Cette 5ème étape marque le début du retour de ces vacances d’automne.
Rappel des vols précédents :
-d’abord : TNR-NBO avec Kenya Airways en Business Premier World.
-puis : NBO – CAN avec Kenya Airways en Business Premier World.
-ensuite : CAN – BKK avec China Southern en Premium Economy.
-enfin : BKK – PNH avec Bangkok Airways en Economy.
Une recherche dans les archives FR m'indique que PNH est une destination peu reportée et je découvre que je suis le premier à partager la liaison BKK-PNH et retour.Les précédents contributeurs venaient de SIN ou Doha et s'en repartaient vers REP.
Mon vol retour pour BKK décollant en début de soirée, il m’est suggéré de prévoir un temps de route assez long vers l’aéroport à cause des embouteillages. Averti par mes expériences tananariviennes dans ce domaine, je vois large.

En définitive la circulation est dense mais rien de catastrophique et nous arrivons en avance à l’entrée de l’aéroport.

La configuration des lieux donne l’impression que l’aérogare donne directement sur le trottoir. La dépose doit être rapide.

Signalétique quadrilingue.

Deux vues du patio d’entrée.


Etat des vols. Je suis très en avance.

Par ici les départs !

A l’entrée se trouve un stand « Blue Pumpkin », chaîne locale de restauration à prix correct.

Vinci prépare l’extension et la modernisation des lieux.

25 banques d’enregistrement de front. Dans cette partie sont traités le vol pour SGN et celui, en retard de Silk Air, pour SIN.

Ne reste plus qu’à attendre l’ouverture de l’enregistrement PG. Pas de siège ou de zone d’attente à l’intérieur. A l’arrière plan, la file Skypriority pour le vol VN pour HAN.
La présence de cet agent d’accueil un peu spécial me convainc que les formalités PG prendront place ici.

Il se contente pour l’instant de garder les lieux. La liste des objets interdits défile sur les écrans de télévision.

Le personnel prend peu à peu place et l’enregistrement débute deux heures avant l’ETD.

Ma dévouée compagne de voyage a tout juste pris un petit kilo.
Contrairement à BKK, il n’est pas demandé ici d’indiquer si l’on est enceinte.

Délesté de ma valise et muni de ma carte d’embarquement que je présente à l’agent en faction au pied de l’escalator, je m’élève vers PAF-PIF.

Vue sur la varangue qui est en fait la salle d’attente.

Le cheminement administratif commence par la PAF.

Puis se poursuit par le PIF.
Les deux contrôles sont rapidement franchis.

La zone duty free est assez vaste, du moins comparativement à Siem Reap.
Chocolats, parfums, tabacs et alcools.

Artisans d’Angkor.

Zone d’attente entourée de diverses boutiques aux tarifs plutôt élevés.

Librairie – presse avec des journaux et magasines français proposés avec un coefficient multiplicateur conséquent.
Les moines ne semblent pas jouir de privilège particulier ici.

Un petit coin restauration.

Jouets, maroquinerie, guichet de change fermé et au fond espace fumeurs.

A l’issue de cette promenade-découverte, je me dirige vers le salon PG.


Deux cerbérines qui sont là sans y être occupées à pianoter sur leur smartphone, une dizaine de places assises tout au plus, quelques quiches chaudes et quelques gâteaux pour les amoureux du sucré, eau, sodas, café : une offre basique mais n’oublions pas qu’elle s’adresse aux pax Y. Les passagers Blue Ribbon ont accès au salon J de l’aéroport.
Le wifi fonctionne correctement, sans plus.

Avant de m’installer je m’adonne à une séance spotting particulièrement rapide.

Il apparaît que le vol PG, opéré en code-share avec de nombreuses compagnies dont Etihad, est retardé.

