Avis du vol entre Dubai et Nice en classe Economique avec Emirates

Rappel du routing

• AF 7701 NCE - CDG Reparti
• AF 0276 CDG - NRT Reparti
[*]AF 0291 KIX - CDG
Volontairement débarqué [*]AF 7712 CDG - NCE
Volontairement débarqué
• EK 0317 KIX - DXB Reparti
• EK 077 DXB - NCE SUIVEZ LE GUIDE

L'escale à Dubaï

Précédemment, après un bon vol sur le EK 317 en provenance de KIX et à destination de DXB, ville étape, je vous avais laissés là.

Nous avons atterri au Concourse B. Et du Concourse B au Concourse C, il nous faudra 20 minutes pour y aller.

PIF passé rapidement, nous voilà côté airside B.

Lors du check-in à KIX, j'avais demandé à l'agent si on pouvait surclasser en J uniquement pour ce tronçon, il me répondit de voir une fois à DXB. Je profite donc de mon temps d'escale pour aller au comptoir des correspondances pour faire une tentative.
Arrivé devant le bureau des correspondance, j'étais accueilli par des agents plus occupés à discuter entre eux que de s'occuper des clients. Même si une agente, un peu à part du groupe, a pu me renseigner, était pour sa part occupée à manger des friandises. Si le surclassement en J était possible, payer la différence tarifaire, à 2100€, je préfère encore garder mon siège. Ce passage était très décevant.
Direction la porte d'embarquement.

Le coin des poussettes pour les familles avec bébé.

Les travaux n'empêchent pas l'aéroport d'avoir un certain charme.

Passage devant l'ancien lounge de BA et des Emirates First et Business Class du Concourse C. Peut-être la prochaine fois pour le dernier mentionné.

Voilà A6-EUM, notre avion, qui se prépare pour son vol. J'avais très peu de doutes quant à l'appareil chargé de me ramener à la maison. Il faut également savoir qu'Il peut être ponctuellement remplacé par un de ses compagnons sur cette liaison.

Pré-embarquement lancé. DXB, se voulant un aéroport calme, aucune annonce n'est faite. Y compris le début de l'embarquement.

Le BP sur mon smartphone.

En attendant le feu vert, petit spotting avec notamment son voisin au départ pour IKA, un 777 BA et un 737 FZ. Je retrouve par ailleurs un vieux collègue, qui comme moi, fait son baptême de l'air en A380.

Embarquement lancé avec respect des zones de sièges. Puisque je suis assis à l'avant du pont principal en rangée F, je monte dans l'avion en tout dernier, ce qui m'arrange de toute façon… Passage dans une passerelle vitrée sale.

La minute porte pour Esteban, présentée par Aigle_voyageur ;)

Son autre voisin, A6-EWI qui part pour BSR.

Pas d'erreur, c'est bien lui. Et il voyage tout seul comme un grand :)

A bord

L'escalier qui mène au pont supérieur. Ce sera pour une prochaine fois.

Photo du cockpit, ni vu, ni connu.

A peine assis sur mon siège, direction la vigie, que j'admire pour la première fois (et certainement pas la dernière :D). L'écran est de bonne qualité et réagit rapidement, contrairement au vol précédent, qui était légèrement moins réactif.

L'espace. Comme pour le vol d'avant, personne n'occupera le milieu,

Test Horatius… ok.

La safety card spéciale A380 recto/verso.

Vue de la cabine, du hublot et des réacteurs 3 et 4 depuis mon siège avant de repousser. On donnera un casque mais étant de mauvaise qualité, je récupèrerai le mien en vol dès que la consigne des ceintures sera éteinte.

Le vol

On repousse. La safety video spéciale A380 est lancée en arabe et en anglais suivie de l'annonce de l'ICE, dans le même ordre. Les langues proposées sur l'ICE pour ce vol.

Spotting de cet A330 CX.

Au revoir mérou-land. C'est incroyable tous ces énormes oiseaux réunis en un seul lieu. :)

Le 100ème A380 d'EK, qui un jour, a remplacé le nôtre pour la même destination au cours de l'année.

Et c'est sous un incroyable silence que nous nous quittons DXB.

Quelques photos de la vue extérieure.

La carte des repas du vol est distribuée.

En attendant, je lance un film.

Le petit-déjeuner sera servi environ 1 heure après le décollage. Il sera une fois encore excellent. Comme pour les repas du vol d'avant, les couverts sont en métal et siglés.

