Review of Turkish Airlines flight from Geneva to Istanbul in Economy

Bonjour à tous !

Ce FR assez court me permet de tester le nouvel éditeur mobile récemment dévoilé en grande pompe par votre site préféré !

En partance pour Singapour, je profite donc de ce banal mais très correct pré-acheminement GVA-IST pour me faire ma propre idée de cette nouvelle mouture.

C’est bien en avance que j’arrive à GVA, les sièges automatiquement attribués lors de l’OLCI ne me convenant pas du tout.

Le sympathique préposé remédiera à cela en deux temps, trois mouvements, et propose de bloquer le siège central du vol IST-SIN, qui malheureusement sera complet en Y.

Une fois mes BPs en main, je passe rapidement le contrôle de sécurité où il n’y a personne.


La porte du vol n’étant pas encore annoncée, je monte patienter au salon SEN LX.

Pas de photo des lieux, mais j’ai l’impression que l’offre et la propreté se dégradent non-stop depuis le Covid…

Une fois la porte connue (C54), je préfère passer le contrôle de passeport puis attendre au salon Swissport de la nouvelle aile.

Il n’y a pas foule.

Cheminons…

Le salon est situé en mezzanine. L’unique ascenseur pour y accéder est exigu et plutôt lent.

Me voici devant l’entrée du lounge, qui fait face au Mahraba.

L’inscription est un peu lente, mais je suis finalement autorisé à m’installer.

Le salon est tout en longueur et aménagé selon différents espaces.
Ici, des tables proches des buffets.

Là, des fauteuils.

Enfin, tout au fond, des alcôves où il fait bon travailler.

Les WC sont à l’extérieur du salon, mais leur seul accès public est condamné, ce qui les rend exclusifs au lounge.

Passons l’offre en revue.
Des stations comme celle-ci se retrouvent à intervalle régulier. L’on y trouve eau et boissons chaudes.

Le buffet principal est assez limité, et son offre relativement médiocre.

Le constat est identique du côté nourriture.

La tireuse à bière sauve à peine le tout.

Quelques points positifs tout de même. Des prises électriques et USB sont omniprésentes et le wifi est rapide.
Ce qui me permet de vous montrer la Une du jour.

Avec ma modeste sélection…

Et une partie des documents de voyage.

Finalement, l’embarquement est annoncé avec du retard. Ce n’est pas pour me déplaire car je préfère attendre ici que dans la cohue d’IST.

L’avion du jour est un A321ceo.

Nous embarquons avec le respect des priorités.

C’est l’ancienne cabine que je redécouvre, sous les salutations de l’équipage.

Ces gros recliners font parfaitement l’affaire (si j’ose dire) pour les vols européens en classe avant.

La Y n’est pas en reste mais nombre de sièges montrent des signes de fatigue, que ce soit une assise défoncée ou un appuie-tête qui ne tient plus en position.

Je m’installe en 8D qui est en issue de secours

Le pitch y est idéal et permet de facilement se déplacer en vol.

L’IFE y est même plus grand que sur une rangée standard, mais est dépourvu de télécommande.

L’embarquement se termine rapidement pour un A321, merci au remplissage mitigé et au passagers disciplinés.

Le siège adjacent restera libre.

Nous sommes prêts pour le départ.

Il faudra attendre un long moment après le décollage pour que les passagers soient libérés.
N’ayant pas pu / pensé aller aux toilettes avant l’embarquement, je m’en suis mordu les doigts.

C’est propre.

De retour à mon siège le service débute, avec 3 trolleys officiant en Y !!!

Le choix de plat chaud se décide entre pâtes végétariennes ou steak haché de bœuf.

Le plateau est composé d’une capsule d’eau, d’une entrée à base de tomates fraîches et une mousse à la saveur indéterminée en dessert.

Même si cela reste mieux que sur nombre de compagnies, le cost cutting est passé par là avec quasiment plus de fromage ni d’olives dans la salade, un dessert industriel et la disparition du raki dans la sélection d’alcools (je ne parle même pas du loukoum de bienvenue qui fait carrément partie de l’histoire).

Fort heureusement les couverts sont toujours en métal.

Nous survolons l’Italie lorsque le repas est servi.

Un mot sur l’IFE : toujours très bien fourni que ce soit en films ou en musique, cependant cette version Thalès offre un choix moindre que les Panasonic, même ceux d’ancienne génération que j’ai eu sur 777 lors du vol suivant.

Revenons au repas :
Le plat chaud est toujours de bonne facture.

Et c’est sur cette note gastronomique que se termine ce FR. Le reste du vol s’étant déroulé dans une cabine aux feux éteints.

Notre arrivée en porte à IST se fera en retard, mais comme j’apprends que le vol suivant aura 45 minutes de retard lui aussi, j’aurai tout le temps de passer par le long parcours des correspondances et d’aller boire une bière au salon Gold TK