Dernier tronçon de mes voyages entre la France et la Côte d'Ivoire en 2016. Archive, quand tu nous tiens. Au moins ça vous changera un peu de mes recettes de cuisine franco-italiennes! Trêve du weekend. Mais vous ne perdez rien pour attendre, fidèles lecteurs! ^^
Les autres récits d'Afrique sont lisibles ici:
✈ CDG-ABJ AF702 DÉCEMBRE 2016 --- À Abidjan, il y a l'océan?
Fin de ma dizaine de jours sur place. Je me prépare mentalement à retrouver la froideur d'un climat bien hivernal. Les moustiques vont pleurer mon départ. La veille, j'effectue mon enregistrement en ligne. Pas moyen d'avoir le BP dans le wallet de l'iPhone pour le premier tronçon. J'imagine que l'aéroport d'Abidjan n'est pas équipé de lecteurs idoines.
Va pour le pdf. On imprimera la vraie carte à l'aéroport!
Le jour J, nous négocions âprement un taxi. J'ai même un peu honte du prix que nous arrachons mais il vaut mieux garder l'argent pour remplir nos réservoirs que celui de la guimbarde qui transportera nos illustres squelettes! La voiture devant nous a fait la route depuis le Nigéria. Une trotte!
Arrivés dans la zone aéroportuaire, mon père, un copain Congolais résidant sur place et moi-même établissons notre QG au ministère de la mousse, le Dagoland. Nous sommes connus sur place et avons nos repères! Au passage, c'est Brussels Airlines que l'on voit décoller pour Monrovia ou une quelconque autre ville dans le coin.
Les "maquis" du coin (gargotes ou restaurants plus ou moins bien organisés) sont fréquentés par les employés travaillant sur la zone aéroportuaire et les connaisseurs. Beaucoup d'Ivoiriens bien sûr mais aussi pas mal d'expats s'y retrouvent après le travail pour boire un verre ou manger un morceau. Ce soir, c'est un groupe de Sud-Africains bruyants et joviaux qui squatte une autre table. Nous trinquons avec eux.
La nuit tombe vite en Afrique et je décide d'aller voir la situation dans le terminal à l'approche de l'heure officielle d'ouverture des comptoirs d'enregistrement. Ce serait cool de pouvoir laisser mon bagage dès maintenant.
Pas de chance, il y a un monde fou. La queue commence avant même d'entrer dans le terminal. Pas la peine de s'éterniser, je reviendrai plus tard. De toutes façons, j'avais choisi mon siège à l'achat du billet. Seul regret, ne pas avoir trouvé de place au pont supérieur pour le retour. Me revoici au maquis. "Déjà fait?" me demandent-ils? Non, beaucoup trop de monde, l'idée de faire la queue pendant des heures ne m'enchante pas et je préfère finir ma bière ici. Nous avons le temps; Commandons à boire!
En attendant la bière, un contrôle radar du copain Mérou avec qui je dois naviguer ce soir s'impose.
Mon père a profité de mon absence pour se commander un steak frites et d'autres victuailles pour nous. On ne voyage pas l'estomac vide, qu'il a dit. Ben voyons! C'est surtout une bonne excuse pour boire de la bière qui devra accompagner tout cela. De toutes façons, comme nous avons tous fait l'impasse sur le déjeuner et que mon dîner maritime risque de ne pas arriver de sitôt, autant se restaurer avant le départ. D'ailleurs la bière se commande une à la fois en Afrique si on veut la boire bien fraîche. La bouteille d'eau serait plutôt là pour décorer…
Le temps passe vite et bien. Et Mérou? Il est où, Mérou? Le voilà dans la banlieue nord d'Abidjan en pleine phase d'approche.
De notre position, nous voyons bientôt les lumières d'approche de l'avion puis l'entendons freiner à grands coups de reverses sur la piste 21 d'ABJ. Mon père me demande si j'ai contrôlé ma météo. C'est qu'il a été pilote dans le passé. Alors, un coup de TAF METAR. Que c'est beau la technologie!
