Fin des vacances équatoriennes, ce 14 août, nous rentrons sur Paris en faisant une escale à Panama. Lors de l’achat du billet avec KLM, possibilité de retour via Amsterdam (ce que nous avons fait à l’aller) ou via le Panama, ce que nous avons choisi.
Rappel de l’itinéraire :
- Le vol de pré-acheminement avec KLM, KL 1246, CDG > AMS, B737, le 23/07 : C'EST PAR ICI
- Un inédit vers Quito, long vol KLM, KL 751, AMS > UIO, B772, le 24/07: C'EST LA
- Une nouveauté sur FR tant pour la compagnie et la destination aux Galapagos, avec l'équatorienne TAME, A320, UI0 > escale GYE > GPS, le 08/08 :C’EST ICI
- Le retour des Galapagos, direct vers Quito celui là, TAME, A320, GPS > UIO, le 12/08, :C'EST LA
- Le retour vers le Panama, COPA, A320, UIO > PTY, le 14/08, c'est maintenant…
- Le retour vers Paris, prochainement (oui je sais je ne suis pas en avance !)
La veille on s’enregistre tant bien que mal sur le site de Copa à cause d'un wi-fi super lent. Le site est pratique. Le billet acheté avec Air France Klm ne permet de s’enregistrer.
Les seuls places disponibles sont rang 17, issues de secours, sinon c’est tout au fond. Pas de souci nous parlons anglais. On confirme. Pour le second vol du retour, il y a un changement de sièges, rang 36 au lieu de 24 mais on ne peut pas s’enregistrer sur le site AF et sur le site de Copa on ne peut pas changer. On verra bien à l’aéroport.
Le matin nous quittons le centre de Quito. Notre chauffeur vient nous chercher vers 10 h 30 pour un vol prévu à 15 h 00, ça devrait aller.
Quelques vues des environs de l’aéroport
La route empruntée nous a permis d’éviter l’axe principal très souvent encombré entre le centre et le nouvel aéroport. Nous avons mis une heure depuis la colline d'Itchimbía.

J'aime beaucoup cette tranche napolitaine (équatorienne en l'occurence) d'une rocade nouvellement construite, c'est la moins ratée des photos prises depuis la voiture.


Il est presque midi lorsque nous arrivons à l’aéroport récent Mariscal Sucre.


Place aux photos promises de la découverte de l’aérogare. C’est très lumineux, il y a pas mal de sièges.


Un regard au Fids, notre vol est toujours prévu à 15 h 06. Etonnant d’avoir des départs aux minutes (47, 49, 06) comme les trains autrefois.

La zone d’enregistrement C est fermée pour l’instant. Le personnel s’installe.

J’en profite pour aller voir l’autre zone d’enregistrement, B, qui elle est ouverte, avec les compagnies nationales. La zone d’enregistrement A concerne les vols vers les Galápagos avec un cheminement particulier, voir mon FR UIO > GYE > GPS :PAR ICI est au fond

Vers midi, ouverture des comptoirs. Nous avons dû patienter 10 minutes avant d’atteindre le guichet.
L’affichage des écrans est d’abord générique, comme il n’y a que notre vol ce n’est pas gênant et ensuite le logo de Copa est apparu mais toujours pas de numéro de vol.

L'attente avant d'accéder à la zone d'enregistrement, avec un pré-contrôle.

Un jeune homme sympathique ne peut malheureusement pas changer nos places pour le second vol. Il édite nos cartes d’embarquement pour les 2 vols en nous disant d’aller se renseigner au transfert à Panama. Il ne peut rien faire, ça ne m'étonne pas car nous ne sommes pas sur les mêmes réseaux, Copa est Star A.
Donc nous avons nos places au rang 17. Je m’aperçois que je n’ai pas photographié les dites cartes.
Il a été un peu léger, vous le verrez tout à l’heure.

Donc il est midi trente, nous avons 2 heures à patienter.
Un tour aux toilettes, propres et les pères peuvent venir avec leurs enfants. Il y a une table à langer.

Le cireur de chaussures, il y en avait un autre en salle d’embarquement.

Une autre photo avant de sortir.

Une vue sur la zone en construction, ces travaux étaient prévus, pour une ouverture progressive.

Le bâtiment pour l’espace restauration et parkings couverts. Il est face à l’aérogare.

Une des entrées de l’aérogare que je vous ai déjà montré lors de mes précédents passages.

Vue des 2 bâtiments, à gauche l’aérogare, à droite l’espace restauration et parking. Le parking aérien est au fond à droite, on y accède par l’une des passerelles, mais en général c'est plutôt plat car les arrivées sont au rez-de-chaussée.

L’aérogare avec les 2 niveaux, départ en haut, arrivée en bas.

