Avis du vol entre Paris et Hamburg en classe Economique avec Air France

AFR

AF - Air France

Vol effectué le 10 juillet 2018
AF1710
12:15 01h 35m 13:50
Appareil Airbus A320
Classe Economique
Siege 6A
marathon
724 · 152 · 22 · 19

C’est un aller-retour professionnel vers HAM qui a peu de chances d’exploser les compteurs de vues, mais multiplié par la longueur de ce FR, j’ai mes chances au concours fictif de durée cumulée de lecture.
CDG-HAM : AF1710 (A320, éco) Vous êtes ici
HAM-CDG : AF1511 (A320, éco) C’est
Un vol vers le nord-est en milieu de journée : c’est à gauche qu’il faut être pour éviter un contre-jour. Le 3A est non disponible, mais peu importe, car je n’aime pas avoir le nez dans le rideau, et ce sera donc le 4A.


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AF n’a toujours pas renoncé à me vendre du vin que je ne bois pas et un accès au salon auquel j’ai déjà droit, et il faut passer par cette page de publicité pour s’enregistrer en ligne.


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Les plus attentifs de mes lecteurs ont remarqué qu’il y avait un diagramme de siège d’A319 dans la première copie d’écran, alors que je vous ai annoncé un FR en A320. Exceptionnellement, ce n’est pas une erreur d’identification, mais un changement d’appareil.


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Non seulement ce vol (ou bien le HAM-CDG qui suit) s’est mieux vendu que prévu, justifiant de remplacer l’A319 par un A320, mais la J sur ce vol s’est un peu mieux vendue que prévu (reste à compléter le rang, à 119 EUR de surclassement), et AF a chamboulé les choix de sièges derrière le rideau. Avant même de voir ce plan, j’avais sursauté, car je ne pouvais pas avoir choisi le 5F, du mauvais côté et aussi au mauvais rang : mes navettes suédoises m’ont appris que les hublots sont mal alignés dans les A32x d’AF au rang 5.


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Retour donc au 6A qui ne changera pas mes habitudes, car c’était généralement mon siège lors de mes allers-retours CDG-ARN.
(Si vous avez déjà lu l’intégrale de mes navettes suédoises, ne fermez pas ce FR prématurément, car il n’est pas exclusivement consacré aux charmes du siège 6A d’un A32x AF.)


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Même sans passer par la case dépose bagage, le minutage suggéré par AF ne permet pas de caser utilement un passage préalable au bureau, et permet a contrario un trajet sans hâte et économe des deniers de mon employeur, en RER.


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Il faut quand même compter sur un arrêt un peu prolongé pour admirer le début de la construction de la gare Grand Stade de la future Ligne 15 du métro.


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Et aussi sur le fait que ce RER est de manière impromptue terminus Aulnay sous Bois voie 5 : les PAX en direction de CDG sont priés de prendre le train suivant, voie 6 à droite sur le même quai.


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L’honnêteté intellectuelle m’oblige à reconnaître que le train suivant est arrivé au plus trois minutes plus tard et qu’il y avait de la place pour tout le monde à bord.


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La file toujours aussi interminable des PAX qui viennent d’arriver à CDG et se demandent pourquoi il n’y a pas d’automates de ventes de billets de RER dans les salles de livraison des bagages.


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Le FIDS bien connu de la gare CDG-Terminal 2


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Départ prévu à l’heure, ce qui ne prouve pas qu’il le sera


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Allégorie de l’avenir du transport aérien sous pavillon français : une jeune PNC Joon fait la course en tête devant deux PNC AF plus âgées.


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Repoussage d’un A320 Bulgaria Air ; au fond, un CS300 Air Baltic


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Finnair, Austrian Airlines, Air Serbia et Azerbaijan Airlines au contact au Terminal 2D.


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Non, Bakou n’est pas (encore) le lieu l’Expo Universelle de 2025 ; comme Osaka et Ekaterinburg, elle n’est encore que candidate.


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(Paris a retiré sa candidature pour l’Expo 2025 pour concentrer ses efforts sur l’obtention des Jeux Olympiques : la livrée de cet A320 vu un peu plus tard date de l’époque de sa candidature pour les JO 2024)


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A318 AF


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Arrivée au Terminal 2F


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Pas de bagage en soute : c’est direction Accès n°1, dont l’accès est contrôlé par ces deux employés.