Ce soir, un peu de turbule à prévoir après le décollage. Tant mieux, j'aime ça! Finalement vers 20 heures 30, nous quittons notre port d'attache. Je déteste rentrer dans le moule mais plus le choix, il va falloir faire la queue. Il reste encore beaucoup de monde mais bien moins qu'avant. Je me renseigne quand même sur la raison inhabituelle de tout ce monde. La vol de la veille a été annulé pour cause de panne de l'avion et les 400+ passagers du Boeing 777-300ER sont à gérer ce soir. Rajoutez notre A380 et les pax de l'A340 qui part peu après nous, ce seront donc trois long-courriers d'Air France sur le tarmac d'Abidjan en simultané. Plus un A330 Corsair pour Orly et un autre de SAA pour Jo'burg, le TK pour Istanbul en 739 sans parler des vols Air Ivoire. Un joyeux boxon!
Photos volées. Pas envie de me faire gronder ce soir par la milice qui veille au grain.
Les Africains voyagent rarement léger!
Nous entrons finalement dans la vraie zone de check-in. Il y a encore un contrôle à passer.
Pendant que nous serpentons, j'aperçois la machine infernale. Il s'agit d'un scanner de passeport. Il est connecté à une base de données mais surtout, il récupère toutes les informations de chaque passagers. Ceux qui seraient tentés de tricher sur leur identité une fois arrivés à Paris seront facilement identifiables. Pas moyen de faire une meilleure photo que celle-ci.
Enfin! Ça va bientôt être à moi.
Mon enregistrement sera rapide, une seule valise. Mes sièges pour Paris et Milan sont confirmés et je ressors avec ma carte d'embarquement. Il ne reste plus beaucoup de temps avant le départ. Je sors en vitesse pour les derniers adieux. Mon père me demande: Tu reviens quand? Ma réponse, cinglante comme d'hab! La prochaine fois, pardi! Pour Noël? J'en doute, je laisse ma place au Père Noël, il sera mieux en A380 que dans son traîneau! D'ailleurs, c'est ambiance de fêtes de fin d'année comme en témoignent les décorations sur la façade du terminal.
Re-contrôle pour entrer dans le terminal. Je fais voir ma carte d'embarquement et mon passeport puis je file vers les escaliers mécaniques et l'étage où se situent les contrôles PAF/PIF. Je me dis que pour montrer pattes blanches autant de fois dans un aéroport d'Afrique Noire, il faut une sacré dose d'humour, ou de patience.
Juste après, c'est le PIF qui permet de déboucher sur le duty-free. L'Afrique n'est point épargnée par cette manie. Je claque mes derniers francs CFA dans une petite statuette, un masque africain de toute petite dimension pour ma compagne puis je rejoins la porte d'embarquement. Celui-ci est en cours mais ils peuvent m'attendre. Un fumoir est disponible, à l'air libre. Maigres possibilités de spotting, de toutes façons, ce n'est pas une activité très bien perçue dans ces contrées. Retour vers les portes d'embarquement. Ça y est, c'est mon tour. Mon BP ne bippera pas. Les classes avant sont complètes. De toutes façons, j'ai mon siège qui m'attend tout au fond.
Avant de rentrer dans le ventre de la bête, quelques derniers clichés volés.
Hop, dans le cordon ombilical en bon dernier!
Point de resquille cette fois, le repose-séant est libre. D'ailleurs, nous sommes deux pour une rangée de trois. Excellent!
Le pas(tèque)
Le test aumônière. C'est propre.
Tentative de spotting. Pas évident entre le double vitrage, la lumière en cabine et la semi obscurité extérieure…
Tunisair en partance pour TUN (avion Nouvelair)
Le 340 compagnie qui vient d'arriver de Lomé.
Il est déjà minuit dix. Ce sera encore un peu de retard au départ d'Abidjan ce soir. L'embarquement est terminé, pour gagner du temps, la vidéo concernant la sécurité à bord est lancée avant le repoussage.
Au nom de toute la compagnie Air France, nous vous souhaitons un excellent vol. Merci, promis, pas de cochonneries dans les toilettes!
Repoussage puis mise en route des quatre moteurs. Le taxi sera rapide. Peu d'attente et nous voici déjà en bord de piste 03/21.
Nous remontons direction la raquette. Ce soir, le décollage se fera face au nord. Quelques minutes précieuses de gagnées certainement. Cela permet un peu de spotting. Pas terrible comme résultat en raison des conditions citées plus haut. On y apercevra quand même le 777-300ER d'Air France qui assurera le vol AF703Bravo.
