Chers tous, nous arrivons à l'objet principal de cette escapade espagnole d'une journée : l'A340-600 d'Iberia !
- Vol IB 3403 ORY-MAD (32A) : Cliquez ici - "Les ibères sont rudes"
- Vol IB 3166 MAD-LHR (346) : Vous y êtes ! - "Le plus long de tous"
- Vol AF 1181 LHR-CDG (
318320) : Cliquez ici - "Wait and see…"
Du terminal T4 au T4S
Je vous avais laissé en porte J50 du terminal 4, lieu où je débarquai du vol provenant de Paris, sous le magnifique plafond boisé et ondulé que je découvre.
Il me faut maintenant rejoindre le terminal 4S.
Direction le métro automatique reliant les terminaux entre eux.
Petit coup d’œil au FIDS en passant.
RAS concernant le vol pour Londres.
Let's go !
Pas d'Okapi aux commandes… Je suis déçu ;)
Arrivée au T4S, dans un hall assez imposant.
Je prépare de quoi passer rapidement la PAF. De toutes manières, il n'y a pas un chat au contrôle et le Styx séparant l'espace Schengen du monde réfractaire à la libre circulation sera franchi en quelques secondes.
Petit focus sur le BP, imprimé à Orly, puisqu'il s'agit d'un billet open jaw.
Comme de plus en plus fréquemment, le cheminement passe immanquablement au cœur des boutiques duty-free.
J'irai me mettre ensuite à l'extrémité du terminal, afin de bénéficier d'une belle vue sur le tarmac.
Spotting au T4S
J'ai beaucoup d'avance par rapport à l'heure d'embarquement, alors pour patienter, petite séance de spotting pour se mettre en appétit ! ;) Et cela commence rudement bien avec ce bel A340-600 venant tout juste d'arriver. Peut-être que ce sera celui-là qui partira pour Londres. Pour le moment, la porte de mon vol n'est pas encore renseignée sur le FIDS.
A330-200 Air Europa nouvelles couleurs et B747-400 Wamos.
B787-8 Avianca.
A330-200 Air Europa anciennes couleurs (que je préfère)
B767-300 Boliviana de Aviacion, ex Alitalia et TAM.
B737-800 Air Europa anciennes couleurs.
Magnifique A340-300 Aerolineas Argentinas en livrée Skyteam.
A330-200 Evelop!
Je retourne consulter le FIDS et bingo ! L'A340-600 précédemment aperçu sera apparemment bien celui pour Londres. L'embarquement est programmé en portes S17-S18.
Focus sur ce que je supposais être l'appareil du jour ^^
Il s'agit de l'EC-IZX, premier vol en 2004 et baptisé du nom de Mariano Benlliure (1865-1947, sculpteur).
Instant fuselage.
Sauf qu'une annonce à l'intention des passagers du vol pour Londres retenti : il va falloir changer de porte. Bigre ! Cela sent le problème technique.
Direction les nouvelles portes S25-S26. La vue sur le tarmac y est malheureusement beaucoup plus obstruée.
Heureusement, il est possible d'apercevoir ce qui sera, cette fois de manière sûre, notre avion du jour.
Notre voyage sera sous l'égide de la littérature, puisque notre oiseau semeur de nuages est baptisé du nom de Jacinto Benavente, écrivain (1866-1954), Prix Nobel 1922.
D'un point de vue plus aéronautique, nous monterons à bord du EC-JFX qui effectua son premier vol en 2005.
Je rejoins la file d'embarquement avant que trop de monde ne s'y mette. Quand je dis la file, il s'agit de celle dédié au groupe 3 puisque l'embarquement est intelligemment organisé avec 3 files en porte S26 pour les groupes 1 à 4, et 1 file en porte S25 pour l'embarquement prioritaire et la classe J. Ayant choisi un siège au 2e rang de la cabine Y, je suis inévitablement placé dans le groupe 3, c'est-à-dire le dernier à embarquer.
Alors que les agents semblaient s'activer pour lancer l'embarquement à l'heure prévue, une annonce enregistrée annonce que le vol sera retardé d'une demi-heure. Point barre. Aucune explications complémentaires. Les 6 agents d'escale présents en porte ne prendront en aucun cas la parole au microphone. Je n'aime pas les annonces enregistrées à bord, et encore moins dans un aéroport.
Je demande à un agent s'il connait la raison du retard, et celui-ci m'explique que l'avion n'est pas encore prêt et a accumulé du retard sur sa rotation précédente Madrid-Bogota.