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Franchissement rapide du PIF, malgré un peu de mauvaise volonté du lecteur de BP face à mon téléphone.


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Arrivée dans la jetée 1 du Terminal 2F


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Les bacs à presse offerte par AF sont largement approvisionnés


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En ce jour de demi- finale France – Belgique, la Une de l’Equipe était prévisible.


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A321 Joon


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Fin de repoussage d’un A320 Air Malta


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Arrivée d’un E-190 Embraer


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La collection hétéroclite d’empennages au terminal 2D (Air Serbia, Easyjet, Finnair)


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Deux sportifs en herbe (virtuelle)


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Test H2Okapi positif


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Descente vers le salon


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Ce n’est pas le va-et-vient incessant que j’ai connu plus tôt le matin l’an dernier


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Les bornes automatiques sont accueillantes de la même manière dans une douzaine de langues


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Non, je n’ai pas d’invité


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Un peu plus de presse qu’en zone airside générale, avec un assortiment de magazines


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C’est vraiment un creux dans l’activité du salon que je n’ai jamais connu ainsi


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Il est environ 10h30 : il y a encore le catering du petit-déjeuner qui sera remplacé par celui du déjeuner vers 11h. On notera qu’il n’y a pas de rupture de stock, alors que le marché est en train de disparaître pour ces viennoiseries.


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Le muesli est maintenant bio


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Descente au niveau inférieur


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… par cet escalier dont l’esthétique me rappelle le générique des films consacré à un agent secret britannique de fiction.


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Sans surprise, c’est encore plus vide en bas.


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L’espace situé à l’extrémité de la jetée a été réservée pour isoler un PAX en quarantaine sanitaire pour cause de détection du virus FB-Ultimate.


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Il sera sans doute chargé dans l’avion avec ce matériel de manutention ou dans un conteneur aérien, derrière la vitre en face ? Mieux vaut en tout cas protéger les autres PAX de tout contact.


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AF a vu large pour ce qui est du nombre de verres pour les amateurs d’alcool.


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Plus bas dans les étagères, donc moins alcoolisé, il y a ce cru


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Quel siège choisir ?


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Pas de grossophobie ici : le siège de gauche peut accueillir des PAX qui explosent les plafonds recommandés d’IMC.


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Quasiment pas de PAX, cela veut dire aussi quasiment pas de ménage : une employée passera balayer les miettes, mais ne touchera pas au journal et aux menus emballages abandonnés ici et là.


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Ces tables sont trop petites pour un plateau ET des affaires personnelles, quelles qu’elles soient. Mais si le salon est vide comme c’est le cas à cette heure là, on peut les déplacer pour en monopoliser deux pour soi, comme l’a fait ce PAX… et moi-même.


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On n’arrête pas le progrès, et il faut maintenant un téléphone pour prendre une douche.


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En revanche, il est toujours possible d’aller aux WC sans être joignable, et ils sont propres.


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Toujours pas de déjeuner en vue : je remonte d’un niveau où il est en cours de mise en place.


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Quelques A32x, en mode sourire pour servir la collation (Air France)


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En mode sans sourire, mais avec collation (Alitalia)


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Et en mode sourire pendant tout le vol, mais sans collation (Finnair)


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Au sol, il n’y a pas de sourire puisque c’est self-service, et c’est honnête sans plus.


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Le jour où Air France découvrira la richesse de la tradition fromagère de la France sera à marquer d’une pierre blanche.


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Malgré le nettoyage censé être en cours, cette machine me sert un café qui fera l’affaire.


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A cette saison, le gazpacho est le bienvenu, et je le trouve bon. La nourriture solide, elle, n’est ni chaude, ni exaltante, mais avec les 95 grammes à recevoir à bord, elle me permettra de tenir jusqu’au dîner à Hambourg.


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Il est temps de quitter ce salon, et aussi les déchets qui eux ne sont pas près de décoller du salon.


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Au niveau général, il y a désormais des prises électriques (secteur et USB) pour chacun.