Je quitte donc le salon pour rendre visite au célébrissime FCC, le « club des correspondants de presse étrangers. »

Ce lieu où convergeaient les expats sur les bords du Tonle Sap fut jusqu’au début des années 1990 le véritable baromètre de Phnom Penh : « la situation est sous contrôle, le FCC est ouvert » câblaient à Washington les ambassadeurs américains au début des années 1980. FCC est devenu une enseigne de brasseries.
Pas mal de monde en train de dîner. Toutes les compagnies ne doivent pas proposer la même offre de restauration que PG.

Ma sélection à $3.50, soit $1 de plus qu’en ville.

L’embarquement n’est toujours pas annoncé et débutera après la nouvelle ETD.

Vue de notre avion.

En porte. Accueil courtois comme d’habitude sur PG.

Cabine J avec siège central neutralisé contrairement à l’A319 du vol aller.

Vous constatez que j’embarque parmi les premiers.
Cabine Y.

Mon siège pour la prochaine heure.

Pitch, peut-être un peu plus étroit qu’à l’aller.

L’Airbus Silkair repousse enfin.

Les consignes de sécurité sont diffusées sur les écrans collectifs.

Ambiance festive. Quand verra-t-on des PNC de legacy européennes esquisser des pas de danse ? ;=)

Pendant ce temps, distribution de la serviette rafraîchissante.

Airbus Thaïsmile pour BKK également.

Nous repoussons à notre tour avec 40 minutes de retard.

Le roulage commence.

Un peu plus de 500 km à parcourir.

Ambiance nuit dans la cabine.

Seuil de piste.

Nous nous élevons au-dessus des lumières de Phnom Penh.

Pas de temps à perdre le temps de vol annoncé étant de 50 minutes. Le service est donc rapidement lancé. Pour info, les cassolettes ont commencé à être réchauffées pendant l’embarquement.
Vue générale du plateau. On n’éprouvera aucune nostalgie pour le « sucré salé » ou les « Delicious bites » ou toute offre similaire.

Couverts en métal.

Capsule d’eau.

Chicken with rice.

Pain et beurre.

Salade de pâtes.

Gâteau au chocolat, sec. La seule fausse note de ce repas.

Le curry, épicé à mon goût.

Ma vue se trouble sous l’effet de la bière aux éléphants.

Le repas consommé et les plateaux débarrassés nous approchons de BKK.

Notre retard nous ayant certainement fait passer notre tour, nous sommes mis en circuit d’attente pendant une vingtaine de minutes.

Enfin, c’est à nous !

Finale.

On reconnaît sans difficulté les structures de BKK soulignées fort à propos par les lumières.

Atmosphère bar ou boîte : « Queues en enfilades un soir de beuverie. »

Welcome back to the kingdom of TG.

La passerelle C8 nous est affectée.

Comme d’habitude je presse le pas dans les longs couloirs familiers.

Assez peu de monde à l’immigration franchie en moins de 10 minutes.

Nous avons atterri avec 44 minutes de retard, ce qui est beaucoup pour un vol aussi court.

Comme souvent à BKK ce reportage se termine devant un tapis à bagage. Ma valise sera rapidement livrée.

J’invite les lecteurs que la lassitude n’a pas encore envahis à découvrir un deuxième bonus cambodgien.
J’ai hésité un moment avant de publier les photos suivantes, mais il me semble qu’édulcorer l’histoire empêche toute mémoire et toute analyse.
Je vous emmène aux « Killing Fields » rendus célèbres par le film de Roland Joffé « la Déchirure. » Il s’agit du lieu d’exécution des prisonniers de S21 choisis par les khmers rouges en périphérie de Phnom Penh.
Ce monument en forme se stupa contient les restes d’environ 9 000 victimes de tous âges.

Cet abri et cette clôture délimitent une des fosses fouillées au début des années 1980. Chaque fosse pouvait contenir jusqu’à 400 cadavres, de plus en plus sommairement enterrés à mesure que le régime vacille et que l’on a affaire à des exécutions de masse.

