Avis du vol entre Paris et Montreal en classe Economique avec Hi Fly

Bonjour et bienvenue pour ce nouveau flight-report !
Seulement 4 jours après être revenus de Norvège (à lire ou relire ici et ici), nous voici déjà ma copine et moi sur le chemin des tarmacs. En effet, j'ai eu l'immense chance de gagner via un concours un voyage de 8 jours au Québec, dont j'ai l'honneur de vous narrer les aventures aériennes !
Pour ce voyage, nous n'avons pas choisi la compagnie aérienne. Mais comme le hasard fait bien les choses, c'est avec Corsair que nous irons au Canada. C'est donc avec joie et allégresse que j'accueille cette nouvelle, car qui dit Corsair pour Montréal, dit vol affrété par Hi Fly en A340-300 ! Hi Fly est une compagnie portugaise spécialisée dans l'ACMI : aircraft, complete crew, maintenance and insurance. Vous en avez probablement entendu parler avec l'A380 de Singapore Airlines qui s'est trouvé une seconde jeunesse chez Hi Fly, et qui a été fraichement reporté par Elux. D'ailleurs juste avant nos rotations, notre destrier effectuait des rotations Auckland/Honolulu en remplacement des 787 Air New Zealand cloués au sol ^^
En plus du côté AvGeek de la chose et de l'A340-300 qui se fait de plus en plus rare, le vol n'a pas encore été reporté en classe économique, et seulement une fois en affaire. C'est donc sous les meilleurs auspices que commence ce voyage !
Mais place aux choses sérieuses :

• Paris Orly (ORY) - Montréal Trudeau (YUL) / SS900 : C'est ici
• Montréal Trudeau (YUL) - Paris Orly (ORY) / SS901 : C'est par là

48 heures avant le vol, je réussirai à nous enregistrer sur des sièges duo qui ont été rendu disponibles quelques heures après l'ouverture de l'enregistrement. J'ai choisi les places 63H et K en raison du rétrécissement du fuselage qui fait passer la configuration en 2-3-2 ; à cet endroit le couloir est plus grand :

Aujourd'hui c'est samedi, et aujourd'hui, c'est journée gros bouchons à Orly :

Sur Waze tout est rouge :

En parlant de rouge, en voilà qui ne sont pas contents :

C'est avec difficulté que nous arrivons en vue d'Orly sud :

C'est seulement après plus de 30 minutes d'embouteillages que nous réussirons à atteindre le dépose-minute qui lui aussi est totalement bouché :

Nous finissons tout de même par pouvoir nous extirper de notre carrosse, l'occasion de tirer le portrait d'Orly sud :

Notre embarquement se situe dans la zone A, dont l'entrée est surplombée par la tour de contrôle :

A l'intérieur, la densité de la foule est conforme à ce qu'on pouvait observer à l'extérieur :

Il y a foule aux comptoirs Corsair pour notre vol :

Hi Fly est bien mentionné sur les écrans :

Je me demandais ce que faisaient ces 3 personnes avec leur ordinateur sur un comptoir… et il semble qu'ils étaient en train de faire leur AVE (même chose que l'ESTA, mais pour aller au Canada !). C'est un peu méchant mais ça m'a fait rire ^^ :

Malgré tout ce monde, nous arrivons assez rapidement aux comptoirs :

Je demanderai au comptoir si, à tout hasard, il ne resterait pas des places en Business (autant se faire plaisir comme le voyage est gratuit !), ce à quoi l'agent me répondra que le vol est surbooké et que certains seront peut-être surclassé en porte. Il était aussi possible de passer par un système d'enchères avant le vol mais je reviendrai sur ça plus en détail à la fin du FR.
Dépôt des valises et récupération du BP papier, Corsair veut se protéger des retards en indiquant un embarquement assez longtemps avant l'heure de départ du vol :

En tout cas pour le moment tout va bien, le vol est toujours annoncé à l'heure :

Direction le duo PIF-PAF :

A défaut de faire des courses au salon, il est possible de les faire à Carrefour :

Jusqu'ici, tout va bien :

Je me jette sur la baie vitrée attenante pour mettre en boite quelques avions. Ici Transavia en 737 avec F-HTVE, et la pilote ou co-pilote en train de parler depuis son cockpit :

