Avis du vol entre Montreal et Fort-de-France en classe Affaires avec Air Canada

Bonjour à tous,
On se retrouve pour le dernier vol de ce routing qui doit m’amener vers la Martinique.

Aéroport Paris CDG – Aéroport Istanbul Ataturk, Joon, Classe Economique
Aéroport Istanbul Ataturk – Aéroport Paris CDG, Turkish Airlines, classe Affaires
Aéroport Paris CDG – Aéroport Montreal Trudeau, Air Canada, Classe Affaires
Aéroport Montréal Trudeau – Aéroport de Fort de France, Air Canada, classe Affaires
Aéroport de Fort de France – Aéroport Montreal Trudeau, Air Canada, classe Affaires
Aéroport Montreal Trudeau – Aéroport Genève Cointrin, Air Canada, Classe Affaires
Aéroport Genève Cointrin – Aéroport Istanbul Ataturk, Turkish Airlines, classe Affaires
Aéroport Istanbul Ataturk – Aéroport Paris CDG, Joon, classe Economique

J’ai séjourné au Holiday Inn de l’aéroport, dans le cadre d’une offre Escale par Air canada pour la modique somme de … 3 $CAD.
Un tableau des départs est disponible à la réception.

Une navette m’emmène à 06h00 vers le terminal, le trajet dure 10 minutes et nous dépose au niveau des vols US/Canada.

Je dois remonter le terminal pour me rendre au comptoir des vols internationaux.

J’ai déjà ma carte d’embarquement mais j’ai besoin de savoir si mon bagage va bien me suivre – le prochain vol est prévu pour Mardi, je n’ai pas envie de rester deux jours sans mes affaires.

L’agent me réimprime ma carte d’embarquement pour commencer, et descend avec moi aux bagages (très pro de sa part) pour s’assurer que ma valise est bien partie… elle est aussi perdue que moi car « les règles changeraient tout le temps ».
Je passe la PAF à la vitesse de l’éclair puis je me dirige vers le Duty Free pour y acheter un parfum.

Je me dirige ensuite vers le salon Feuille d’Erable que j’apprécie pour son agencement et son design.

Il y a un peu de monde au buffet… un réveil à cette heure indue, ça creuse !

Je milite pour la chocolatine. D’autres ici militent pour le pain au chocolat. Les canadiens ont, pour leur part, trancher sur le sujet.

Si vous comptez sur un salon pour faire votre after, je crois que celui-ci n’est pas le bon.

Voici ma sélection pour ce petit déjeuner : des saucisses de poulet et des œufs, accompagnés d’un café.

Du jus de cranberry.

De l’avoine.

Je profite des nombreuses prises adjacentes aux sièges pour recharger mon téléphone, avant de me rendre en porte d’embarquement.

Le 767 d'Air Canada Rouge que l'on voit depuis le salon est en partance pour Cancun.

Là encore, l’embarquement est structuré par Zones et les priorités seront respectées.

Voici le siège Business qui équipe les 737 Max d’Air Canada.

Le pas est confortable et l'écran est suffisamment grand.

Nos bagages sont chargés durant l’embarquement. J’aperçois le mien.

Le port USB situé sous l’écran me permet de recharger mes autres items.

L’avion en partance pour Cancun s’en est allé, offrant ainsi une belle perspective sur l’aviation commerciale canadienne.

Une bouteille d’eau est distribuée ainsi que le menu du jour.

Notre pushback intervient avec 5 minutes de retard, rien de dramatique.
A l’extérieur, la neige marque son territoire.

Le 767 décolle pendant notre roulage.

Petit navion bloqué ?
Un A330 d’Air Canada au hangar.

Pour notre part, on décolle enfin !

White !

J’ouvre le magasin EnRoute d’Air canada que je n’ai pas feuilleté la veille.
Des écouteurs filaires sont distribués aux passagers Business.

La cabine n’est pas totatelement pleine, ce qui ne me surprend guère pour une destination loisirs que j'imagine encore discrète au Canada.

Un oshibori chaud est distribué.

Les paysages ne sont pas aussi beaux que lors des vols asiatiques, mais ça n’en reste pas moins agréable à regarder.

Un chariot fait son apparition : le protocole n’est pas aussi soigné que sur long-courrier.

J’ai retenu l’option Santé pour ma part, ayant déjà mangé une omelette au salon. Ca a bonne tête…

Voici le choix de mon voisin.

L’hôtesse, très pro et souriante, m’amènera du pain et du beurre et ira remplir d’eau chaude la boite d’avoine. Je demande un thé vert à la menthe poivrée, qui s’avère excellent.

Après ce repas, je file me brosser les dents et là surprise, le même visuel orne les toilettes de ce 737 Max.

Par contre, c’est plus petit !

Voici l’offre WiFi proposée à bord.

Une heure après que mon plateau ait été ramassé, l’hôtesse propose un refill de boisson. Qu’à cela ne tienne…

Dehors, c’est purée de pois pour tous ! Mais la bonne nouvelle, c’est que ça ne va pas durer.

On est déjà à mi-parcours.

Quarante minutes plus tard. l’hôtesse propose des amandes salées, fumées et chaudes. Elles seront arrosées d’eau gazeuse et citron.

Enfin, une heure avant l’atterrissage, une boisson chaude et des grignotines sont proposées – nous sommes invités à généreusement nous servir.

Trente minutes plus tard, la descente est amorcée et les paysages qui s’offrent à nous sont plus enthousiasmants.
Ici, le survol du Montserrat.

Les nuages sont en rang !

Les manteaux sont distribués avant l’atterrissage.

Nous approchons de FDF…

J’imagine que depuis l’hôtel La Batelière, notre avion est parfaitement visible.

Finale.
Touchdown !

Il fait une chaleur de plomb et je dois reconnaître que c’est très agréable, même si j’ai la moitié basse de ma tenue du jour plutôt adapté au froid montrealais.
Dernière vue sur l’avion du jour, puis passage de la PAF rapide, idem pour la récupération des bagages et je me dirige vers le comptoir Avis désormais situé en dehors du terminal (juste en face) pour récupérer ma voiture.

Merci d’avoir lu et à très vite,
Ilyes