Aucune autre annonce ne sera faite, jusqu'à l'annonce de l'embarquement 45min plus tard. L'embarquement des files sera assez rapidement effectué et les resquilleurs involontaires et volontaires sont fermement mis à l'écart jusqu'à ce que leur groupe soit appelé. Une quinzaine de minutes après l'ouverture de l'embarquement, se sera enfin le tour au groupe 4.
Direction la deuxième passerelle.
Découverte du magnifique A340-600 !
Je vais enfin pouvoir découvrir ce qui a longtemps été l'avion commercial le plus long du monde ! (Ce record est aujourd'hui détenu par le 747-8). Mon excitation est à son comble ! :)
Détail ^^
Nous sommes à la bonne marque ;)
Accueil sympathique par les PNC en porte. Même s'il n'y avait pas de MiB à la sauce Mogoy, il y avait vraiment trop de monde à ce moment pour prendre correctement une photo générale de la cabine. Je me dirige donc directement à mon siège en remettant la photo générale à plus tard.
J'ai opté pour le 15L, la deuxième rangée de la cabine éco, afin de pouvoir profiter du son des moteurs (qui sera une découverte) et d'une vue sur l'aile qui n'empiète pas trop sur le paysage.
Mes voisins centraux sont contre la cloison du galley.
Le pas est bon pour ma taille.
Test Marathon concluant.
Idem pour le test Horatius.
Coup d’œil au PSU d'Airbus 2e génération…
…avec l'inévitable test F-OITN, version n°1…
…et version n°2 ! ;)
Version 2bis avec la torche disponible en cas d'urgence.
Détail ^^
Le contenu de l’aumônière se résume au magazine Iberia, la carte du BOB et la safety card.
Pour les amateurs ;)
Intéressons-nous maintenant à l'IFE qui nous souhaite la bienvenue. L'écran est de bonne taille mais ne vaut pas les petits derniers de chez Panasonic.
Le ton est donné ^^ Voyons tout de suite si l'accroche est à la hauteur du contenu.
Je jette un rapide coup d’œil à la filmographie. Les premiers proposés ne sont guère de mon goût et l'offre n'est pas très étoffée.
L'offre musicale est par contre plus grande.
Comme à chaque fois, je m'intéresse à la chaîne classique, beau reflet de l'état de pensée des décideurs s'occupant de la programmation de l'IFE.
il s'avère que, si du classique est bien présent, c'est plutôt le minimum syndical qui est proposé avec une simple playlist proposant toujours les mêmes concertos, symphonies, œuvres de musique de chambre les plus connus. C'est bien dommage, vu le répertoire tellement immense que nous disposons (pas assez de toute une vie pour explorer tout ce qui existe), de se limiter à ces quelques "tubes", certes magnifiques pour certains, mais il n'y a pas qu'eux ;) Pour le moment, il s'agit de l'offre la plus restreinte que j'ai vu en la matière (quand elle existe). Cela manque d'opéras par exemple, où de quelques grands noms pourtant passés par la trappe (Debussy, Ravel, Fauré, Mahler, Bruckner…), à l'exemple de ce qu'on peut retrouver chez certaines autres concurrentes. Enfin, ce n'est pas le plus important ! J'arrête de prêcher pour ma paroisse, et continuons l'exploration.
L'IFE propose également la vente à bord Duty-Free.
Publicité envers les Premium et Biz. Mais le truc n'est pas à la page car pas de Premium sur cet A340 ^^
Mmmmmh… Est-ce que cela concerne également la gastronomie du BOB ? On y repassera ! ;)
La Wifi est disponible à bord mais je n'ai pas essayé de m'y connecter.
Passons à l'élément qui est, de loin, le plus intéressant ;)
Différentes vues son proposées pour la géovision.
Malheureusement, il est impossible de zoomer et de se déplacer sur la carte à sa convenance.
Pour changer le zoom, il faut donc jongler entre les différentes vues fixes proposées.
La géovision est également reprise par les PTV généraux.
Les PNC effectuerons un passage pour distribuer les écouteurs.
Il est temps de s'envoler !
Nous repousserons avec un retard d'une heure. Ça va, il me reste encore une marge confortable pour ma connexion à LHR.
Notre voisin A330 Evelop! passera devant nous.
Les démonstration de sécurité seront effectuées à la moderne ! (versus l'expression "à l'ancienne" qui revient souvent dans le vocabulaire des FRistes ^^)
Le roulage se poursuit vers le sud.
