Avis du vol entre Paris et St Denis en classe Premium Eco avec Corsair

Me voici sur le chemin du retour après un court séjour à Paris, écourté d’une journée complète, suite à une collision aviaire de mon vol aller.
C’est par le tramway T7 (ça va devenir une habitude) que je me rends à Orly Sud d’où opère la compagnie Corsair.
Vue d’Orly Sud et de l’autoroute qui conduit à l’aéroport depuis le tramway

Arrivé à l’arrêt Aéroport d’Orly du tramway T7, il faut environ 10 minutes de marche à pied pour atteindre la porte A – à droite de l’aéroport – où se trouve les nombreux comptoirs de Corsair.
Sur le trajet, il faut emprunter cette longue passerelle agrémentée d’un tapis roulant qui mène au terminal

Au bout du couloir, un coup d’œil sur le premier FIDS qui se présente

Mon vol est toujours programmé et prévu à l’heure à 21.20 h. Il est 16.46 h et l’enregistrement est déjà ouvert. Moi qui pensais que la compagnie les ouvrait environ 4 heures avant l’heure prévue de décollage. C’est tant mieux.
Il faut maintenant monter d’un niveau pour atteindre le rez-de-chaussée et je vais prendre les ascenseurs. Il y a des banques d’enregistrement aussi au sous-sol.

Il semble que l’accès aux comptoirs d’enregistrement ait été repensé depuis mon dernier passage !
Il y a maintenant une arche d’accueil avec des FIDS de chaque côté, bien gardé par des hôtesses et un maître-chien

Après avoir indiqué ma classe de voyage sans montrer quoi que ce soit, je me dirige vers les 2 comptoirs réservés aux passagers premium, les 126 et 127 où un grand tapis m’attend. Il n’est pas de couleur rouge mais il reprend la couleur grise des cartes Platinum du programme de fidélité de la compagnie

Il n’y a pas grand-monde à cette heure-ci

De nouveaux panneaux prioritaires à la couleur sobre

Il n’y a vraiment pas grand-monde à cette heure-ci mais il y aura bientôt une grande affluence dont je ne serais pas témoin cette fois-ci

La nouvelle signalétique est plutôt sympathique avec cette couleur sobre

Elle n’a pas encore été mise en place à RUN. Le sera-t-elle ?
Heureusement que je voyage en classe supérieure, vu le poids de ma première valise !

La seconde n’est pas loin derrière.
A l’heure de l’enregistrement, ma porte d’embarquement n’est pas encore connue. Il est juste mentionné A.
Les formalités étant accomplies très rapidement, je me dirige de suite vers le salon afin d’en profiter un peu. C’est toujours plus agréable que d’attendre dans les couloirs de l’aéroport. Pour y accéder, il faut monter au niveau 1 et prendre la direction des salles d’embarquement.
Ma classe de voyage me donne accès à l’accès prioritaire justement, Il se nomme Accès N°1 et sa signalétique est suffisamment voyante. Le parcours PIF / PAF (dans l’ordre) commence au niveau 1 et il faut monter encore d’un niveau tout de suite après avoir scanné sa carte d’enregistrement sur le portique.

Le salon Corsair se trouve à l’étage 2 sur la droite, bien avant de passer les contrôles PIF et PAF. C’est son inconvénient car si vous avez des achats de prévu, il faut en tenir compte car il n’est plus possible de revenir au salon après.

Me voici devant la porte d’entrée du salon Corsair

Il y a une sonnette. Une hôtesse vous accueille juste après la porte.
Comme je le disais dans un autre FR, ce salon occupe une superficie de 280 m² et est réparti en plusieurs zones. Parmi les prestations disponibles figurent l’accès WiFi, la presse quotidienne et quelques magazines, des téléviseurs, un buffet sucré et salé chaud et froid, des boissons soft, bières, eaux gazeuses et plates, vins rouges et blancs et champagnes ainsi qu’une machine à café/chocolat chaud.

Quelques vues du salon.
Le coin presse, à côté de l’hôtesse

Le coin buffet

Le coin alcool, au sein du buffet

Le vin rouge

Les vins blancs et champagne. Le seau est publicitaire et ne représente pas la marque de champagne servi.

