Avis du vol entre Newark et Barcelona en classe Economique avec Norwegian

Bonjour à toutes et à tous!

Introduction

Me revoilà pour le vol retour vers Barcelone après avoir passé deux semaines dans New York et sa région.
Pour le pourquoi du comment du voyage, je vous invite à consulter le report du vol aller.

La veille de ce vol, de violents orages se sont abattus sur la région. Newark,La Guardia et JFK ont été fermés une bonne partie de l'après-midi. Les vols ont été déroutés, annulé…bref, un gros bazar.  
Le matin du vol je reçois un message de Norwegian m’informant que notre vol est retardé de 40 minutes et partira donc à 23h40. 
Ce vol est une exclusivité sur Flight-Report.

Veuillez m’excuser de la qualité de certaines photos (prises à la va-vite à Newark).

Voici le routing, plutôt simple 

Aéroport de Newark liberty

Arrivé à l’aéroport de Newark par train puis, liaison jusqu’au terminal grâce à l'AirTrain.

Vu sur les appareils (Un orage vient de passer)

Sortie du train et direction les guichets.

Cependant, nous tournons pendant 10 minutes sans les trouver. En effet, Norwegian a récemment changé de niveau dans le terminal. Les panneaux indiquent des directions et des étages contradictoires!

Arrivé en vue des guichets et là…inimaginable… une queue énorme s’étant des guichets Norwegian. Nous mettrons une heure à la parcourir ! (La file faisait approximativement 300 mètres).
La "raison" à cela est que deux vols partent presque à la même heure. Un pour Rome et le notre pour Barcelone. 

Instant cage à bagage

Les bagages premium des deux vols sont laissés au milieu… 

Nous disons au revoir à nos amis et passons les (stricts) contrôles de sécurité en 20 minutes. 
Nous débouchons alors sur un long couloir doté de quelques boutiques. 

Au bout une rotonde bondée.

Les lounges, hélas pas pour moi… 

Salles d’embarquement pleines, c’est l’heure de pointe !
Les toilettes sont assez propres 

Un peu de spotting pour passer le temps avec ici un A340 Air Belgium pour Warsam (OO-ABD)

Embarquement en cours pour Porto en A321NEO (CS-TXA). Malheureusement, l’appareil n’est pas visible.
Un 777-300ER Emirates (A6-ECX) pour Athènes puis Dubaï; 

Un 787 de United qui va faire du béton toute la nuit.

L’attente se poursuit…sans qu’aucune annonce ne soit faite…
Notre avion (LN-LNV) qui a quasiment deux ans. Jonathan Swift (un écrivain) orne son empennage.

Alors que je prends quelques photos, on nous informe que l’embarquement sera lancé dans une vingtaine de minutes et alors là, incompréhension. Tout le monde se précipite en porte pour attendre! Tout ce grand bazar alors qu’il y a une place pour tous dans cet avion. Evidemment, les gens commencent à s’asseoir dans cette file…tout un spectacle que nous observions tranquillement assis sur nos sièges à regarder les avions…Comble de l'ironie, la salle est maintenant presque vide

Les documents de voyage 

Le vol

L’embarquement est finalement lancé à minuit (avec deux heures de retard). Jet bridge aveugle.

Instant porte

Suivi d’un fuselage shoot.

Instant SKYTRAX

Accueil simple, vue sur la cabine.

Le pas

Mon espace

La ceinture

Les consignes de sécurité recto/verso.

L'écran

A ce moment, un énorme bruit déchire la cabine…BORDING COMPLETE…élan de joie, nous sommes deux sur le trio ! Un vrai plus, pas de guerre d’accoudoir et un vol beaucoup plus agréable en prévision.
Le matin du vol, le siège central était occupé… 

Le magazine du mois d’août

Qui a déjà servi d’atelier coloriage…mis à part, la cabine est plutôt propre.

Le réseau européen

Ainsi qu’Américain

Détail sur l’appareil du jour

Le commandant prend la parole et nous annonce que 30 bagages sont victimes d’un contrôle supplémentaire, augmentant notre retard. Il nous informe qu’il essaiera de rattraper un peu de retard en vol
L’écran nous vante les mérites de la premium économie 

Prise sous les sièges

Repoussage à 00h52…
Puis le roulage commence 

Nous laissons décoller un «petit» Cessna grand Caravan de FedEx puis c’est à nous.
Décollage d’une durée de 46 secondes à 1h07 du matin, soit avec plus de deux heures de retard (en grande partie inexpliqué)^^

Au centre l’aéroport d’où nous venons de décoller.

