Bonjour à tous,
On se retrouve pour le 3ème vol vers le Cambodge !
Sorti de mon avion Aegean en provenance d’Athènes avec mon BP en poche, je me dirige vers le salon Turkish Airlines.
Celui-ci n’est pas très loin. L’accueil est quelconque et la machine me remet ce ticket.


Un salon à l’image des ambitions de la compagnie.


La première chose que je souhaite faire : prendre une douche. Cela me sera accordée après 3 minutes d’attente.
Faut aimer le marbre, mais c’est propre !

Je n’ai pas très faim après ma douche mais je me dégourdis les jambes en me donnant faim. Cela dit, j’ai beau vouer un culte au Pad Thaï, ce n’est pas ce dont j’ai envie à 10h.

De nombreux réfrigérateurs ornent le salon.

Ce salon dispose vraiment de ce qu’il faut pour ne pas voir le temps passer.



On voit en face à droite l’ancien Skyteam Lounge.

Bon, je suis faible … je cède à quelques salés.

Pour le sucré, c’est ici.


Cette salade de légumes grillés est aussi bonne que belle.

Les alcools forts sont en libre-service, mais isolés.

Je goûte également quelques pidés.

Enfin, ce n’est pas tout, mais le temps passe … je me dirige vers la porte d’embarquement qui est tout au bout du terminal. Il me faudra 8 bonnes minutes pour y accèder et je ne marche pas lentement.

Ah, ça sent le paxbus !

Caramba

Je passe par la file dédiée, bonjour Monsieur, bon voyage Monsieur, et hop, Cobus !


Turkish-land



Et le voici que voilà, mon gros Boeing du jour !


L’effet SQ se met en place : accueil soigné, je suis accompagné à mon siège que voici.


Pas de trousse de confort sur SQ en classe Affaires : tout est disposé sur l’accoudoir.


A droite, pour changer… un gros porteur TK.

Remarquez-vous le truc en bas à gauche ?

C’est cassé ! Mais pour une fois, ce n’est pas moi qui ait cassé ce truc ?

L’embarquement prend un peu plus de temps que prévu, et l’hôtesse d’origine sri lankaise en charge de ma cabine va tout faire pour meubler l’attente.

Elle commence déjà par distribuer des oshiboris chauds, puis ensuite, plusieurs boissons d’accueil sont proposées.

Pour ma part, ce sera champagne.

Le menu est distribué après le pushback. J’aime beaucoup le visuel.


Pendant le roulage, les vidéos de sécurité sont diffusées sur les IFE et ma super hôtesse propose divers journaux et magazines. J’en profite pour m’assurer que les copines en partance de Bali pour Siem Reap sont bien en chemin, jusque-là, tout roule.

Nous devançons une horde de mono-couloirs turques.

C'est parti pour un décollage sous ce grand soleil.


De mémoire, je n’ai jamais vu la ville d’aussi haut à la lumière du jour.

Je profite du temps de la montée pour parcourir le menu, sachant que je n’ai pas commandé de Book the Cook cette fois-ci.
Je commence par voir ce qui a été proposé aux passagers sur le vol précédent. Il y a de bonnes choses du côté des plats, que ce soit du côté du diner ou du petit déjeuner à l’arrivée.




Assez séduit par ce qui est proposé au déjeuner : mon choix se porte sur l’agneau.


Je ne me dévouerai pas sur les « Delectables », préférant dormir.

Pour le petit déjeuner, par contre, ce sera des noodles ! J’aime beaucoup les petits-déjeuners en Asie et je ne perds pas de temps pour me remettre dans le bain.


Je profite d’un temps mort pour aller me laver les mains et faire un tour du propriétaire. Je souhaite vite dormir après le déjeuner pour me recaler sur le fuseau horaire local.
A priori il ne manque rien pour satisfaire l’ensemble des passagers.






La carte des vins et des cocktails est riche, et en parlant de cocktails…





…je commence par un Singapore Sling.

Le choix de magasines déjà posés à côté du siège m’occupera l’esprit pendant que je bois mon cocktail.



N’est-ce pas une des meilleures vues au monde ?

Un plateau fait son apparition et marque le début officiel du service.