Le champagne

Les vins blancs

A côté des alcools, des fruits secs et cake…

…ainsi que des macarons et chips, présentés là où il y a de la place

Les boissons soft et autres soigneusement préservées au frais

Des produits laitiers sont disponibles et quelques petites gâteries sucrées

Le coin solide, avec la machine à café et chocolat chaud…

… que nous allons examiner en détail.
La machine à boissons

Une tarte, enfin ce qu’il en reste

Du pain et de la viennoiserie. Il n’y a pas d’heure

Des mini-navettes fourrées qui se sentent un peu seul

Un taboulé et des accompagnements

Et des galettes qui trônent au sommet d’une tablette

Petit mot à l’attention de ceux qui sont allergiques à beaucoup de produits alimentaires

Un peu de publicité

La restauration s’enrichira de 2 nouveaux snackings, guère plus.
Où sont les différents jambons proposés auparavant pour manger avec le pain ? Seuls les fromages ont survécu.
Les tasses

Les plateaux

Poursuivons la visite du salon avec les différentes zones et différents fauteuils.
La place que j’ai choisi…

… avec vue discrète sur l’hôtesse

Les confortables fauteuils loveuses

Le coin PC avec des chaises hautes

Des canapés

D’autres canapés individuels

Encore d’autres canapés individuels

Une partie de la baie vitrée qui fait la largeur du salon… qui n’a malheureusement aucune vue sur un quelconque avion

Des canapés le long de la baie vitrée

D’autres chaises hautes…

… à côté du second FIDS du salon. Je sais maintenant qui a mangé la tarte du jour.

Vue du salon dans sa profondeur, depuis les baies vitrées

La même chose dans l’autre sens

Ma place

D’autres canapés de part et d’autres de ma place

Le plafonnier

Après une demi-heure de visite du salon, il est temps que je m’installe et me restaure.
Ma carte d’embarquement et ma carte bleue (pas la CB) bien visible qui m’ouvre les portes des accès rapides

L’offre culinaire n’étant pas très importante et n’étant pas l’heure du petit-déjeuner selon moi, je choisis ce qui reste, dressé par mes soins

Oui, il n’y a rien pour manger avec le pain (à part le fromage) mais j’en ai quand même pris un aux céréales.
Les couverts siglés

1 heure après mon arrivée, l’offre s’est légèrement étoffée avec 2 nouveaux plats

Je m’empresse aussitôt de les tester

Et pour terminer, encore 1 heure après

Ce n’est pas pour dire, j’ai quand même connu un peu mieux de l’offre de restauration de ce salon. Est-ce parce qu’il y avait trop peu de pax présents ? Une dizaine seulement, et pourtant les 2 classes premium seront quasi pleines avec 11 Affaires et 18 Premium. En tout cas, ce ne sont pas les hôtesses qui manquaient car 2 étaient affectés à la restauration et 1 à l’accueil.
A 20.30 h, l’hôtesse nous invite à accomplir les formalités PIF et PAF pour nous rendre à l’embarquement qui se fera en A21.
A cette heure-ci et comme à chaque fois que je rentre à La Réunion, il n’y plus grand monde aux contrôles PIF et PAF. Accès N°1 ou pas, c’est la même chose.

Il faut marcher pour accéder à cette porte presqu’au bout du terminal, et ne pas se laisser tenter par les duty-free présents… quoique, il faut que je fasse un arrêt ! Enfin plutôt 2.
Contrairement au terminal ouest, ici les magasins sont communs à tous les vols internationaux et il y a un choix assez intéressant.
Mon 747-400 m’attend au loin. Il est presque 21.00 h, je suis finalement resté que 20 minutes dans les duty-free.

Enfin des tapis roulants pour accélérer les pas

Depuis qu’Orly Sud a été rénové, le terminal est devenu agréable

Il y a même des coins jeux vidéos pour passer le temps.
L’embarquement est en cours mais il m’aura fallu moins d’une minute pour griller la politesse aux autres passagers. Ce qui est un peu embêtant avec Corsair, c’est qu’il n’y a pas de couloirs dédiés pour les passagers Premium. Il est juste indiqué au micro que ces passagers embarquent à leur convenance. Certes, mais ça fait toujours mal élevé de passer devant tout le monde pour embarquer et c’est pour ça que mon carton bleu est mis bien en évidence à la vue des hôtesses. Y a-t-il déjà eu d’autres remarques de passagers lorsque vous remontez toute la file en cours d’embarquement ? Probablement. En ce qui me concerne, mes oreilles se bouchent à ce moment.
Me voici donc parvenu au début de la passerelle. 2 portes sont prévues pour l’embarquement

La passerelle qui mène au 7ème ciel, enfin du moins à l’escalier donnant accès aux classes Premium

L’instant porte, 1L. Non, je ne me suis pas trompé de porte mais ce n’est pas celle qui donne accès tout de suite à l’escalier.

