Bonjour à tous !
Poursuite de ce mini-itinéraire estival débuté à TLS.
Me voici dans la partie centrale d’AMS où je ne risque pas de souffrir de solitude.
Ce que confirme la foule impatiente de franchir les contrôles de la PAF qui la séparent de ses vacances méritées ;-) Pas de priorité clairement identifiables et les files avancent à la même vitesse.
Sur le chemin du salon, quelques belles aéronefs joliment éclairées.
« Reine des Cieux. »
City of Guayaquil.
Schtroumpf de dos.
B-777.
Transavia sans piquet de grève autour ? Bizarre …
Dans le couloir menant aux jetées E, en travaux, et F, association surprenante du RiJKS Museum et d’éléphants.
Éléphants de tailles et d’apparences très variées.
Il ne manque qu’une ombrelle à cette élégante.
Jeune homme en battle dress : ce ne sont pas les théâtres d’opération qui manquent en Afrique.
Un étage plus haut me voici à l’entrée du Crown lounge.
Bienvenue aux compagnies Skyteam et à quelques autres dont EY et la célèbre irlandaise muse de Cobra…
Accueil indifférent. Vue générale de l’espace de repos.
Les fauteuils sont confortables et chacun dispose d’une prise électrique sur la console centrale.
L’une des deux zones rafraîchissement – restauration.
Approchons nous de la zone dédiée aux liquides.
Crémant de Limoux : l’attractivité du produit et son prix ont dû considérablement réduire les dépenses de KLM par rapport à l’époque où la compagnie proposait du Champagne… pour peu que cette ère existât.
Alcools forts plutôt bas de gamme me semble-t-il.
Rouge argentin. Il est vrai que l’Europe ne connaît ni la vigne ni la fermentation du jus de raisin.
Côté softs.
Côté solide. D’abord ces salades.
Ces pâtes.
Et ces fromages. La Vache qui Rit me ramène avec un mois d’avance à Madagascar.
Sans jouer les blasés, cette offre est parfaite pour les heures où l’on n’a ni spécialement faim, ni spécialement soif d’autre chose que d’eau ou d’Heineken dont j’ai omis de photographier la tireuse.
Vue du second espace rafraîchissement-restauration dont je vous épargne la visite.
Coin presse peu achalandé et FIDS.
Les portes de l’enfer régulièrement fermées pour nettoyage.
Sièges standards.
Couloir de circulation entre les deux espaces.
Les posters à gauche sont apposés sur des cloisons provisoires élevées le temps de travaux.
Il est pour moi temps de quitter le lounge et de me rendre en porte.
Le nudoscope dans lequel je devrai passer à deux reprises, situé en porte, garde l’entrée de la salle d’embarquement…
…que voici, avec un nombre de sièges nettement inférieur au nombre de PAX d’un 777-300.
Voici notre bel oiseau en cours de préparation.
Son nom version hispano-anglaise.
Sous-titrage néerlandais.
Qui sait si, un jour, un PAX n’imaginera pas que c’est la destination qui est inscrite sur l’appareil…
L’embarquement commence dans un certain désordre, les priorités ayant de la peine à être respectées.
Passerelle aveugle et vierge de toute publicité.
Dernier pas avant destination. Tout le monde emprunte la même porte.
Première vue de la cabine en 2-3-2 équipée d’une génération de sièges intermédiaire entre les antiques recliners et les nouveaux modèles qui équipent seulement pour le moment les 747.
Cabine côté face. Quitte à relancer un débat passionné récemment suscité par le FR de Futur PNC sur le vol AF 165 BKK-CDG dont voici le lien http://flight-report.com/fr/report-8180.html je remarquerai que la cabine J de 32 sièges est totalement occupée, sans que l’on puisse à coup sûr attribuer ce succès à la réputation d’excellence du produit ou à une nuée de GP.
Accueil extrêmement agréable par la PNCette version Mamy hollandaise dont la compétence et l’écoute des PAX ne se démentira à aucun moment au cours de ce vol.
Un coussin bien peu moelleux et une couverture sont disposés sur le siège.
Têtière siglée.
A notre droite, un autre schtroumpf.
Ecrans en bulkhead.
« Espace entre les jambes » illimité.
A cet instant le siège voisin est inoccupé mais ne le restera pas longtemps. Un très sympathique mancunien y prendra place, pas du tout surpris ou choqué de ma boulimie photographique. Nous fraterniserons avec ce joyeux drille qui descend les verres de Chivas bien tassés plus rapidement que moi ceux versés par Nicolas "/>
Crémant d’accueil, honnêtement pas mauvais.
Commandes du toboggan.
Trousse de confort.
Contenu classique.
Saccavomi.
Géovision au design très obsolète qui fonctionnera en mode « carte muette » pendant tout le vol.
N’est pas Marathon qui veut… ?
747 en fin de repoussage.
Consignes de sécurité.
Sur le chemin de la piste d’envol, le centre d’entraînement des pompiers avec leur drôle de machine.
La cabine est sage dans l’attente du décollage.
Seuil de piste.
Décollage au-dessus de la campagne amstellodamoise.
Irons-nous plus vite que notre ombre ?
Qu’y a-t-il dans le port d’Amsterdam ?
C’est quoi donc ? Minerai, charbon ?
Peu d’activité en cette fin juillet.
Nous mettons cap plein ouest.