EuroAtlantic, une autre spécialiste de l'ACMI portugaise elle aussi avec son Boeing 777-200ER CS-TFM, qui fait des A/R Paris / New York tous les jours pour le compte de Norwegian :

Mais c'est surtout l'occasion d'avoir une toute première vue sur notre avion qui est stationné au large. C'est 9H-SUN, qui appartenait auparavant à Srilankan Airlines, mais qui a surtout démarré sa carrière dans l'hexagone sous les couleurs d'AOM, avec l'immatriculation F-GTUA :

On peut voir le logo Corsair, qui est apposé sur l'avion le temps de sa location par Corsair.
Mais trêve de bavardage, il est temps d'aller à la PAF :

15 minutes d'attente sont prévues pour le combo PIF/PAF :

Passage par l'envers du décor :

Le PIF sera passé assez rapidement et sans encombre. Direction la PAF où nous choisissons de prendre la file PARAFE :

Cette option se révèlera être la bonne, on ne se bouscule pas pour passer. De plus une personne est présente pour guider les âmes en peine, ce qui représente une amélioration depuis la dernière fois que j'avais utilisé PARAFE (2 ans), où les gens devaient se débrouiller seuls !

Le système en lui-même s'est d'ailleurs bien amélioré, avec une reconnaissance du visage à la place d'une reconnaissance par empreinte. Le passage par le portique a vraiment été rapide.
A la PAF classique il y a un peu plus de monde, d'où l’intérêt de PARAFE :

Le passage PIF/PAF a été fait en moins de 15 minutes, promesse tenue donc ;-)
La suite par ici :

Arrivée dans le Hall A :

Il me semblait que le salon Corsair se situait avant la PAF. A-t'il migré ?

J'en profite pour passer au checkpoint fidélité ADP même si ça ne m'a pas encore servi ^^ :

Le coin est bien fourni en boutiques diverses et variées. La personne avec un costume rouge faisait une animation en mode cirque :

Notre embarquement est annoncé à 14h30 sur un des nombreux écrans :

Un salon diversement apprécié des membres de Flight-report :

Le coin est en travaux, tant mieux car c'est l'endroit que je trouve le moins agréable dans le Hall A :

On peut y observer notre vrai-faux A340 Corsair (Un petit nettoyage des vitres serait de rigueur, d'ailleurs :)) :

Mais notre porte est plus loin, le stationnement au large de l'avion ne laisse aucun doute quant au Paxbus qui nous attendra :

Nous arrivons dans la partie la plus agréable du Hall A, la jetée qui a été inaugurée en 2016 et qui reprend l'architecture du terminal 2E de CDG, qui est plus lumineuse et plus haute de plafond :

Je profite donc pour en faire le tour, j'y croiserai l'A340 de Plus Ultra affrété justement par Corsair. Au vu des FR sur ce dernier, je préfère Hi Fly :

L'extrémité de cette jetée très réussie :

Notre embarquement n'a toujours pas été annoncé mais nous décidons de rejoindre notre porte. L'occasion de jeter un coup d’œil sur notre porte d'embarquement dédiée aux paxbus :

Nous rejoignons notre porte A17 :

Pour cela il faut descendre, mais arrivé dans la salle d'embarquement, c'est la déception : autant la jetée juste en haut est très réussie, autant ce hangar qui sert de salle d'embarquement est désagréable : pas assez de places assises, assez forte chaleur alors qu'il ne fait pas si chaud dehors. C'est bien dommage !

D'ailleurs nos voisins de portes ont moins de chance que nous avec leur vol retardé :

Pour nous tout va toujours bien :

Il est 15h et l'embarquement annoncé à 14h30 n'a toujours pas commencé, ce qui n'empêche pas une longue file de passager qui attendent déjà. Je n'ose même pas imaginer 2 vols embarquant en même temps dans ce hangar ^^ :

L'embarquement est finalement lancé plus tard, avec annonce des priorités qui ne sont pas vraiment respectées, la foule s'étant déjà massée en porte :

L'embarquement en paxbus sera assez lent puisque nous attendrons encore 10 minutes supplémentaires, mais nous partons enfin sous le regard de ces derniers :

L'occasion d'observer les travaux qui continuent à Orly :

Mais aussi de passer derrière ce bel A330 Air Caraïbes :