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Ceci n’est pas la queue Skypriority, mais la queue qui s’est formée côté Skypriority.


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Les PAX ordinaires ne sont pas à blâmer : la signalétique SP est beaucoup trop peu visible. Dilemme pour un PAX SP : faut-il se mettre vers le début d’une queue déjà formée en doublant ostensiblement des PAX potentiellement SP, ou se mettre au bout de la queue la queue et guetter la fin apparente de l’embarquement SP pour remonter la queue ? C’est la deuxième option que j’ai choisie.
(La queue était tout aussi longue lors de mes navettes CDG-ARN, mais entièrement faite d’habitués qui avaient droit à l’accès SP).


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Le contrôle aérien mise sur deux minutes de retard au départ


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Instant porte, sans la porte cachée par la passerelle, et sans sourire ni salutation des PNC cachées derrière la porte.


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Le rang 6 (à gauche) a un hublot bien aligné. Le rang 5 a un hublot trop en arrière par rapport au siège.


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La cabine encore largement vide


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Instant F-OITN


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Prise USB en extrémité d’accoudoir


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La moquette est propre


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J’accorde une tolérance technique pour ce lien abandonné au fond de l’aumônière : test Horatius OK.


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Un espace de 22 cm entre l’extrémité du siège et l’aumonière : ce n’est pas généreux


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La fiche de sécurité recto-verso


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Fin d’embarquement : le siège milieu reste vide. Le siège au couloir aurait dû lui aussi rester vide, mais M. PAX16C s’est auto-upgradé, et j’ai d’autant plus de mal à lui en tenir rigueur que cet Allemand parle un français remarquable et s’amuse sans préjugé de mes prises de photos les plus incongrues.


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Le rideau entre les rangées 3 et 4


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Embarquement terminé, mais ce n’est pas pour autant que nous quittons le bloc : le CdB annonce qu’il faut décharger le bagage d’un PAX no-show.
(A318 AF, et A320 AF en livrée Skyteam)


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PNC aux portes, armement des toboggans, vérification de la porte opposée.
Le PAX no-show nous a fait perdre 11 minutes supplémentaires.


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A321 Joon


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L’autre face de l’A320 AF en livrée Skyteam


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Pas facile d’identifier un A320neo quand il y a autant de fouillis devant.


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A330 XL Airways


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777 El Al


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Tiens, le 777 Eva Air est stationné au large ?


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Norwegian a un 787 pour vous, que vous soyez plutôt attiré par Freddie Mercury (ci-dessus) ou Greta Garbo (ci-dessous).


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Ca ne saute pas aux yeux, à la couleur de la livrée, mais ce sont deux 737 ASL Airlines


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A320 Small Planet, stationné au large


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Il n’y a pas beaucoup d’appareils au Terminal 1 à cette heure là


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A320 Aer Lingus (livrée spéciale Green Spirit)


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A321 Wow Air


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A380 Thai Airways


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A330 Air China


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A380 AF et A321 Finnair


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Arrivée d’un 737 Turkish Airlines


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Il va attendre notre décollage piste 09R pour la traverser.


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L’instant BESMRS avec le triangle de Vémars


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… sur lequel voyage une UM qui a peut-être bien plus de 14 ans, cet acronyme n’ayant pas la même signification à la SNCF et chez AF.


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La couverture nuageuse cachera le paysage sur la plus grande partie du vol


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Il y a une collation, et c’est l’occasion de voir sourire les PNC


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Non, ce « roll » ne fait pas dix centimètres de diamètre


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… mais tout au plus 85 mm


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Voici un descriptif de ces 95 grammes de nourriture


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Je n’ai pas réussi à déceler le poisson, les mollusques ou les crustacés que pourrait contenir la pâte que je soupçonne de ne pas être très diététique. En revanche, j’ai un scoop pour vous : ce n’est nullement indiqué dans l’étiquetage, mais j’ai détecté la présence de tomate dans ce sandwich.


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La recette est bien gardée, dixit AF, et je n’encourage personne à chercher à la répliquer.


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Le salon ne fait pas honneur à la tradition fromagère française, ni cette collation à la tradition gastronomique française dans son ensemble. Mieux vaut en compacter les emballages et l’oublier.


