Review of KLM Cityhopper flight from Amsterdam to Toulouse in Economy

Bonjour à tous et bienvenue à bord de ce report dernier récit de notre escapade le temps d'une semaine avec ma compagne dans le Sud de l'Italie.

Introduction

Nous sommes au mois de Mai quand le déplacement de ma compagne dans les Pouilles pour un évènement professionnel se précise. Elle a la possibilité de faire prolonger son billet et nous avons pour projet de prendre une petite semaine de vacances en amoureux. Un joli concours de circonstances qui m'amène donc à chercher une option de routing pour Bari et les Pouilles. Coup de chance Ryanair à lancé sa ligne TLS-Bari pour la saison été 2024. Malheureusement le temps que ma compagne reçoive ses billets les prix ont sérieusement augmentés + des jours de vols qui ne correspondent pas vraiment je décide donc d'étudier une autre option.
Ayant vu le récent FR d'Ateon au départ de Paris en A321neo d'ITA avec une belle cabine business j'avoue être tenté. Je regarde par curiosité les tarifs au départ de Paris et Amsterdam avec des vols en A321neo et les tarifs sont canons pour les vols en correspondance vers les aéroports Italiens de province. Soit un peu plus de 300€ aller-retour en J avec l'A321neo sur AMS-FCO.
Le retour lui se fera via Linate

Cela me permet, en plus de la découverte avgeek de faire une sorte d'XP run le routing complet me rapportant les 52xp nécessaires pour finir de passer FB Gold. Il ne me reste plus qu'a ajouter un A-R TLS-AMS en éco qui me reviendra à 200€.
Petit bonus je volerais avec une bonne partie de la flotte MC d'ITA. A321neo, A320neo, A220-300 et A319. De quoi cocher pas mal de cases chez ITA dont l'avenir est encore flou et sans doute un rachat par LH à venir.

Ce qui nous donne le routing suivant:

La liaison entre Amsterdam et Toulouse est l'une des plus reportés à destination de la capitale occitane il faut bien reconnaitre que la connexion Flying-Blue marche plutôt bien et du coup cet effet HUB-feeder offre un bel avantage à KLM au départ de Toulouse. D'ailleurs la compagnie batave est seul sur le marché avec 4 vols quotidiens avec des appareil allant de l'ERJ 175 jusqu'au Boeing 737-800 même si la grande majorité des vols sont effectuées en ERJ-190 de Cityhopper. Dans le passé Easyjet offrait une liaison direct entre Toulouse et AMS abandonnée depuis au moins une dizaine d'année.
Pour ce qui est de la base de donnée de notre site elle est plutôt vaste avec une vingtaine de récits sur cette liaison avec KLM dont 4 par mes soins toutefois il s'agit de mon premier vol à bord d'un Embraer E2, je me permets donc de reporter.

Départ en milieu de matinée depuis Schiphol

En effet si madame a pris le chemin le plus court pour rejoindre notre domicile Toulousain, je n'ai pour ma part pas pris le même lui préférant la voie av-geek. Après une bonne nuit passée dans l'hôtel "Corendon Amsterdam Schiphol Airport" cet hôtel est affilié chez Mariott Bonvoy dans la gamme "Tribute Portfolio".
Pourquoi je vous parle de cet hôtel ma fois très random… c'est pour cela ! L'hôtel dispose dans son jardin d'un Boeing 747-400 peint aux couleurs du voyagiste néerlandais Corendon. Voila un hotel 100% av-geek même si aucune chambre n'est aménagée à bord. L'appareil semble visitable mais je n'ai pas poussé la curiosité plus loin.

La machine est un Boeing 747-400 qui volé précédemment pour KLM et il trône désormais dans les jardins de l'hôtel en face de la salle du petit déjeuner.

Et se retrouver aux pieds d'un tel mastodonte de métal est toujours aussi impressionnant 

Autre avantage l'hôtel dispose d'une navette gratuite vers l'aéroport passant 2 fois par heure entre 4h et 23h. Plutôt une bonne chose car l'hôtel est clairement excentré et loin des transports publiques.

Il nous déposera au niveau des arrivées du terminal 3 (en face du Sheraton). C'est aux arrêts de bus A9-A13 que l'on trouve toute les navettes pour les hôtels situés dans les alentours de l'aéroport.