L’intérieur de l’espace restauration. C’est très agréable, lumineux, pas si bruyant que cela malgré la hauteur. Il y le choix entre plusieurs foods corners, un café, copie de la chaine de Seattle, une pizzeria, de la cuisine équatorienne, des burgers, TGI, des sandwichs, des bonbons et deux boutiques.

Samsung, maître des pixels dans l'aérogare, a déployé un maxi écran. Contraste avec les marchés locaux que nous avons visité.

L’un des opérateurs de téléphonie exploite l'image de la France , c’est plaisant comme cliché.

Comme il est un peu tôt, nous ressortons pour faire un tour et puis je veux voir ce qu'il y a comme machines.
Vue depuis l’extrémité de l’aéroport. Je pensais avoir une meilleure vue.

Un Taca en porte, c'est tout ce que je peux voir.

Ensuite retour pour aller déjeuner.
Avons choisi une chaine argentine sur les 8 choix possible, ce n’est pas trop cher, 12 $ pour 2 burgers, 2 boissons. Trop de monde pour faire des photos. Il y avait plusieurs équipages qui déjeunaient.
Le wifi est gratuit, illimité et assez performant. Il m’a permis de voir que l’avion AF que nous allons prendre ensuite est en route vers le Panama. Pour conserver la batterie de mon appareil photo et ne pas être à plat comme le vol retour des Galapagos, j’ai fait une capture d’écran pour la photo corporate.


Retour au bâtiment principal, il est temps de passer airside. Pas d’attente au contrôle, courtois.
J'abandonne une demi bouteille d’eau au PAF, c’est un vol international. Pour nos vols intérieurs, il était possible de conserver ses boissons. Les agents sont sympas, assez cool et en plus nous sommes les seuls à passer.

Maintenant un peu d’attente à l’immigration. Nous remettons le formulaire qui nous a été remis alors que nous faisons la queue à l’enregistrement, complété durant le déjeuner. J'ai oublié de le photographier
Après le passage, tout de suite la traversée du duty free.

Un peu de spoting avec un E190 de la Tame


Tiens, c'est l'avion que nous pris il y a moins de 10 jours pour aller de Quito à Baltra aux Galapagos !

La zone shopping


Une borne avec le formulaire pour les éventuelles réclamations.

Le magazine de l’aéroport.

Notre avion, un 738 immatriculé HP 1723 CMP, de septembre 2011.

On entraperçoit au fond l’unique Embraer de la compagnie pétrolière nationale, Petroecuador.


On traine en attendant l'embarquement


L’embarquement est annoncé, d’abord les rangs du fond.Quelques photos en passant.




Pas de presse à disposition


Un peu de promotion pour les nouvelles destinations de l'année.


La classe avant avec siège cuir.

Nous nous installons, rang 17, à l’issue de secours.
A côté de nous une française nous rejoint mais avec le bras en écharpe. Elle l’a indiqué à l’enregistrement qu’elle ne pouvait pas être à une issue de secours… Elle rejoindra ses amis à l’arrière par un échange de place.



Je profite d’être à l’arrêt pour photographier le contenu de la pochette, carte de sécurité, magazine, une flotte réduite à 3 types d’appareils.
Pas d’ife mais des écrans au plafond.







Une vue du voisinage.


Et puis c’est le drame. L’hôtesse vient nous voir pour nous expliquer les consignes particulières mais elle ne parle qu’espagnol à peine un mot d’anglais… Donc elle nous explique que les procédures se font en espagnol. Comme nous ne parlons que peu espagnol nous ne pouvons pas rester là, aie, pourtant c’était cool. La note de l’équipage est en chute libre, je ne sais pas si je pourrais la rattraper. Je demande à voir le chef de cabine pour que l’on puisse tout de même voyager ensemble avec mon compagnon, il n’en a absolument rien à faire des gringos européens. Il échange une place avec une personne dans les premiers rangs et moi je me retrouve dans les derniers rangs, au couloir, pas très loin de la française qui ne pouvait pas rester à l’issue de secours. Je perds mon hublot, à ce moment je suis de très mauvais poil.
Voici ma nouvelle vue.

Les protagonistes, et oui je vous ai photographié en souvenir, sans flouter, au cas où on se revoit.

Les consignes de sécurité sous forme de dessin animé.

Tentative de photos depuis mon siège.




Famille Tame


Un DC-11 Martinair qui nous ramène soit des roses soit des crevettes.