Des nuages menaçant se dévoilent, la convection s'organise de plus en plus en cette journée printanière assez chaude.
B777 du frère britannique ;)
Focus sur les montagnes encore enneigée à l'ouest de Madrid
On peut observer depuis les PTV généraux la vue de la caméra située en haut de l'empennage, ce qui n'est malheureusement pas possible depuis les PTV individuels.
Nous approchons bientôt de notre piste de décollage qui sera la 14 droite.
A320 Air France et B737-800 Ryanair.
Encore un peu d'attente, puis on s'aligne en 14R et départ !
On passera assez rapidement au-dessus du troupeau de cumulus ^^
Virage à droite pour rejoindre le nord.
Bébé cumulonimbus en pleine croissance !
Le virage permet d'observer MAD vu d'en haut.
La montée se poursuit dans les turbulences au-dessus d'un paysage bien sec.
Survol de Madrid.
L'aéroport de Madrid-Cuatro Vientos
Le doublet nord de Madrid-Barajas
Nous quittons la région madrilène et les nuages sont nombreux. Alors je profite de ce moment pour faire un tour à l'arrière de l'appareil, histoire d'avoir d'autres points de vues sur l'aile. ^^
Mais où se cache donc Esteban ?
Un petit okapi café ?
Vue générale de la cabine depuis le galley arrière.
Vu que je traîne en milieu réservé depuis ce matin avec déjà 2 PIF dans les pattes, il est grand temps de s'abreuver et comme vous le savez peut-être, si ce n'est sûrement, et si vous ne le savez pas, et bien maintenant c'est fait : IAG = zéro services. L'eau y est payante. Vu qu'il n'y a pas le choix, j'opte pour une bouteille d'agua sin gas Solan de Cabras à 2€. Iberia ne mérite vraiment plus son appellation de legacy en ne proposant pas de boissons light gratuites. (Tsssss, à ce prix là, on ne peut même pas choisir son millésime…)
Instant signature ^^
Pendant ce temps, le vol se poursuit sereinement à haute altitude, au niveau 400 (40'000 pieds).
Nous franchissons maintenant la côte basque à la verticale de Bilbao.
Le spectacle de la houle déferlant sur le rivage est un spectacle dont que je ne me lasserai jamais d'admirer, que ce soit depuis le sol ou vu d'oiseau :)
Au loin, la côte landaise se profile sous l'horizon…
…tandis que nous survolons l'océan moutonné.
Nous arrivons maintenant sur l'île de Ré, moment que je guettais attentivement. Les nuages n'ont pas été très sympathiques mais il était possible de voire quelques petites choses quand même, comme la côte sud au niveau des communes du Bois et de La Couarde, face au pertuis d'Antioche. Un nuage cache malheureusement le phare de Chanchardon.
Voici maintenant la facade ouest de l'île de Ré, avec la belle plage de la Conche. Les nuages dissimulent la pointe des Baleines, avec son phare éponyme et le phare des Baleineaux.
On rejoint ensuite la côte vendéenne peu avant Les Sables-d'Olonne.
Puis nous passerons verticale Ile d'Yeu en direction de l'embouchure de la Loire.
Survol de Saint-Gilles-Croix-de-Vie.
L'embouchure du Falleron avec à gauche la commune des Moutiers-en-Retz, au sud de Pornic.
Après être passé à la verticale de Saint-Brévin et de Saint-Nazaire, le survol de la Bretagne sera ensuite sous les nuages et il faudra attendre la côte du Cotentin pour voir de nouveau quelque chose, avec ici l'estuaire de l'Ay, au sud de Denneville.
En version N&B pour augmenter les contrastes.
Après cela, tout le paysage sera définitivement caché sous la couette. Nous entamerons notre descente, tout spoilers sortis, lors de notre entrée au-dessus de la Manche.
Arrivée sur la côte anglaise au niveau de l'Isle of Wight.
Commence alors une longue approche au sud-est d'Heathrow, à vitesse réduite et les slats sortis.
Ce ne sera qu'en finale que nous apercevront le sol, avec la grande roue dans le centre de Londres.
Les méandres de la Thames.
La Thames qui déborde quelque peu, semble-t-il.
Courte finale au-dessus de Hounslow.
Petit bonjour amical au Concorde ^^
Pour voir l'atterrissage par cisaillement de vent, quelque peu agité ^^, c'est ci-dessous ;)
Un petit peu de spotting au sol, sur la route du parking, avec cet A380 Emirates et son voisin B777 Japan Airlines.
