Cher lectorat, bonjour !
Bienvenue sur la deuxième partie de mon voyage aux Açores, avec le vol TAP qui m’emmènera de Lisbonne à Ponta Delgada, sur l'île de São Miguel !
Pour ceux qui voudrait un rappel de la construction du routing, ça se passe dans le spoiler ci-dessous :
Porto et Toronto m'intéressent certes beaucoup, mais c'est le nom de la compagnie qui me donne l'idée de ma future destination : les Açores… De ce que j'en sais, c'est un archipel volcanique, donc avec des randonnées sans doute très sympathiques à faire, et au milieu de l'Atlantique Nord, donc avec un climat pas trop chaud (ce que je ne supporte guère), et surtout, c'est encore épargné par le tourisme de masse. Ça me convient tout à fait, et ça conviendra à ma mère aussi (puisque je lui offrirai ce voyage pour son anniversaire).
Il y a 9 îles aux Açores, impossible de tout voir, je veux donc passer du temps sur l'île "principale" (São Miguel, desservie par l'aéroport de Ponta Delgada), et quelques jours sur une autre île selon les possibilités, pour dix jours de voyage en tout (avec une date de départ très flexible, entre le 15 juillet et le 15 août en gros). L'île de Pico est celle qui me tente le plus, avec le point culminant de l'archipel (et du Portugal) et ses paysages noircis par le basalte.
Il me faut donc aller de Lyon à Ponta Delgada (PDL), rallier une autre île, et en revenir (via PDL ou plus directement, jusqu'à Lyon via Lisbonne). Pour simplifier la recherche, jeter un petit coup d’œil aux compagnies desservant l'aéroport de PDL est encore le plus simple… On a, assez logiquement, Azores/SATA, vers l'Europe, l'Amérique du Nord et les vols inter-îles, TAP (vers le Portugal), mais aussi Primera Air (vers la Scandinavie), Ryanair et TUI Fly (ainsi que Delta, vers JFK, mais peu intéressant…).
J'écarte de suite Ryanair et TUI Fly, n'appréciant guère ce genre de compagnies. J'envisage quelques instants Primera Air, par curiosité pour cette low-cost scandinave que je ne connaissais pas, mais je doute que Maman Kethu apprécie de passer par Oslo pour se rendre aux Açores…
Ça se joue donc finalement entre les deux compagnies portugaises, qui partagent leurs codes sur les vols entre le Portugal continental et les Açores (pas en totalité, mais en bonne partie). Je privilégie, pour le trajet Lyon => Açores au moins, une réservation sur la TAP, histoire de cumuler quelques Miles, de simplifier au maximum le trajet (comme je le disais, Maman Kethu n'est pas spécialement fan des voyages avec 4 correspondances), et d'éviter de devoir récupérer les bagages en cours de route. J'aimerais également, si possible, prendre à l'aller ou au retour l'A310 Azores Airlines (qui fait des vols entre les Açores et le continent). J'ai toujours voulu prendre ce type d'appareil mais je n'ai jamais eu l'occasion pour le moment… Mais je ne vais pas non plus compliquer le routing pour cela.
Pour l'aller, je remarque un bon tarif pour un trajet TAP via Lisbonne pour Ponta Delgada, proposé notamment le 27 juillet, avec un vol départ Lyon à 6h00, arrivée Lisbonne 7h30, effectué en ERJ195, 3h30 de correspondance, puis un départ à 11h et une arrivée à 12h25 à Ponta Delgada, effectué par TAP en A319.
Je trouve un retour à un tarif équivalent, avec un départ en milieu de journée de PDL sur TAP et une arrivée à Lyon tard le soir (départ de Lisbonne 21h40 pour une arrivée le lendemain à 00h55), pour un total d'environ 300€ aller-retour par personne (un tarif pas donné, mais difficile de trouver mieux).
C'est pour rallier la deuxième île que ça se complique : Quelque soit les îles, le tarif SATA est au minimum de 120€ par personne l'aller-retour depuis Ponta Delgada… Assez cher donc.