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Un espoir d'identification du paysage au sol, par une trouée des nuages ?


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Gagné : voici Zwolle ci-dessous, qui permet à son tour de localiser Harderwijk ci-dessus, toutes deux aux Pays-Bas.


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La Baie de Jade, au nord de Brême


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Traversée de l’Elbe pour une approche de HAM depuis le nord


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La moitié des voies de l’autoroute n°7 est condamnée pour travaux de réfection


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HAM est enclavé dans des banlieues résidentielles très arborées


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Touché des roues à 14h55


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Vus de trop loin, donc pas très nets, un A321 Turkish Airlines au contact


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… et CRJ-900LR Nordica sur le départ


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Le premier 707 de Lufthansa, relativement récemment repeint à neuf.


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Dash 8-400 Eurowings


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A320 Eurowings


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Dernier virage… vers un stationnement au large. L’avion a rattrapé une bonne partie de son reatrd initiale, mais c’est mort pour être à l’heure à mon rendez-vous si je prends le S-Bahn : ça sera l’option taxi.


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Depuis le PAXbus, vue de face de l’A320 AF


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Et vue de profil


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Départ d’un A320 Bulgarian Air Charter


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Il découvre la livrée spéciale de cet A320 Eurowings.
(A gauche, l’arrière d’un 757-200 Icelandair)


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777-300ER Emirates


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737-800 Sun Express


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A321 Condor


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Le trajet en PAXbus est assez court, tout comme le cheminement dans la salle de livraison des bagages


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Bref arrêt pour tirer de l’argent liquide, le paiement par carte d’un taxi allemand étant réputé être laborieux


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Pas d’attente pour monter dans un taxi


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… conduit par un chauffeur qui rappelle que l’accueil de migrants ne date pas d’hier en Allemagne.


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Ca roule vite, ce qui me permet de faire mon check-in au Holiday Inn Express, et de découvrir cette chambre. Euh, il n’y a pas comme une erreur, là ?


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Passe de ne pas pouvoir créditer cette nuit sur ma carte IHG parce qu’elle a été prépayée par un autre établissement, mais ne pas avoir de siège parce qu’il a été transformé en lit d’appoint, non ! Ils auraient pu au moins lire la réservation qui ne mentionnait qu’une seule personne. C’est une excellente occasion pour dérouiller mon allemand à la réception et obtenir cette chambre à la place.


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… ce qui me permettra de commencer mon FR installé comme ceci, bien plus tard car il est l’heure de retrouver mes collègues dans le lobby.


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C’est la fin de ce FR qui a déjà commencé à tourner au bonus hôtelier ; si vous avez encore un peu de temps de lecture, je vous propose un petit bonus touristique car la saison et la latitude aidant, il a fait jour bien assez tard pour se promener ensemble dans le centre ville après avoir travaillé.