B787-9 Virgin.
A380 British Airways.
B777-200 British Airways.
The timeless Queen ;)
B787-9 British Airways.
-
Nous viendrons nous positionner à droite des 2 géants de la flotte de BA : Un A380 et un B747-400 (caché par le premier ^^)
Nous arriverons en porte avec un retard de 40min.
L'avantage de la rangée 15 est évidemment de pouvoir sortir dans les premiers, ce que je… ne ferais pas ! En effet, je ne pense pas pouvoir remettre les pieds dans un A340-600 avant la disparition des derniers exemplaires, tentons le saint des saints. Le CCP très gentil m'apportera la réponse positive du CDB. Cela me permet également de parcourir la classe J. Qu'il est long cet avion !
Welcome inside 346's cockpit. Pour moi qui suis un habitué du cockpit original avec écrans cathodique, ce cockpit de 2e génération Airbus avec ses écrans LCD plus grands me paraît si moderne qu'il est étrange d’imaginer qu'un avion aussi récent puisse partir à la retraite aussi tôt.
L'upper panel.
Je discute avec l'équipage à propos de cet avion que j'aime particulièrement, du métier de pilote (j'ose parler de mon frère pilotant chez la concurrence à codes barres, mais chez les aviateurs, il n'y a qu'une seule grande famille), du métier de musicien (le copi tout heureux de me dire qu'il est pianiste à ses heures perdues), de l'activité de FRiste qui consiste à raconter en photo le bonheur immense de voler et de voyager, et plein d'autres choses. Le CDB m'invite alors à prendre sa place afin que je profite pleinement du 340 !
Je me replonge alors dans l'exploration d'un cockpit que je connais bien, peut-être le seul avec l'ATR qui me soit si familier.
On retrouve quelque soit la génération de cockpit le même agencement que j'apprécie énormément, assez épuré et très agréable. A gauche, le PFD (Primary Flight Display) regroupant toutes les informations liées au vol en lui-même avec l'horizon artificielle, l'altitude, la vitesse-air, le QNH (de 992hPa, pas de doute, ce n'est pas encore l'été !) et l'ensemble des commandes engagées du PA et des modes liés au MCDU. A sa droite, le ND (Navigation Display) regroupant toutes les informations liées à la navigation gérée par le MCDU et à la radio-navigation, avec l'affichage de la vitesse-sol réelle, de la force du vent et de sa direction etc…
Le progrès apporté par ces écrans LCD est la possibilité de visionner les images prises par différentes caméras, situées sous le fuselage et sur l'empennage, ce qui n'est pas possible avec la 1e génération de cockpit (qui concerne globalement tous les Airbus construits avant 2003).
Les écrans centraux avec l'ECAM en haut indiquant l'ensemble des paramètres des 4 réacteurs et l'écran en bas regroupant l'affichage des pages de tous les autres paramètres restants (moteurs, vannes d'air, pressurisation, systèmes électriques, systèmes hydrauliques (3 chez Airbus, le vert, le bleu et le jaune), APU, air conditionné/températures, train d'atterrissage (position du train, températures des freins), flight-control (position des gouvernes), carburant (gestion des réservoirs)).
Pilot view ^^
Avant de quitter le fauteuil de l'amiral, ce dernier me propose d'immortaliser l'instant, ce que j'accepte avec plaisir.
Il est temps de prendre congé de cet équipage absolument chaleureux, et de dire au revoir à l'A340-600, en espérant que ce n'est pas un adieu et que l'on continuera à voir voler quelques uns de ces beaux oiseaux pendant quelques années encore.
Nul doute que je suis dernier ! ;)
Welcome qu'il dit ! So thanks !
C'est reparti pour un tour de métro ! J'ignorais alors absolument où j'étais dans LHR géographiquement parlant. Je savais seulement qu'il fallait que je me rende du terminal 5 au terminal 4, en suivant simplement les indications mais avec la désagréable sensation de ne pas savoir vers quel point cardinal je me dirigeais.
Consultation du FIDS en passant.
Confirmation que le prochain segment sera bien au départ du T4.
Mais pour connaître la suite, rendez-vous au prochain opus ;)
Merci pour votre lecture !
A très bientôt !
Hello Cyrille !
Merci pour le partage et ce report super complet sur cette belle bête qu'est le 346 !
L'instant porte était très drôle :)
A très vite !