C’est aussi bon que beau.

L’entrée vient ensuite, après que l’hôtesse ait posé une nappe, un verre, les condiments et des couverts.

Les produits sont simples, la présentation est cohérente, c’est une entrée sans trop de risques mais fraiche et bonne.

Plusieurs pains sont proposés : dormant seul, je jetterai mon dévolu sur le pain à l’ail ?

J’accompagne l’entrée d’un blanc bourguignon, un bon choix.

Pour le plat, c’est agneau. Je suis resté sur ma faim, je pense que le seul agneau que je peux mangé, c’est celui qu’assaisonne ma mère. Cependant, la cuisson est bien exécutée et c’est tellement rare en avion que ça mérite d’être souligné.

Le Bordeaux que je choisis pour l’accompagner, lui, dépassera clairement mes attentes.

Le dessert est proposé… allez, pour ne pas vexer ma jolie hôtesse. ?

Par contre c’est no go sur le fromage, je n’ai plus faim du tout. Je prends seulement une pomme verte.


Des chocolats seront proposés, ils resteront là…

Je pars me brosser les dents et à mon retour, le lit est fait.

Je m’y glisse et il me faudra 1 minute 30 pour m’endormir.

J’ai dormi 6h30, une bonne moyenne me concernant.

Il nous reste encore 2 heures de vol à ce moment-là mais impossible de me rendormir.


Lorsqu’elle me voit réveillé, ma SQ girl vient me donner un oshibori chaud pour que je me remette les idées en place. Ma tête au réveil reste une merveille on dirait ?

J’ai également le droit à un jus de pomme pendant qu’elle prend ma commande.

Lorsque je demande à ce que les nouilles Udon soient « spicy », l’hôtesse cherche son sac à main et me tend ses épices. « This is what I use to spice up my meals. I hope you’ll like it.” Je suis agréablement surpris de cette attention, qui en dit long sur la qualité du personnel SQ.

La nappe est disposée, je préfère prendre mon petit déjeuner pour me réveiller et un peu avant les autres… ça me permettra d’avoir un peu de temps pour me rafraîchir et me changer dans les toilettes sans avoir à faire la queue.

On commence avec des fruits frais.

Suivi d’un birchermuesli, tout à fait correct.

Viennent ensuite les nouilles Udon, qui étaient très bonnes.

Un thé vert me sera servi pour accompagner tout cela.

Puis un oshibori marquera la fin du petit déjeuner.

Tout est bon mais je suis un peu embêté par l’impossibilité de ne pas pouvoir manger salé avant de manger sucré. Je fonctionne dans cet ordre et l’ordre m’a un peu surpris – je m’en suis remis, rassurez-vous.
Je pars me dégourdir les pattes tout au fond de l’avion : la cabine s’éveille petit à petit.

Nous atterrissons dans 15 minutes, je mets le film que je regarde en pause en espérant le voir sur le vol suivant.


Content de retrouver cet île-état.


Arrivée un peu rapide…


Kiss landing sans kiss.

Sortie rapide et je me dirige vers le Skytrain pour le vol suivant.
Merci Ilyes pour le partage !
J'ai volé sur cette même ligne il y a quelques mois et le service est similaire. Plaisir d'entrer dans la cabine lorsqu'il fait jour! Miam le Bircher muesli
Merci Ilyes pour ton FR.
Bien que SQ utilise le salon flagship de TK à IST (ou alors est-ce du à ton statut Star Alliance?)
La cabine est de deux générations en arrière mais elle fait encore le job, dommage pour le rafistolage au scotch.
Catering bien mais je tique sur l’absence de nappe pour le service du satay.
A+ ;)
Hello!
Ah que de bons souvenirs! Ce IST-SIN est bien le premier prix pour faire du SQ en J.
Il y a deux ans, il n'y avait pas de BTC au départ de IST, apparemment ça a changé, tant mieux.
Un très bon vol avec un PNC très très sympathique, encore une fois SQ cartonne!
Merci pour le partage, à bientôt!
Merci Ilyes pour ce FR.
Un beau vol pour se faire plaisir. Difficile pour une compagnie aérienn de rivaliser avec les petits plats de toutes les mamans du monde !