Contenu masqué : Cliquez pour afficher
Speicherstadt (littéralement « la Ville des Entrepôts »), la zone franche du port de Hambourg à l’époque, fut construite à partir de 1883 jusqu’au déclenchement de la première guerre mondiale. Massivement détruite par les bombardements de juillet 1943, Speicherstadt fut reconstruite dans le même style après la guerre, mais la conteneurisation lui a porté un coup fatal. Vers la fin du XX° siècle, c’était devenu un ensemble de gigantesques bâtiments abandonnés et infestés de rats.
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Au fond, un bâtiment remontant à 1888.
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Depuis sa réhabilitation à partir du tournant du XXI° siècle, ce quartier déjà classé monument historique a obtenu le prestigieux label de patrimoine mondial de l’Humanité.
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Ce bâtiment moderne est beaucoup plus haut, et donc beaucoup plus loin qu’il n’y parait de prime abord, car Speicherstadt fait un kilomètre et demi de long
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Quiconque aurait acheté quelques uns des bâtiments en ruine ici à la fin du siècle dernier serait riche aujourd’hui, car ce sont aujourd’hui des appartements de grand luxe qui bordent ce canal.
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Le bâtiment qui abritait la douane maritime, et aujourd’hui un poste de police.
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Le but de cette promenade vespérale, c’était la Philharmonie de l’Elbe, un spectaculaire complexe très haut de gamme associant trois salles de concert, un hôtel et des appartements, construit sur la base d’un entrepôt, et inauguré en janvier 2017. Le chantier a triplé son budget et sa durée, mais comme me l’a fait remarquer le régional de l’étape, l’ensemble est aujourd’hui en service, contrairement à BER.
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La voici sous un autre angle. Cette photo prise le lendemain après-midi depuis le clocher de l’église St Michel fournit une vue d’ensemble de ce bâtiment dans son environnement. On notera que c’est beaucoup moins l’heure que les conditions météo qui comptent pour la luminosité ambiante.
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C’est le plus haut bâtiment habité de Hambourg (la tour de la télévision est bien plus haute)
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Ce qui fut l’un des plus grands complexes d’entrepôts du monde est aujourd’hui une attraction touristique à part entière.
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Retour vers le centre avec l’hôtel de ville
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Il faisait encore clair à 23h, à la bibliothèque située à proximité immédiate de la gare centrale.
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Les alentours de la gare centrale de Hambourg, ce n’est pas du tout le quartier chaud de la ville, mais il y est possible de se glisser dans l’entrejambe d’une Allemande fort peu farouche. On comprendra maintenant pourquoi je m’accommode du pitch des A320 d’AF : j’ai vraiment de très petites jambes, par rapport à un couple allemand typique.
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Merci de m’avoir lu jusqu’ici !

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Notes des produits

Compagnie aérienne

Air France 7,3

  • Cabine7,5 / 10
  • Equipage7,0 / 10
  • Divertissements8,0 / 10
  • Restauration6,5 / 10
Salon

Air France Lounge7,8

  • Confort8,5 / 10
  • Restauration6,5 / 10
  • Divertissements8,0 / 10
  • Services8,0 / 10
Aéroport de départ

Paris - CDG8,3

  • Fluidité8,0 / 10
  • Accès7,0 / 10
  • Services8,0 / 10
  • Propreté10,0 / 10
Aéroport d'arrivée

Hamburg - HAM8,9

  • Fluidité8,5 / 10
  • Accès9,0 / 10
  • Services8,0 / 10
  • Propreté10,0 / 10

Conclusion

Cabine : on ne présente plus la cabine des A32x d'Air France. Si vous êtes de petite taille, elle vous ira très bien.
PNC : dommage que les sourires n'apparaissent que pendant les quelques dizaines de secondes de service d'un sandwich identique pour tous et d'une boisson
Divertissement : offre très honorable de journaux dans le terminal
Restauration : je laisse à l'entreprise de catering sa recette; je sais faire bien meilleur et/ou plus nourrissant

En heure creuse, les salons du 2F sont très vides. Évidemment, c'est plus confortable
Restauration froide franchement pas enthousiasmante, mais on peut s'en contenter.
Services : il y a des douches, et je sais pour les avoir essayées une fois qu'elles remplissent correctement leur rôle.
Divertissement : sélection correcte de journaux et magazines, plus étoffée que pour les PAX ordinaires. L'accès internet par wifi est rapide; la procédure de connexion un peu trop lente

A CDG : pas d'attente au PIF n°1; je ne suis pas allé voir au PIF général ce qu'il en était.
Même en heure creuse, le RER n'est pas exempt de petits dysfonctionnements impromptus.

A HAM : sortie rapide malgré le transfert en bus : le cheminement depuis la porte jusqu'à la station de taxi était très raisonnable
Pas d'attente pour un taxi, mais pour qui a un peu plus de temps, la desserte par S-Bahn (le RER local) est cadencée à 10', au tarif imbattable de 3,30 EUR couvrant la zone urbaine
ATM facile à trouver juste après la sortie landside, et signalétique claire.

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Les derniers avis de marathon

Commentaires (22)

  • Bonsoir,

    Merci pour ce FR que j'ai pris beaucoup de plaisir à lire :)

    Excellent bonus

    A bientôt

  • Merci pour ce FR, François !

    Ça faisait longtemps et c'est un plaisir de te relire.