Puis Transavia avec son 737-800 F-HTVD, Aigle Azur avec son A330-200 F-HTIC qui dessert depuis quelque temps Pékin depuis Orly, ainsi que French bee avec son A330-300 F-HPUJ qui part pour la Réunion :

EuroAtlantic déjà observé en début de FR :

Mais la star du jour trône juste à côté :

Pas de doute sur son identité :

Connaissant les règles en matière de prises de photo à Orly, voici quelques photos volées de notre destrier :

L'attente sera un peu longue dans l'escalier :

L'accueil par l'équipage portugais sera sympathique en porte, nous découvrons la cabine en mode un peu vieillot (Hi Fly a gardé la cabine du propriétaire précédent, Sri Lankan Airlines, et conserve d'ailleurs les équipements d'origine des anciens opérateurs dans toute sa flotte) :

Bon, au moins les sièges paraissent rembourrés et confortables ^^
Après avoir traversé tout l'avion nous arrivons à nos places 63H et K, où une couverture et un kit confort sont disposés :

Le plafonnier accuse clairement l'âge de l'avion :) :

Je suis satisfait de la vue depuis mon hublot :

Le chargement en soute est terminé :

Plein de dérives typiquement orlysiennes :

Je suis content de pouvoir voler à bord de cet A340-300 qui se fait de plus en plus rare :

L'IFE est disponible depuis notre arrivée dans l'avion :

Les démonstrations de sécurité ont lieu, notre départ doit donc être imminent. Pas de vidéo, tout est fait à l'ancienne, et avec le sourire pour l'hôtesse de notre côté :

Mon présage était le bon et le repoussage aura lieu dans la foulée à 16h10, soit 25 minutes après l'horaire de départ théorique. Le temps de vol annoncé est de 7h20 :

La tour de contrôle :

Une nouvelle séance de spotting peut commencer et nous croisons en premier cet A320 Qatari, qui doit être une prise rare à Orly, immatriculé A7-AAG et qui m'a beaucoup intrigué. Après recherche, c'est en fait un avion qui appartient à la famille royale du Qatar, qui opère des vols via la compagnie Qatar Amiri Flight. Cette dernière fait des vols charter sur demande uniquement pour la famille royale du Qatar et les hauts gradés du gouvernement. Cet A320-200 est le seul A320 "classique" de la flotte : les 2 autres sont des ACJ320 pour "Airbus Corporate Jet", ou plus simplement des avions convertis en avion d'affaires ^^

On revient sur du plus classique avec ce 737 Transavia en plein embarquement :

Et ce 777-300ER COI pour Fort-de-France :

F-HPUJ, A330-300 et premier avion de French Bee anciennement French Blue :

F-HTIC observé tout à l'heure, mais tous ses copains sont partis :

Il est déjà temps de quitter tout ce beau monde car nous arrivons au seuil de piste, après 10 minutes de roulage :

Décollage :

La vidéo :

J'avais lu que la montée de l'A340 était lente, je ne serai pas déçu à ce sujet ^^
Villebon-sur-Yvette :

Pour une fois, j'ai une vue dégagée sur Paris et la Tour Eiffel, et d'assez bas vu qu'on ne monte pas très vite :

La Défense :

Les deux réunis :

Palaiseau :

L'école polytechnique de Palaiseau :

La Défense de nouveau, mais de plus haut et Nanterre à gauche :

Nous sommes maintenant au dessus des Yvelines et de la forêt de Rambouillet et Trappes au fond :

En cabine, mon espace vital vient d'être sérieusement réduit avec ma voisine de devant qui a incliné son siège :

Le rang qu'il ne faut surtout pas prendre au milieu, décalé du fait du passage du 2-4-2 au 2-3-2 :

Le signal pour les ceintures est toujours allumé sur notre plafonnier vintage :

Le ciel devient moutonneux :

Je profite de cet intermède nuageux pour vous présenter l'IFE, tout en sachant que ça sera rapide (j'en profite d'ailleurs pour remercier Lucky Luke de m'avoir donné des informations sur cet avion). Ce dernier est réactif et possède une prise jack, ainsi qu'un port USB pour recharger les périphériques.
Voici l'écran d'accueil, très limité en contenu :

Il y a très exactement 10 films mais qui ne sont pas vraiment récents, dont voici la liste :