Etant plutôt chargé avec mon bagage en soute je prendrais la direction des départs en passant devant l'entrée de la gare située elle aussi au niveau arrivée (sous sols) de Schiphol. On trouve à cet endroit de multiples services mais aussi beaucoup de passagers en ce dimanche matin.

Le FIDS est déjà visible dans cette zone, mon vol est bien prévu à l'heure

Je monte d'un étage pour retrouver la zone d'enregistrement, il me faudra rejoindre le terminal 2 où l'on trouve les comptoirs KLM. A noté que les affichages du FIDS sont trompeur et indique de base la dépose bagage automatique du T1 alors que tous les comptoirs d'enregistrements "humains" sont au Terminal 2 y compris les Skypriority.

Ayant la flemme de faire marche arrière j'enregistrerais moi même mes 2 bagages (un carte week-end et un statut) sur une des bornes.

Spotting en terrace

Après m'être débarrasser de mes bagages direction la fameuse terrasse située au bout du T1 étant arrivée tôt je comptais bien y passer un petit moment pour regarder les avions n'ayant pour ce vol pas d'accès au lounge.

C'est sur le toit du terminal que l'on trouve cette terrasse donnant sur les jetée C-D et E. Et la aussi il y a un joli pot de fleur avec ce Fokker 100, lui aussi visitable. D'ailleurs la terrasse d'AMS et sans doute l'une des rares terrasse d'aéroport accessible gratuitement depuis le côté groundside.

La vue sur les aéronefs y est excellente se qui me permettra de faire une petite séance spotting avec celui qui m'a amené jusqu'ici à savoir ITA en Airbus A319 depuis Milan Linate.

On passe de suite avec des visiteurs bien plus gros SQ en Airbus A350-900 s'apprête à repartir en direction du little red dot.

Arrivée en provenance d'Aalborg au Danemark pour cet Erj 190 de KLM Cityhopper, au loin on aperçoit le hangar 73  nommé en l'honneur d'Anthony Fokker qui serait bien triste de voir les jets bataves remplacé par des jets brésiliens.

Arrivée en provenance de Zagreb pour cet Airbus A319 aux couleurs de la compagnie charter Allemande Sundair qui opérée se jour là en ACMI pour la compagnie Croatia Airlines 

TK se la joue Bio et écolo avec son Boeing 777-300ER qui s'apprête à repartir vers Istanbul.

Autre vol relativement court effectué à l'aide d'appareil long courrier, Finnair qui relie Helsinki à Amsterdam en Airbus A350-900.

Compagnie plutôt rare sous nos latitudes avec la Kazakh Air Astana en partance pour Atyrau (petite ville au Nord de la Caspienne) en Airbus A320neo.

Pratiquement sous nos pieds on peut voir ce Boeing 777-200ER de KLM arrivé plus tôt dans la matinée depuis Montréal.

Quelques arrivés de gros porteurs avec ce Boeing 787-9 de KL arrivant depuis Toronto.

Ou cet Airbus A330neo de Delta venant lui d'atterrir en provenance de Minneapolis.

Après se début de séance spotting prometteuse bien qu'un peu à contre jour, nous serons chassés par les équipes de la sécurité de l'aéroport la faute au mauvais temps prévu dans les minutes à venir.

Bon direction donc le terminal où il me faut repasser au milieu des banques d'enregistrements pour remonter au niveau supérieur afin de rejoindre les contrôles de sûreté. L'attente sera très faible malgré un nombre important de passagers grâce principalement à l'utilisation de scanner de dernière génération permettant de ne pas "vider" les sacs. Cerise sur le gâteau il est même possible de conserver des liquides de plus de 100ml, le tout opéré par des agents aimables. (attention il me semble que cette dernière avancée a depuis été annulée)

Terminal et embarquement

Je me retrouve donc dans les couloirs de Schiphol que je commence désormais à bien connaître. On retrouve sans surprise beaucoup d'offres de restauration/services/shopping mais aussi beaucoup de passagers déambulant dans la zone Schengen.

Pas de shopping pour moi je filerais directement au niveau de la jetée des portes B d'où mon vol partira, là aussi il y a du monde.