    Le salon du 2F vu d'une autre manière lorsqu'il est vide ! C'est bien plus engageant que lorsqu'il est plein comme un oeuf!

    La prestation AF ne t'emballe pas et je te comprends...

    Ah la Speicherstadt est très belle en ce début d'été. Et surtout, le magnifique Miniatur Wunderland y est situé !

    Le S-Bahn est bien rapide, la voiture aussi si tant est que l'Autobahn ne soit pas en travaux, au quel cas les bouchons sont nombreux (et je parle en connaissance de cause, la fréquentant régulièrement)

    A bientôt pour le retour !

    • Changement radical d’ambiance pour moi au salon du 2F : il est bien rare que mes horaires de déplacement me permettent d’y flâner ainsi en heure creuse.

      Je n’avais pas assez de temps pour profiter du Miniatur Wunderland, d’autant que les vacances scolaires avaient commencé à Hambourg : il y avait une longue queue à l’extérieur.

      C’est au retour que j’ai pris le S-Bahn, car j’avais des marges confortables dans ce sens là. A bientôt pour le récit correspondant !

  • Merci pour le FR :o) et les quelques clins d’œil :o)

  • Merci François pour ce FR.

    On retrouve ta patte sur cette destination. Pas de bien grande surprise sinon le salon vide. Cela a dû te faire un choc !

    • Outre l’horaire, le fait que ce soit le début des vacances estivales, avec moins de clientèle d’affaires Elite+ a dû contribuer à vider le salon.

      Merci pour le commentaire !

  • Merci François pour ce beau retour sur le site,

    Quelle chance de se retrouver dans un salon désert! C'est du quasi jamais-vu!

    Tu avais l’embarras du choix et une sélection plutôt riche en catering.

    Au 2F, les embarquements sont toujours effectués dans le bazar, la taille limite du terminal et les proximités des autres portes n'aide pas.

    Petit vol sympathique avec un beau survol de quelques villes bataves avant de rejoindre la ville native d'Alfred Witte.

    Bonne journée et bon weekend :-)

    • Il est bien rare que je puisse légitimement prendre un vol partant dans cette tranche horaire ; j’en retiens l’agrément pour la quiétude au salon… et pour l’heure du réveil chez moi :)

      Le manque de place pour l’embarquement au 2F fait partie de ces erreurs de conception qui sont irrécupérables.

      Le week-end a été bon ; les FR sont à venir !

      Merci pour le commentaire :)

  • Merci François pour ce retour aux affaires.

    Allégorie JN/AF bien vue en effet : l'empressement de la PNC JN symboliserait-elle le passage de relais dans la course à la productivité?

    Une visite de lieux bien connus -mais au mobilier nouveau me semble-t-il- agréable grâce à une rédaction marathonienne, légère et plein d'humour.

    "Malgré le nettoyage censé être en cours, cette machine me sert un café qui fera l’affaire." ===> c'était peut-être le jus du nettoyage. Mais si tu publies ce FR, tu as survécu.

    Un vol agréable mais au-delà de la logorrhée imprimée sur les emballages, on est en droit de se demander si la prestation offerte à bord n'a pas pour but de conduire les passagers à produire des twits vengeurs destinés à promouvoir un BoB correct...

    Merci pour ce bonus qui se termine (presque) par les délices de Hambourg.

    A bientôt !

    • « L'empressement de la PNC JN symboliserait-elle le passage de relais dans la course à la productivité? »

      - On peut aussi considérer que l’uniforme “jeune” des PNC JN est plus pratique pour marcher vite

      J’ai comparé avec mes FR scandinaves de l’an dernier : en effet, le mobilier a été remplacé au salon. Bien vu !

      J’ai survécu à des « cafés » bien pires que ce possible jus de nettoyage :)

      Je soupçonne que le coût des ingrédients est le principal paramètre de fabrication de ces sandwiches.

      Je doute d’avoir été le premier à avoir détourné ainsi cette statue.

      Merci pour le commentaire !

  • Merci pour le partage François !

    La prestation AF est vraiment bof sur ce trajet, le sandwich n'est guère inspirant.