Peu après, les PNC ordonnent à tous les passagers situés dans les premiers rangs de les baisser. Y compris ma rangée. Sans aucune explication. Et quand je regarde vers les rangées derrière moi que les hublots restent tels quels.
La deuxième prestation arrive en plein survol de l'Egypte. Le poulet du vol d'avant n'était pas terrible gustativement et comme je préfère largement le poulet à l'agneau, je laisse une chance au poulet avec un jus de tomate.

Santé !

Le déjeuner était tout aussi bon dans son ensemble mais le poulet était trop poivré à mon goût.
Un oshibori brûlant sera distribué à la fin du repas.

L'avantage d'être assis à côté d'un siège hublot, ça sert à prendre des photos du ciel et profiter du paysage extérieur. Et quand on voit que ceux des rangées derrière ne sont pas baissés, c'est pourquoi, même sans explications, je brave l'interdit et lève le hublot. Mais mon voisin m'ordonne de rebaisser. Je suis donc obligé d'ajuster pour satisfaire mon caprice et le sien.

Nous approchons des côtes italiennes.

On approche de la fin de notre vol. J'espère que nous allons atterrir vers la direction de Cannes…

En attendant, je m'obstine à rendre le ciel photogénique. Et comme l'équipage est resté dans les coulisses, j'ai donc la paix.

Raté! Nous atterrirons en direction de Vintimille. Derniers moments du vol sous un temps couvert. Nous passerons notamment au-dessus du cap d'Antibes.

Comme à l'aller, l'atterrissage se fera en mode crabe. La preuve en image.

Spotting de NCE plutôt varié.

Notre point de stationnement, inévitable pour un avion civil d'une telle envergure.

Arrivée au parking.

Nos voisins. Comme sur notre vol aller, nous arrivons à côté d'un schtroumpf de Hollande.

Si l'aéroport de Nice dispose de stationnements "réservés" aux gros-porteurs comme l'A380, ces parkings ne possèdent que seulement 2 passerelles. Dans notre cas, l'une s'amarre sur le pont supérieur et l'autre à la porte 2L du pont principal.

Salut A6-EUM! Tu as fait du bon travail. Au plaisir de revoler ensemble.

Les passagers F et J peuvent aller tout droit pour passer la PAF alors que les autres doivent descendre par un escalier à gauche.

Passage de la PAF qui commençait à saturer côté passeports européens, je passe donc du côté non Schengen, où les formalités seront expédiées rapidement. Ma valise sera livrée un quart d'heure plus tard.
Le replay de notre vol.

Bonus Japon futuriste

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Après vous avoir montré les charmes du Japon dit "de l'envers", il est temps de remettre les choses "à l'endroit" avec le Japon futuriste.
Le quartier d'Akihabara, quartier branché où se rassemblent les dernières tendances.

Un café à hiboux, chouette comme idée! :)

Le cosplay (pratique qui consiste à s'habiller et parodier un personnage de manga ou de jeu vidéo) fait partie intégrante de la culture futuriste japonaise. Si certains se contentent de s'habiller, d'autres vont vraiment à fond (la caisse)!

Le mémorial de Seiki Kuroda, célèbre peintre japonais ayant étudié dans le droit en France avant de se tourner vers l'art et de s'illustrer à l'exposition universelle de Paris en 1900. Une rue porte d'ailleurs son nom dans la ville de Grez-sur-Loing en souvenir de son passage.

Le Tokyo National Museum, qui, à son nom, évoque le British Museum. Ce qui est presque une coïncidence car en 1865, Machida Hisanari, le fondateur et le 1er directeur du Musée, visita Londres et s'inspira du célèbre musée britannique. Une stèle à son nom est placée au milieu du parc en son honneur.

Le quartier de Dotonbori à Osaka de nuit, souvent très animé avec ses ruelles colorées.

Les derniers mots de l'auteur

Ainsi s'achève cette "Grande Boucle" vers l'Empire du Soleil Levant, qui s'est révélé être un très beau voyage et qui mérite qu'on y retourne. Je vous remercie de m'avoir lu et j'espère que vous aussi, vous avez aimé ce voyage comme cette saga. Si c'est le cas, n'hésitez pas à laisser un like et/ou un commentaire. En ce qui me concerne, je vous dit à bientôt pour de nouvelles aventures.