Mais il y a aussi des départs vers le continent depuis les autres îles, et c'est là que je trouverai mon bonheur : En billet multi-destination sur SATA, je trouve un Ponta Delgada (8h00) - Pico Island (9h00) en Q200 combiné à un vol 3 jours plus tard, Pico (10h35) - Lisbonne (14h05) en A320, pour 155€ par personne. Le billet TAP Lyon - Lisbonne - Ponta Delgada / Lisbonne - Lyon (avec donc 7h30 heures de correspondance à Lisbonne au retour, laissant une grosse marge en cas d'important retard, et si tout va bien, cela laisse du temps pour visiter un peu Lisbonne) revient à 275€ par personne. C'est donc un routing à 430€ par personne que j'ai composé, un peu cher (quoique, la distance totale parcourue est tout de même de 6200km), mais dur de faire mieux avec ce vol inter-île aussi onéreux.
Pas d'A310 finalement, les horaires et les tarifs ne correspondaient pas à mes attentes. J'ai bien fait finalement, puisque au printemps 2018, Azores Airlines a remplacé ses A310 par des A321neo (un appareil reste en réserve au cas où)…
Le routing finalement réservé :
1. Portugalia TP473 : LYS – LIS (Economy, ERJ195) le 27 juillet 2018 => A lire ou relire par ici
2. TAP TP1867 : LIS – PDL (Economy, A319 A320) le 27 juillet 2018 => Vous êtes ici
3. SATA Air Açores SP430 : PDL – PIX (Economy, Q200) le 3 août 2018 => A lire ou relire par ici
4. Azores Airlines S4140 : PIX – LIS (Economy, A320) le 6 août 2018 => A lire ou relire par ici
5. Portugalia TP478 : LIS – LYS (Economy, ERJ190) le 6 août 2018 => A lire ou relire par ici
Petite "exclu" pour la base de données du présent site, puisque la liaison Lisbonne - Ponta Delgada n'a jamais été reportée dans ce sens avec TAP… Elle a par contre été reportée avec Ryanair et Azores Airlines, et aussi avec TAP mais dans l'autre sens. Mais bon, on fait les exclus que l'on peut !
Pour moi, c'est un peu plus intéressant par contre : Premier vol sur TAP (histoire de voir si le protocole diffère de TAP Express), découverte de l'aéroport de Ponta Delgada et surtout, première fois que je vais aussi loin à l'ouest sur le globe !
Sur ce vol, prévu initialement en A319, mais finalement réalisé en A320 (j'ai remarqué le changement lors du check-in), nous choisissons un siège dans les dernières rangées de l'appareil, comme à mon habitude. De toute façon, les premières rangées, qui disposent de plus de place pour les jambes, sont payantes avec le tarif "Classic" de nos billets… Comme pour le vol précédent, Maman Kethu prend le hublot en 26A, et je me contente du 26B.
La conquête de l'Ouest
Je vous avais laissé à la sortie de mon appareil, en provenance de Lyon…
La passerelle nous mène directement dans le long couloir où sont situées quasiment toutes les portes d'embarquement Schengen de ce terminal 1.
Juste à côté, le grand (et unique) bocal à fumeurs, que Maman Kethu ira utiliser sur le champ.
Nous partons ensuite à la recherche des sanitaires… C'est là qu'on se rend compte que l'aéroport est totalement sous-dimensionné pour l'affluence estivale. Dans la zone centrale, avec les commerces (où on se croirait à Part-Dieu un jour de début des soldes), les WC offrent un spectacle désolant, avec une queue de 30 personnes chez les femmes, et une quinzaine chez les hommes (plus la queue à l'intérieur).
On se dirige donc plutôt vers la sortie, où il y a moins de monde… Pas de queue dehors (mais quand même dedans), et des WC extrêmement sales. Avec cette fréquentation importante c'était prévisible…
On visite un peu l'aéroport, et on trouve le seul FIDS comportant suffisamment de lignes pour faire apparaitre notre vol, prévu dans un peu moins de 3 heures… La porte ne sera affichée que 55 minutes avant le départ, comme pour tous les vols partant des portes S ("Schengen").
J'aurais beau chercher dans l'aéroport, impossible de trouver une fontaine à eau, dommage pour un aéroport international de cette envergure… (Et vu la propreté des WC, je n'ai guère envie d'aller y boire). Dans les autres critiques sur l'aéroport, je ne parviendrai jamais à me connecter au Wifi.