Puis, nous survolons Manhattan, instant magique…beaucoup plus beau en vrai que sur les photos

Au milieu, à gauche il s’agit de Times Square avec ses écrans géants.

Petit point noir, le wifi ne sera pas disponible sur ce vol contrairement à l'aller.
La géovision avec les différentes vues disponibles. 

Ma préférée, la vue du cockpit avec toutes les données de vol. 

Alors que nous sommes toujours en montée, je jette un coup d’œil à la vitesse et là, surprise, nous volons à plus de 1000km/h! Nous conserverons cette vitesse durant la totalité du vol en ayant une vitesse maximale de 1055 km/h.

Détails de l’IFE

Les repas sont rapidement servis. Pour rappel ayant un billet « low fare+ » un repas nous est proposé.
Le plateau végétarien 

Mon repas dont je suis plutôt satisfait sauf pour le désert ; en effet, la seule note du sucrée était un carré de chocolat.

Ne dormant jamais en avion, je me suis rendu compte que dans le noir de la cabine, la luminosité de l’écran est très forte (même au minimum) et fait mal aux yeux. Cela m’empêchera de regarder un film au cœur du vol.

Autre détail qui m’énerva une bonne partie du vol, l’équipage a verrouillé les hublots en position sombre, nous ne pourrons donc pas apercevoir le lever de soleil.
Néanmoins, cela nous donne quelques photos collector^^  

Enfin, on nous laisse le contrôle…

Cette lumière ne dérangera pas mon voisin

La cabine

Taux de remplissage d'environ 75%

Notre aile

Appui-tête réglable. Plusieurs sièges de la cabine ne disposeront pas de têtières…au débarquement, j’apercevrai même un siège sans appui-tête…

Port USB…

Une collation nous est servie (Sandwich pas très bon)

Santé !

Le grand hublot 

Il est heureusement interdit de fumer à bord

Instant F-OITN/cabine

Quelques vues…

Le wing flex

Quelques vues supplémentaires 

Arrivé au-dessus de la péninsule ibérique au niveau de la ville portugaise d'Afife.
L’arrière de notre trent-1000

Quelques vues du début de la descente…
Des champs,

La ville de Lérida

Aux alentours de cette même ville.

Voici clairement un objet de débat. Grand hublot mais  qui peut être contrôlé à distance…faites vos choix

Le paysage…

Aérofreins de sortie pendant un long moment, on ne va pas tenter un atterrissage à 1000km/h^^

La fin approche…une vue d'ensemble

On distingue l'aéroport de Barcelone.

Magnifique approche au-dessus de la capitale Catalane

C'est l'heure de pointe, quelques virages au-dessus de la mer pour s’aligner.

Continuons

Mood light

En finale au dessus du port.

El Llobregat

Toucher à 13h44 au lieu de 12h15. Le tout sur la piste 25R.

Freinage

Pas de doute sur la destination…

On dégage la piste

Deux 787-9 de la compagnie au nez rouge… (LN-LNR au premier plan et le premier 789 reçu par DY en arrière-plan) 

Un 767 (un peu flou) de la LAN arrivant de Lima.

Direction la porte après un très court roulage.

A380 Emirates au T1, appareil que j'ai eu l'occasion de prendre en février.

Les deux 787-9

Instant danette

Même les camionnettes ont le nez rouge ici !

A320 Easyjet

Mon siège

La première cabine

Des sièges

Un passage par le cockpit s’impose :) (pas de photo). Je discute avec les pilotes mais je suis prié de sortir rapidement (par un agent de l’aéroport) pour ne pas retarder les opérations…
C’est donc bon dernier que je sortirai à 14h30… Vu sur la cabine. 

Notre nez

Freddie Mercury nous surveille

Aeroport de Barcelone el prat

Quittons LN-LNV

Nous revoilà à Barcelone

787-9 LN-LNR 

Une impression de solitude nous envahit !

On est de retour sur le sol européen très rapidement.

Longue attente avant de récupérer nos valises…qui seront finalement distribuées par deux tapis à la fois, ce qui occasionna un mouvement de foule important.

Direction la sortie

Ce panneau vante les mérites du futur terminal 1…construit pour les Jeux Olympiques de 1992.

Avec ma sœur, nous nous rentrerons par train (heureusement que nous avions pris une bonne marge). La connexion avec le métro est très facile si ce n’est qu’il faut sortir pour rentrer à nouveau au niveau des départs.

C’est ici que je vous quitte.

Le vol par Flight Radar 24

Notre avion et les informations du vol.

J’espère que mes deux premiers reports vous auront plu. N’hésitez pas à me commenter.
Je ne sais pas quand je serai de retour pour de nouvelles aventures, le plus vite possible je l’espère.
A bientôt.