Les pluies entraînent encore parfois la remontée de tissus ou d’ossements.



Uniformes khmers rouges : féminin à gauche et masculin à droite.

Ce lieu de mémoire est clos de barbelés. Devenu très touristique, il attire de l’autre côté des déshérités en quête d'une obole. La nature et la configuration des lieux ajoutent à la dramaturgie.


Remontons le fil du temps de quelques 7 siècles et rendons-nous au Phnom Chisor.
L’ancienne route d’accès et la porte de l’enceinte sacrée au bas de la colline où est bâti l’édifice.

Au sommet, un ensemble assez bien conservé et entretenu. Des bâtiments modernes ont été construits tout autour pour accueillir fidèles et moines, mais le cœur du sanctuaire demeure bien le temple historique dont suivent quelques vues.




Il est très agréable de déambuler seul dans un temple de style angkorien. Il est vrai que pour rejoindre ce lieu paisible 2 heures de tuk-tuk sont nécessaires.

Je suis très gentiment accueilli dans le coeur du sanctuaire.


Linga et ouni.

Vue générale du sanctuaire central.

Sur le perron du bâtiment d’habitation se détendent quelques jeunes novices.


La couleur safran de la tenue bouddhique aurait l’origine suivante : il convenait que le moine vécût d’aumônes et n’ait rien de valeur en sa possession ; cette couleur orange étant la plus commune, elle ne coûtait pas cher à réaliser et a donc été choisie pour teindre l’habit.

Terminons ce voyage à Phnom Penh.
Les rues de la capitale sont désignées par des nombres : impairs pour celles qui suivent un axe nord-sud, pair pour l’axe est-ouest. La rue 51 est l’une des rares à porter un nom et, chose encore plus rare, un nom datant de l’époque coloniale. Mais, à l’instar de la pratique vietnamienne où Pasteur est honoré comme Yersin, c’est le scientifique et non le Français à qui est rendu l’hommage.

Cet OVNI jaune est le marché central rénové sur financements français. Il abrite aujourd’hui boutiques de vêtements et objets à destination des touristes.


A l’extérieur du marché je capture cette image qui mêle mode de vie traditionnel et technologie numérique.

Poursuivons notre chemin à travers des rues typiques du centre ville.


Etonnant mais signifiant affichage sur les grilles d’une école.

Sur les berges du Tonle Sap, des sans-abri exposent leurs malheurs aux passants. Les adultes se disputent et se battent, les garçons fument ou respirent de la colle. Celui-ci aide à fumer un parent sur ce brancard.

Quoi de mieux pour s’imprégner de l’ambiance de la capitale qu’une dernière visite au marché ?



La qualité n’attend pas le nombre des années ;-)

La présence d’adolescents ne signifie pas déscolarisation. Dans de nombreux établissements, les cours ont lieu soit le matin de 7 heures à midi soit l’après-midi de 13 à 18 heures. Lorsqu’il n’étudie pas, le jeune aide sa famille.


Rafraîchissons-nous en compagnie du livreur de pains de glace…

… et de la fabrication de glaçons.

