Review of Air France flight Sao Paulo → Paris in Business

Bonjour,
suite et fin de mon long routing brésilien qui m'a amené cette fois ci à découvrir deux nouveaux aéroports: Rio de janeiro GIG et Passo Fundo PFB. Ce récit va être surtout l'occasion de montrer le parcours de correspondances à GRU entre un vol national et un vol international.

connecter à Sao Paulo guarulhos

Je vous avais laissé à la sortie de mon vol depuis Curitiba, retardé d'une heure à cause certainement des orages sur l'ensemble de la région. Le vol avait d'ailleurs sautillé quelque peu. Je sors dans le mileu de troupe ayant été relégué au 16C en mileu de cabine. Pas de stress j'ai encore 3h devant moi.

Devant ma porte se trouve cette espace Duty MAX que les passagers en correspondance pour les terminaux 1 et 2 se doivent de passer. Aucun FID à l'horizon. Mauvais pooint pour l'aéroport. Comme je suis sensé deviner où aller. Mon billet sur papier à cigarette GOL n'indique aucune porte. Étant passé par le même endroit 7 mois plus tôt à la sortie de mon vol depuis Goiana, je prends la droite vers le terminal 3.

Je me souviens de cette zone qui 7 mois plus tôt était dans un état de crasse lamentable. Cette fois c'est tout à fait correct. J'entâme alors le début d'un trajet qui va être long, très long.

Il me faut tout d'abord parcourir cette longue coursive. Un FID sur la droite me confirmera enfin que je suis dans la bonne direction.

Tiens cette bifurcacion est nouvelle et en plus elle semble mener là où je me rends.

Des portillons controlent l'accès, mon billet GOL pour CDG fonctionne.

Là il me faut passer la PAF…

Et j'aurai le droit à un nouveau tampon. Bizarre 7 mois avant je n'en avais pas eu en sortant.

Ah j'entre enfin dans le terminal 3 :)

Euh non en fait ce sont encore et encore des couloirs à l'aspect des plus engageants :(

Les à côtés sont peuplés de locaux…

Comme de moins locaux… ils semblent proches mais sont encore si loin!

Hum c'est de plus en plus engageant…

Aller j'ai déjà fait une branche du U, j'arrive maintenant en partie centrale. Heureusement la plupart des tapis fonctionnent.

Décidemment American est en force ici.

Je finirai enfin par arriver en sortie de PIF/PAF dans le terminal 3, le terminal international beaucoup plus engageant et qui semble relativement neuf. Pour conclure donc:
- pas besoin de repasser landside ce qui avait été le gros point noir lors de ma correspondance il y a 7 mois
- pas besoin de repasser la PIF, donc plus d'attente, MERCI
- certes encore une PAF mais séparée et sans attente
- Au total environ 15 min de marche, 1min de PAF, 1min de photos et de controle au portique. C'est très correct et fait faire un peu d'exercise!

Ici aussi on vous encourage à acheter tous les produits importés avec frais de douane max.

lounges report

Je décide de ne pas perdre de temps et me rends à l'étage qui abrite l'ensemble des salons du terminal.

Petit aperçu de l'offre, j'ai du temps devant moi et un devoir de Flight Reportiste. Bien évidemment sans billet éligible je ne peux vous proposer que les devantures.

Le LATAM est particulièrement imposant de l'extérieur.

Un black de Mastercard. Je ne connaissais pas le concept. De la concurrence pour les Centurion? Ma carte World Elite n'offre malheureusement pas l'accès aux salons.

American Airlines en propre. C'est étrange de ne pas utiliser celui de LATAM.

Ce First Class Lounge acceuille les passagers La Première du vol en B777-300ER quotidien, celui que je prends et personnelement le moins pratique des deux vols à mon goût à moin de vouloir arriver tôt le matin à Paris.

L'Executive Lounge acceuille les compagnies Skyteam + Emirates et Qatar. Il est en plus accessible au Priority Pass. Je ne sais pas par contre où va Delta…

Car le dernier de la coursive est le Star Alliance pour les compagnies de l'alliance éponyme.

Je rebrousse chemin et me rends à l'Executive Lounge. Je tens ma carte d'embarquement GOL. Quelques secondes plus tard, le préposé me demande si j'ai une carte frequent flyer me donnant accès. Je lui rétorque que voyageant en Business class je n'en ai pas besoin. Il se plaint dnas sa barbe que ce n'est pas marqué, pianote et finit par me laisser rentrer. Encore une fois merci GOL et le code-share AF/KL. Bon il est vrai qu'il n'y a que mon numéro de siège inscrit et sinon rien sinon class C. Un préposé de salon devrait tout de même savoir que c'est le code d'une business class… En tout cas je ne sais toujours pas s'il m'a laissé entré par doute ou par ce que son ordinateur lui a conseillé de le faire.

Cette fois, plus de photos que lors de mon dernier passage où je n'était resté que 10 minutes.

La presse montre bien que AF vient ici avec deux vols quotidiens.

