lounge 2F.
Le vol doit décoller à 20h45. Ayant pas mal de travail cet après-midi, je décide de me rendre à l'aéroport avec énormément d'avance, pour éviter la congestion des transports en commun de la fin de journée à Paris, et télétravailler depuis Roissy. C'est donc vers 14h30 que je me rends en direction du RoissyBus, à Opéra. Bonne nouvelle, le trajet se fera dans l'un des nouveaux cars affectés à la ligne - malgré leur introduction en grande pompe en janvier dernier, ils ont été victimes de nombreux problèmes techniques, et la plupart des trajets en RoissyBus se font hélas toujours dans des bus de ville peu confortables, dépourvus de porte-bagages et limités à 70km/h.

Hélas, ma stratégie ne s'avèrera pas payante : le trafic est très dense, nous sortirons vite de l'autoroute pour terminer avec des itinéraires alternatifs. Durée totale : 2h00, c'est un peu problématique, car j'ai encore énormément de travail à faire avant de pouvoir sereinement embarquer.

Petit avion au-dessus du Bourget.

Celui-ci en revanche signifie plutôt que l'on s'approche de CDG !

Une chose à savoir à mon sujet : je suis tout particulièrement féru de turbulences. Un vol raté est un vol qui en est dépourvu. Et on semble bien se diriger vers un vol raté, selon Turbli.

Arrivée au T1 vers 16h20.

Et pour moi, ce sera le 2F. Mes malchances s'accumulent : le Roissybus nous dépose au niveau des arrivées, et non des départs. Puisque ces dernières semaines, j'ai régulièrement eu des malheurs avec le Roissybus, tombant sur des chauffeurs ne sachant pas se diriger entre les terminaux (si si, je vous assure, il y a deux semaines, nous avons mis trente-cinq minutes à aller du T1 au T2E !), je vais simplement signifier au conducteur, avant de descendre, qu'il me semble qu'il nous a laissé au niveau des arrivées et non des départs, « pour une prochaine fois »… Il me répondra qu'ils n'ont simplement plus l'autorisation de faire descendre au niveau des départs. J'ignore si c'est vrai, ce n'était en tout cas pour sûr pas encore le cas six jours auparavant !

Bref, je monte au 2F, direction la zone SkyPriority, encore relativement épargnée à cette heure de l'afflux de voyageurs du vendredi soir. Puis je passe la sécurité ("airside", lexique oblige).




Je me presse d'aller au salon 2F. Il me faut travailler. Et dans ce lounge que j'apprécie tant, c'est un plaisir ! Comme toujours, le wifi est fonctionnel, plutôt rapide - j'ai vérifié la vitesse, pour vous, mais oublié de faire une capture d'écran du résultat, quelle erreur de débutant ! J'aurai néanmoins un soucis d'accès à l'intranet de l'entreprise, AF n'y peut rien, mais j'ai été quelque peu perturbé à mon arrivée. D'autant que mon départ prématuré pour l'aéroport se faisait en échange de ce petit moment en télétravail. Heureusement, il ne s'agissait que d'une nouvelle manipulation tout juste ajoutée pour les accès à distance, un coup de fil au service informatique aura vite fait de régler le problème.

Il est 17h, il n'y a donc aucun plat chaud à l'instant, mais Le Comptoir met régulièrement à disposition de nouvelles fournées de madeleine et de chouquettes (encore chaudes). Voici ma sélection pour adoucir mon télétravail.

Et un aperçu de ce qui était disponible dans les divers buffets du salon à ce moment de l'après-midi. Comme toujours, le tout est assez correct.





19h15. Il me reste 1h avant d'embarquer. Les plats chauds font leur arrivée au salon. Je cesse mon télétravail et cherche à me détendre. Pour ce faire, je jette un œil sur l'actualité américaine (on fait chacun comme on peut, et sur un site d'avgeeks, personne ne me jugera pour des passions particulières ;), me permettant, avant d'embarquer, de retrouver un certain président américain embarquant lui aussi dans son avion (pour combien de temps encore s'agira-t-il de ce B747 ?) autrement plus imposant que le B220 qui m'emmènera à Genève.

En parallèle, je m'en vais à l'exploration de l'offre chaude de ce vendredi soir. À noter que le Comptoir proposait quelque chose de 100 % végétarien ne m'intéressant en rien, et, nouvelle erreur de débutant en tant que contributeur sur le site, j'ai oublié de tout de même photographier ce plat !






Une fois n'est pas coutume, je ne suis pas parfaitement convaincu par l'offre chaude. Et le mijoté de porc n'est pas exceptionnel, bien en deçà d'autres plats similaires que j'ai eu l'occasion de déguster au 2F. Ma sélection pour ce soir, quoi qu'il en soit.

Un petit sandwich concocté par mes soins. Vous ne le voyez qu'à moitié, car j'ai oublié de le prendre en photo avant de l'entamer… Grr, encore un mauvais pas ! Me pardonnerez-vous ?

Le buffet froid est qualitatif.