Bon, au moins HiFly a fait l'effort de charger des films français, c'est toujours ça. Amis cinéphile, passez votre chemin, ce n'est pas sur ce vol que vous referez votre retard de films. Pour ma part, la sélection suffira, je regarde rarement plus d'un film par vol. Mais cela reste très léger par rapport à la concurrence !
Le plus regrettable reste pour moi l'absence de géovision personnelle, autant pour le catalogue de films je peux comprendre que HiFly ne veuille pas payer pour les derniers blockbusters, autant pour la géovision je ne comprend pas.
Siège Recaro :

Le ciel se découvre seulement au moment de quitter les cotes françaises, après 40 minutes de vol, au large de Barneville-Carteret dans le département de la Manche :

L'excroissance de terre correspond à Flamanville, ville bien connue grâce à son EPR qui défraie régulièrement la chronique :

Les îles anglo-normandes pointent rapidement le bout de leurs terres, avec ici l'île d'Herm (en haut) et l'ile de Jéthou, qui dépendent de Guernesey et comptent respectivement 60 habitants et 3 habitants :

Guernesey apparait d'ailleurs sous nos yeux, mais les nuages auront raison de la vision complète de l'île :

Heureusement, la première prestation arrive à point nommé, avec les boissons :

Quelques traces sur ma tablette :

Voici notre plateau qui arrive juste après, je ne me souviens pas avoir eu de menu distribué, seul le choix viande ou poisson nous a été proposé. L'équipage utilise plus l'anglais que le français, même s'ils ont quelques mots de vocabulaire, pour servir les plats. Pour moi ça sera poisson :

Le tout est assez bon et les portions correctes, j'aurais juste préféré une entrée un peu plus consistante.
Café ou thé seront proposés en fin de repas. A ce sujet, une PNC a été assez maladroite en renversant du café sur un passager. Le service café/thé est étrangement fait sans trolley, donc pas facile pour les PNC d'être adroit dans cet exercice !
Je profiterai d'un autre passage de boissons pour faire une photo signature (dont la tradition se perd de plus en plus au profit des instants en tout genre :p) :

Voici mon plateau marathoné, soyez indulgent car je suis encore débutant dans ce domaine :) :

Le ciel est couvert ce qui m'empêchera de voir l'Angleterre et l'Irlande :( :

Si jamais un délestage en kérosène doit se faire, c'est via ce tube :

Parlons du pas que je n'ai pas encore évoqué, je me suis senti un peu serré avec mon mètre 80, encore plus avec ma voisine de devant et son siège incliné :

Une des rares fois où le ciel apparaitra découvert pendant notre traversée de l'Atlantique :

Je profite de la fin du repas pour me dégourdir un peu les jambes, par endroit la cabine est un peu en mauvais état :

Un instant porte vu de l'intérieur :

La cabine est remplie à 100%, et on peut voir les IFE centraux qui diffusent la géovision, que je ne peux malheureusement pas distinguer de ma place :

Un autre instant porte pour la santé :

La fameuse géovision un peu vieillotte qui nous indique que notre traversée transatlantique est déjà un peu entamée :

L'endroit où le couloir s’élargit à l'arrière de l'A340, et là où j'ai choisi mes places, mais a l'opposé :

Cet espace semble servir d'espace de repos pour l'équipage, en tout cas il y a un objet qui ressemble à un lit de camp :

Passage aux toilettes propres même si le sol accuse son âge :

De retour à ma place, je jette un coup d’œil à la littérature de bord avec le magazine Corsair :

La fiche de sécurité :

Vomibag :

Un instant incivilité dont on se serait bien passé :

Je profite aussi de tout ce temps pour faire face à mes obligations :) :

Un peu plus tard nous irons chercher des snacks qui sont disposés au niveaux des galleys (ainsi que des boissons) :

Dehors, je crois que l'IFE naturel est resté bloqué ^^ :

Le kit confort que je n'ai pas utilisé, composé d'une paire d'écouteurs intra-auriculaires, un masque de nuit ainsi que de bouchons à oreilles :

Nouvelle promenade un peu plus tard, nous en sommes à peu près à mi-vol, mais ce n'est pas à Chicoutimi que nous nous poserons :) :

Petite promenade dans le galley :

Je profite d'un hublot inoccupé pour capturer nos magnifiques 2 réacteurs droits :

Un petit film de retour à ma place pour passer le temps :