Ce terminal offre aussi l'avantage d'avoir une vue plutôt correcte sur les appareils en porte ou au décollage comme cet Airbus A321 de Lufthansa arrivé plus tôt depuis FRA, en tout cas les agents de Schiphol avaient le nez creux ou une météo très précise car quelques minutes après mon entrée dans le terminal il tombera des hallebardes.

La compagnie allemande German Airways assure depuis un peu plus d'un an certains vols pour le compte de KLM Cityhopper pour palier aux problèmes rencontrés par les moteurs P&W "Purepower" qui équipent aussi les jets remotorisés du constructeur brésilien.

L'A350 de Finnair vue quelques instants plus tôt s'élance en direction d'Helsinki.

A la gate cet Airbus A320 d'Aegean est repoussé afin de retourner en direction de sa base d'Athènes.

Un canadien bien loin de chez lui, en effet la compagnie loisir Canadienne Sunweb effectue comme pratiquement tout les étés des vols pour le temps de la basse saison outre-Atlantique pour le compte de TUI Holland. Il s'envolera en direction de Tenerife.

Direction Washington pour ce Boeing 787-8 de United.

Dans la zone cargo au loin je vois ce massif Boeing 747-400F de Cargolux arrivant depuis Miami.

Ou cet autre appareil du même type opérant pour Suparna Airlines, compagnie Chinoise du groupe HNA qui opérée auparavant sous le nom de Yangtze River Express et qui s'envolera vers Hefei.

Mais revenons à des appareils et des compagnies plus connus qui assurent tout de même l'immense majorité des vols depuis AMS  comme cet Airbus A320 de Vueling qui vient d'arriver depuis sa base de Barcelone.

Autre opérateur d'Embraer sur AMS, LOT qui arrive depuis Varsovie en Erj-170

SAS opère elle en Airbus A320neo en provenance d'Oslo qui n'était pas encore rejoint Skyteam lors de cette photo.

Départ pour Aalborg au Danemark pour cet Erj-190 de German Airways opérant lui aussi pour KLM Cityhopper dont la livrée à due mal à caché ses origines ex-British Airways Cityflyer 

Décollage direction Oranjestad sur l'ile paradisiaque d'Aruba dans les Antilles pour ce Boeing 787-8 de TUI Belgium dont l'activité long courrier semble avoir définitivement quitter Brussels et la Belgique au profit d'Amsterdam et des Pays-Bas.

De ce point de vue on peut même apercevoir les départs sur la piste 18L avec le Boeing 777-300ER de KLM portant la célèbre "Orange Pride‬ Livery" au décollage en direction de Cape Town.

Autre gros widebody de la compagnie néerlandaise au départ avec ce Boeing 787-10 pour Chicago.

Tandis que son sistership s'envolera en direction de Calgary au Canada.

Celui-ci ne traversera pas l'Atlantique en entier, retour direction Keflavik pour cet Airbus A320neo de la low-cost Islandaise Play. 

Direction Birmingham pour cet Erj-195E2 récemment mis en service par KLM Cityhopper et qui me servira de photo de couverture pour ce vol 

Un autre heavy sur le départ avec cet Airbus A350-1000 de Cathay Pacific pour Hong-Kong.

Suivi quelques minutes plus tard par ce Boeing 777-200ER de KLM s'envolant vers Rio de Janeiro.

L'activité cargo est aussi intense sur la plateforme d'AMS avec ce Boeing 777F d'Emirates Skycargo arrivant depuis sa base de Dubaï (DWC).

Après cette longue séance de spotting (désolé pour ceux que cela n'intéresse pas ^^) je prends la direction de la porte d'embarquement situé sans surprise dans la jetée des portes B, le classique pour les vols opérés par la filiale régionale Cityhopper.

Ce sera la B18 en cette mi-journée, comme à mon habitude j'embarquerais parmi les derniers.

Le BP via l'application Air France à noté qu'AF m'a vendu son codeshare sur ce vol.

Nous avons le droit à une passerelle quel chance quand on sait le peu d'emplacement de parking disponible pour les Erjs de Cityhopper…

Fausse joie ce sera un bus et pas un Airbus ou Embraer qui nous attends au bout de la passerelle ^^.