Je conclus avec deux petits desserts : panna cotta aux fruits exotiques (très bon, j'en prendrai trois, aïe aïe aïe !) et une petite tarte non identifiée en l'état. Le tout assorti d'une mise au point, sur la photo, de… Débutant, une fois encore !

Préoccupons nous un peu du centre du propos ici : le vol en tant que tel. Hélas, il a pris du retard à Porto sur sa rotation précédente. Nous embarquerons donc avec vingt minutes de retard, c'est-à-dire à 20h35. Le tout se fera dans le respect des priorités (zone 1 et 2 différenciées, ce qui n'est pas systématique). Pour rappel, un embarquement prioritaire à CDG consiste à attendre en s'entassant dans la passerelle (nouvelle erreur de débutant : le "jetbridge")…


L'A220 - que j'ai par erreur attribué à son ancien propriétaire, Bombardier, plus tôt dans le report (j'ai décidé de ne pas corriger afin que vous puissiez blâmer le novice que je suis) - fait toujours bel effet. À l'entrée, salutations souriantes de l'un des PNC, pas de l'autre (mais je ne sais plus s'il s'agissait du chef de cabine ou non, nouvelle honte pour le néophyte que je suis). Vous aurez remarqué une autre erreur de débutant : aucun instant porte. Que d'instants oubliés !


J'arrive au fond de la cabine. Il n'y avait en effet aucun siège hublot disponible à l'avant. Cela étant, vous ayant confié mon amour des turbulences, vous ne serez pas non plus surpris de me voir régulièrement, bien que Platinium, assis à l'arrière (oui, à ce stade, c'est pathologique). À préciser que s'assoir à l'arrière des A220 sur AF a un autre avantage : ces sièges-là sont généralement neutralisés pour centrage dès l'enregistrement en ligne (l'"OLCI", nouveau point lexique !) et l'on s'y retrouve généralement seuls. Ce qui n'échouera pas, une fois encore. Aucun voisin.

L'avion est presque plein, les coffres à bagages également, pouvoir placer mon sac sous le siège d'à côté plutôt que le mien fut donc très agréable. Cela étant, je n'aurai bénéficié d'aucune attention platinesque - la semaine dernière, pourtant, j'avais eu de délicates attentions, c'est à croire que décider de documenter mon vol a jeté sur moi une certaine malchance.

Repoussage avec vingt minutes de retard tout pile - 21h05. Dernière vue sur le salon du 2F. Beaucoup d'AF, un petit El Al, puis alignement pour le décollage.







Lumière toujours magnifique à la tombée de la nuit.





Hélas, vous l'aurez constaté, mon hublot est répugnant. Ce n'est même pas qu'il est rayé : il a une espèce de couche grasse sur la vitre qui donne sur la cabine. J'ai enlevé ce que je pouvais avec un mouchoir, mais ce ne fut pas miraculeux. Et les photos en payent le prix.
Legroom correct, mais je ne suis pas des plus consistants, dois-je reconnaître (et une vue sur le mouchoir m'ayant servi à nettoyer, sans succès, mon hublot).

Le vol progresse, toujours à 7 620m en croisière.

La collation est servie. Nouvelle erreur de débutant sur FR : je décline le sandwich au fromage. C'est toujours le même sur la ligne, et je le trouve sincèrement mauvais. Il y a un an, ils en avaient un à la tomate, qui était bien meilleur. Je me contente donc d'un jus d'orange et d'un thé (étant le dernier passager servi, j'ai osé demandé si, en effet, il restait un peu de thé pour accompagner le jus).

Par conscience professionnelle de flightreporter naissant, je photographie le sandwich de mon voisin de devant. Aussi peu convaincant que les photos à travers mon hublot. Mais croyez-moi, vous ne manquez rien (je parle bien du sandwich, pas du coucher de soleil).

Port USB fonctionnel.

Boissons terminées tandis que la descente est bien amorcée.



Ce hublot… et cette mise au point désastreuse… Arrivée à GVA, avec vingt minutes de retard, ce n'est pas gravissime (le vendredi soir, je suis d'humeur complaisante, semble-t-il).

Et c'est ainsi que se conclut mon premier flightreport, à GVA ! Merci de m'avoir lu. N'hésitez pas à m'indiquer en commentaire si reporter des GVA-CDG vous semble tout de même très superflu et dans quelle mesure vous avez des conseils d'amélioration pour mes contributions à venir.