Les portes N ("Non-Schengen") sont accessibles après le contrôle PAF, et la file d'attente, notamment pour le contrôle "manuel", n'a rien à envier à celles que l'on peut voir à CDG ! Pas d'indicateur du temps d'attente prévu, mais on ne doit pas être loin d'une heure d'attente pour la file "tous passeports".
Comme je le disais plus tôt, le centre du terminal est très fréquenté, mais si on s'éloigne un peu, on tombe sur une zone particulièrement vaste, et curieusement plutôt vide, quasiment sans commerces, avec de nombreux sièges libres, dont des sièges avec repose-pieds… Suffisamment confortable pour que je somnole jusqu'à l'affichage de notre porte !
Visiblement, pour certains humains, mettre ses déchets à la poubelle à 5 mètres de là est trop compliqué, ils préfèrent les jeter par terre ou sous les sièges…
Peu après 10 heures, notre porte d'embarquement est affichée. On s'y rend tranquillement, croisant en chemin un homme qui a un petit chien en laisse… Et qui le fait tranquillement uriner sur un pilier au milieu du couloir.
Lorsque l'on arrive dans la salle d'embarquement, quelques marches plus bas que le couloir, elle est déjà bien remplie, on attend donc debout au fond… Quatre files seront matérialisées peu après, avec par ordre d'embarquement de droite à gauche : File prioritaire, file sans bagages cabine (ou petits bagages allant sous le siège), zone A, zone B. Nos BP portent la mention "Boarding zone A".
Notre appareil arrive en provenance de Madrid à 10h25, il s'agit de l'Airbus A320 CS-TNR, qui a passé toute sa carrière (de 9 ans pour le moment) sous les couleurs de TAP. L'agente en porte ira placer des tags "Bagages à ranger sous le siège devant vous" aux personnes voulant emprunter la file correspondante…
L'embarquement est lancé juste après le débarquement, à 10h35. Comme je le soupçonnais, les trois quarts des passagers passent par la file "sans bagages cabine" quand bien même ils ont des valises qui ne finiront assurément pas sous le siège… Aucune remarque du personnel en porte.
Bref, au bout d'un moment les passagers de la file A sont libérés, et nous passons… Comme à Lyon, mon billet ne passe pas au scan, mais l'agente ne s'en rend pas compte et me dit que c'est bon. Je lui ferai remarquer, histoire de ne pas voir mon bagage débarqué, faute d'être dans la liste des passagers qui ont embarqués… La queue pour monter dans l'appareil est assez longue, ça laisse le temps d'observer les mouvements sur le tarmac.
Bref, on finit par réussir à monter dans l'avion déjà bien rempli, à 11 heures, heure de départ bloc initialement prévue. Les racks à bagages sont déjà assez bien remplis, alors que nous sommes les premiers à avoir embarqué après les passagers sans bagages cabine… On note là toute l'utilité d'une zone d'embarquement basée uniquement sur le civisme des passagers.
Mais passons… Intéressons-nous plutôt au siège, et au pitch particulièrement réduit à l'arrière de la cabine… Les sièges sont de type "planche à repasser", ce qui ne me dérange pas plus que ça si le confort suit… Malheureusement, avec ce pitch, l'absence de têtières orientables, des sièges non-inclinables (heureusement quelque part, parce que sinon je n'aurais plus aucun espace pour mes jambes), ça n'est pas vraiment le cas.
C'est une cabine qui conviendrait à un vol de 1h30 à la limite, mais pour 2h30, non ! Et quand on sait que cet appareil va jusqu'à Moscou ou Abidjan, avec des vols de 5 heures, et même Sao Tome, presque 8 heures de vol (avec une escale d'une heure à Accra), sans IFE… Il faut aimer souffrir (ou plutôt ne pas avoir le choix) pour supporter ça !
Je dis sans IFE car j'ai beau contempler ce plafonnier (par ailleurs moderne, pas de signal "Interdit de fumer"), aucune trace même d'un IFE déployable…
Forcément, avec une cabine aussi "low-cost", pas la peine d'espérer avoir une boucle de ceinture siglée !
