Je vous ai laissé à mon atterrissage au terminal 2F.
Avanti per la connessione !
Sorti le premier, je remonte la jetée et arrive au PAF de transit. Je choisis Parafe car généralement c'est plus rapide que l'accès N1.
Ce sera vérifié une fois de plus. 1 seule machine fonctionne sur les deux en place. Résultat, 10 bonnes minutes à attendre…
Malheureusement pas de photos du transit car j'ai du faire une fausse manipulation et je vous retrouve au Salon T2E portes L.
Le vol n'était pas encore en embarquement, mais je n'y suis resté que 10 minutes le temps d'avaler cette sélection. Petits fromages bien de chez nous et tarte aux framboises/noix qui était fameuse. L'offre s'est nettement améliorée par rapport il y a deux ans. Champagne Lanson en ce moment. Bref je serai bien resté plus longtemps.
Photo corporate avant d'aller fumer une cigarette et d'embarquer.
J'embarque via la passerelle premium, personne pour m’accueillir, l'équipe première s'affaire : le boarding est quasiment terminé, la première est complète. Me voici à mon siège : le 5L. Siège NEV2 ou NEV3, j'ai abandonné l'espoir de les reconnaître, mais pas du NEV4. Cela ne fait rien, c'est un vol de jour et je n'ai pas l'intention de marmotter.
Pitch non obstrué en bulkhead.
Notre voisin, un autre triple 7.
Photo du wingtip qui se fait désirer
A peine changée, la nouvelle trousse de confort est à nouveau modifiée, la trousse est moins qualitative que la précédente.
Mais son contenu est identique, qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse !
Chaussons et chaussettes mais aussi protège écouteurs, quelle drôle d'idée de les mélanger !
Vue de la cabine affaire quasiment pleine. Il ne reste qu'un siège inoccupé - nous verrons pourquoi je le sais de façon certaine - j'ai bien fait de m'upgrader avec les miles sinon au mieux je serais resté coincé en W au mieux.
Ici commencent les ennuis : la fiche de jack du siège s'est désolidarisée du siège. Impossible de brancher mon casque bose ! Je convie un PNC à constater l'état du siège. Il arrive au même résultat que moi : rien du tout. On me propose le seul siège libre le 11E, un couloir à l'arrière que j'accepte. Et là rebelote, même situation. La chef de cabine J se confond en excuse et me propose d'établir une réclamation sur sa tablette numérique. Grande première visiblement car elle était assez contente de cette nouveauté. J'ai manqué de prendre un cliché sur l'interface qui est assez sympa (mm si le clavier virtuel est qwerty). La PIL y est indiquée avec notamment les statuts FB. M'apercevant de mon oubli, j'ai cherché à reprendre la tablette mais la CCP a refusé : 'on ne doit pas avoir de trace de la réclamation' : assez incroyable mais je n'ai pas insisté.
Décollage.
Distribution des menus avec encart publicitaire. Ce n'est pas vraiment vulgaire, mais terriblement incongru, passons.
Carte des vins : Champagne Billecart Salmon brut, un Bourgogne blanc que j'ai goûté et qui n'a d'autre intérêt que le fait d'être la possession de la maison Bollinger, deux rouges, un médoc et un côte du Rhône.
Le menu, foie gras et espadon fumé. Quatre plats chauds : Boeuf façon pot au feu, Crevettes sautées aux endives, Epaule d'agneau braisée et Risotto aux cèpes.
Carte des boissons, je n'oublierai pas la Chartreuse dans quelques heures pour la digestion !
A l'apéritif, champagne Billecart Salmon, honnête sans plus. Les cahouètes qu'il faut ouvrir, cela ne me dérangeait pas il y a quelques années mais ça c'était avant (la J de CX !). L'amuse bouche crevette chili est une réussite, frais, bien relevé. Je prends des notes pour mon FR !
Le casque qui me servira d'écouteurs pour le vol. Le plastique a vécu, la patine grise a sauté mais bon ce n'est pas un défilé de mode. Ecran standard en J. En bulkhead, l'écran est plus proche que dans un siège normal, autre avantage du bulkhead à mes yeux.
L'entrée : le foie gras est correct malgré l'appellation terrine de foie gras qui laissait présager le pire. L'espadon fumé n'est pas une réussite en revanche, mais la quantité est étonnamment importante. J'ai pensé en mangeant que Servair avait dû se tromper. Accompagné du médoc et du bourgogne. Le Médoc est correct, le bourgogne déjà commmenté !