Bonjour et bienvenue parmis nous!
Un très beau rapport, mon premier n'était pas aussi bien développé. De très belles photos bravo.
Le coup des turbulences c'est original je ne savais même pas qu'un site existait pour les recenser
On sent la lecture de FR attentive mais après chacun est aussi libre d'éditer son article à sa manière ;)
Les salutations platinesques deviennent rares - me concernant et si j'en crois certains autres encartés.
Pas de soucis pour les petits trajets GVA-CDG, là encore c'est personnel, je trouve qu'on a toujours quelque chose à raconter et surtout on peut constater l'évolution du service sur ces petits tronçons.
À bientôt pour un nouveau report helvète :)
Bonjour et merci de m'avoir écrit :)
Un vrai plaisir d'avoir partagé ce vol et je me réjouis donc de vous faire part de la suite de mes aventures
J'ai eu des salutations platinesques la semaine dernière, pour mon premier vol en tant que Platinium, à voir pour la suite, mais en effet je modère mes espoirs :) - d'ailleurs, je ne sais pas dans quelle mesure ces salutations sont un véritable privilège ou plutôt un moment de légère gêne
À très vite
Merci pour ce FR et bienvenue sur le site!
Si la ligne est un poncif du site, la qualité du texte rend le report tellement agréable à lire que je ne pourrais que te conseiller de continuer à les reporter. Mon premier FR ne devait avoir qu’une quinzaine de photos, donc bravo!
Pour les chefs de cabine (CC sur court et moyen courriers, CCP et CC sur long courrier, on les reconnaît aux liserés argentés sur les manchettes de la veste chez AF: 1 pour les CC, 2 pour les CCP).
Encore merci pour ce FR et à bientôt sur le site - qui sait pour une prochaine aventure américaine sur un vol domestique (le flight-reporter aime l’exclu ;) )
Merci de m'avoir lu !
Merci beaucoup, je sais différencier les CC des autres PNC, mais ce que je voulais dire est que je ne savais plus le quel, des deux PNC présents en porte, semblait très moyennement satisfait de sa présence ahaha
À très bientôt
Bonjour et bienvenue sur FR
A la lecture du récit on remarque instantanément la patte du néo journaliste.
Il se passe toujours quelque chose sur une " navette ", alors pas de souci à publier des aller-retour fréquents.
Concernant la reconnaissance du status à bord, c'est un peu la loterie...
Non, ce n'est pas que le sabdwich ne soit pas bon, c'est que vous n'avez pas aimé ! 😉
GVA est devenu ma deuxième maison, après LYS...
N'hésitez surtout pas à lire et commenter les contributions des autres auteurs, si vous souhaitez vous aussi être lu et participer pleinement à la vie du site.
A bientôt !
Bonjour et merci de m'avoir écrit !
En effet, aucun vol n'est jamais égal au précédent, même sur des lignes aussi anodines
Je me réjouis de découvrir si j'ai la main chanceuse ou nom au lotto platinesque
En effet, le sandwich est plutôt un rejet personnel :)
Oui, je vais essayer de me faire présent sur le site !
Merci encore Chevelan - je vous ai tant lu ces dernières années
Bienvenue sur FR et merci pour le partage de ce vol,
Un FR assez commun mais le texte est très plaisant à lire.
Ce site internet de prédiction des turbulences est très intéressant, j'ignorais son existence.
Aucunes salutations personnalisées à bord, c'est souvent le cas sur les lignes courtes, l'équipage est souvent occupé et certaines destinations ont beaucoup de passagers avec des hauts statuts (je suis persuadé que GVA en fait partie).
A bientôt,
Bonjour et merci beaucoup :)
En effet, ce site est plutôt fait pour les phobiques de l'avion à l'origine, mais je lui ai trouvé une autre utilité, savoir si je dois m'attendre à être frustré ou non...
Je discutais l'autre jour avec un employé du salon GVA, qui commence à me connaître à la longue, et il me disait en effet qu'à Genève ils avaient énormément de clients à hauts statuts
Merci pour ce FR très bien fait et bienvenue parmi les contributeurs !
Comme plusieurs ci dessus, je n imaginais pas qu’un site dédié aux turbulences existait. C est plus qu’intéressant ça ! Merci pour l’info.
Pour le souci de hublot, en 220, j ai eu souvent des problèmes alors que les avions sont neufs il y a m air d avoir un film collé dessus qui vieilli très mal et fait des bulles aussi. Bref, pas terrible ce qui dommage avec une si belle cabine.
Thanks pour le tips du dernier rang qui effectivement permet d être confortable avec probablement une gêne limite par la queue des commodites vu que le vol est court.
Félicitations pour avoir accroché le statut plat en si peu de temps car, même s’il y en a de la navette GVA et du LC en J, en partant du premier niveau, ça en fait du vol !
A propos de navette, on a en quelques sortes chacun la nôtre 😇 donc ne vous privez pas si l’envie est là !
À bientôt !
Merci pour le commentaire
Eh oui, ce site sur les turbulences est devenu ma bible ! Outre les prévisions pour des vols spécifiques il regorge de statistiques intéressantes sur les lignes les plus turbulentes chaque année
En effet la cabine du 220 est magnifique a priori et ce sont généralement les rangs 27 à 31 qui sont neutralisés dès l'OLCI pour centrage donc à défaut d'avoir de la place dans la zone privilégiée à l'avant, si vous pouvez les sélectionner avant vous avez plus ou moins la garantie d'avoir peu de voisins (sauf remplissage extrême naturellement)
Je peine encore à croire qu'en septembre 2023 (!!) j'étais à 0 XP ! Car j'étais plutôt fidèle à Star Alliance où j'avais accumulé presque assez de miles pour décrocher un statut. Mais mes déplacements se promettant d'être très fréquents entre GVA et CDG j'avais décidé de rompre ma fidélité à Star Alliance et j'ai eu de toute évidence raison.
Au plaisir