Ainsi que l'A330 de Corsair qui a fini son embarquement pour Paris Orly.
Le revoici d'ailleurs une fois son push-back complété.
Briefing du CdB qui nous détaille la route, nous remercie d'avoir choisi Air France et invite les PNC à s'asseoir pour le décollage.
L'appareil est positionné dans le bon sens après son 180 en bout de piste, les freins ne seront lâchés qu'une fois les moteurs bien lancés.
Ça vibre de partout, la vitesse augmente puis, finalement, c'est vers le ciel que nous pointons. Des turbulences pendant la phase initiale en raison de la présence d'un orage au-dessus d'Abidjan. Il faudra attendre un petit peu plus avant de voir l'équipage libéré. Cabine en mode nuit.
Cabine qui sera vite éclairée en un agréable moodlighting orangé. Les rideaux sont tirés, les plats sont réchauffés.
Les menus sont distribués ainsi que les casques. Je ne les accepte que pour la forme. Les lumières seront allumées le temps du repas. Tant mieux, j'aime voir ce que je mange.
Où en sommes-nous?
Je constate que le siège a moins bien vieilli que moi…
L'apéritif sera servi en même temps que le repas sur ce court vol. Jus d'orange pour me désaltérer. Des bulles pour continuer et du blanc pour accompagner la suite.
C'est d'ailleurs un vin blanc quasiment franco-sarde! Ça me rappelle la maison. J'aime assez ce mélange de cépage même si il est peu aisé de l'apprécier dans son format "avion"…
Comme à l'aller, j'ai pré-commandé un menu spécial. Si mon choix de repas "Océan" du vol CDG-ABJ prévoyait une marmite de poissons à la Dieppoise, j'imagine qu'au départ d'Abidjan, la touche normande sera plus difficile à réaliser.
J'aime assez l'idée de décliner les plats en fonction de la cuisine du pays de départ; un peu moins quand mon steward l'oubliera dans le four. Du coup, je ne suis pas servi en premier (crime de lèse majesté!) et mon poisson est un peu trop sec. Dommage. Mais comme je ne suis pas (aussi) chi@nt que ça et que je suis encore un peu en mode vacances, je pardonne mais n'oublie pas. La prochaine fois, je ferai usage du bouton d'appel si je ne vois pas mon Dieppois rappliquer dans les temps ;-)
Une fois retirée l'opercule, ça donne ceci. Riz aux amandes et daube de courges accompagnent le poisson dont le nom est de circonstances. Le pain est servi à l'endroit cette fois et le verre est propre ^^.
Et à propos de verre, santé!
Les crevettes sont aussi bonnes qu'à l'aller. Coriandre bien dosée. C'est frais et c'est réussi. Sans aucun doute, une très bonne option dans la gamme des menus éco chez AF.
Le steward repasse dans les parages avec du pain pour ceux qui en veulent. Il en profite pour me présenter de nouveau ses excuses pour le retard dans la livraison du plat et me demande si tout va bien. Je lui répond que je suis plus satisfait par les crevettes que par le poisson qui, du coup, est un poil trop cuit mais que dans l'ensemble, tout était parfait.
"Puis-je faire autre chose pour vous?" me demandera-t-il. "Oui, j'aimerais goûter le vin rouge avec le dessert." Illico presto, il part me chercher ma dosette de tanin. La fin des agapes approche et c'est en bleuté que nous finirons le dessert. Les yeux piqueront moins.
Le Merlot enlèvera sa note trop sucrée (à mon goût) à un dessert qui tient quand même la route. La cabine passe rapidement en mode nuit, les lumières sont éteintes. Café et digestif proposés et acceptés. Ration de cognac et poire histoire de faciliter la somnolence. Pas de la grande liqueur mais ça fait passer le temps.
Je tenterai de regarder un film mais je ne suis pas franchement intéressé.
Je ne dors que rarement en vol de nuit. Les marchands désertent; ce n'est pourtant pas le sable qui manque… J'alternerai donc lecture, musique et géovision. De toutes façons, les paysages à cette heure.
Je finirai pas somnoler un peu, de guerre lasse. Quand je me réveille un peu plus tard, nous sommes encore en Afrique mais l'avion a avalé ses kilomètres.