L’escalier qui mène…

Le pont supérieur, occupé depuis 2012 par la classe Grand Large présentée au fil du temps comme une classe Affaires et reconfiguré depuis septembre en une vraie classe Affaires prénommée Business de 12 sièges lie-flat et l’actuelle classe Premium Grand Large de 18 sièges au lieu de 36 auparavant

L’avion est plus rempli que pour mon vol aller, je ne pourrai pas m’y balader aussi aisément… et puis lorsqu’on est bien installé au pont supérieur…
Mon siège, avec le nécessaire pour la longue nuit fraîche, une grande couverture moelleuse et 2 petits oreillers ainsi qu’une trousse de confort plutôt bien fourni, un casque audio « anti-bruit » dixit la compagnie et une bouteille d’eau de 50 cl.

Avec le pitch infini

La classe Affaires en 2+2 juste devant. Elle semble étriquée dans cette partie du 747

L’instant porte

Comme je me trouve à une issue de secours, je me vois offrir de la lecture adéquate. Pour l’instant, je réponds encore aux critères.

Le siège du PNC me faisant face

D’autres lectures m’attendent sur l’accoudoir de mon siège

Quel est donc le menu de ce soir ?

Un coup d’œil à ce qui est prévu au petit-déjeuner

Pendant ma lecture, un verre de bienvenue m’est proposé sur plateau, soit du champagne, soit un jus de fruits, ou autre sur demande

Poursuivons la lecture avec le mode d’utilisation du siège un peu récalcitrant au niveau du repose-jambes depuis son installation et un bon de commande des produits duty-free, servis ensuite à la place

Et au verso, un rappel des quelques avantages de la classe Premium Grand Large et du programme de fidélité

De la théorie à la pratique, les 3 boutons de personnalisation de son siège. Toutes les actions sont mécaniques.

Le siège est inclinable à 126°, seulement je serais tenté de dire car il n’est pas toujours évident d’y trouver le sommeil, et hormis les sièges de la première rangée « issue de secours », l’espacement est de 117 cm, ce qui est bien.
En vis-à-vis, quelques boutons pratiques

La tablette et l’écran de l’IFE se trouvent dans le même compartiment

Voici la tablette en 2 parties

L’écran vidéo de taille légèrement plus grande qu’en classe économique

Le plafonnier

Ma tétière en cuir, ajustable dans 4 positions cela va de soi

De la presse au choix est distribuée sur chariot après que tous les passagers soient installés. Pendant ce temps, le CdB nous souhaite la bienvenue à bord et détaille les survols jusqu’à destination.

Et à 21.20 h (l’heure prévue du décollage), nous sommes prêts pour le départ et repoussons

A 21.25 h, cette fois-ci, c’est un PNC qui prend la parole et donne quelques autres détails du vol notamment le nom du capitaine, Eric BASSEAU, et la durée prévue du vol, 10 heures et 15 minutes. Puis les consignes de sécurité sur écran s’enchainent dans la foulée. Les PNC n’interviennent que pour montrer les issues de secours.
Après les consignes de sécurité, la pièce est placée dans le noir pour le décollage, juste avant que les PNC prennent place à leur siège. Il n’y a pas de mood lighting dans ces 747, donc c’est lumière genre néon ou rien.

A 21.35 h, le CdB annonce une petite attente de 8 à 10 minutes à cause des embouteillages.
Décollage à 21.42 h. En théorie, l’atterrissage devrait se faire aux environs de 10.00 h.
7 minutes plus tard, extinction du signal « Attachez vos ceintures », les PNC s’en vont à leurs occupations.
20 minutes plus tard, lorsque la lumière revient et que l’avion se stabilise à peu près, je procède à l’examen de ma trousse de voyage

Voyons voir son contenu

Elle est plutôt complète pour une classe Premium avec des chaussettes, un cache-yeux, des boules quiès, un peigne, une brosse à dent et du dentifrice, une crème hydratante et un brumisateur de la marque Avène, des mouchoirs papiers et des stickers « Ne pas déranger » et « Me réveiller pour le repas »