Le coin magazines est très agréablement présenté. Le choix est bon en Francais, faible dans d'autres langues.

Vue de la partie centrale avace les buffets.

Il y a sur la droite ces grands espaces canapés que j'occuperai plus tard après avoir mangé.

La partie de gauche avec l'entrée au fond et mon préposé replongé sur ses écrans.

Enfin la partie "derrière moi" par rapport à la photo initiale où la bibiotèque et la presse sont à trouver.

Ah si j'oubliais ce salon a des toilettes et douches à disposition. Le tout est dans des teintes noires qui permettent de faire illusion de luxe facilement - mais si l'ensemble est très correct on est au niveau du salon K de CDG, pas plus je dirais.

Petit tour des solides avec bar à salades et entrées.

Le coin soupes

Des patisseries auxquelles personne ne touchera durant mes deux heures sur place.

Des sandwinchs peu appétissants - je n'ai pas testé

Fromages et desserts - ici aussi ca ne semble pas de première qualité au premier coup d'oeil.

Je trouve surtout pour mes habitudes européenes que tout est mélangé avec ici du pain, une sauce au pesto et un gateau au napage chocolat.

Enfin les plats chauds et sans aide difficile de prendre le détail. Enfin rien de bien spécial, des pates, du riz, de la viande, …

Ma sélection reste légère afin d'avoir faim à bord.

Il y a en ce jour une action avec un bar à vin du Chili. C'est du Cabernet Sauvigon, pas mon préféré ni en rouge ni en blanc.

Enfin je prendrais tout de même un verre, l'hotesse selble sinon s'ennuiyer :;)
Il n'est pas frais, dommage!

Justement les glacons sont ici. Avec de l'eau, d'autres bouteilles, les softs, les bierres. Les trois bouteiilles d'alcools forts sur cette image sont les seuls du salon. J'en connais qui seraient décus.

Au bout d'un moment j'ai les fesses qui me démangent sur ce canapé, il me faut douger. Une fois n'est pas coutume, je prends donc la direction de la porte avec l'heure d'embarquement.

boarding

Il y a déjà une longue file devant chacune des zones. J'avoue ne pas trop comprendre. Ont-ils peur de ne pas avoir de place dans les racs alors qu'ils sont en Sky Priority?!?

Mon avion est là, fidèle à lui même. D'ailleurs savez vous pourquoi les B777 n'ont pas / quasi jamais de winglets? Celà m'étonne alors que les B767 ont été rétrofités et les airbus en ont tous.

Je vais faire un petit tour dans ce terminal.

TAP sur son marché naturel.

Enter text here…

Un TAM en A350 - moi pas comprendre

IAG l'un à côté de l'autre

Alitalia qui cherche désespéremment ses derniers passagers.

Je reviens à mon "triple 7" qui n'a pas bougé. Si vous voyagez sur le groupe Lufthi, sachez que eux aussi sont en doublon mais… au large. Pax bus obligé comme à FRA^^!

Je m'assoie et laisse la cohue attendre le début de l'embarquement.

Qui sera lancé dans les temps.

Embarquement par la porte commune à la Business, Premium et Eco.

605L pour ceux que cette information peut intéresser.

GE powered. Le camion pompe est aux couleurs de Shell.

Gros plan sur la livrée que je trouve affreuse, enfin surtout le code barre sur l'empenage

en triple 7

Le CCP est en porte, il est enjoué mais dommage il ne sera pas sur ma rangée.

Mon siège, pas de mauvaise surprise. Oreiller, ceintre et sleepers (que j'affectionne énormément, dommage que KLM ne s'y mette pas aussi) sont déjà là.

Le tout est propre.

La séparation est là et je la trouve efficace. Je ne verrai pas mon voisin du vol, seul un peu son IFE quand non sorti. J'ai pris cette fois une place mileu exprès en espérant une cabine moins chaude à cet endroit pour mieux dormir alors que l'on part tôt dans la journée (17h35).

Tout le jet bridge défile devant moi.

Je sors mon IFE et me plonge dans ma quête de cinéma francais.

l'écran sorti je ne vois déjà presque plus ce que fait mon voisin.

Verre d'acceuil classique avec champagne, eau ou jus d'orange. Je retente le champagne après quelques mois d'abstinance mais il ne me plait toujours pas - je suis difficile en champagnes… ce n'est pas ma boisson préférée!

Le menu de ce soir m'est distribué au sol par mon PNC agréable, Néanmoins toujours pas de présentaiton ni de message de bienvenue à bord à la place, je trouve celà regrétable - c'est si simple à mettre en place.

Les 5 damoiselles se mettent en marche.

Petit appercu recto verso pendant que nous roulons, il y a une second cabine business plus petite devant.

Puis c'est décollage vers le sud.

Apéritif sans tarder. Au programme un scotch sur glace et un thé glacé. Les noix en sachet sont sorties (je préfèrerais en ramequin), la bouchée est du melon avec chambon cru.

La vue de notre parcours, j'y reviendrai. On longera tout le temps de notre survol du brésil la côte atlantique en en épousant le relief.