#EnModeBougeotte me revoilà debout, j'en profite pour consulter notre position, nous ne sommes plus très loin des terres :

Justement, les terres pointent le bout de leur nez quelques dizaines de minutes plus tard :

C'est à ce moment qu'une collation nous est servie, avec demande de double ration gentiment acceptée :

Nous traversons ensuite le gofle du Saint-Laurent :

Le bout de l'île d'Anticosti, la plus grande île du Québec et aussi grande que la Corse, mais peuplée de seulement 300 habitants (dont 295 à Port-Menier qui se trouve sur la dernière photo) :

L'instant winglet :

Nous sommes maintenant au dessus de la rive gauche du Saint-Laurent, ce qui nous promet des très belles vues :

Rimouski et son aéroport en haut à droite :

La vue est vraiment agréable :

La début de la descente est annoncé alors que l'on vient tout juste de dépasser Québec :

A cet endroit le Saint-Laurent se rétrécit :

Le pont qui mène à Trois-Rivières :

Le lac Saint-Pierre qui délimite le début de l'estuaire du Saint-Laurent :

.

Virage sur la droite, l'arrivée est proche :

Distribution à ce moment-là de bonbons aux couleurs de Corsair :

Passage au dessus du Saint-Laurent :

Nous survolons maintenant l'ile de Montréal :

Le pont Papineau-Leblanc qui relie Montréal à Laval :

L'Établissement de détention de Montréal, mieux connu sous le nom de prison de Bordeaux :

Notre atterrissage est proche :

Les volets sont dans la bonne position :) :

Atterrissage :

La vidéo :

Notre première rencontre se fera avec un CRJ100 d'Air Canada Express :

A310 Air Transat et A330-300 Air Canada :

Nous nous garons à côté d'un autre A330-300 Air Canada :

Pas de doute à la tête de cette camionnette, nous ne sommes plus en Europe :) :

Aucun temps à perdre avec la soute en cours de déchargement :

Les pressés de service sont déjà dans les starting-blocks :

C'est à notre tour aussi :

Vue sur la cabine business que nous aurons peut-être l'occasion de prendre au retour, les explications dans un instant :) :

A dans 8 jours l'ami :

C'est parti pour le cheminement vers l'immigration et les valises :

Le cheminement passe au dessus des salles d'embarquement, ce qui permet de voir cet A340 Lufthansa :

Ainsi que cet A330 KLM :

Les indications de cheminement sont claires et le passage de la frontière expliqué :

C'est par ici pour ceux qui sont en transit :

Arrivée dans la fameuse salle, le temps de passage annoncé était de 15 minutes :

La file est assez fluide et du personnel est là pour diriger les gens dans les files, pour répondre à des questions et se faire prendre en photo sur cette machine :

Une sorte de ticket de caisse à conserver est édité, puis quelques questions concernant la nature de notre voyage sont posées par un agent des frontières. Il ne reste plus qu'à aller chercher les valises :

Nous récupérons nos valises après quelques minutes d'attente, malheureusement celle de ma copine arrivera tâchée et avec une forte odeur de poisson… Une réclamation à été faite à Corsair qui nous a répondu, en résumé, que c'étaient des choses qui arrivaient et qu'ils ne pouvaient rien y faire. Je ne connais malheureusement pas assez la législation dans ce type de cas…

Un dernier passage devant un agent qui récupère nos tickets édités à la borne et nous sommes enfin libres :

Nous devons rejoindre l'agence de location, qui nécessite de passer à l'extérieur et d'aller dans le bâtiment des parkings en face :

Nous récupérons enfin ce très beau char, comme diraient les québecois :) :

Le tracé du vol :

Concernant le vol retour, j'ai tenté le surclassement aux enchères de Corsair. La cabine Hi Fly étant doté uniquement d'une classe éco et d'une classe affaires, il est donc possible de faire une enchère pour passer directement à la classe Affaire. L'enchère minimum est fixée à 250€ par personne. J'ai tenté 290€, offre considérée comme ayant une chance "moyenne" d'aboutir (sachant qu'une jauge permet de savoir si l'offre à une chance "faible", "moyenne","haute" ou "excellente d'aboutir) :

Vais-je être surclassé pour le retour ? C'est sur ce suspense insoutenable que vous remercie de votre lecture et vous donne rendez-vous pour le voyage retour :)