Je passerai le reste du temps à écouter un peu de musique et suivre notre route.
Une fois quittées les côtes algériennes, nous prenons une direction plus à l'est que d'habitude. Nous remonterons la vallée du Rhône depuis l'embouchure.
Pendant ce temps, les PNC préparent le petit déjeuner qui sera servi un peu plus d'une heure avant l'atterrissage. Viennoiserie, eau et café. Simple et efficace.
Aperçu des premières villes.
Le début de descente est annoncée quelques minutes plus tard.
Rangement et débarras des déchets, l'équipage passe contrôler la cabine "en vue de notre proche atterrissage".
J'en profite pour suivre notre route avec la boussole de l'iPhone.
Nous avons pris un cap qui présage d'une approche en 26L
La météo en ce début décembre n'est pas meilleure au retour qu'à mon départ, une dizaine de jours auparavant. Ce sera purée de pois ici aussi. La caméra est activée mais la vue n'est franchement pas top.
On distingue un peu les lumières de CDG.
Plafond bas ce matin! Et des turbulences en finale.
Atterrissage pas trop rude, nous quittons la 26L pour aller traverser la 26R et aller à notre point de parking au 2E.
Roulage assez rapide, le trafic est fluide ce matin.
Une fois parqués au 2E Hall M, tout le monde se lève. J'attends patiemment mon tour et sortirai en dernier de l'appareil. Nous avions récupéré une partie du retard en vol. Au sol, ce sera une histoire différente. Dernier regard sur la machine du jour.
Il faut remonter par un escalator, il parait qu'il y a des amateurs…
Et le hall M a l'air bien vide à cette heure-ci.
Direction PAF/PIF bien chargés via LISA puis le 2F pour mon vol de continuation vers Milan Linate. Ce dernier pourrait faire l'objet d'un FR séparé. J'ai une bonne dose de photos pour rédiger un truc concis. On verra! En attendant, je vous laisse dans la passerelle de Madame Katia!
Merci de m'avoir lu. N'hésitez pas à commenter voir critiquer (mais pas trop non plus, faut pas exagérer). Si vous avez aimé, mettez un Like en dessous sinon vous en mettrez deux!
À bientôt pour de nouveaux envols.
En bonus. Quelques autres photos d'Abidjan et alentours.
Et quelques lieux de culte que j'aime bien visiter. Une mosquée que je n'ai pu visiter faute de temps…et de bonne volonté de mon père qui n'est pas plus porté que moi sur la chose spirituelle. Les spiritueux, c'est une autre histoire!
La cathédrale, que je vous avais présenté brièvement lors du voyage estival avec mon gamin. Pas goûté le vin de messe. Dommage. Comptez les câbles en acier, ils sont sept, comme les pêchés capitaux. Pas les mêmes architectes qu'à CDG apparemment!
De superbes vitraux et mosaïques italiens ornent cette élégante construction.
Elle ressemble vraiment à un éléphant couché. Symbole de la Côte d'Ivoire.
On peut monter voir la ville d'en haut…à pied. L’ascenseur ne fonctionne plus. L’obole versée servira à sa réparation, dit-on.
Vue sur le Plateau depuis une hauteur de 55 mètres.
Pour finir, peut-on réellement commander un menu Océan sans y mettre les pieds?
Merci pour ton FR,
Une cabine d'A388 qui commence deja a faire légerement vintage a mon avis, mais le catering est correct.
ABJ comme CDG sont 2 cauchemars....a prendre avec beaucoup de patience!
Merci et bonne journée a toi!
Hello Benoit. Merci pour le com'. En effet, totalement enchanté par le catering. Cette option payante est moins chère que quoi que ce soit d'autre dans les aéroports et la qualité est au rendez-vous. Ça change du menu classique Y d'AF.
Merci pour la lecture!
À bientôt!
Bonjour Guillaume :)
Merci pour ce moment de littérature toujours aussi agréable.
Je constate qu'ABJ n'a guère changé depuis mon passage en 1998 lors d'un séjour à Assinie ^^ ... tous ces gros porteurs à faire partir dans le même créneau, ça en fait du monde !! Heureusement qu'il y a votre buvette préférée et que vos accompagnants ne vous ont pas "abandonné" devant l'entrée du terminal :)!
