Avis du vol entre Houston et Frankfurt en classe Economique avec Lufthansa

Bon, il vaut mieux tard que jamais et voici donc la fin de ce périple californien datant de juin 2014…..
Pour mémoire, le trajet était le suivant :
- Francfort (FRA) - Munich (MUC), Lufthansa, A321, business
- Munich (MUC) - Los Angeles (LAX), Lufthansa, A340-600, economy
- Los Angeles (LAX) - San Diego (SAN), United, Embraer 120, economy
- San Diego (SAN) - Houston (IAH), United, B737, economy
- Houston (IAH) - Francfort (FRA), Lufthansa, A380, economy
- Francfort (FRA) - Munich (MUC), Lufthansa, A321, economy, pas de FR
- Munich (MUC) - Paris (CDG), Lufthansa, A319, economy, pas de FR
Après une marche assez rapide, je me retrouve dans le terminal d’ou partira mon vol vers Francfort. Il n’y a pas foule pour le moment aux comptoirs Lufthansa.

Le passage de la sécurité est assez rapide et me voici dans la partie airside qui n’est pas très reluisante.

Pour le spotting, on va faire simple et rapide avec dans l’ordre Aeromexico, British Airways et Air France. La vague de départ vers l’Europe se précise.

On peut faire la même chose avec les salons :
- Air France avec une entrée qui n’augure rien de bon.

- KLM qui semble un cran au-dessus

- British Airways avec le salon Business et First.

Star alliance et Lufthansa ne possèdent pas de salon propre et il faut se rabattre sur l’Executive Club qui accueille également les passagers d’Emirates et de Qatar Airways. L’accueil est glacial tout comme l’ambiance du salon.

On retrouve le côté « charmless » des salons américains mais avec en option l’absence de toilettes qui se trouvent bien loin du salon.

Le business center et la meeting room

L’offre de nourritures

Ma sélection qui sert juste à remplir un estomac bien vide avec la photo corporate en fond.

Deuxième tour avec la lecture d’un FR d’Antonytahiti en First AF si mes souvenirs sont bons :-)

Après ce grand moment de gastronomie et de détente, il est grand temps de me diriger vers la porte d’embarquement.

On approche de l’heure de l’embarquement théorique et les gens se groupent autour de la porte mais un détail me perturbe (désolé je n’ai pas de photos). En effet, l’équipage est toujours dans la salle d’embarquement ce qui implique bien évidemment qu’il va falloir attendre !!!
Je laisse les gens s’agglutiner et m’installe tranquillement dans un fauteuil.

L’embarquement commencera avec presque 1 heure de retard et je profite de la file *G pour embarquer parmi les premiers passagers. On retrouve la cabine bien connue de l’A380 de Lufthansa.

L’IFE

On repousse avec un retard d’une heure qui ne sera pas rattrapé durant le vol. Après un roulage rapide, nous prenons notre envol vers Francfort.

Avant que le « happy mix » service ne commence, le CCP viendra me souhaiter la bienvenue.

Le tissus magique parfait pour nettoyer le hublot.

Le plateau arrive et comme d’habitude c’est une énorme déception.

J’agrémente ce repas d’un verre de vin blanc sans gout et de l’eau gazeuse.

Trois feuilles de salade en guise d’entrée

Un poulet infect

Le plat chaud ayant été posé sur le fromage, il ne manque plus qu’une pomme de terre pour faire une raclette

Le dessert pour anorexique

La nuit tombe alors que nous survolons la Pennsylvanie

Je m’effondre pour me réveiller alors que nous arrivons à proximité de l’Irlande et que le service du petit déjeuner commence.

Le petit déjeuner que je n’ai pas touché.

Approche sur Francfort avec un atterrissage avec 45 minutes de retard.

Premier et dernier aperçu de mon appareil.

Ma destination finale était Paris mais j’ai reçu un message m’obligeant à interrompre mon voyage et rentrer en Alsace. Rien de plus simple en étant à Francfort que de rentrer à Strasbourg et il me restait juste assez de temps pour prendre une douche au salon d’arrivée.

Pas le temps de prendre un vrai petit déjeuner car mon train m’attend.