Avis du vol Air France Paris → Copenhagen en classe Economique

Bonjour,
Un petit week-end au début de l’été à Copenhague.
La destination est très prisée à ce moment, le 23 c’est la fête du solstice d’été j’ai un peu de mal à trouver un hôtel pour 3 nuits au même endroit du vendredi soir au lundi matin. Donc on dormira près de l'aéroport à l'arrivée avant de rejoindre le centre ville samedi matin.
Pas de souci pour les vols, ce sera Air France pour les horaires qui permettent de prendre l’avion après le travail, ce qui n’était pas possible avec Norwegian ni Easyjet. Le prix de SAS m’a dissuadé.
Donc vendredi 24 juin, un peu groggy après le Brexit anglais, direction Roissy en fin de journée.
Notre vol AF1350 est prévu à 21 heures du terminal 2F de Roissy Charles de Gaulle.
C’est vendredi soir, on prévoit un peu large niveau circulation. On ne sait jamais.
Arrivé à CDG vers 19 h, impression des cartes d’embarquement et étiquette bagage, il y a un peu de monde en zone 6. Ai acheté supplément bagage pour 1 valise. Nous avons l’intention de faire quelques achats.



Direction la dépose des bagages
Pas d’attente à la dépose automatique des bagages. A noter que de nombreux postes ne fonctionnent pas. Pas totalement au point. Une valise est restée sur un tapis, j’en fais part à un agent qui visiblement ne l’avait pas vu.




On rejoint le centre du hall pour le PIF. Pas d’attente à ce moment de la journée




Une vérification poussée de l’ordinateur. Un questionnaire à la sortie du PIF




A gauche toute, direction les portes 21 à 37.

Un arrêt à la nouvelle table numérique Aéroport de Paris pour scanner la carte d’embarquement, en vain, l’appli a planté sur mon smartphone, même en la désinstallant puis téléchargée à nouveau (ai échangé via le formulaire de contact sur le site pour la prise en compte de mon passage, qui a été faite rapidement)




Pause repas à l’entresol fort encombré chez Exxi, au prix toujours aussi élevé. Heureusement c’est assez bon. Par contre, difficile de trouver une table pour diner.

Ensuite, on se repose quelques instants près de la porte 27.



A l’occasion de l’Euro et des J.O., des écrans avec retransmissions des épreuves ont été installés près des portes, sous le parrainage d’un célèbre soda rouge. Il y en avait également de très grands à l'entrée du terminal, près de la porte 14.
J'aime bien cette couverture surtout sous cette lumière de fin de journée de printemps.




Cette fois je n’oublie pas la photo corporate de la home du site avec ma tablette grand écran mais pas anti reflet.




Embarquement vers 20h44, pas sûr de partir à l’heure.
Et non, FAware m’informe de 10 minutes de retard.

J’adore ce moment. Notre A319 est immatriculé F-GRHY, de novembre 2001.




Direction la rangée 15, attribuée par la machine.
Ah le siège a été marqué comme si c’était un label de qualité sur un cuir véritable. Mais j’en doute. Je vous laisse à vos interprétations




Non je n’ai toujours pas grandi, pas de souci pour moi.
Parfois en lisant certains d’entre vous avec vos mètres quatre-vingt dix et plus, je compatie




Certes le siège n’est pas de dernière génération, mais il est confortable. Il y a un porte gobelet et une patère. Ce n’est pas souvent que j’en ai vu. Et puis le vol dure environ 1 h 30 et pas de 2 heures de plus dans cet avion qui va parfois à Moscou et Istanbul.




Test Horatius. OK RAS




Le contenu de la pochette avec la littérature du mois et la carte d’embarquement.




La double page de la flotte AF afin que je sois à jour et puisse voir l’évolution à chaque voyage.



Vue à droite


L’embarquement se poursuit




Je regarde si la situation a changé.



C’est parti. Le commandant prend la parole, annonce un vol d’1 h 23 et l’itinéraire . Puis le chef de cabine se présente et annonce les langues parlées à bord ce soir : espagnol, italien en plus du français/anglais mais pas danois.

Tiens mais qui vois-je ? On aimerait bien voir cette bosse synonyme de wifi plus souvent.



Un peu tour de campagne pour rejoindre la piste




Décollage au soleil couchant




Une demi-heure plus tard distribution d’un wrap au choix jambon crudités ou fromage que j’accompagne d’une bière d’une ville près de laquelle nous passons.




Comme c’était le dernier vol du jour, le steward repasse avec son panier en proposer à ceux qui en voulaient. On décline cette honorable attention.

Beaucoup de nuages sur le parcours, pas de photos.

Nous arrivons dans la grisaille et quelques turbulences. On ne voit pas grand-chose, pas bien vu le pont de l’Oresund qui va en Suède.
Selon FlightAware nous sommes partis à 21 h 20 et arrivés à 22 h 39.




Pas grand monde à cette heure.




L’aéroport est désert. Maquette .




Notre avion depuis la salle. Il y a des toilettes dans cette salle près des portes




Grande promenade pour rejoindre le cœur de l’aérogare.




On descend d’un étage pour rejoindre la salle de récupération des bagages.




Il y a une indication du temps d’attente avant la distribution. C’est fidèle. Pas de contrôle en sortant.



Affiche d'un quartier plutôt cosmopolite que nous avons visité pour la première fois (parc, murs peints, une rue commerciale avec bons restaurants et boutiques dont une spécialisée dans les caramels)





Direction l’hôtel Hilton de l’aéroport, à 3 minutes à pied, très bien indiqué depuis le terminal pour une nuit bien confortable.

Le lendemain matin, on passe à nouveau par le hall de l’aéroport pour acheter la Copenhaguen Card (un peu cher mais permet d’accéder à pas mal de chose dont le train / métro jusqu’au centre-ville, 1 entrée par jour au parc Tivoli, tour en bateau, musées….)

Affichage complet à la porte de sortie de l’hôtel




Exposition photo dans les couloirs menant de l’hôtel au terminal 3




Peu courant de voir des cyclistes en tenue dans un aéroport.
En fait, ils prenaient le train pour la Suède dont les quais sont au niveau inférieur du terminal




A bientôt