Un bon vol dans l'ensemble avec une prestation qui semble bonne. Dommage pour le poisson qui ne supporte pas de prolongation au four :(
Vous deviez être bien fatigué à l'arrivée sans pouvoir dormir à bord ?!
Merci pour le clin d'œil ;)
A bientôt.
Katia
Bonjour Katia. Je reviens très tardivement sur le site. Toutes mes excuses les plus plat-inum;-) Fin de ma période de procrastination? En tous cas, merci de la lecture et des commentaires. ABJ avec tous ces gros porteurs, c'est effectivement peu agréable, comme tous les aéroports en période de forte affluence.
Assinie, quel bel endroit! La prochaine fois, j'y passerai. C'est bien mieux que Grand Bassam.
J'ai mangé de bien meilleurs poissons sur place que lors de ce vol. Je reste quand même fortement impressionnée par la qualité générale du menu Océan. Du coup, faute avouée...
Dormir dans un vol de nuit m'a toujours été impossible, y compris en J. La seule fois où je me suis écroulé c'était lors d'un retour de DXB. Prestation événementielle non-stop avec très très peu de minutes de sommeil en l'espace de trois jours sur place.
Attention, des clins d'oeil, il y en aura d'autres. Monsieur va être jaloux!
À bientôt!
Guillaume
Merci pour ce FR !:)
Bon, les infrastructures à ABJ s'avèrent vite dépassées par les événements lors d'une soirée chargée comme c'était le cas le 11 décembre...
À bord, la cabine de l'A380 est connue et reconnue, mais je peux comprendre que tu préfères cet appareil aux 77W Best.
C'est une bonne chose qu'AF ait généralisé les menus payants élaborés au départ des escales. Ce plateau Océan, dans son ensemble, me donne une très bonne impression même si le poisson a été victime d'une sur-cuisson qui lui est préjudiciable...
Ceci dit, le menu basique ne me paraît pas trop mal non plus.
Le Steward, un peu tête en l'air, a bien rattrapé son erreur par la suite ! On peut mettre ça sur le coup de la fatigue engendrée par un vol red-eye...
Merci pour le bonus ivoirien et à bientôt ! :)
Hello et merci pour la lecture. J'ai beaucoup de retard à rattraper.
ABJ pas assez grand, c'est un fait. Heureusement que les équipes au sol ont fait leur boulot correctement et que tout le monde est parti sans trop de retard.
Autant les 777 me plaisent, si j'en ai la possibilité, l'A380 sera toujours mon appareil de prédilection. Tant qu'Airbus ne mettra pas en scène ses horribles inventions pour rendre ces avions de moins en moins confortables.
Menus payants disponibles dans toutes les escales, au pire, là où les cuisines locales ne peuvent suivre, les plateaux voyagent réfrigérés depuis CDG pour le retour.
"Ceci dit, le menu basique ne me paraît pas trop mal non plus." -> Il n'est pas trop mal non plus mais ça reste quand même un esprit cantine scolaire (cf mes autres FR sur cette même ligne). Par rapport à d'autres compagnies, l'offre tient la route.
"Le Steward, un peu tête en l'air, a bien rattrapé son erreur par la suite !" Dédommagement en liquide toujours apprécié!
Content de voir que le bonus couleur locale ait plu.
À bientôt!
Merci pour le FR :)
Je suis très interrogatif sur la légalité de la valise "scanner à passeport". Autant le recueil de certaines données est parfaitement autorisée par le droit français (et peut même être obligatoire pour les compagnies), autant le recueil d'une photo du passeport me semble requérir l'autorisation de la CNIL française (la compagnie est française et la finalité du traitement est une utilisation en France)...
Un tel scan par la police française est parfaitement légal, par une compagnie privée c'est autre chose :)
Mes travers de juriste tatillon :) :) :) :) :)
Merci pour la lecture et le com'. En effet on peut se poser quelques questions quant à la légalité de cette fameuse valise mais comme le concept en soi ne me gêne pas, Je me suis vu photocopier le passeport à JFK il y a quelques années de cela. En ce qui concerne l'Afrique, le problème numéro 1 reste la lutte à l'immigration clandestine, les candidats ayant la fâcheuse tendance à faire disparaître leur passeport dans les toilettes peu avant l'atterrissage.