Petite consolation, on trouve une patère sur le côté du siège… Histoire d'y pendre un sac plastique rempli de morue fumée ?
L'embarquement continue lentement, avec beaucoup d'Allemands, mais aussi de Français, dont certains qui étaient déjà présents sur mon vol précédent (heureusement pas ceux alcoolisés). On a aussi un petit nombre de jongleurs, qui se rendent à l'European Juggling Convention qui a lieu à Ribeira Grande sur l'île de São Miguel…
Dehors, c'est assez calme sur le tarmac, avec seulement l'A320 CS-TNK qui partira pour Barcelone juste avant nous. Notons la présence d'un escalier en porte arrière, mais qui ne sera utilisé ni pour le débarquement ni pour l'embarquement…
L'embarquement se termine vers 11h10, les démonstrations de sécurité sont réalisées juste après. Le steward qui prend la parole pour les réaliser semble être en formation, puisqu'il bute beaucoup sur les mots…
Profitons-en donc, comme à mon habitude, pour jeter un œil sur la safety card. Elle parle d'A320R, si quelqu'un a une idée de l'origine de cette dénomination (pour différencier les appareils qui ont reçu la nouvelle configuration intérieure des autres peut-être ?).
Le verso…
On patiente ensuite dix minutes sans informations, avant qu'une annonce du cockpit en portugais, anglais et français (bravo pour l'effort de faire une annonce trilingue) nous indique que nous sommes prêts depuis dix minutes, mais que nous devons patienter encore dix minutes pour avoir un créneau de décollage, à cause de la congestion de l'aéroport. Curieusement, il oublie de préciser que nous avons loupé le créneau initialement prévu suite à l'arrivée tardive de l'appareil et à l'embarquement un peu chaotique… La durée de vol prévue est de 2h05.
Dehors, l'Airbus A330 en livrée vintage TAP s'en va pour Miami.
Nous repoussons finalement vers 11h20, et après un long roulage, principalement rallongé par la saturation de l'unique piste en fonction, on s'aligne sur la piste 03.
On décolle finalement à 11h38, avec une vue sur la banlieue de Lisbonne…
Et, comme à mon habitude, je m'endors de suite.
Je me réveille environ une heure plus tard. La vue est dégagée, mais le paysage est monotone.
Heureusement, le service arrive pour nous occuper un peu ! Voilà ce qui est proposé pour ce vol de 2 heures 30 : Un sandwich jambon/fromage/pesto, et un Pastéis de Nata. Encore une fois, le service des boissons arrive juste après, et deux boissons (une froide et une chaude) sont proposées. Je me contenterai d'un verre d'eau…
Comparé à TAP Express, c'est un peu mieux, puisqu'on a droit à un vrai dessert plutôt qu'à un snack sucré ou salé… Malheureusement pour moi, je n'aime vraiment pas les Pastéis de Nata ! Par contre, le sandwich, même s'il présente mal, est plutôt bon, grâce au pesto qui relève bien le tout.
Le marathonage est plutôt aisé (la lingette rafraichissante provient du stock que j'ai réalisé lors du vol précédent !).
Histoire de m'occuper un peu, direction le fond de la cabine pour voir les sanitaires. Un stock assez conséquent de doggy-bag est fixé sur la paroi au fond de la cabine… Comme il y a déjà un certain nombre de personnes qui patientent, l'hôtesse m'indique que les WC à l'avant sont accessibles et ne sont pas réservés aux passagers en J. Allons-y donc !
Ça n'est pas des plus propres à l'avant, et en plus, le lavabo est bouché mais ça reste acceptable.
Je retourne ensuite en mode somnolage… Le cockpit reprend la parole peu après, pour nous indiquer un atterrissage prévu à 12h45 heure locale…
La couverture nuageuse devient plus importante, on ne revoit la mer que quelques minutes avant l'atterrissage. Malheureusement, nous ne sommes pas du bon côté pour apercevoir l'île !
La terre apparait au dernier moment, l'aéroport étant situé au bord de la mer… Des réservoirs d'eau se cachent sous ces buttes, alors que nous survolons la raquette du bout de piste !