Le menu est distribué dès que les PNC sont libérés. Il porte la date du jour et la destination.
Vue d’ensemble de l’intérieur.
Voyons voir ce qu’il y a de bon…
Pour dîner :
Pour petit-déjeuner :
Place à la carte des boissons.
Je confesse qu’en la découvrant je n’ai pu m’empêcher de sourire : Nicolas et moi de nouveau réunis…
Le reste ressemble à un tour du monde.
Nouvelle-Zélande.
Sud-Afrique de la propriété du sauveur-pilleur (question d’opinion) des frises du Parthénon ?
Espagne.
Autriche.
Chili.
N’étant à franchement parler guère inspiré par tout cela, je m’achemine vers un nomadisme vinicole.
Les non alcoolisées.
Alcools forts et bière.
Oshibori version serpillère usagée.
L’apéritif (le premier) est servi. J’accueille joyeusement ces retrouvailles avec Nicolas. Un verre d’eau et un assortiment de noix l’accompagnent.
La discussion avec mon volubile voisin est agréable et donne quelque peu soif. Néanmoins Nicolas pour moi et Chivas pour lui réapparaissent toujours fort à propos.
Les nuages offrent toujours un somptueux et apaisant paysage
Vient le tour du repas, distribué au trolley. Cela a au moins l’avantage de permettre la concomitance entre le service des mets et des boissons.
Mon choix se porte sur le saumon arrosé au Sauvignon Néo-Z.
Le tartare est très bon, le vin beaucoup moins.
Salade de papaye, fort peu exotique pour moi, mais ça tombe bien : j’adore !
Je poursuis mon tour du Four Nations débuté avec le Shiraz australien entre TLS et AMS par le Chardonnay de Lord Elgin… pas vraiment mieux que le Néo-Z.
Le service est opéré dans le bon tempo par notre excellente et sympathique PNCette.
Mon voisin choisit le plat de bœuf.
Les couverts sont d’un style qui ne laisse pas indifférent.
Pour moi ce sera, sur les conseils de la PNCette, la tajine.
A l’instar du bœuf, la présentation laisse à désirer –on retrouve l’explosion du Groupe AF-KLM. Néanmoins c’est excellent.
Je teste courageusement mon 3° blanc, poisson oblige, et suis une nouvelle fois déçu.
Arrive le tour du fromage et du dessert.
Plan d’ensemble.
Sus aux essais vinicoles. Je passe au rouge… avec une certaine crainte vu son origine autrichienne il faut bien le dire… Mon niveau de satisfaction remonte.
Gros plan sur le dessert pas mauvais tu tout.
Je finirai mon tour du monde au Chili. Correctement standardisé. Sans plus, ni moins.
Mon bilan personnel : j’ai bien aimé les mets mais KL ne brille pas par sa cave.
Café qui ne m’empêchera pas de dormir.
Renseignement de la fiche petit-déjeuner. Je trouve ce protocole KL très pratique.
Un petit coup d’œil par le hublot.
Verre d’eau et Temesta en vue de l’épreuve du toboggan.
L’IFE propose un large choix de film dans un grand nombre de langues, notamment en Français (effet AF-KLM ?) Je regarde Superman –ça ne mange pas de pain – puis m’efforce de régler le siège à ma main, enfin à mon dos et mes jambes.
Je sors de mon marmottage au large du Pakistan Oriental, enfin le Bengladesh.
Le petit-déjeuner est servi à mesure que les PAX émergent. Notre joviale PNCette, qui a dû prendre son repos réglementaire, a la pèche.
Fromage et fruits secs.
Yaourt à la fraise.
Corn flaxes.
Fruits.
Mention spéciale pour cette omelette baveuse à souhait. La meilleure que j’ai mangée en avion…. Et ça commence à faire un certain nombre !
Ambiance dans la cabine à la fin du petit-déjeuner.
La géovision est toujours muette mais nous nous approchons bien de notre destination.
Alors que débute la descente, distribution de la petite maison bleue accrochée à 30 000 pieds en faïence de Delft. Attention qui est aussi l’occasion de promouvoir un élément du patrimoine néerlandais.
Le paysage bien connu de la descente sur Suvarnabhumi apparaît.
Parcours de golf.
Rurbanisation version Thaï.
La skykine de BKK au loin.
Cet échangeur rappelle que le toucher de roues est imminent.
Village de bungalows pour spotters ?
Pompiers de BKK.
Cargo nippon.
Lagentsecret est-il là?
B-767 de JAL.
A380 EK : une formule quasi-pléonasme.
A 32X Hong Kong Airlines.
Brochette de la puissance réceptrice.
Notre point de stationnement est en fin de jetée.
Ce sera la porte F6.
Ambiance confessionnal.
Il faut donc remonter toute la jetée pour se rendre aux guichets de la PAF locale.
Coup d’œil au tableau des cours de change.
Un transport hectométrique de plus.
Ici se séparent les chemins des pax Y et ceux en possession du fameux sésame jaune.
Pour les premiers.
Pour les derniers… qui sortent souvent premiers.
L’attente est toujours très brève.
Et le tapis de livraison des bagages se trouve juste derrière.
Notre vol KL apparaît sous son numéro AF. Cela peut-il participer à éclairer le débat récent suscité par le FR de FuturPNC ?
Le tapis reste désespérément vide un long moment. Les priorités ne sont pas spécialement respectées.
Merci de votre lecture et à bientôt pour le retour.
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