Merci de partager ces travers tatillons :-D
Merci pour ce FR.
Au moins le PNC se sera excusé de sa bévue concernant la cuisson. Un verre du vin de la J aurait été appréciable en guise d'excuse.
Le plateau océan qui est l'un des moins chers semble du coup offrir le meilleur rapport qualité prix.
Je n'ai pas pensé à "pousser le bouchon" jusqu'à demander un verre de J. Excellente idée que je ne manquerai pas de recycler si la mésaventure devait se reproduire. Je confirme que le plateau Océan est effectivement le moins cher de la gamme et probablement le seul que je commanderai la prochaine fois ayant éliminé la viande de mon régime alimentaire. Certes, l'assiette Italienne paraissait tentante sur le papier mais je connais suffisamment bien l'Italie pour savoir que les limites de la cuisine d'Outre-Alpes commencent dès le franchissement des-dites montagnes.
Merci pour le com!
Hello Guillaume
Ce troquet prêt de l'aérogare sert des plats consistants, une adresse à retenir !
Que de monde lors de la séance d'enregistrement...
Vol agréable avec un poisson trop cuit, le PNC a réagit de façon professionnel
Nous sommes deux à ne pas dormir à bord des avions, même en J j'ai du mal...
Bonus ou on ressent bien l'ambiance africaine, belle vue depuis le sommet de l'église et beaux vitraux aussi
"Les Eléphants" est le nom de l'équipe de foot national, on comprend pourquoi !
Merci pour ce partage, à bientôt !
Hello Hervé. Comme dit plus haut, entre procrastination, paresse et emploi du temps pro chargé, j'ai zappé les commentaires mais pas la lecture, y compris la virée à AYT. Je confirme que la zone des maquis le long du périmètre de l'aéroport est très avantageuse. Je ne connais pas meilleure façon de déguster bières et grillades en entendant le ronronnement de certains moteurs et en sniffant du Jet-A1 ^^
Dormir dans un avion, en vol de jour, c'est faisable mais de nuit, pas moyen. Et pourtant, les rations d'alcool devraient aider.
Merci d'avoir apprécié le bonus. La cathédrale est en effet magnifique. Même Neil l'avait aimée lors du précédent voyage.
À bientôt pour des vols plus classiques...
Merci Guillaume pour ce retour.
Sympathique soirée de prévol, et malgré cela une insomnie en vol.
Le menu océan est un bon moyen de relever l'agréable d'un vol en Y. Et l'absence de voisin est un accélérateur imbattable.
En tout cas heureux de voir, que l'A388 semble bien ancrer à ABJ maintenant.
Hello Mogoy! La soirée pré-vol eut été moins animée et surtout moins humide comme on dit par chez moi si elle s'était déroulée en solo dans le salon J d'ABJ.
Je me demande combien de compagnies aériennes proposent ce genre de menus en option sur de la Y. Ça fait un peu genre Book the Cook en (beaucoup) moins stylé mais néanmoins très agréable.
Pour la saison qui vient, ABJ aura droit au panache A388/B777 avec peut-être du 787. Bonne occasion d'y retourner.
À bientôt!
Guillaume
C'est dans le seul but d'attirer l'attention des lecteurs sur ce FR que j'ai attendu huit mois pour le commenter, sa présence aléatoire ce soir en une des FR des contributeurs Gold étant pure coïncidence :)
J'en profite pour attirer l'attention des lecteurs tardifs (c'est-à-dire lisant ce FR après moi, les 1354 autres pouvant être qualifié de précoces, voire précipités) sur le bonus qui ne pourra laisser indifférents les amateurs d'architecture sacrée.
Merci (ni tardif, ni précipité) pour le partage !
Je ne connaissais pas le concept de présence Gold. Après le doodle, j'en apprends à chaque fois un peu plus avec Marathon.
Un voyage qui m'a laissé d'agréables souvenirs. Un vol en A380 est toujours un bon moment, au-delà des cabines qui ne sont pas vraiment du dernier cri mais faut-il crier pendant un vol de nuit?
La cathédrale mérite une visite, certainement. Merci de la lecture...tardive comme l'arrivée de certains appareils!