On touche le sol, encore mouillé d'une récente averse, peu avant 12h45…
Le roulage est court, et on vient se parquer, avec 20 minutes de retard, aux côtés de Ryanair, qui est arrivé peu avant nous en provenance de Lisbonne également.
Le débarquement est rapide, puisqu'il s'effectue par l'avant et par l'arrière de l'appareil. Pas de passerelle à Ponta Delgada.
L'aérogare est juste en face, et les agents ne sont pas photophobes pour un sou, ce qui me permet de tirer le portrait des deux appareils…
Le reste du tarmac est bien vide ! On entre dans l'aéroport par la zone "Domestic Arrivals", ce qui me semble plutôt logique…
A l'intérieur, une partie de la salle de récupération des bagages est en travaux, il faut donc se partager un seul tapis pour les deux vols qui viennent d'arriver. C'est donc quelque peu la foire…
Maman Kethu en profite donc pour aller fumer (il y a une zone prévue à cet effet dans la salle, un bon point), tandis que je vais voir à quoi ressemblent les WC. C'est propre, mais la patère a un système empêchant d'y accrocher un sac : Le crochet se baisse avec le poids, faisant tomber ce qui est accroché si c'est trop lourd…
Au bout d'un quart d'heure, nos bagages sont enfin livrés, et nous pouvons sortir…
Aucune queue au comptoir Hertz, qui me remet les clés d'une Renault Clio avec le sourire et en s'excusant de la météo assez moyenne pour notre arrivée, je récupère une carte routière au comptoir de de l'office du tourisme, et direction Lagoa, à une dizaine de kilomètres de là, où nous nous logeons !
Terminons ce récit avec l'habituel capture d'écran du vol sur Flight-Radar, probablement le vol où j'ai le moins survolé la terre ferme de toute ma carrière…
Un "vrai" bonus sur l'île de São Miguel arrivera avec le prochain report, mais je me permets un petit aperçu du logement, ou plutôt de la vue depuis le balcon en guise de conclusion de ce récit…
Et pour les avgeeks, on a même une vue parfaite, quoiqu'un peu lointaine, sur l'approche des avions à l'atterrissage à Ponta Delgada ! Deux exemples, de bien mauvaise qualité, faute d'un équipement adéquat (un zoom 200mm n'est pas vraiment suffisant, surtout associé à un boîtier Nikon qui se fait très vieux).
Tout d'abord, le vol TAP Lisbonne - Ponta Delgada TP1863 du 31 juillet, effectué par l'A319 F-HBAL d'Aigle Azur, que la TAP loue depuis le mois de mars…
… Puis le vol Ryanair Porto - Ponta Delgada FR2633, une vingtaine de minutes plus tard, avec un habituel Boeing 737-800.
C'est tout pour ce mini-bonus !
Merci pour votre lecture, je m'excuse pour le peu de photos présentes, la fatigue l'a emportée sur le travail de FRiste lors de ce vol !
N'hésitez pas à commenter, et à bientôt pour la suite du voyage !
Merci Robin pour le partage,
Que dire à part que la propreté et le civisme des passagers qui passent par LIS est juste déplorable.
Ensuite ce n'est pas mieux à l'embarquement où finalement personne ne respecte rien.
Et on continue sur une cabine au confort ridicule pour un vol de cette durée et comme tu le dis fort justement, quid des passagers qui passent plus de 8H la dedans? Ce doit être une torture.
A bientôt !
Salut Stephan
Mon passage à LIS fut un spectacle d'incivisme du début à la fin, le spectacle dans les sanitaires était vraiment désolant (et beaucoup trop répugnant pour être détaillé ici)... Je pense que les grandes têtes pensantes de TAP qui ont mis en place cet embarquement pour passagers sans bagages n'ont jamais mis les pieds dans un avion, pour penser que ça serait respecté.
C'est d'ailleurs sans doute les mêmes qui se sont dit que mettre une cabine typiquement court-courrier serait une excellente idée pour du long-courrier en monocouloir !
A bientôt, merci pour ton commentaire :)
Merci pour ce FR.
Le passager qui fait pisser son chien dans le terminal, c'est une blague ou quoi ?!?