Le plateau est servi d'un bloc avec le fromage est sans son opercule plastique pour limiter les odeurs. Enfin vu le fromage, opercule ou pas, pas d'odeur ;)

L'entrée est bonne, fraiche et change un peu. la salade est sans grand intérêt. Le pain noir est très bon!

L'IFE a basculé sur la télécommande, J'aime bien cette fonction qui permet de ne pas bloquer l'ècran principal.

Mon plat arrive, J'ai pris le poulet qui est extrêmement bien assaisonné mais un peu sec. Il me faut mettre la sauce à base de tomates. Je tout est certes bon mais ne fait que peu business.

Je demande eau plate et pétillante. Cette dernière attérit dans mon verre à vin. J'aurais préféré un verre propre… Le service n'est pas mauvais mais pas d'attention partculière au détail.

Nous quittons ce beau pays au moment du dessert.

J'aménage ensuite mon lit en espérant bien fermer l'oeil, j'ai une journée chargé le lendemain à Paris avant de continuer sur l'Allemagne. Je me sers de la couette comme de surmatelas ayant de toute facon trop chaud en avion. L'oereiller est je dois dire parfais pour mon gout.

Bon autant le dire, je ne dormirai pas bien, que par intermitance, même avec un passage de lAtlantique et notamment de l'équateur calme.

Le petit déjeuner arrive au large des cotes francaises atlantiques. N'étant pas fan de pancackes ni de pommes et encore moi d'assiettes froides de charcuterie, je me rabats sur l'option salée très bonne je dois dire. Le reste est standard, la viennoiserie est sèche et s'émiette c'est dommage sur une compagnie francaise. Le jus d'orange est de la brique.

La route suivie, on a longé les côtes à part la dernière partie du pays.

Nous arriverons à l'heure en portes L. Petit passage par la P que j'essaierai un jour, en espérant qu'elle traverse les 20 prochaines années tout en gardant sa qualité :)

Il fait encore nuit et bien plus frais ici.

Dernière vue sur mon avion.

CDG a l'arrivée et le salon arrivée du 2C

Direction la sortie et non le parcours de correspondance.

Il me faut prendre le Lisa

La sortie se fera avec 5min d'attente à la PAF - c'est malheureusement une bonne moyenne pour CDG. Öes portillons se multiplient mais la moitié sont hors service faute de policiers pour les controler?

Puis long cheminement pour rejoindre le 2C et le salon AF d'arrivée. Il est temps d'en ouvrir un nouveau.

Il faut notamment passer la gare.

Puis l'ensemble des comptoirs du 2E aux compagnies un peu plus exotiques.

Enfin…

L'acceuil est comme toujours agréable. Les docuhes sont en libre service et je n'ai jamais eu d'attente. Il faut dire qu'il faut avoir envie de venir jusqu'ici!

Service de défroissage le temps de prendre sa douche - non essayé mais je trouve l'idée excellente.

Et me voilà dans le RER B pour rejoindre Denfert Rochereau avant de prendre la ligne 6 du métro pour Montparnasse et la ligne N pour Dreux. Je vais à Houdan dans le fin fond des Yvelines. C'est deux heures et demi quand tout va bien…

bilan 2018

Il est temps pour moi avec ce dernier vol LC de l'année 2018 de tirer un bilan.
- 1 nouveau pays, justement le Brésil et une révélation
- la décision de changer de programme de fidélisation Skyteam pour Flying Blue les nouvelles règles de XP étant pour moi avantageuses avec la possibilité d'obtenir le platinum tant que mon entreprise est en contrat corporate avec AF-KL-DL sur les Amériques.
- la décision de lourder Miles & More mais sans vraiment savoir quoi prendre à la place, le choix s'est certes fait sur Mileage Plus du fait des miles sans expiration avec un crédit tous les 18 mois mais j'hésite encore avec Miles & Bonus ou SAS Bonus.
- de garder IBERIA Plus comme programme Oneworld du fait d'une validité illimitée si crédit tous les 36 mois.

Pur info:
- mon statut ORO Iberia Plus me vient d'un match de mon airberlin Platinum à la disparition de la compagnie
- mon statut GOLD sur Mileage Plus est le fait d'un challenge sur mon gold Skymiles, je ne le garderai pas n'ayant quasiment rien créditer
- mon statut GOLD Skymiles arrive à expiration, je suis encore Silver en 2019 et je vais peu à peu vider mon compte, il était le même le fait d'un status challenge depuis airberlin fin 2017 validé par un seul LC en business sur MSP.
- mon statut GOLD Flying Blue… est finalement le seul obtenu sans combine par mes vols 2018.

Les status matchs se faisant plus rares ces temps ci, il se pourrait bien que 2019 soit moins Gold hors Skyteam que 2018.

Au programme pour 2019: un A/R sans intérêt pour CDG, un aller en voiture pour ZRH (quel boulet!), trois transatlantiques pour Chicago, le Brésil (encore!) et Vancouvert et un parcours du combatant pour Palma de Mallorca. Ensuite à voir…