Mon premier plat : l'épaule d'agn.. errh non mais c'est du boeuf ! Pendant 10 minutes, le temps de finir mon beurre, je ne m'en étais pas aperçu jusqu'au moment où la PNC est venu confirmer : elle s'était trompée de bout en bout ! Le rang 5 étant servi en dernier, j'imagine qu'elle a jonglé avec les plats pour servir les gens correctement. Heureusement pour elle, je n'y avais pas touché, cela aura fait un mécontent de moins !
Mon choix qui m'avait été demandé en début de service et mis de côté, entorse au protocole, que je dois à mes déboires avec mon siège : belle attention des PNC. Il faut dire qu'entre le siège et l'IRROP, cela s'acccumulait. En tout cas, ce plat signé Regis Marcon est une tuerie. J'ai rarement aussi bien mangé en avion. Bravo ! Présentation à la AF mais c'est moins grave pour un plat en sauce.
Le choix IFE laisse un peu à désirer. Je ne sais pas si je vieillis ou si la qualité des films baisse mais j'ai de plus en plus de mal avec les choix proposés. Le père Noël est une ordure certes mais une valeur sûre également !
Mon second dessert : pas photographié le premier service avec sorbet, mais je n'ai pas oublié pour le second service : vraiment l'équipage était aux petits soins alors même que j'avais déjà rempli mon formulaire de réclamation et qu'il n'y avait pas d'enquête de satisfaction à distribuer sur ce vol (généralement on le devine assez vite au comportement des PNC lorsque c'est le cas). Bonne note PNC en perspective !
2 chartreuses et 2 expressos pour tenir le coup !
La collation en revanche est une déception : un macaron, un mini éclair, un canapé double et deux chocolats.
Boarf c'est pas l'extase niveau quantité et qualité.
On arrive
On arrive toujours et encore.
On est arrivé avec 35 minutes de retard quand même !
Passage du PAF via le paraphe local - toujours aussi capricieux - et bagage qui n'est pas arrivé à bon port et pourtant on est parti avec une heure de retard sur l'horaire.
Taxi maison dodo vite.
Merci de ce Fr qui reflète bien l'expérience Air France, c''est à dire une cabine dépassée, un catering plutôt bon mais dont la présentation est à améliorer (et les collations qui ne sont jamais au niveau quelque soit la destination) , des équipages pro et sympa la plupart du temps.
Les nouvelles cabines devraient faire remonter les notes des qu'elles seront généralisées, reste à AF de continuer avec la professionnalisation la gentille des équipages qui ont vraiment progressé et d'améliorer vraiment la présentation des repas pour être au niveau et faire du repas un moment plus privilégié pour les classes avant.
Merci pour ce FR,quant a AF Bof Bof Bof rien qui fasse vraiment envie fasse à la concurrence.
Merci pour votre FR. Il y a bien longtemps que j'ai abandonné AF pour me rendre à DXB, j'utilise la soeur KL en éco à tarif nettement inférieur (environ 150eur de moins) et on gagne 2 segments avec la correspondance à AMS
Merci pour ce fr !:)
Pas un mauvais vol mais la cabine est clairement un peu vieille, surtout vu la concurrence
Le PNC a été bon, mais ça commence à devenir récurrent (mais non abrasif)
Je suis en désaccord avec vous sur le Viri-Clessé que je trouve excellent, et la maison Chanson presque tricentenaire est bien plus que qu'un ajout de la famille Bollinger, et ventile un certains nombres de grands flacons hors de mes moyens....mais bon en avion c'est une autre histoire, et les goûts et couleurs...^^
Les repas sont souvent plus audacieux sur AF que sur les compagnies du Golfe, et plus élaborés. Problème la réalisation pêche... ^^
La nouvelle cabine devrait apporter un vrai plus, et remettre AF dans les clous
Je te maudis aussi un peu, tu dois avoir plus chaud chez toi ^^
Merci ;)
Merci pour ce FR.
Heureusement que ces cabines vont disparaitre !!
Les plats de Regis Marcon sont une valeur sure.
Merci pour tous vos commentaires !
Je viens de recevoir un appel du service réclamation (soit 36 heures après l'aterrissage) suite à ma plainte au sujet de la fiche audio.
On m'a proposé 5000 miles ou un avoir de 120 EUR valable un an.
Je n'ai pas hésité, j'ai pris le voucher.
Je n'ai pas souvent émis des réclamations donc impossible de juger d'un quelconque progrès.
L'employée AF était très hésitante, on sentait qu'elle débutait.
Et mon bagage sera livré ds la journée pour conclure sur un vol où j'ai pas mal accumulé de déboires.