Ouch aller à Sao Tomé avec ce pitch, quel plaisir ! D'autant que le prix du billet est assez douloureux lui aussi. ^^
Merci pour ton com' Clément.
Si seulement c'était une blague, mais non... Et ce n'est pas comme si le maitre n'avait pas vu le chien faire, il l'a amené exprès vers ce pilier au milieu du passage et l'a regardé faire. Je veux bien qu'il n'y ai pas d'équipements pour les chiens, mais ça me semble difficilement une justification pour le faire pisser comme ça...
Je n'ai pas regardé le tarif, mais je me doute que TAP doit se faire plaisir, vu la faible concurrence sur la ligne... Au bout de deux heures j'avais hâte que le vol finisse, je n'arrive pas à imaginer 8 heures coincé en siège du milieu ^^
A+
Merci pour ce FR qui ne donne ni envie de voyager avec la TAP ni de passer par LIS...
C'est incroyable de voir la scène du chien !!! Je ne m'étais jamais intéressé aux équipements canins qu'offrent les aéroports, mais il faut croire que LIS est mal équipé, ou alors que le Monsieur est TRES mal éduqué ? Sans oublier ce manque flagrant de toilettes, mieux vos avoirs accès à un salon du coup...
Quel pitch serré, une vraie boîte de sardine, dur d'imaginer des vols de 8h comme ca !
A bientôt pour le vol retour
Merci Kevin pour ton commentaire !
Je pense que LIS est nettement plus agréable hors saison touristique, même si l'aéroport doit rester bien rempli malgré tout... Quant à la TAP, elle a un bon produit pour du court-courrier, le soucis c'est que c'est le même pour le MC... :P
Même si LIS est mal équipé (ce dont je ne doute pas, même si moi non plus je n'ai jamais fait gaffe à ce genre de détail), quand on a un chien en avion on doit bien se douter qu'il va devoir faire ses besoins dans un endroit pas forcément adapté, alors prend une serviette ou autre pour essuyer les dégâts me semble la moindre des choses... Et aussi empêcher le clébard de faire ça au milieu du passage ^^
L'accès au salon est en effet vraiment très utile à LIS, ne serait-ce que pour avoir un endroit correct ou patienter (et quand on voit la qualité des salons TAP, les 35€ demandés ne sont pas déconnants).
C'est le même pitch qu'à bord des avions Brussels Airlines, mais au moins chez SN les tarifs sont nettement plus avantageux, ça fait un peu passer la pilule (même s'ils sont au BoB)...
A bientôt :)
Merci Robin pour ce FR ;)
Franchement c'est inacceptable le comportement de ce monsieur à LIS. Je ne me serais pas privé de le réprimander, c'est quand même le B-A BA de la vie commune, le respect des autres et des lieux publics !
A bord, ça ne s'arrange pas avec cette cabine mode Ryanair (on s'adapte comme on peut à la concurrence dira-t-on...) difficilement supportable pour les deux longues heures de vol.
Au moins la prestation n'est pas mauvaise, un sandwich chaud serait bien plus appréciable néanmoins. Mais TAP semble dégrader le service de plus en plus souvent...
A bientôt !
Salut Jules, merci pour ton com' :)
Je suis légèrement trop réservé pour oser ce genre de choses, mais ce n'est pas l'envie qui m'en manquait...
Pas certain que la réponse à la concurrence soit de rogner sur le confort tout en gardant des tarifs plus élevés. Laisser un souvenir moyen d'un vol à 100€ n'a pas le même impact que si l'on a payé 20€, mais ce n'est que mon avis ^^
Un sandwich chaud serait mieux, mais ça reste correct je trouve, d'autant que ce qui est servi est d'assez bonne qualité. Espérons que la dégradation du service ne se poursuive pas, c'est déjà la dernière compagnie ibérique qui propose quelque chose de gratuit à bord (il me semble)...
A bientôt ;)
Bonsoir,
Merci pour ce FR que je trouve très complet.
"On s'y rend tranquillement, croisant en chemin un homme qui a un petit chien en laisse… Et qui le fait tranquillement uriner sur un pilier au milieu du couloir."=> plus rien ne m'étonne maintenant...
Prestation un peu light pour la durée.
A bientôt
Salut Dorothée !