Un petit tour de la ferme à Embaer d'AMS plus tard nous voila aux pieds de notre appareil du jour PH-NXO un Embraer Erj-195-E2 reçu neuf il y a un peu plus d'un an et demi par KLM Cityhopper. 

Grimpons les marches de l'escalier mobile afin de rejoindre la cabine de notre appareil. D'ailleurs les plus observateurs auront remarqué que le train d'atterrissage est un peu plus haut que sur la version précédente des Ejets pour permettre l'installation des plus gros moteurs P&Ws sous l'aile.

En effet il est, comme tous les appareils de cette série remotorisé de jets du fabricant brésiliens, équipé de moteurs Pratt & Whitney 1900G qui lui donne un peu un air bizarre avec cette grosse soufflante sous l'aile.

Instant porte pour notre leader des contributions. L'accueil de la part de notre équipage cabine mixte sera aimable et souriant.

Je rejoins mon siège situé dans les derniers rangs de la cabine, on y trouve une cabine équipée des sièges Recaro BL3710 aux couleurs bleus de KLM Cityhopper, on notera la touche de couleur bronze apportée par la ceinture plutôt sympa. Coté confort les sièges sont un peu fin et ne disposent pas de recline dans la partie arrière de la cabine.

Coté pitch c'est 29" dans la partie arrière de la cabine.

Le plan de cabine avec pas moins de 33 rangées soit plus que dans un Airbus A320 !

Notre voisin de parking est un sistership venant d'arriver depuis Marseille. Je ne sais pas si c'est une impression mais il me semble que les hublots sont un poil plus gros que sur les anciennes versions d'Erj.

Vue générale de la cabine qui fait neuve et moderne avec ce mood light bleu. On peut voir que le fuselage de cette version allongée du Ejets parait interminable !

Nous repousserons avec un léger retard qui ne devrait pas mettre en péril notre heure prévue d'arrivée. Et nos pilotes ne trainerons pas lors du roulage. Pas très confortable tant il y a du balancier à l'arrière du fuselage. Ca doit être un cauchemar pour les PNCs dans le galley arrière car même à quelques rangs de l'arrière de la cabine on a une sacrée impression de tanguer à chaque bosse du taxiway.

Notre roulage nous fait longer les terminaux sous l'œil bienveillant de la tour de contrôle.

On croise en chemin ce Boeing 787-9 de KLM tracté au large en attente de son prochain vol prévu en fin d'après-midi pour Pékin.

Nous arrivons au point d'arrêt de la piste 18L. J'aperçois mon hôtel de la nuit au loin ! On voit même un bout de la dérive du Boeing 747 qui dépasse.

Nous n'aurons pas besoin de toute la piste en ce début d'après-midi, sans plus attendre nos pilotes pousserons nos moteurs à leur puissance de décollage

Et notre agile Embraer n'aura aucun mal à s'arracher du tarmac de Schiphol, nous offrant au passage une belle vue sur les hangars de l'aviation d'affaire ainsi que la piste 04/22 principalement utilisé par ces derniers. Puis le hangar 73 qui s'occupe notamment de la maintenance des Erj de KLM Cityhopper.

Nous prendrons rapidement de la hauteur au dessus d'une alternances de zones humide, centre logistique et quartiers résidentielles qui entourent l'aéroport d'AMS.

Malheureusement nous perdrons rapidement le contact visuelle avec le sol du fait d'une couverture nuageuse fine mais opaque.

Seul une petite trouée au dessus d'Anvers et du fleuve Escaut nous donnera un aperçu du sol.

Le wing-tip du jour qui se la joue sans appendice aérodynamique comme le Boeing 787.

L'altitude de croisière atteinte le service de catering peut commencer. Il s'agira d'un sandwich salé que j'accompagnerais d'un thé et d'un verre d'eau.

En cabine l'ambiance est particulièrement silencieuse en cabine malgré un remplissage proche des 100%. Seuls quelques annonces en provenance du poste viendront perturber le calme ambient. En effet l'équipe nationale des Pays-Bas faisaient son entrée dans le Championnat d'Europe de Football contre la Pologne et nos pilotes on fait des annonces régulières pour informer les passagers du score du match en cours. Les Pays-Bas gagneront péniblement en fin de match 2-1.