Décollage

Et maintenant les vues extérieure faites par mes voisins, un couple de vénézuélien très gentil qui sauve un peu mon voyage. Madame passe son temps à photographier avec son portable. Voyant que j’essaie de photographier, son mari me demande mon appareil photo et le donne à sa femme. Elle a bien pris le winglet (oui je le ai demandé d'avoir l'aile dans le cadre). Merci encore.
Pendant la phase de décollage, mon voisin - son mari - a fait le signe de croix, j'avoue que ça surprend un peu. Si ça avait été ma grand mère j'aurais compris mais là je suis surpris. Et il l’a refait à l’atterrissage, no stress.



Je crois que nous allons avoir des chips… et un peu plus de place pour les bagages.


Les côtes colombiennes (toujours photos by ma voisine)


Le pitch correct.

On peut incliner son siège, sans déranger le passager derrière.

La collation, vraiment pas terrible. Il n’y a plus de choix alors qu’il y a en avait aux premiers rangs.
En chaud, dans le papier, un genre de chausson feuilleté avec une sauce pepperoni légèrement épicée, une gaufrette pas terrible et un paquet de chips. Les trois nouvelles destinations de l’année sont promues sur la serviette.
Je prendrais un verre de blanc chilien servi à la bouteille pour faire passer tout cela.




Le centenaire du canal de Panama est à l’honneur. Il est fêté le lendemain de cette photo.

On est proche. J’arrive tant bien que mal à prendre des photos de Panama à travers le hublot de gauche à l'arrivée avec le zoom au taquet.


Atterrissage avec vue sur la forêt (et on n'est pas en Allemagne)

Je prends tout ce que je peux.



Sortie parmi les derniers, normal j'ai été relégué au piquet.

Notre avion à travers la vitre… qui retrouve sa famille. C’est le pays de Copa, mais ce n'est pas très friendly depuis cet endroit.

Maintenant nous avons quelques heures avant notre vol vers Paris.
Je voudrais bien pouvoir récupérer ma place pour le vol Air France de retour et ne trouve pas de comptoir d’information dans cette galerie commerciale qu’est Tocumen.

Affichage des vols au départ par ordre alphabétique des destinations.


A suivre, on se retrouve pour la fin de cet itinéraire.
Merci de m'avoir lu et, par avance, pour vos commentaires.
Merci de ce partage. ça a failli être un bon vol mais l'attitude l'équipage est franchement déplorable. Quand on voit la tête du chef de cabine on comprend encore mieux à quel point cela a du être désagréable. Si Copa se veut être une compagnie internationale et servir de hub elle doit de façon urgente former ses équipages à l'anglais et cette langue doit pouvoir être utilisée aussi en cas d'évacuation de l'appareil . Vu le nombre de touristes américains qui utilisent la compagnie c'est même une question de sécurité !
La cabine est autrement très correcte et même si le snack ne fait pas rêver il a le mérite d'exister.
Merci de votre commentaire.
Le fils de Kojak en gardien du temple ça ne fait pas rêver.
Comme dit au géographe, Copa a une marge de progression (mais une grande marge, on s'entend).
Effectivement j'espère que la charmante hôtesse n'aura pas l'occasion d'aller découvrir les nouvelles destinations desservies par Copa aux USA et Canada.
Oui la cabine est très correcte, mais non je n'avais pas de mètre de ruban avec moi.
Fr intéressant sur une ligne très peu reportée !
Merci !
merci à vous, il n'y a pas de quoi.
Bonsoir,
A votre place j'aurais fait un message bien musclé au sujet de l'équipage, non pas à la compagnie, qui n'y attachera pas d'importance venant d'un simple passager, mais à Star Alliance qui est très efficace quand il s'agit de joindre la bonne adresse pour faire passer un message à une compagnie ; disons-le simplement, l'histoire de la sortie de secours est inacceptable.
Merci,je vous tiendrais informé.
Bien sûr, pourquoi pas ?
L'avantage c'est qu'eux ont la bonne adresse pour faire parvenir une observation, au demeurant tout à fait légitime et fondée, assez haut dans l'organigramme de la compagnie pour que ça soit au moins considéré. J'ai plusieurs fois réveillé Turkish avec ça, pour des histoires de Miles, c'est très efficace.
Merci pour ce conseil. Vous pensez qu'il n'est pas trop tard 3 mois après ?
Merci pour ce FR
Effectivement les agents d'enregistrement sont vraiment légers
Equipage désagréable qui fout le vol en l'air
Très sympa la voisine (et très mignonne si c'est son visage que l'on aperçoit sur certaines photos)
A bientôt
Merci de ce commentaire.
Vol pas terrible en effet.
Oui, c'est le profil de ma sympathique voisine que l'on voit sur quelques photos. Son mari lui a un peu forcé la main pour photographier. Merci à eux, car ça a un peu sauvé ce vol. Bon je les ai sans doute aussi gêné car ils n'ont plus eu le rang pour eux. Ne parlant pas espagnol et eux parlant peu anglais on n'a pas beaucoup discuté.