Merci pour la lecture et le commentaire :)
Moi non plus... J'avais aussi un spécimen anglais qui était au téléphone assis dans les WC tout en faisant... Bref. Certains énergumènes sont stupéfiants !
La prestation est limite, sans le dessert ça serait vraiment trop peu.
A bientôt !
Salut Robin,
Aux toilettes tout est une histoire de queue, surtout chez les hommes...
Les gros dégueulasses sont de retour, quelle honte !
Le pitch est déplorable, je me vois mal passer 8 heure là dedans... ça me rappel mon pire vol au Brésil avec TAM, entre Brasilia et Manaus, (voir le FR correspondant).
Comment ça tu n'aimes pas les pasteis de nata ? Tu dois bien être le seul sur ce site, je prend ta part ^^
PDL est réputé pour être venté, tu as eus de la chance de ne pas faire un tour gratuit, les atterrissages en cross wind sont légions, (voir les vidéos sur Youtube).
Belle vue depuis l'appartement
Merci pour cette suite, à bientôt !
Salut Hervé !
Au moins je n'ai pas été dépaysé par rapport à mon escale habituelle à AMS...
Je file jeter un oeil à ce FR tiens ! ^^
Je l'ai tout de même mangée, histoire de ne pas mourir idiot, mais ça m'a confirmé que je n'étais toujours pas un grand fan de la chose :P
J'étais assez déçu en effet de n'avoir eu que des atterrissages sans soucis aux Açores (l'aéroport de Pico est également réputé pour ses atterrissages par vent de travers)...
A bientôt, merci pour ton commentaire !
Merci Robin pour ce FR
Toilettes cracra, ne pas mettre ses déchets à la poubelle , tous ce que je déteste chez l'humain. et le COMBLE le maître qui fait uriner son chien sur un pilier.
Tu es la seule personne qui n'aime pas les pasteis de nata. je partage avec Hervé.
Un pitch serré, j'imagine mal un vol de 8 heures avec.
A bientôt
Merci pour ta lecture et ton commentaire Valérie :)
C'était un festival à LIS... Pour les déchets sous le siège, c'était en plus une famille avec des enfants, les parents leur ont dit de laisser les déchets au sol... Quelle belle éducation ça va donner aux gosses...
Je me sentais un peu seul en effet, pas mal de passagers français autour de moi s'enthousiasmaient à bord sur ce gâteau, tandis que j'étais plutôt... circonspect ^^
8 heures là-dedans, il faut vraiment le vouloir, malheureusement peu d'alternatives pour les voyageurs, Sao Tomé n'attire pas les foules, et donc pas les compagnies aériennes...
A bientôt ;)
Merci pour ce FR ! J'attends avec impatience votre prochain FR avec le bonus touristique, car les Açores font partie de mes prochaines destinations potentielles :)
J'espère qu'il n'y a pas trop de monde en été !
Sinon concernant le vol en lui-même, je retiens principalement la cabine inadaptée pour un vol de cette durée. Je ne m'étais pas fais cette même remarque en rentrant du Cap Vert via Lisbonne... C'est donc que le confort s'est dégradé avec les nouvelles cabines !
A bientôt
Merci pour votre commentaire !
Le prochain FR est en cours d'écriture, mais avec le bonus, je devrais mettre quelques jours de plus pour réussir à le finir... Pas avant jeudi je pense donc ^^
Mais pour déjà répondre à cette interrogation, non, il n'y a pas (encore) trop de monde même au milieu de l'été ! São Miguel est l'île la plus fréquentée, mais mis à part sur les sites les plus touristiques, ça reste très calme. Et même quand il y a du monde, on est (vraiment) très loin de la fréquentation des stations balnéaires méditerranéennes, ou de celle du chemin de St Jacques par exemple. Et quand on va sur les autres îles, c'est vraiment très calme.
Mais il faut se dépêcher pour en profiter dans le calme, car la destination est de plus en plus prisée (pour donner un ordre d'idée, +20% de visiteurs entre 2016 et 2017).
Le confort s'est bien dégradé à priori oui. Les sièges situés avant les issues de secours ont un pitch plus large (2 pouces de plus il me semble), mais sont payants... Et je ne sais pas s'ils sont inclinables.