Pendant ce temps j'en profite pour jeter un oeil à la documentation disponible dans la pochette du siège. On y trouve la réglementaire safety card mais aussi, un élément de plus en plus rare, le magazine de bord "Holland Herald". Les pages corporates feront le bonheur des av-geek avec une présentation de la flotte bien détaillée.

Pas grand chose à voir par le hublot, ça restera bâché sur la vaste majorité du trajet.

Il faudra donc faire confiance à FR24 pour connaitre la route suivit par notre vol du jour avec une altitude de croisière de 39000ft.

C'est à notre arrivée dans le ciel occitan que la couche de nuage disparaitra, c'est bien connu au Sud de Montauban il fait toujours beau ^^, au dessus c'est le Nooooordd !

Passage au dessus du futur tracer de l'autoroute A69 prévu de relier Castres qui aura fait couler beaucoup d'encre et ce n'est pas fini avec un chantier désormais bloqué par le tribunal administratif.

Nous contournerons l'agglomération Toulousaine par l'Est avant d'effectuer un quasi demi-tour pour intercepter l'axe d'approche des pistes 32 de l'aéroport Toulousain qui nous offre une belle vue sur la Garonne au niveau du Golf de Vielle-Toulouse.

L'approche nous fait survoler la Garonne durant un quelques minutes aux environs de la colline de Pech-David visible du coté droit de l'appareil. Coté gauche (sur la rive gauche de la Garonne) on peut voir l'Oncopole mais aussi le bâtiment futuriste de l'institut de recherche Pierre-Fabre. 

Au loin on devine les installations de l'aéroport de Francazal, ancienne base aérienne de l'ouest Toulousain accueillant aujourd'hui une partie des activités d'ATR mais aussi des entreprises de maintenance aéronautique.

Puis l'on arrive dans la proche banlieue de Toulouse avec les quartiers des Pradettes et du Mirail qui ne brillent malheureusement pas pour leur bonne réputation…

Arrivée sous le soleil Toulousain

Posé tout en douceur sur la piste 32R avec en toile de fond les usines de l'avionneur européen devant les hangars accueillant la flotte d'avion cargo Beluga avec une flotte désormais pratiquement 100% Beluga XL.

Photo désormais historique avec Qatar qui aura desservit la ville rose durant à peine un an avec ses Airbus A330 avant de mettre la ligne vers Doha en sommeil en attendant des appareils de plus faible capacité.

Autre vol international hors Schengen à la gate au hall D en cette fin d'après-midi avec cet Airbus A320neo tout neuf de Tunisair en provenance de la capitale Tunisienne.

De notre coté notre appareil ira aussi se stationner au hall D aux cotés de cet Erj 190 arrivant d'un des rare vols saisonniers d'AF cet été en provenance d'Oran en Algérie une activité qui a été transféré à Transavia pour la saison hiver 2024/25.

Le débarquement prendra un peu de temps en utilisant uniquement la porte avant gauche de l'appareil. Derniers regard sur la cabine et direction la sortie avec les salutations souriantes de l'équipage.

Une petite grimpette dans le jetbridge pour rejoindre le hall D.

Pas de contrôles de la PAF c'est cheminement direct vers la sortie avec de la publicité pour les différents points d'intérêt de la région Occitanie et de la ville de Toulouse.

En chemin on recroise l'appareil du jour qui retournera sans plus attendre en direction des Pays-Bas. De mon coté petite satisfaction d'avoir ajouté cet nouvelle ligne à mon log-book sur un vol purement utilitaire depuis la maison.

Une des célébrités locale n'est autre que l'avion de transport Beluga auquel les Toulousains sont particulièrement attachés.

Les arrivées de l'après midi qui fait la part belle aux low-costs. Pour nous ce sera tapis 6 pour les bagages.

Tapis 6 que je rejoindrais afin de récupérer mon chargement il faut dire que nous n'avons pas voyagé léger profitant d'une franchise bagage généreuse pour ramener des bouteilles d'huiles d'olives d'une qualité introuvable en France. Les valises arriveront après quelques petites minutes d'attente. Une performance respectable.

Je ne trainerais pas plus en ce dimanche après-midi rejoignant ma compagne arrivée la veille et venue me chercher à l'aéroport pour un retour express à la maison. C'est ici que ce termine cette série, bon vols à tous !