Bon à cause de ton FR j'ai craqué et réservé un vol en 346, ne l'ayant jamais pris et voulant le faire avant qu'il ne soit trop tard. :)
Je sens que je ne vais pas tarder à vous emboîter le pas... jamais eu l'occasion de voler sur -600 !
Merci Stephan !
Madre de dios, je vous ai contaminé tous les 2 ! ^^
Blague à part, je ne peux que t'approuver Stephan, et pour Yoke, allez-y foncez, n'hésitez pas un seul instant pendant qu'il est encore temps ;)
A bientôt !
Trois!
Merci pour ce superbe FR !
Je partage tout comme vous l'admiration du longbus, très bel avion aux jours malheureusement comptés. Vos photos lui rendent parfaitement justice !
À plus dans l'Airbus
Merci beaucoup ! L'A340-200/300 reste mon préféré mais l'A340-600 est vraiment un avion magnifique et assez extraordinaire avec sa longueur. Si jamais j'aurai un jour la possibilité de le reprendre, je choisirais un siège à la dernière rangée ^^
A plus ;)
Bonjour Cyrille et merci pour ce superbe partage. Pour ma part j'ai prévu de faire ma découverte du A340-600 sur ce même vol au début du mois de septembre ! En espérant tout comme vous que ce ne soit pas aussi un adieu... Savez vous si une upgrade en business était proposée ? En tout cas j'ai hâte d'être a bord de ce superbe appareil très bientôt.
Bon vols !
Merci Hugo !
Je n'ai pas vu d'upgrade proposée et, à vrai dire, j'avoue ne pas avoir cherché ^^
Profitez bien de votre prochain vol alors ! Et j'attendrai votre récit avec joie ;)
A bientôt !
Salut Cyrille, merci pour ce FR ;)
Un avion qui se faire de plus en plus rare pour une liaison européenne : un vrai mélange avgeek !
Par contre, à bord c'est la diète... Le groupe IAG s'est low-costisé avec l'arrivée d'Alex Cruz.
A+
Merci Jules !
Plus besoin de faire de régime. J'imagine bien leur nouveau slogan commun au groupe :
"Vous vous sentez ballonné ? Venez chez IAG !
Pour un vol IAG, 1kg vous est offert.
IAG, nous prenons soin de votre santé !" xD
A bientôt !
Merci pour ce FR !
C'est un vol qui me fait de l’œil depuis longtemps également ! L'A340-600 (et -500 malheureusement plus rare) sont vraiment de beaux avions, on ne peut que regretter leur disparition. C'est toujours agréable de rencontrer des équipages sympathiques.
A bientôt !
Merci beaucoup !
Le -500 est encore plus difficile à emprunter aujourd'hui, mais si je ne réussis pas à en prendre un, ce ne sera pas avec bcp de regrets car le -500 n'est rien de moins qu'un -600 un peu plus court ;) L'important est d'arriver à prendre au moins un des 2 !
Je regrette la fin de l'époque des quadris (747 classiques et -400, A340-200/300) mais la grande majorité de ces avions sont désormais anciens. Ce qui me fait plus mal au coeur est de voir des A340-300/500/600 relativement récents (>2005) mis au rebus sans repreneur. Je suis heureux de voir que les plus récents A340-300 ont pu trouver un nouvel avenir chez Air Belgium (au détriment d'un bénéfice plus délicat il est vrai ^^).
A bientôt !
Merci Cyrille pour ce très bon FR (que je lis avec beaucoup de retard!) où on ressent l'excitation à l'idée de découvrir le 346 ! C'est effectivement un très bel avion que j'apprécie beaucoup moi aussi, même si je n'ai pu le prendre qu'avec peu de compagnies (3). D'ailleurs, j'ai pris au début de l'été le même vol en sens inverse, FR à venir :)
Petit stress avec le changement de porte d'embarquement en dernière minute... De quoi laisser craindre une IRGAV mais heureusement l'objet du désir était bien là :)
La cabine et l'IFE sont plutôt dans le haut du panier pour de l'éco je trouve !
A bientôt !
Merci Guillaume ! :)
Il y a effectivement eu un changement d'avion, mais heureusement, un autre 346 était dispo pour la relève. J'ai eu chaud ! ;)
Ceci dit, s'il n'y avait pas eu un 346 prêt à prendre le relais, cela aurait été une grosse galère de dispatcher tout ce petit monde dans des A32x vu que ce vol était complet.
A bientôt !