A bientôt !
Merci pour ce FR !
Lisbonne, toujours aussi chaotique que lors de mes récents passage ... Entre les toilettes, l'incivisme lors de l'embarquement, et l'épisode du chien ...
Le repas a le mérite d'exister, mais je n'avais pas remarqué de différence entre le repas TAP et TAP Express, j'avais eu le même dessert sur un vol en ATR d'une heure.
C'est certain que pour les destinations les plus lointaines du réseau TAP, le pitch est horrible.
Dommage pour l'A310, mais hâte de voir le prochain FR en Q200 !
A bientôt !
Merci pour ton commentaire !
Dommage pour TAP d'avoir un hub aussi saturé, ça ne laisse pas un excellent souvenir quand on est en correspondance (et en plus, ça n'aide pas à résorber les retards à l'embarquement)...
Peut-être que seule Portugalia offre une prestation un peu plus réduite sans dessert, alors que White offre la même chose que TAP ? Sur mes deux vols sur les ERJ de Portugalia j'ai en tout cas eu un snack sucré ou salé à la place d'un vrai dessert.
Il va me falloir chercher du côté d'Air Transat pour pouvoir tester l'A310 (les jours sont comptés aussi sur cette compagnie pour l'A310 cela dit)...
A bientôt !
Merci Robin pour ce FR haut en couleur.
Le tout n'est pas glorieux tant pour TP que sa base. Mention particulière pour le type au chien... Encore heureux qu'il fût petit !
" Un stock assez conséquent de doggy-bag " normalement prévu pour les formulaires d'inscription au programme de fidélité. Pas un message de vainqueur de les avoir remplacé par des vomito bag.
Merci Quentin pour ton commentaire !
J'en attendais un peu plus de TAP et de LIS, quand j'avais vu les reports sur le très beau lounge TP, je pensais que le reste de l'aéroport était de qualité également... Quelle erreur ^^
Effectivement, un vomito-bag, ça fait nettement moins rêver qu'un programme fidélité... Mais bon, il faut aussi avouer que les inscriptions "papier" ne devaient plus être très nombreuses !
A bientôt
Je viens de découvrir ce reportage qui m'a bien fait rire. Seule la destination finale fait envie. Je suppose que maintenant vous n'avez plus envie de prendre le Lisbonne - Moscou ? Pour avoir testé un Lisbonne - Praia sur A319 TAP en mode vintage, je peux vous dire que c'est une très mauvaise idée ^^ !
Merci pour le commentaire et la lecture !
Je dois être masochiste car j'ai toujours envie de tenter le Lisbonne Moscou... Mais plutôt en classe avant ^^
J'en avais bien marre au bout de deux heures, alors 4... Quelle abnégation !
Merci Robin pour cette suite ;-)
Clairement, cette cabine fait mal au dos rien que de la regarder. Pour un vol de cette durée, ça commence à faire plus juste, alors pour SVO ou ABJ, ce n'est même pas la peine d'y penser. Au moins, le voisin IB a une sous-flotte de monocouloirs avec cabine MC pour ce genre de vols...
LIS sature clairement, et le projet de construction d'un nouvel aéroport intercontinental sur la Rive Sud du Tage va bien devoir être relancé un jour prochain. Pour l'instant, le gouvernement actuel ne veut pas entendre parler de grands projets d'infrastructure et refuse de débloquer la 3ème traversée du Tage (qui doit permettre de desservir ce nouveau LIS et aussi d'accueillir la LGV Lisbonne-Badajoz (Madrid), elle aussi gelée...). Mais je pense que ce n'est que partie remise...
Merci pour le commentaire Philippe, qui m'a échappé, désolé donc pour la réponse bien tardive !
Effectivement, quitte à choisir entre prestation à bord mais dos en compote, ou BoB mais pas besoin d'une greffe de lombaire à l'arrivée... Je choisis IB sans hésiter ^^
Ça commence à se remettre en branle j'ai l'impression, je vois beaucoup d'articles passer sur l'éventuelle reprise du projet, Vinci fait bien pression. La situation ne peut de toute façon pas durer bien longtemps !
A bientôt :)