Merci de votre lecture attentive. A bientôt pour le retour à Madagascar via NBO où vous pourrez découvrir le nouveau salon KQ. (Teasing)
Merci Franck pour ce fr !:)
Aeroport un peu à l'ancienne mais agréable
Nounours cerbère plutôt sympa
Pitch, peut-être un peu plus étroit qu’à l’aller : Je ne suis pas d'accord, c'est juste un voyage qui t'a grandit :))
Je danserais bien avec les demoiselles sur la vidéos :))
Le catering est presque ridiculement bon pour nous justes invité à l'apéro sur nos compagnies européenne ^^
Superbe bonus historique, je te suis sur ce terrain, pas d'édulcorants pour la mémoire, on ne prend pas un café sucré, il doit être amer...
Je connaissait Pastis 51 mais pas la version avec Pasteur...ahahahah :))
Très joli tranche de vie, du marché,des jeunes et des démunis qui méritent ausssi que l'on s'intéressent à eux
Merci Arnaud pour ton commentaire qui va finir par faire rougir King Julian qui sommeille en moi ;=))
Un reportage n'a pour moi vraiment de sens que s'il propose une découverte, une réflexion.
Pasteur 51... ==> je n'y avais pas pensé. Bien vu !
Je danserais bien avec les demoiselles sur la vidéos :)) ==>encore un excès de gingembre?
A bientôt pour la suite.
Merci pour ce FR
L'aéroport manque un peu de charme
Le salon est toujours un plus très intéressant
Le vol semble quasiment vide
Quand verra-t-on des PNC de legacy européennes esquisser des pas de danse ? ;=)
Le jour où les pas de danse seront sponsorisés par Paris Match peut être ;)
Toujours un superbe plateau repas
Merci pour ce très beau bonus
L'histoire malheureusement se répète et le groupe terroriste EI est en train de créer d'autres killing fields
Joli regard sur la vie quotidienne et sur les plus démunis qui se ressemblent tant d'un pays à l'autre
A bientôt
Merci pour votre commentaire.
Des PNCettes à faire aimer les toboggans en effet ;=)
Capter des moments de vie et parfois de mort est un des privilèges du voyageur. Les faire partager est un plaisir.
A bientôt
Bonjour et merci pour ce FR.
PG est une valeur sûre. Le salon est un vrai plus. Même si l'offre est modeste, il a le mérite d'exister et surtout d'être accessible à tous les PAX.
Le catering est intéressant, et comme le dit Cobra, à quoi qu'aurait-on eu sur une compagnie européenne?
Dommage pour le retard.
Grand merci pour le bonus touristique où l'on peut admirer ces scènes de vie de la population locale ainsi que les vestiges d'un passé plus triste et pas si lointain.
A bientôt.
Merci du commentaire.
PG est une compagnie très agréable même si sur ce coup nous avons été en retard.
Le Cambodge est un pays intéressant.
A bientôt
Merci Franck pour ce partage qui nous fait également réfléchir sur la condition humaine...Entre les ossements qui remontent lors des pluies, et les sans abris des berges, ambiance bien pesante.
Pour le reste, c'est certain que ma prochaine Navette vers ORY ou MRS me paraîtra bien terne: même pas un patio, encore moins une offre solide digne de ce nom.
En deux boni, toujours recherchés, tu as réussi à rendre très présents et vivants une ville et un pays que je ne connais pas, mais qui me semblent un peu plus familiers maintenant.
Merci Xavier pour ton commentaire.
Les contrastes de la condition humaine aident toujours à comprendre et à défaut de faire plus, en témoigner me paraît important.
Pour compléter ton approche du Cambodge, tu peux revoir mes FR sur REPn tout au moins les boni.
Au plaisir de lire tes prochains reportages.
Merci pour ce FR Franck
La cabine avec le siège du milieu neutralisé est la Premier Class et non la Business Class. On dira que c'est l'équivalent de la Premium Economy AF sur les vols CC/MC au niveau service: repas et check-in J, 30kgs de bagages. Cette classe n'est commercialisée que sur les vols BKK-PHN et USM-KUL.
Encore chapeau à cette compagnie pour servir un plateau de qualité et un repas chaud sur une aussi courte distance.
Merci Bernard de ton commentaire et de la précision concernant le produit PG.
