Avis du vol entre Paris et Quimper en classe Economique avec Air France Hop

Bonjour,
Un aller-retour près de Quimper pour une réunion de famille à la fin novembre 2015. Cette fois-ci on va au plus près, avec une arrivée à Quimper plutôt qu’à Brest. Le tarif est, pour une fois, raisonnable sur Quimper, mais bon acheté en juillet aussi.
Donc vendredi 27 novembre, post attentat et pré-COP 21, on quitte l’ouest parisien relativement tôt pour ne pas être trop à la bourre. Le périphérique est bloqué comme un vendredi soir pluvieux.
Je suis en route vers Orly lorsque je reçois un sms que je regarde seulement lorsque je me suis garé au PO. Il m’annonce un départ différé, prévu à 21:30 au lieu de 20:25. Bon on va avoir le temps de diner. Si je l’avais su plutôt on se serait moins speedé surtout, qu’après vérification, le retard de cet avion a été accumulé à partir de 14 heures.
Pas de contrôle à la sortie du parking.

Confirmation de notre retard.
Ce même vol du vendredi soir la semaine précédente a été annulé. Donc pour l’instant tout va pas trop mal.

Nous décidons d’aller diner au nouvel Red Hippo.
Connaissons ceux de Neuilly et La Défense. C’est très correct et il y a vue sur le tarmac, pas de table dispo avec vue à cette heure, dommage. Panneau d'affichage dans le restaurant. Au fur et à mesure de la soirée ça se vide. Le personnel est au petit soin. Nous n’avons pas attendu.

Oh surprise, notre vol est de nouveau retardé de 20 minutes… Pas reçu d'alerte.

On se dirige à pas de sénateur vers l’embarquement porte 40. Il n’y a presque personne. Les boutiques ferment. On achète notre dessert, macaron chez Ladurée puis des chocolats à offrir à la Maison du Chocolat. Le vendeur a été vraiment super, il nous a fait gouter plusieurs chocolats, et comme il a vu que nous avions une pochette de son concurrent en main, il nous a offert un macaron pour que l’on puisse comparer ! Merci à lui, ce fut une façon agréable de finir notre diner et d’atténuer avec une peu de douceur le retard, pour nous qui n’avons pas accès au salon.
Vue de l'astrolabe d'Orly Ouest

Un peu difficile, 15 jours après les attentats mais on s’y emploie

Pas grand monde à Orly Ouest, comme je vous le disais

Ce n’est pas la foule non plus.
A la première porte nous étions attendus par une jeune femme d’ADP qui était visiblement heureuse de nous voir arriver. Là nous sommes entre le portillon et avant le PIF. Nous étions les seuls à passer pour 3 agents qui se reposaient, personne ni devant, ni derrière. Ce fut le plus rapide contrôle que nous ayons passé.

Lorsque je me retourne, les portillons. La jeune femme a disparu. Nous étions peut-être les derniers à se présenter. Il est 20 h 45, on part dans une heure.

Le dernier vol du jour depuis ces portes.

Une agente passe auprès des passagers pour étiqueter les bagages qui seront à déposer au pied de l’avion

On s’installe sur d’antiques fauteuils près d'une zone de travaux

Visite des lieux comme il n’y a personne je photographie l’environnement. Un espace pour fillette

L'autre moitié de l'espace pour garçon

Les PS4 sont arrivées à Orly Ouest

C’est un peu étrange quand il n’y a personne et pas de bruit

L’ensemble de nos co-voyageurs

Je suis notre coucou via FAware. Il est arrivé. IL s’agit de F-HOPN le dernier ATR reçu, le plus récent avec un premier vol le 7 novembre et une livraison le 19 selon Airfleet. Il est tout neuf…

On va embarquer. Affichage au-dessus de la porte, qui a changé depuis que nous sommes en salle. Un bug informatique ou une embrouille pour ceux qui auraient somnolé ?

On descend sur le tarmac. Nous avons dû attendre quelques minutes en haut de l’escalier avant de pouvoir descendre. Un cordon avait été tiré pour bloquer les passagers. Il faisait bien frais. J’aime bien le moment où l’on peut s’approcher des appareils.

A nous l’ATR. Pas de remarque de la part des agents pour les photos. Je dépose ma valise

Une autre vue. Désolé mais c’est un peu sombre

Maintenant à bord. L’escalier arrière est pentu. Accueil « bonsoir » par une PNC souriante. Une vue d’une partie de la cabine. Ça sent le neuf, le propre. C’est plutôt normal. Ce n’est pas haut de plafond. Je ne suis pas embêté.

On se dirige vers nos places au rang 12. Il n’y a pas de rang 13.

Pitch toujours correct pour mes cm

Vue de face, gain de place avec le porte document au dos, pas de porte gobelet.

Le contenu avec la littérature, carte sécurité, magazine mensuel de la maison mère et un dépliant déjà présenté sur FR vantant les « mérites » de Hop et de ses ATR.

Décollage très court, pas l'habitude. Après 30 minutes de vol, la collation est servie. Un sachet de 2 galettes, il n’y a pas (plus ?) d’alcool fort à dissoudre dans le cola.
La tablette permet de lire la presse préalablement téléchargée via l’appli AF press

Mood-lighting national ? Non interprétation forcée de mon appareil photo.

Au bout d’une heure quinze, nous voici arrivé à la pointe de la Bretagne. Ca a bien remué en finale, comme j’aime, quelques voyageurs ont eu des « ah », « oh ».

Atterrissage avec effets visuels

Il est 23 h 15, nous sommes attendus à Quimper Pluguffan. Nous avons 1 h 25 de retard sur l’horaire prévu, soit presque le temps de vol. On voit quelques personnes attendre à l’étage.

Une petite dernière de notre appareil avec la soute avant.

Ma valise parmi les 3 dernières déposées, le chariot est déjà reparti. Bon c’est vrai qu’il faut quelques secondes pour faire les photos. Il ne fait pas bien chaud, les autres personnes s’engouffrent dans l’aérogare. A Quimper aussi 2 gendarmes armés patrouillent dans l’aérogare. Ça a un côté surréaliste.
Il est temps de récupérer le contrat de location de voiture et les clés auprès de l’agent Air France. Oui c’est elle qui assure la remise des différents loueurs auprès des voyageurs. En route pour un week-end assez ensoleillé.