Review of ANA flight from Kanazawa to Tokyo in Economy

Bonjour à tous !

C'est l'actualité qui me rappelle à l'ordre pour publier ce FR puisque le tremblement de terre de ce 1er janvier s'est produit non loin de Kanazawa dont je vais vous présenter un court bonus touristique.

bonus touristique

La météo a été exceptionnelle en ce début novembre et m'a permis de déambuler très agréablement dans Kanazawa que j'ai beaucoup appréciée.

Le château a été restauré en 2001 en utilisant les techniques traditionnelles.

Hélas le séisme de ce début d'année a endommagé quelques murs d'enceinte.

Tout proche du château se situe le somptueux jardin Kenroku-en qui est considéré comme un des plus beaux de l'archipel. Les légères couleurs automnales y rendaient une ambiance propice à la rêverie.

Le marché du centre ville fait la part belle aux fruits de mer et en particulier au crabe-araignée, une spécialité locale.

On y trouve aussi des huîtres géantes dont la taille dépasse celle d'une main et qui sont ma foi fort peu appétissantes pour qui aime les calibres 1 ou 2 tels qu'on les connaît chez nous.

Il y a aussi à voir aux alentours de la ville, comme ici à Komatsu qui est le fief des machines de chantier éponymes. Un petit musée y retrace l'histoire de ce fabricant de machines dont la taille peut être impressionnante comme ce camion utilisé dans les mines à ciel ouvert.

Le FR

La transition est toute trouvée puisque c'est de Komatsu que je repars en ce vendredi 10 novembre pour rejoindre ITM via HND.
Rappel du routing :

J'ai choisi l'option train régional (520 yens) + bus de ville (280 yens) qui est moins chère que le Limousine bus partant de la gare de Kanazawa (1300 yens) et qui au moins n'est pas tributaire du trafic puisque l'autoroute longeant la côte est en travaux.

La gare de Komatsu a été rénovée pour accueillir la ligne Shinkansen Hokuriku dans le courant du mois de mars, ligne qui à terme sera prolongée jusqu'à Kyoto et Osaka (tronçon toujours à l'étude).
L'arrêt de bus est pile en face de la gare et la cadence est prévue d'après l'horaire des vols domestiques au départ de KMQ.

Le trajet dure une douzaine de minutes.

Le bus nous dépose juste à l'entrée du terminal.

Comme j'ai un bagage à enregistrer, j'avise les banques ANA. Le processus sera très rapide.

Je monte ensuite au niveau supérieur pour passer le contrôle de sécurité où il n'y a personne.
Le FIDS est délicieusement vintage.

Et voici la partie airside domestique de KMQ, avec deux portes d'embarquement. Un petit commerce complète le tableau.

Il y a aussi cette borne qui permet d'acheter à l'avance son billet pour le centre villet de Tokyo via la ligne Keikyu.

Mais au fond de la salle se cache l'entrée du salon ANA. Entrons y jeter un oeil.

L'accueil est souriant et je découvre une petite pièce aveugle et dont l'agencement en places assises est assez dense.

Le buffet est identique à ce que l'on trouve dans les autres salons domestiques de la compagnie. Les alcools sont de sortie à cette heure matinale.

Ma sélection consistera en un cappucino quelconque et un ginger ale.

Un écran montre les départs du jour. La fréquence de/vers FUK et assez étonnante pour un aéroport de province comme Komatsu.

Cerise sur le gâteau, le salon dispose de WC.

A 25 minutes du départ, je quitte le salon pour rejoindre la porte. La salle d'embarquement s'est remplie mais l'affluence n'est pas folle pour ce vol en 767.

767 que voici.

L'embarquement est lancé à l'heure.

Nous entrons dans l'avion par la porte 1L. L'accueil est assez enjoué.

Passage par la Premium Class en 2-1-2 pour arriver en Economy qui est configurée en 2-3-2.

L'agencement de la cabine n'est pas trop daté.

Une télécommande est incrustée dans l'accoudoir pour naviguer entre divers canaux audio. Les oreillettes nécessaires sont distribuées par l'équipage après coup.

La fiche de sécurité.

Tout le monde est à bord en un peu plus de 10 minutes et nous repoussons à l'heure. Le ciel bleu des trois derniers jours à fait place à un temps plus que maussade.

Voici le traître avec lequel j'aurais dû initialement arriver.

Roulage jusqu'au seuil de piste où nous croisons ce 737 JL en finale.

Et décollage dans la foulée. L'on peut voir les dernières installation de la base des Forces Japonaise d'autodéfense qui partage le terrain de KMQ.

La montée se terminera à la hauteur de la couverture nuageuse, ce qui aura pour effet de neutraliser toute vue jusqu'à la descente sur Haneda.

Curieusement aucun service de boissons n'est fait, mais nous aurons droit à un panier de bonbons dans lequel piocher.

Les écrans centraux diffusent un documentaire assez intéressant sur certaines traditions du pays.

Le vol est court et l'approche est amorcée.

La vue se dégage mais cela est pour le pire avec cette affreuse zone industrielle de Kimitsu, apparemment spécialisée dans la métallurgie.

Mêmte l'image satellite du site montre à quel point le sol (et probablement l'eau) y est contaminé / pollué.

Le panorama n'est pas plus brillant en finale avec la vue sur le complexe pétrochimique d'Ukishimacho.

Touché des roues et vue sur le T3.

Et nous arrivons finalement au T2 après un roulage assez long.

Le débarquement sera rapide et je tombe directement sur le chemin des correspondances.

Il n'y a qu'à scanner son BP de continuation pour rejoindre ensuite la zone airside du T2.

Je patienterai une petite heure au salon avant mon vol pour ITM qui se fera avec ce 777-200 en livré spéciale.

bonus hotelier - park hyatt kyoto

Magnifique propriété au coeur du Kyoto historique, le Park Hyatt Kyoto est un de mes coups de coeur de l'année.
Un design léché, un service parfait ainsi qu'une quiétude font de cet hôtel un pied-à-terre de choix

J'y arrive à pied après un trajet en bus depuis la gare de Kyoto-Karawamachi.

Le lobby est décoré aux couleurs automnales.

L'on m'a assigné une suite dont voici le vestibule.

Le salon.

Le dressing.

Les WC des invités.

La chambre à coucher ainsi que la salle de bain.

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