Il faut vraiment que je commence à chercher des jeux de mots pourraves pour concurrencer Cobra. ^^
Deux vues du patio d’entrée. -> Tant que ce n'est pas le patio d'Orly... ;)
Je suis agréablement surpris par la modernité de PNH, du moins à l'intérieur de l'édifice.
Salon et buffets minuscules mais toujours supérieurs à ce qu'offre la plupart des compagnies pour les pax Y.
Très joli plateau. Le pain était-il chaud pour que le beurre y fonde de la sorte ?
Quatre jours dans la capitale sont-ils suffisants pour en visiter l'essentiel ?
Merci beaucoup Franck pour ce FR et l'intéressant bonus.
Merci Clément pour ton commentaire.
Tout dépend du rythme de tes journées mais en 4 jours entiers tu fais largement le tour de la capitale, musées compris. Tu as même le temps de te promener un peu hors de la ville.
Tout est chaud chez PG : les dandinements des PNC sur la vidéo de sécurité, le pain, le plat principal... ;=))
A bientôt pour la suite.
On n’éprouvera aucune nostalgie pour le « sucré salé » ou les « Delicious bites » ou toute offre similaire, le contraste
avec l'offre des vols Europe ou US est criant :)
Très bonne prestation de PG.
Très beau bonus entre espoir et mémoire sombre de ce pays.
Merci pour ce FR!
Merci Patrick de ton commentaire.
Il est sûr que si l'on compare avec le service que tu viens de recevoir à bord de ta tondeuse à gazon, il n'y a pas photo.
A bientôt !
Merci pour cette suite rapide !
En fait PG offre un salon pour les passagers Y sur pratiquement tous les aéroports .
Où est-il à BKK ? Je ne l'ai jamais vu.
J'ai déjà eu l'occasion d'essayer tous les types d'appareils mais je ne suis jamais tombé sur ceux avec écrans :(
Merci du commentaire.
Pour ce qui est des vols internationaux, le salon PG est au niveau de la jetée A.
Je ne me souviens plus pour les vols domestiques, il y a très longtemps que je n'ai pas visité.
A bientôt !
Merci pour ce FR.
Visiblement l'avance à l'aéroport était telle que tu as eu le temps d'en parcourir les moindres recoins ;) L'aéroport parait pour le coup assez moderne et en quête d'extension, victime peut être de son succès !
l'offre du salon n'est pas exceptionnelle mais a le mérite d'exister pour une classe Y, le point positif à retenir au final.
Plateau à la hauteur, une constante on dirait !
A bientôt Franck ;)
Merci Aurélien de ton commentaire.
Le plus étonnant à PNH est le fait que si tu dois attendre avant le check-in il faut le faire dehors car c'est là que l'on trouve commerces et quelques sièges.
J'ai été assez étonné par le nombre important de magasins et de coins de restauration airside de même que par la taille de la librairie.
Mon avance et le retard du vol m'ont en effet permis une visite quasi-exhaustive des lieux.
PNH paraît en pleine expansion, à l'image de la capitale.
A bientôt !
Vinci est partout, un peu comme HSBC dans une moindre mesure.
Pas mal le plateau repas pour un vol si court !
La visite des Killing Fields a dur être un peu dure.
Le reste du bonus touristique est très intéressant et beau.
Merci pour ce FR :)
Vinci fait les aéroports (on l'annonce parmi les repreneurs potentiels de TLS) et HSBC les jetbridges : belle complémentarité.
Je trouve le S21, lycée transformé en camp de détention et de torture, reporté dans le bonus du vol aller, plus émouvant que les killing fields. Ce sont les deux photos derrière les barbelés qui me semblent les plus intéressantes.
PG demeure un must dans son secteur.
Merci de ton commentaire Moritz.
Bonsoir franck
Merci pour ce FR et toutes ces émotions
Il ne faut surtout pas cacher la vérité, tout comme Cobra, je te suis sur ce terrain là...
Faut il encore présenter PG? Mis à part le retard, c'est de la haute volée.
PNH a bien changé depuis ma visite, 13 ans déjà.
La vie n'est pas un long fleuve tranquille pour tout le monde, encore merci pour ce FR, et comme disait Barbara, chapeau bas, Monsieur
Merci Hervé pour cet éloge qui me touche particulièrement.
A bientôt.