    Hambourg est une très jolie ville qui vaut la peine d'être visitée, certes ce n'est pas la ville la plus belle d'Europe mais elle a beaucoup de charme et est très accessible.

    A bientôt !

    • Je n'exclus pas de revenir un jour à HAM avec Mme, ne serait-ce que pour ses musées et le Miniatur Wunderland.

      Merci pour le commentaire !

  • Merci, vous nous manquiez. L'étiquette du "sandwich" est destinée à alerter sur la présence effective (gluten) ou potentielle (poisson) d'allergènes ; la composition du produit n'y est pas évoquée. Belle lumière lors de votre soirée dans cette bonne ville d'Hambourg

    • Nous sommes bien d'accord que cette étiquette illustre surtout la multiplication des allergies depuis la fin du siècle dernier.

      Je n'ai pas souvent la chance d'avoir cette lumière le soir lors de mes déplacements professionnels.

      Merci pour ce sympathique commentaire !

  • Merci François pour ce nouveau FR, ça fait longtemps!

    Petit détail au niveau de l'identification, il ne faut plus dire CS300 mais A220-300 pour l'appareil d'AirBaltic,

    Pour le reste un vol AF standard avec un pitch juste, je te trouve un peu sévère pour ce sandwich qui fait mieux que la quasi totalité des compagnies européennes et je trouve qu'il faut encourager les collations gratuites surtout quand elles sont plus élaborées qu'un sucré/salé.

    Pareil je trouve l'offre restauration satisfaisante aux salons du 2F, un petit tour au crown lounge de KLM en fait vraiment prendre conscience, surtout au niveau des desserts!

    A+

    • L’A220-300 n’existe sur Flight Report que dans un article (for intéressant au demeurant^^) du blog : je n’en ai pas vu trace dans les menus de rédaction de récit de vol, ni d’ailleurs sur le site d’AirBaltic.

      Objection recevable au sujet de la collation à bord ; j’effectue trop peu de vols intra-européens de cette gamme de distance.

      Je reconnais également ne jamais être allé physiquement au Crown Lounge, et mes visites virtuelles par le truchement de Flight Report ne m’incite pas particulièrement à aller y augmenter mon compteur de salons visités.

      Merci pour le commentaire !

  • Bonjour François,

    Oserait on titrer, le retour du Mètre après ta splendide escapade au Pays du Soleil Levant où tu avais du te priver de ton précieux instrument de mesure.

    Beau récit à la précision millimétrique comme à l’accoutumée. cabine classique plus confortable que les planches à repasser, le sandwich ne fais pas trop envie c'est sur.

    Merci pour ton FR et pour le bonus qui donnerait l'idée d'aller voir Hambourg pour autre chose que Miniatur Wonderland.

    A bientôt.

    • Quand le bagage est limité à un sac à dos, le mètre ruban est paradoxalement moins lourd si je pars pour deux jours, plutôt que pour deux mois :)

      Il est aisé de critiquer la prestation d’AF au sol et en vol, mais elle est à comparer à celle d’Eurowings, l’autre choix en vol direct.

      Il y a bien plus à visiter à Hambourg, mais j’avais quand même quelques obligations professionnelles sur place :)

      Merci pour le commentaire !

  • J'ai dévoré ce FR dès sa sortie bien plus que l'auteur n'aura jeté son dévolu sur le sandwich servi à bord. Ce n'est que beaucoup plus tard que je puis le commenter. J'aurais bien milité auprès de l'employeur de Marathon pour que ce vol devienne la nouvelle navette de l'été mais je crois que cela aurait été inutile. Alors, au royaume de l'éphémère, il ne reste au'à remercier le Mètre pour ces tests aquatiques, l'un en milieu aéroportuaire et l'autre dans les dédales de la Venise du nord. Une bien belle ballade. Merci pour ce partage.

    • Il est encore très prématuré d’envisager des navettes pour moi sur cette ligne, mais ce premier aperçu de la ville n’était pas déplaisant. (Le régional de l’étape s’est prudemment enquis de savoir si j’étais partant pour une longue promenade à pied le soir, plutôt que de regarder la demi-finale France – Belgique : il n’y avait pas photo pour moi !).

      Merci d’être revenu commenter ce récit !

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