En cas de besoin pour nos appareils électroniques, des prises USB et électriques multistandards sont disponibles entre les sièges

A 22.00 h commence le service apéritif

L’IFE étant enfin disponible, voyons voir le casque audio proposé par la compagnie. Il est « anti-bruit » et très juste pour ma tête et mes oreilles ! Gageons qu’une tête plus grosse que la mienne qui est plutôt standard ne s’y sente pas à l’aise et que de plus grandes oreilles se fassent comprimer.
Dans son emballage, bien plié

Hors de l’emballage

Menu général de l’IFE

Ça commence mal ! Les menus affichés à la fois pour le dîner et le petit-déjeuner ne correspondent pas à la version papier

Les boissons chaudes proposées

Les boissons froides

La nappe est posée

C’est à mon tour d’être servi pour l’apéritif

N’étant pas un grand amateur de breuvages dérivés du raisin, mon choix se porte sur une bonne boisson gazeuse

Voici quand même ce qui est proposé à l’apéritif ainsi qu’au digestif

Et les vins et champagne proposés au repas

Un menu Prestige en 4 temps à 55 € est aussi maintenant disponible, avec caviar et homard à l’affiche

Voici notre position actuelle, l’apéritif a commencé à être servi depuis une dizaine de minutes

Comme je le disais dans de précédents FR, les informations données par la géovision sont… ce qu’elles sont.
35 minutes après le service de l’apéritif, le repas est servi sur plateau

Je constate que le protocole a changé avec l’arrivée de la nouvelle classe Affaires, le service qui se faisait en 2 temps – entrée et plat puis fromage et dessert – auparavant en classe Grand Large se résume en 1 seul service maintenant, avec une présentation simplifiée pour le fromage, mais toujours dans de la porcelaine.
Ce soir, le choix est donné entre un poisson et une volaille en plat principal et entre une salade de fruits et un gâteau en dessert. Mes choix se porteront sur les dernières. Voici donc la composition de mon plateau qui reste au demeurant bien fourni

En entrée, saumon fumé et mascarpone à l’aneth, lentilles Beluga crémeuse

Une cuisse de pintade sauce demi-glace et citron confit, gratin de pomme de terre, haricots verts et radis glacés en plat principal

Du Morbier et Comté en fromage

Et comme dessert, un truffon

Le tout est suffisamment copieux et de très bon goût globalement. Reste que la simplification du service et la présentation du fromage dorénavant réduite à sa plus simple expression, descendent un peu la prestation.
Couverts siglés en métal

Le temps est laissé pour apprécier et terminer le plateau. Je mettrais ¾ d’heure pour en venir à bout, en prenant mon temps bien évidemment.
Entretemps, les PNC passeront de nombreuses fois pour proposer du pain, du vin, de l’eau, du café ou un choix de thé bien présenté dans un coffret en bois ou toute autre boisson y compris le champagne sur simple demande.
Un oshibori chaud est servi individuellement à la fin

Avant de m’endormir, un petit tour aux toilettes s’impose. Propres elles sont car les PNC vérifient très souvent. 2 toilettes situées en avant du pont supérieur pour 30 pax plus les PNC affectés aux classes premium et les pilotes.

A propos des toilettes, est-ce que ces 2 toilettes sont pour tous les passagers des classes Premium ou uniquement réservées à ceux de la classe Business ? Je me pose cette question car 2 points ont éveillé ma curiosité : tout d’abord, la PNC – très professionnelle et très courtoise au demeurant - qui était assise en face de moi lors de l’ascension en profitait pour réviser ce que je pense être le protocole de service de la classe Grand Large et a demandé me semble-t-il à son collègue où se trouvaient les toilettes. Ce à quoi le collègue répondit par un geste en indiquant vers le bas. Je ne sais pas si je me suis trompé sur leur sujet de conversation mais si cela s’avère, je trouve regrettable de descendre du pont supérieur pour aller partager les toilettes de la classe Economie, vu le prix payé en Grand Large. Mon interrogation est d’autant plus forte qu’en descendant du pont supérieur à l’arrivée, une signalétique « Toilettes vers le bas » que je n’avais jamais remarqué était présente sur la descente ! Toujours est-il que nous avons tous utilisé les toilettes du haut. C’était ma réflexion existentielle du jour.
Revenons donc aux toilettes, ces produits de la marque Pure Altitude présente dans la trousse de confort de la classe Business ont fait leur apparition. Pour l’histoire, j’étais déjà allé inspecter les toilettes à mon arrivée à bord, par besoin. De gauche à droite, des lingettes démaquillant pour le visage, un déodorant, une crème pour les mains et un savon mains

