Avis du vol entre Amsterdam et Vancouver en classe Affaires avec KLM

Bonjour à toutes et tous,
Deuxième étape de mon déménagement vers Vancouver, le vol transatlantique entre AMS et YVR.
Pour rappel, le routing est le suivant:
ZRH - AMS, KL1954, Economy
AMS - YVR - KL681 - Business (vous êtes ici)
C'est au pas de course que je me dirige vers le poste frontière, car j'ai encore en mémoire les paroles de la préposée au check-in à ZRH: il ne reste que deux places disponibles en business, et si je veux en profiter, je ferais bien d'arriver au lounge le plus rapidement possible.
L'attente est négligeable au poste frontière, deux personnes seulement se trouvent devant moi.
L'indication des lounge à AMS me laisse toujours autant perplexe, tantôt Lounge 25, tantôt Lounge 25 avec un logo KLM à côté… Pourquoi ne pas simplement indiquer KLM lounge?
J'arrive donc au lounge au pas de course et m'empresse de prendre un ticket dans la file pour parler avec un agent. J'ai à peine le temps de faire un passage technique aux toilettes que mon numéro est appelé. J'ai eu l'impression de griller la priorité à plein de monde, la sélection "upgrade for a flight departing today" + "Platinum" sur la borne au moment de récupérer mon numéro de passage m'a visiblement assigné un numéro prioritaire.
Je m'enquiers donc de la possibilité d'une upgrade, et il reste une place disponible. L'agente appelle je ne sais quel numéro pour confirmer la possibilité de vendre le siège, et la réponse tombe : le siège peut devenir le mien en échange de 389€ ou 15 000 miles. Je dégaine donc l'Amex. A partir de ce moment, il vaut mieux ne pas être pressé car la personne qui s'occupe de mon cas est encore en formation et il lui faudra plus de 20 minutes pour générer mon nouveau boarding pass…
Le taux d'occupation du salon est élevé, et il devient difficile de trouver une place.

Il me reste donc une quinzaine de minutes à passer au lounge, la sélection se limitera donc au mousseux et quelques salés.

Une tentative infructueuse d'imprimer des documents au business center plus tard (il n'y a pas d'imprimante connectée au PC…), je quitte le salon et me dirige vers la porte d'embarquement. L'embarquement a déjà commencé lorsque j'arrive et il n'y a personne dans la file Sky Priority.

C'est à gauche pour moi

Une fois en porte, le PNC a été perturbé pendant quelques secondes par mon boarding pass. Il était incapable de trouver le numéro du siège pour m'indiquer si je devais prendre le premier ou le deuxième couloir… Pourtant le boarding pass que j'avais en main n'avait rien d'exceptionnel : c'était celui affiché par l'application Air France sur Android (le numéro de siège avait bien été mis à jour dans les minutes qui ont suivies l'achat de mon surclassement).
Pre Departure Beverage : Champagne Nicolas Feuillatte pour moi. Je suis agréablement surpris, je m'attendais à du mousseux dans la lignée de celui du lounge, mais non. C'est bien du vrai Champagne qui est proposé.

La trousse de toilette est distribuée dans la foulée.

Le menu était déjà présent à ma place. En l'absence de distribution de presse, j'attaque donc la lecture du menu.

Diffusion des consignes de sécurité sur l'IFE

La taille de l'IFE est suffisante pour le recul dont on ont dispose, et la qualité est bonne. Cependant, j'ai l'impression que le logiciel bugguait pas mal sur la sélection des films. Il m'affichait une quarantaine de pages, mais le contenu apparaissait en boucle après 4 - 5 pages, et les films proposés n'étaient de loin pas les meilleurs… La sélection musicale est quand à elle d'excellente qualité à mes oreilles : beaucoup de DJ néerlandais !

Après le décollage, et une fois les PNC libérés, un oshibori piping hot est distribué.

Apéritif au chardonnay, pas mauvais, mais pas exceptionnel non plus.

L'entrée : quinoa au saumon. Je suis pas fan du quinoa en temps normal, ce n'est pas mauvais en soit, mais j'en mangerai pas tous les jours.

Le plat : filet de Hadock. Il n'est pas trop cuit, et le plat est bon. J'avais peur de trop sentir la noix de coco dans la sauce, mais ce n'est pas du tout le cas

Sorbet classé en dessert. Rafraichissant et bon.

Le pas est très bon.

Pour l'en-cas, je choisi la patisserie au chocolat et à la crème de Cointreau. C'est bon, mais galère à manger proprement sans en mettre partout. Il faut directement attaquer avec les dents, la cuillère ne permet pas de casser le biscuit en morceau sans risquer d'envoyer des morceaux dans toute la cabine.

Je fais un tour aux toilettes : ils sont propre.

J'essaye tant bien que mal de dormir, mais l'inclinaison du siège en position nuit n'est pas très confortable : j'ai tendance à glisser. J'arriverai à dormir environ 1h30.
Distribution d'un deuxième oshibori piping hot avant la deuxième prestation

Je choisi le hamburger et l'accompagne d'un coca. Ni le coleslaw, ni le burger sont bon. Le burger est particulièrement sec.

Le crumble aux pommes rattrape le niveau de cette deuxième prestation.

Juste avant l'atterrissage, les fameuses maisons sont distribuées. Je commence ma collection avec un modèle pris totalement au hasard.

Les formulaires de douane pour l'entrée au Canada ne sont plus distribués en vol car il y a maintenant des bornes automatiques à l'arrivée à Vancouver.
Mes deux valises arriveront parmi les premières.