Avis du vol entre Comiso et Paris en classe Economique avec Transavia

Bonjour,
Après 1 semaine de vacances passées dans le sud de la Sicile, il est temps de rentrer.
Le vol du jour est donc le vol Transavia TO1065, au départ de Comiso et à destination de Orly.
Tout d'abord, l'aéroport de Comiso est une ancienne base militaire, il y a d'ailleurs encore quelques vestiges de cette époque militaire avec les miradors, la double clôture de barbelé, les maisons de soldats qui ne sont plus utilisées aujourd'hui, le bâtiment qui servait de café théatre, …

On rentre dans l'enceinte et on arrive devant le terminal

Pas de photos des guichets d'enregistrement mais je peux vous dire que ce n'est pas grand, il y a en tout 10 comptoirs mais seuls 3 sont ouverts pour enregistrer les 4 cars qui arrivent pour le vol (nous étions dans le premier car donc enregistrement dans les premiers).

Comme à l'aller, nous avions réservé nos places à l'avance. Nous avions choisi pour ce vol le rang 2 (à droite, il n'y a pas de rangée 1). Les billets nous serons attribués sans problème.

On passe les contrôles en 2 minutes. Il n'y a qu'un seul portique détecteur de métaux pour 2 tapis rayons X. et on se retrouve dans la petite salle d'attente où se trouve 2 petits points de ventes

Sur le tarmac, c'est vide, il ne se passe rien

L'écran à la porte affiche le vol

Après 1h d'attente, notre oiseau du jour atterrit pour faire un échange de vacanciers

Nouvelle livrée, bien brillant, il n'a pas l'air vieux. Profitons de l'heure de Wifi gratuite pour faire une recherche sur l'immatriculation F-HTVB. Je vois que cet avion est tout neuf, il a été livré le 15 mars 2016 à Transavia.

A son point de stationnement, les passagers débarquent et l'équipage procède au nettoyage

Au loin, le ciel se couvre

Viens l'heure d'accéder au tarmac pour rejoindre l'avion

Je m'installe au siège 2F. Très bon pitch

Rangée 1 non occupée pour le moment

Pendant ce temps, le chargement des bagages se poursuit

Quelques vues de l'extérieur

On retrouve dans la pochette les grands classiques

Tient, il y a un problème d'attribution de siège pour certains passagers, problème, la liste des passagers fournie par l'aéroport à l'équipage ne mentionne pas les sièges attribués, il faut donc attendre, ce qui retarde l'heure du départ.
Pendant ce temps, un vol Ryanair attérit et se gare

Il n'a besoin que d'un seul escalier pour l'arrière car pour la porte avant, l'escalier se déploie

La situation s'étant arrangée pour notre vol, nous pouvons partir. Les passagers de Ryanair sont donc contraints d'attendre que nous partions pour pourvoir débarquer. Et oui, une des particularités de Comiso est de ne pas avoir de tracteur-pousseur pour faire reculer l'avion. Notre Boeing doit donc faire un demi tour seul par la droite, c'est à dire en direction de notre voisin Ryanair. Il serait dommage qu'un passager débarquant soit happé par notre avion en pleine manœuvre.
On roule jusqu'au seuil de la piste puis décollage

Sur notre droite, on peut apercevoir le sommet de l'Etna

Le soleil se couche à l'horizon

Comme pour l'aller, nous avons droit à une collation, vu l'heure, c'est plutôt un repas froid

C'était salade de carotte-céleri, puis sorte de taboulé avec un morceau de saumon, un fromage frais avec du pain et en dessert, une tartelette frambroise. Rien d'exceptionnel mais correct.
Après un petit 2h30 de vol, on atterrit à Orly de nuit, d'où le manque de photos corrects (trop de photos floues)

Petite chose qui m'a bien plu : à l'atterrissage, des passager se sont mis à applaudir et la chef de cabine a réagit avec humour :"Mesdames, Messieurs, je vous rappelle que le pilote est payé pour ça. Cependant, vous pouvez remercier l'équipage pour le service durant ce vol". J'étais tout à fait d'accord avec elle.
A Orly, il nous faut rejoindre la salle des livraisons des bagages en traversant le hall des départs. Pour accéder aux tapis, il faut scanner notre carte d'embarquement.
La livraison prendra du temps, de plus, il y avait 4 livraisons simultanée sur le même tapis.
Voilà pour ce vol retour. A la prochaine, pour un autre vol …