Avis du vol entre Mexico City et Paris en classe Affaires avec Air France

NB : désolé d’avance pour la qualité des photos mais un hi-jacking familial de mon APN m’a obligé à utiliser un plus ancien et malheureusement cela se voit.
Bonjour à tous,
voici la fin de mon périple mexicain avec le vol retour vers Paris.
Pour mémoire, le trajet était le suivant :
- Paris (CDG) - Francfort (FRA), Lufthansa, A320, business
- Francfort (FRA) - Mexico (MEX), Lufthansa, B747-8i, first
- Mexico (MEX) - Cancun (CUN), Volaris, A319, economy
- Cancun (CUN) - Mexico (MEX), Volaris, A320, economy
- Mexico (MEX) - Paris (CDG), Air France, B747, business
Après avoir subi les bouchons légendaires de Mexico ainsi que les orages de fin d’après-midi, notre voiture arrive au terminal 1 de l’aéroport Benito Juarez.

Je prend congé de mon chauffeur et me dirige vers la zone qu’utilise Air France pour l’enregistrement. Je me demande toujours pourquoi Air France n’utilise par le terminal d’Aeromexico…

Cela bloque un peu pour rejoindre la ligne Skypriority car le cerbère est le seul à officier à l’accueil et donc tous les passagers se dirigent vers lui pour les renseignements. Je n’avais pas un souvenir très plaisant du personnel au sol mais aujourd’hui pas de soucis particulier.

Il y a 4 comptoirs dédiés pour les passagers business et malgré cela, l’attente sera assez longue car c’est un peu la jungle et les passagers économique sont également dirigés vers les comptoirs business. Au bout de 10 minutes, on m’oriente vers un comptoir dédié … pour les passagers économique. Je crois qu’il ne faut pas chercher à comprendre et l’accueil est très sympathique et en français. L’hôtesse m’édite rapidement ma carte d’embarquement et me donne une invitation pour le salon.

Le passage de la sécurité sera assez rapide mais je remarque que le personnel a tendance à vouloir confisquer les produits cosmétiques des passagers en prétextant qu’ils ne sont pas conformes. J’ai vu cela avec la passagère devant moi qui a poussée une gueulante et avec ma femme quelques jours plus tard (et qui a fait la même chose :-) ).

On débouche directement dans une zone de duty free avec une section spéciale pour Durian.

Après quelques achats, je me dirige vers le salon qui est toujours à la même place qu’il y a 2 ans. A l’époque, je trouvais le salon assez correct mais en arrivant c’est le choc car il a profondément changé (l’ancien descriptif est ICI et malheureusement dans le mauvais sens. Ce salon est dédié pour les passagers AF / KLM mais également pour les porteurs de carte Visa platinum et il est possible qu’il y ait encore d’autres manières d’y accéder car je verrais des passagers business Iberia.

C’est moche, c’est glauque, le parquet a fait place en parti à de la moquette et j’ai juste envi de le quitter.

Un rappel des arbres AF du salon des portes M mais cela fait plus ridicule que design.

Le coin enfants n’est plus la et je constate également que deux pilotes attendent le vol dans ce salon qui fait un peu hall de gare.

Un coin expresso mais il n’y a personnes pour faire les cafés…

Lors de ma précédente visite, il y avait des plateaux dans tout le salon avec des sandwichs mais maintenant il faut aller les prendre sous des cloches mais ils disparaissent des que le personnel en ramène.

Je me contente d’un coca et de quelques crackers.

Ne tenant plus, je décide de rejoindre la porte d’embarquement qui se trouve à l’autre bout du terminal et nécessitera 10 bonnes minutes de marche au travers de couloirs glauques.

Une nouvelle zone avec des magasins

Le FIDS fait la part belle au low cost mexicaine.

Me voici à ma porte d’embarquement et je constate avec surprise qu’une longue queue est déjà formée alors que l’embarquement ne doit commencer que dans 20 minutes.

L’embarquement commencera avec plus de 30 minutes de retard sur l’horaire prévu en raison d’une arrivée tardive de l’appareil liés aux orages frappant Mexico. L’attente sera pénible car le 747 de KLM est parqué à côté du notre et cela représente quand même beaucoup de monde dans un espace réduit. La tension montera même d’un cran quand un message annoncera l’annulation du vol KLM car le 747 a été touché par la foudre lors de l’atterrissage et qu’il nécessite une inspection approfondie.
Après l’embarquement des nombreux enfants, je peux enfin rejoindre l’appareil. L’accueil à bord sera cordial.

Le nez de l’appareil équipé avec des NEV4.

Les nouveaux oreillers

Le pitch est bon

Un verre de champagne comme boisson d’accueil.

Distribution des journaux.

On décollera avec presque 1 heure de retard mais le commandant de bord annoncera une arrivée à l’heure à CDG.

La trousse de confort qui déjà été décrite plusieurs fois et que je trouve de très bonne qualité.

Les chaussons

Un oshibori est distribué ainsi que le menu.

Le trolley fait son apparition pour le début de service qui sera complet.

J’ai pris un verre de blanc en apéritif, le poulpe était sans gout.

Dressage de la table et distribution des plateaux

L’entrée : filet d’agneau sur une salsa de tomates, ceviche de poisson, éventail d’avocats. Je n’ai pas vraiment été convaincu par cette entrée mais le ceviche était assez bon (mais bien loin de ce que j’ai pu mangé durant mes vacances :-) ).

Le plat principal : filet de mérou sauce crème au citron, riz au curcuma. Le poisson est en général assez bon sur Air France et ce dernier ne déroge pas à la règle.

La maigre sélection du maitre fromager

Le trio de desserts avec un sorbet.

Mon repas se termine au-dessus du Tennessee et je m’endors très rapidement.

Je dors assez bien dans le NEV4. Pour preuve, je me réveille pour le service du petit déjeuner et surtout grâce à l’allumage brutal des lumières !!

J’ai pris le pain perdu comme plat pour le petit déjeuner. C’est assez bon mais cela manque de variété….

Dommage d’avoir uniquement des agrumes comme fruit alors que nous venons du Mexique.

Petite viennoiserie qui était correcte avec un bon expresso.

Ooops, j’ai failli oublié un immanquable FR.

Nous arrivons sur les cotes françaises.

Distribution d’un dernier oshibori.

C’est bien brumeux au-dessus de Paris

En approche finale avec le Bourget.

Nous atterrirons avec 15 minutes d’avance sur l’horaire.

Après un roulage assez rapide, nous arrivons au terminal 2E

Il faudra un peu de temps avant que la passerelle n’arrive et le premier contact avec la France sera des agents de la PAF au combien désagréable qui effectuant un contrôle d’identité à la sortie de l’avion. Le contrôle des passeports se fera à la vitesse de l’éclair mais il me faudra encore attendre 30 minutes que les bagages commencent à sortir. Par chance, la mienne arrivera en premier et je pourrais courir pour attraper un TGV vers Strasbourg.