Avis du vol entre Dakar et Paris en classe Affaires avec Air France

Bonjour,
Direction la France et le Liban cet été.
Je suis un habitué de ce routing que voici :
*AF719 - Business - Dakar → Paris - Boeing 777-300ER : Vous y êtes
*A5715 - Economique - Paris → Lourdes - CRJ-1000 : ICI
*A5716 - Economique - Lourdes → Paris - CRJ-1000 : ICI
*AF566 - Economique - Paris → Beirut - Boeing 777-300ER : ICI
*AF565 - Economique - Beirut → Paris - Boeing 777-300ER : ICI
*AF718 - Economique - Paris → Dakar - Boeing 777-300ER : ICI
30 heures avant le départ du vol, je reçois un mail, m'invitant à m'enregistrer en ligne. Le jour du départ, j'imprime ma carte d'embarquement.

Le Jour-J je me rends aux alentours de 20.30 à l'aéroport.
J'enregistre mes bagages très rapidement au comptoir 29 SkyPriority d'Air France.
Je change mon siège pour le 06K, étant donné que je désire avoir un écran en face de moi. Je ne vois pas la différence avec le siège 5K d'ailleurs, on ne peut dire que le pitch n'est pas correct !

Passage rapide à l'immigration ainsi qu'aux contrôles de sécurité.
Juste après, je me rends au salon Prestige, commun à toutes les compagnies. En y allant, je tombe sur une indication d'Air France, montrant le cheminement pour se rendre en salle B5. Utilisée également par Delta Airlines.

Arrivée au Salon, je << contemple >> l'offre. On va dire qu'elle se compose que de mini-encas.

Des boissons alcoolisées sont également offertes.

Ainsi que des boissons non-alcoolisées évidemment.

Ma sélection sera petite. Je contemple en même temps un 767 d'Ethiopian.

Voici quelques images des toilettes, la propreté est présente.

Mon avion quant à lui est présent, il est arrivé à l'heure.
L'embarquement débute comme prévu aux alentours de 21h45.
Je décide d'embarquer en dernier. Les lignes de priorité sont respectées. Arrivée au pied de l'avion, les passagers SkyPriority sont invités à embarquer par la porte 1G et les passagers Economy par la 2G.

Un oshibori chaud nous est distribué précédé par une boisson d'accueil. Sans oublier la trousse Business avec la bouteille d'eau déjà présente sur le siège près du casque qui a l'air en bon état.

Il est 22.45, mais nous ne démarrons toujours pas, l'embarquement pourtant à l'air d'être terminé. La porte est fermée. Quelques minutes plus tard on nous explique que suite à une panne d'une machine de comptage à l'aéroport, le départ est retardé (Faut compter les passagers)..
23.30, une fois se problème réglé, il faudra attendre à cause du traffic…(Décollage du 330 de Corsair, arrivée du 321 de TAP et d'un 737 d'une compagnie que je n'ai pas pu voir).
Finalement, nous décollons à 00H11 au lieu de 22H45..Quelle chance !
Presque tous les soirs je consulte FR24 et l'avion est plus ou moins à l'heure au départ et arrive en avance et lorsque je voyage on se prend 01h26min de retard.. Je doute que nous arriverons à l'heure…
Personellement, je trouve les NEV4 bien surtout dans cette configuration LIT. Qui-plus-est, il ont un large écran et ils ont l'air encore neuf.
Quelques minutes après le décollage, le menu est automatiquement distribué.

Etant donné que c'est un vol de nuit, les passagers préfèrent plutôt se reposer, j'ai remarqué qu'on était très peu à dîner.
L'entrée est très bonne.

Pour le plat principal, j'opte pour :
Médaillons de filets de boeuf poêlés crème d'ail au piment doux, riz safrané et mélange de légumes du marché.
Il y avait une suggestion du jour qui était : Filet de lotte sur un lit de courgettes mais je ne suis pas très fan de poisson en avion.

Après le service, l'hôtesse me demande si je désire prendre un petit déjeuner. Je réponds négativement, je suis très fatigué et après avoir été dans les toilettes, je décide de dormir jusqu'à Paris (ce qui est rare!).
Oui, il y'a un hublot dans les toilettes.

Je me réveille aux alentours de 06.20.
Je prends quelques photos et me lève pour prendre un verre d'eau. L'hôtesse tient à me servir. Un bar libre-service est proposé avec des biscuits.
Je me rendors et me réveille un peu avant l'atterrissage, les plateaux du petit déjeuner étaient en train d'être ramassés.
S'ensuit la distribution des oshibori chaud.

Arrivée à Paris-CDG avec une heure de retard soit à 07.13.
Quelques heures après, Air France m'envoie un mail pour s'excuser.