2 savons mains, il y en a 1 de trop à mon avis

C’est maintenant ma pause syndicale pour presque 6 heures… de sommeil.
Et c’est après une bonne nuit de sommeil malgré le confort tout relatif du siège que je me réveille vers 5.15 h (heure de la métropole), soit 7.15 h à destination. Le Soleil est déjà bien présent

Et nous nous trouvons à cet endroit

Les indications de la géovision sont toujours partiellement erronées

Je me dirige vers le fond de la cabine pour me servir en boisson, et là surprise ! enfin ce n’était pas vraiment une surprise, l’emplacement pour le bar en libre-service a disparu car remplacé par 2 sièges de la classe Grand Large. Il faut dorénavant entrer dans le galley pour aller y chercher de quoi se rafraichir ou se sustenter mais comme les PNC s’y trouvent aussi… Sur ce, je demande un jus de pomme et la PNC m’invite à aller m’assoir et elle m’apporte ceci tout de suite avec le sourire digne des compagnies thaïlandaises et en plus avec un choix de snacking sucré et salé proposé dans un panier ! Est-ce uniquement cette PNC qui est aussi serviable ou alors la qualité du service a été rehaussée d’un cran ? A l’occasion, il faudrait que je teste à nouveau cette classe.
A 8.40 h, soit 1 heure et 20 minutes avant l’atterrissage, commence le service du petit-déjeuner

Mon plateau arrive rapidement, posé sur une nappe blanche

Et voilà où nous nous trouvons lorsque cet évènement survient

Les choix en jus de fruits

Mon choix s’est porté sur la proposition salé du petit-déjeuner

Œuf poché, béchamel au fromage, pommes de terre roesti et champignons

Avec du pain croustillant, le tout est très bon mis à part la viennoiserie juste correcte.
Pour ceux qui ont encore faim, il est possible d’avoir encore du pain ou des viennoiseries.
A la fin de mon petit-déjeuner 18 minutes plus tard

La descente est annoncée ½ heure avant l’atterrissage et intervient effectivement à 9.33 h. Le CdB annonce une température de 24°C à La Réunion, meilleure que le jour précédent.

Et 8 minutes plus tard commencent les consignes de sécurité

L’ultime annonce est faite par le PNC devant moi à 9.47 h…

… juste avant que le CdB annonce « PNC on a passé le niveau 5 ».
9.51 h, rotation à gauche, La Réunion apparaît pour les chanceux du côté droit de l’appareil, avec en premier la ville Le Port.
Atterrissage à 9.55 h.
9.56 h, le CdB : « Bienvenue… nous avons 19 minutes d’avance sur l’horaire prévue… vous pouvez d’ores et déjà enlever le mode avion… »
10.01 h, le CdB : « PNC dernier virage ».
Arrivée au parking à 10.03 h. Le vol AF 642, un récent 777-300ER sous les couleurs Skyteam, immatriculé F-GZNN, est arrivé quelques minutes auparavant. Il est âgé de moins de 6 ans et est équipé des derniers IFE mais toujours aussi densément configuré pour les lignes COI. D’après Airfleets.net, il serait équipé de 470 sièges en tri-classes ! C’est 2 de plus que les configurations COI que je connaissais.

5 minutes plus tard, la passerelle se met en place

L’espacement en Grand Large

A 10.11 h, je m’apprête à dire adieu au 747-400 et au revoir aux PNC. Je ne sais pas si je le reverrais un jour (le 747).

Les passagers du vol AF 642 attendent le début de la livraison de leurs bagages

AF 642, juste à côté du 787-8 UU F-OLRB

Venant de Paris et étant donc un vol domestique, il n’y a aucun contrôle à l’immigration.
C’est donc très rapidement que je me retrouve devant le tapis bagages, en à peine 2 minutes après la sortie de l’avion
La livraison des bagages est prévue au tapis 2

Les premiers bagages arriveront assez rapidement mais ce sera au compte-gouttes après. Les priorités sont à peine respectées. Il faudra que j’attende 6 minutes avant de voir ma première valise.
Et à 10.30, la boucle est bouclée.

A la prochaine.